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Chapitre_ 4

Annabeth ouvrit la porte de leur nouveau chez-eux. L'espace n'était pas très grand, mais très bien agencé, comme le rappelait souvent la jeune adolescente. La porte s'ouvrait directement sur une pièce chaleureuse et lumineuse. Cette pièce servirait de salon-cuisine-salle-à-manger, la cuisine était déjà équipée et était isolé du reste de la pièce par un ilot central où on pouvait s'asseoir à six personnes. Il y avait sur le mur de droite une grande fenêtre exposé sud-ouest qui donnait sur la rue à l'architecture romaine. Et il y avait une cheminée. En dehors de la cuisine la pièce était vide, ils allaient pouvoir en faire leur chez eux, à leur image. Même si la façade donnait à cet immeuble des aires d'antiquité l'intérieur était plutôt moderne et agencé à la manière des logements actuels. Au fond de la pièce un escalier donnait sur un deuxième étage, arrivé sur le palier il y avait quatre portes, de gauche à droite : salle de bain avec baignoire, chambre de l'extraterrestre, chambre du couple et finalement les toilettes.

Les deux adolescents étaient toujours sur le pas de la porte. Ils avaient déjà visité cette appartement, ils étaient venu quelque fois mais cette fois était différente, ils poseraient le pied dans leur maison, ce serait réel. Finalement Percy prit la main d'Annabeth et ils entrèrent ensemble chez eux.

- Waouh... murmura Annabeth, c'est vraiment chez nous, sa voix semblait hésiter entre la question et l'affirmation.

- Et oui...

- C'est déjà onze heures ! s'affola Annabeth en lançant un coup d'œil.

- Pourquoi tu t'affoles ?

- Parce que le char avec nos cartons ne va se vider tout seul et qu'on doit avoir installé le nécessaire avant de partir chez mon père à dix-huit heures trente !

- Et ne t'inquiète pas, il enroula ses bras autour d'elle.

Elle était enceinte depuis bientôt trois mois, elle avait de la chance aucune nausée ne venait troubler son quotidien mais parfois quelque saute d'humeur faisait leur apparition.

- Pourquoi cela prendrait autant de temps, on va descendre chercher les cartons, les poser méthodiquement dans la pièce inscrit au marqueur par tes soins, aller au magasin de meuble acheter un lit, le monter, tout ça avant dix-huit heures et même qu'on aura peut-être le temps d'aller faire des courses, assura le fils de Poséidon.

- Si tu le dis... dit-elle en enfouissant sa tête dans le cou du brun.

Ils restèrent comme ça quelques minutes et d'un accord tacite ils se séparèrent pour redescendre dans la rue où attendait un grand char rempli de carton. Percy en pris un gros plutôt lourd et Annabeth en empila deux plus léger. Les cartons d'Annabeth allaient dans leurs chambres et ceux de Percy dans la pièce principale. Quand elle redescendit les escaliers Percy était déjà partit chercher d'autres cartons, il avait posé son téléphone (Léo dans une longue semaine d'ennuis avait crée des smartphones monstre-proof, comme il aimait dire et maintenant chaque demi-dieux, grecs, et quelque romain en était équipé) et un morceau de Green Day s'échappait du portable, Annabeth hocha la tête en rythme en retournant dans la rue, elle croisa Percy dans les escaliers, ils habitaient au deuxième sans ascenseur, et ils se sourirent.

A quatorze heures, tous les cartons étaient déposés dans leur pièce respective, mais toujours fermés. Le ventre de Percy gargouilla et ils partirent acheté des sandwichs. Ils rentrèrent chez eux. Pendant que Percy sortait un peu de vaisselle Annabeth monta à l'étage et sans hésitation ouvrit un carton sur le vaste palier, elle en sortit une grande feuille de dessin et une trousse de crayon à papier.

Elle redescendit et trouva Percy en train de servir de l'eau dans les verres bleus que leur avait offert Paul et Sally comme cadeau d'aménagement (ils n'avaient pas offert que ça, c'est limite si ils n'avaient pas meublé la moitié de maison.)

En la voyant arrivé Percy débarrassa ce qui trainait sur la table, il savait ce qu'elle avait en tête. Elle posa la feuille sur la table et commença a dessiné rapidement le plan de leur maison, les deux étages occupaient chacun une partit de la feuille. Percy pendant tout ce temps mangeait son sandwich en la regardant faire.

- Là, je mettrais bien le canapé comme ça il serrait juste en face de la cheminé et on pourrait mettre la télé (sans le câble, il ne pouvait pas avoir le câble, juste des DVD) juste à côté de la cheminé. On met le frigo là, six chaises autour de la table plus une chaise haute en bout.

Maintenant qu'ils étaient au courant depuis près de deux mois le bébé venait de plus en plus souvent dans la conversation et cela semblait naturel.

- On pourrait aussi mettre une table basse entre le canapé et la télé.

En même temps qu'elle parlait, elle esquissait rapidement des rectangles de différentes tailles dans lequel elle écrivait le meuble que cela représentait.

- Pour la chambre de l'extraterrestre, il y a déjà des placards donc pas la peine de s'inquiéter pour ça, alors on devrait mettre le lit là, la table à langer juste ici, une caisse avec des jouets et des peluches là.

Elle impressionnait son petit-ami, elle semblait si sûre d'elle dans ce qu'elle faisait, sûre de ne pas se tromper d'échelle, d'agencement, Percy, lui ne comprenait rien à ça.

- Ensuite pour notre chambre je mettrais bien le lit juste en dessous de la fenêtre, ensuite on à déjà des placards donc c'est bon.

De temps en temps elle croquait dans son sandwich et Percy ne disait rien, la laissant expliquer, ses yeux déviant entre le visage de la blonde et son dessin.

- On aurait chacun une table de nuit, j'aimerais bien un tapis au pied du lit. Les toilettes et la salle de bain c'est surtout du rangement donc pas besoin de plan. Et finalement comme le palier est plutôt grand et que j'ai du renoncer à mon bureau, je m'installerais là. Il y aura deux bibliothèques ici, exposa-t-elle en dessinant deux rectangle sur un des deux de mur libre du palier, un autre était occupé par la porte de la salle de bain et de la chambre du petit, celui juste à côté par la porte des toilettes et celle de la chambre parental. Le dernier mur était désormais occupé par un nouveau rectangle.

- C'est mon bureau, là (elle dessina un rectangle entre les deux portes) ce sera un petit meuble de rangement pour toute mais affaires de dessin, et là (elle dessina un nouveau rectangle entre les deux autres portes) on pourra ranger nos affaires de cour. Et j'allais oublier : je voudrais une étagère au dessus du canapé avec mes livres préférés et peut-être quelques photos. Tu en penses quoi ? demanda-t-elle une fois le dessin fini.

- J'en pense que j'adore, il déposa un rapide baiser sur les lèvres de la jeune fille. Mais cela ne va pas se faire tout seul allez hop !

Il était quinze heures quand ils arrivèrent finalement dans la banlieue de San Francisco dans un magasin de meuble appelé Ikea. Ils déambulèrent dans les allés main dans la main en commentant le design des meubles, prenant des photos et notant le nom des meubles qui leur plaisait le plus.

- Regarde cette table basse, parfaite non ? dit Percy en pointant une table basse blanche plutôt basique avec des moulures grecs sur les côtés.

- Je l'adore ! Annabeth pris une photo et nota le nom de la fameuse table, puis elle jeta un coup d'œil à l'heure. Houlà ! Quatre heures moins quart si on ne veut pas dormir sur le sol ce soir il va falloir se concentrer sur le lit.

- Très bien.

Ils partir en direction du secteur des lits et des matelas. D'un même mouvement, sans s'être consulté, ils se dirigèrent vers un lit qui leur semblait parfait, à l'un comme à l'autre. Il était simple sans chichis, très sobre et simpliste mais c'est ce qui leur plaisait. Le lit double était en bois peint gris mat, il n'y avait pas de tête de lit, et les pieds étaient simple juste rond. C'était sûrement un des lits les plus banals qu'il n'est jamais vu. Il leur rappelait le lit de Percy, à part la couleur c'était quasiment le même.

- On est d'accord ?

- On est d'accord.

Après avoir pris le nom et ils se dirigèrent vers les matelas. Ils les essayèrent tous, rebondissant tel des gamins sur ceux qui avait le plus de ressort, se poursuivant entre les différents matelas, parfois même sautant par-dessus. Il arrivait à Annabeth de s'écrouler de rire sur un matelas à cause des guilis de Percy.

Les autres clients dans le rayon et le vendeur les regardaient bizarrement. Déjà ils faisaient beaucoup de bruit, avaient l'air de fou et n'essayaient pas réellement les matelas, mais personnes n'osait leur dire d'arrêter, ils avaient l'air trop heureux, trop insouciants.

Ce moment ils en profitèrent tout les deux pleinement, après la guerre les moments comme celui-ci était très rares voir inexistant puis peu à peu après le retour de Léo ils étaient devenus plus fréquents, se rapprochant les uns des autres jusqu'à ce que cela deviennent comme avant la disparition même en mieux car avec les nouvelles blessures ils s'étaient rapprochés.

- Percy arrête, t... tu sais qu...que je crains, ria Annabeth étendu de tout son long sur un matelas.

- Tu me donnes quoi ? demanda Percy, hilare.

- Je prom... promet d...de ne pas...pas tes pou...rsuivre.

- Ca marche !

Il arrêta la torture et se laissa rouler sur le côté. Ils étaient maintenant tout les deux allongé sur le matelas comme s'ils l'essayaient vraiment. Annabeth pris la main de Percy. Ils restèrent quelques instants à regarder le plafond en silence puis Percy prit la parole :

- Il est confortable celui là, tu ne trouve pas ?

- Si, on le prend ?

- Oui, d'ailleurs on ferrait bien de se dépêcher.

Sans perdre une minute de plus ils achetèrent le lit, le matelas et un sommier choisit au hasard car ils n'y connaissaient rien.

Il était déjà dix-sept heures passé quand ils galérèrent pour monter le matelas dans les escaliers. Ils avaient déjà monté les différents cartons du lit en kit dans la chambre, mais faire monter un matelas double sur deux étages ce n'était pas la même chose.

- Percy soulève... non pas comme ça... plus sur la gauche... à trois... un, deux, trois...

Après beaucoup d'essais, de ratés, de tentatives, de force et de galère ils laissèrent tomber le matelas au milieu du salon.

- C'est quelle heure ? demanda Annabeth.

- Cinq heures et demie, dit Percy après un rapide coup d'œil à son portable.

- On aura jamais fini de monter le lit, réalisa Annabeth avec horreur.

- Et alors ? C'est pas grave on dormira à même le matelas.

- Mais ce sera pas confortable...

- Annabeth tu te rappelle lors de notre première quête, la première nuit on l'a passé dans un champ plein de boue, à la belle étoile, dans des sacs de couchage bas-de-gamme, toujours dans cette même quête on a dormi dans un camion de zoo illégal au milieu de navet pourrit avec un lion, une gazelle, un zèbre et une odeur de viande en décomposition, tu veux que je continu avec les autres quêtes ou c'est bon ?

- Non ça ira...

- Mais on peut essayer de commencer si tu veux.

- Nan, ça servira à rien à par perdre des vis, on n'a pas le temps, commençons plutôt le rangement de la cuisine.

Etant donné que Percy avait déjà ouvert un carton de vaisselle le midi, ils n'eurent pas à le chercher parmi les nombreux qui jonchaient le sol. Comme le matin Percy mit un peu de musique et ils commencèrent à ranger. Mais l'hyperactivité de Percy n'avait clairement pas la tête à ça et il fallait avouer qu'Annabeth s'ennuyait terriblement aussi. Percy souffla bruyamment alors qu'il rangeait une pile d'assiettes dans le placard au dessus de l'évier.

- Aller Percy, courage. Il faudra bien le faire de toute façon.

- Mais on pourra aussi le faire plus tard...

Il n'attendit pas la réponse d'Annabeth, il retira de ses mains le verre qu'elle voulait ranger et enroula ses doigts autour des siens et de la faire tourner sur elle-même comme dans une salsa. Annabeth souri. Il la fit tourner encore et encore, elle riait maintenant à gorge déployé, Percy était sûr que jamais il ne se lasserait de ce son mélodieux. Ils finirent par arrêter et Annabeth faillit s'écrouler dans les bras de Percy car sa tête tournait trop. Et sans rythme particulier ils tournèrent sur eux-mêmes dans la plus grande des désorganisation, ils se marchaient souvent sur les pieds, ne se tenait pas droit et, clairement, faisaient du grand n'importe quoi. Mais ils riaient, après tout ce qu'ils avaient traversaient ils étaient heureux. Ils tournèrent encore quelques instants puis ils furent ramenés à la réalité par la sonnerie du téléphone de Percy : c'était son bro qui espérait que leurs déménagement c'était bien passé et qui s'excusait encore une fois de ne pas avoir pu être là pour les aider le message était signé du reste des Sept qui étaient restés à la Colonie. Percy envoya un message pour les remercier et Annabeth finit par remarquer l'heure.

- Six heures ! On doit partir dans une demi-heure au plus tard !

- Prem's à la douche !

Et il partit en courant dans les escaliers, un petit sourire apparut sur les lèvres d'Annabeth. Elle continua un peu le rangement, jusqu'à ce que Percy l'appelle.

- Annabeth, tu peux venir voir s'il te plait ? cria Percy depuis l'étage.

- J'arrive !

Elle trouva Percy dans leur chambre, plusieurs cartons avaient été ouverts à la hâte et Percy avait sorti un nombre important de vêtement. Ce dernier portait un jean brut bleu foncé mais pas de haut. Annabeth bloqua un peu sur la musculature du garçon, elle la connaissait mais cela était toujours aussi plaisant à regarder.

- Tu m'aide ? demanda Percy qui examinait une chemise blanche.

- A ?

- T-shirt ou chemise ? Après je me disais que chemise cela faisait quand même plus sérieux, mais la blanche ou la bleue ? Parce que j'ai pas vraiment beaucoup de chemise...

- Déstresse, c'est mon père tu l'as déjà rencontré.

- Tu étais porté disparu, et on avait traversé tout le pays pour te trouver, alors oui à ce moment je crois qu'on se foutait tout les deux de comment j'étais habillé. Là, on va lui dire que j'ai mis sa seule fille, sa fierté, son bébé, son tout ce que tu veux, enceinte. Evidemment que je stresse

- La chemise bleue claire ferra très bien l'affaire, souri Annabeth.

Elle retourna elle aussi les cartons pour trouver un jean slim noir et un chemisier blanc, elle fila sous la douche qu'elle prit en vitesse.

A dix-huit heures vingt-cinq ils enfilaient leurs baskets. Et ils sonnèrent à la porte à l'heure prévue, dix-neuf heures tapante. Un homme d'une quarantaine d'années aux cheveux grisonnant ouvrit la porte. Il prit immédiatement Annabeth dans ses bras, et bien leur relation c'était vraiment plus amélioré que ce que pensait Percy.

- Bonjour monsieur, dit Percy en tendant la main au père d'Annabeth une fois qu'il eut lâché sa fille.

- Bonjour Percy tu as bien grandis, répondit Frederick Chase en serrant la main que lui tendait le garçon.

Percy n'avait pas revu Mr Chase depuis le mont Orthys. Il savait qu'il parlait souvent à Annabeth par message Iris et même par téléphone, parfois. Le diplômé d'Harvard était donc au courant de leur relation, qu'il y avait eu une guerre (sans vraiment de détail), et de leur déménagement. C'était par conséquent la première fois que Percy se présentait à Frederick en tant que petit-copain de sa fille sans que celle-ci ne soit en danger de mort. Et ils allaient lui annoncer qu'elle était enceinte. Il n'avait aucune raison de stresser...

- Amanda ! Ils sont arrivés !

La belle-mère sortit d'une pièce adjacente et salua les adolescents.

- Matthew et Bobby ne sont pas là, ils sont chez leur grands-parents, informa le père de famille alors que tout le monde rejoignait la salle à manger.

Ils commencèrent à parler, Percy eu son moment gênant de l'interrogatoire par le père de la fille, vite interrompu par Annabeth. Alors ils discutèrent d'un peu tout, dont forcément le déménagement, les études, la famille de Percy, ce genre de chose.

Percy ne se sentait ni particulièrement à l'aise ni mal à l'aise. Et Annabeth était stressé, depuis que la date de ce dîner avec son père avait était planifié elle réfléchissait à la meilleure manière d'annoncer à son père que sa fille de seulement dix-huit ans était enceinte. Elle avait même finit par penser que la manière de Percy, si spontané, naturelle et involontaire, était une bonne idée, au moins il n'y avait pas de calcul compliqué, pas de métaphores, de tentatives ratées pour rendre le truc moins énorme qu'il n'y paraissait. Juste une annonce claire est précise. Alors pendant que son père parlait d'elle ne savait quel exploit sportif des jumeaux elle le coupa.

- Je suis enceinte.

Percy se tourna vers elle, choqué. Son père et sa belle-mère perdant immédiatement leur sourire se tournèrent vers elle.

- Pardon ? demanda son père quasi-certain d'avoir mal compris.

- Je suis enceinte de Percy, elle vu le regard noir que son père commençait à lancer à Percy. Et comme il ne m'a pas violé, tu arrêtes ce regard meurtrier tout de suite, ce n'est pas totalement sa faute.

- Mais Annabeth tu te rends compte de ce que c'est ? demanda sa belle-mère d'un ton concerné.

- Non, mais c'est pas comme si j'avais le choix.

- Tu pourrais le faire adopter, as-tu réfléchie à toutes les options ? rappela son père.

- Non.

- Quoi non ? demanda Amanda ne sachant pas à quelle partie de la phrase sa réponse s'appliquait.

- Je ne le ferrais pas adopter, je veux le garder, elle saisit la main de Percy et la serra fort. On va le garder, il ou elle s'appellera Alex Chase-Jackson.

- Vous lui donnez un nom composé ? demandèrent les adultes en cœur surpris par la nouvelle.

- Oui, Annabeth s'appelle Chase, il nous semble parfaitement logique que l'enfant porte son nom aussi, exposa Percy.

- Mais, et si vous vous marriez ?

- Quand on se mariera, Annabeth accentua bien le quand, je m'appellerais Annabeth Chase-Jackson.

- Et Percy tu es d'accord avec ça ? demanda Mr Chase.

Annabeth trouvait extrêmement bizarre que ses parents s'attardent plus sur le nom de famille de l'enfant, que sur l'enfant lui-même. Elle jeta un coup d'œil à Percy et vu son froncement de sourcil lui aussi trouvait ça étrange.

- Bien sûr, c'est Annabeth. A partir du moment où j'ai su que je l'épouserais plus tard j'ai su qu'il y avait de grande chance pour qu'elle prenne un nom composé. Une fois on en a parlé et mes suppositions ont étaient confirmé. C'est sa manière à elle de dire qu'elle reste une Chase, qu'elle ne devient pas juste la femme d'un Jackson, elle ne dépend pas d'un Jackson.

Les adultes leurs lancèrent un regard mi-surpris mi-admiratif.

- Tout ça pour dire qu'on le garde, reprit Annabeth.

- Et vous en avez déjà parlé autour de vous ? demanda Amanda. Ils en pensent quoi ?

- Hum, nos amis nous souhaitent bonne chance et sont plutôt heureux pour nous, pareil pour les parents de Percy, sa mère est vraiment heureuse. Pour ma mère, elle est au courant et Percy est toujours vivant ce qui veut dire qu'elle le prend bien. Et on n'a pas de nouvelle de son père, exposa Annabeth.

- Et bien je suppose que nous aussi on est heureux pour vous, même si je dois te dire que j'aurais aimé que cela arrive dans plusieurs années, déclara Frederick.

- Nous aussi monsieur, assura Percy.

Amanda leur sourit et ils eurent plus ou moins la même conversation qu'avec Paul et Sally quoique en moins détendu.

*********

Cette nuit là ils dormirent sur le matelas posé au milieu du salon et des cartons. Percy avaient enroulé son bras autour des épaules d'Annabeth et cette dernière écoutait le cœur de Percy, une main sur le torse nu de son petit-ami. Ils étaient en silence depuis plusieurs minutes. Leur première nuit dans leur chez-eux, rien qu'à eux.

- Bonne nuit Puits de Sagesse, finit par souhaiter Percy.

- Bonne nuit Cervelle d'Algues.

Ils se donnèrent un baiser de bonne nuit, puis un autre, puis un autre...

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Voilà un nouveau chapitre qui arrive avec beaucoup de retard j'en ai conscience mais j'ai longtemps étais bloqué dans l'annonce de la grossesse au père d'Annabeth. Bon j'éspère qu'il vous aura plus, comme d'hab' je m'excuse pour les fautes.

Et joyeux Noël !! 🎅🎅 ou joyeux Hanouka !! Ou joyeuse journée parfaitement normal si vous ne fêter rien !! Ou joyeux peu importe ce que vous fêtez !!!

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