PITCH 1 : Couple - Définition de la fidélité - Polyamour - Parentalité
Genre : Romance – drame ou feel good en fonction de la direction que vous choisirez de prendre.
Réflexion sur le couple/la fidélité/l'amour hors norme/le polyamour/la parentalité
En version ultracourte (le vrai pitch)
Une femme mariée rencontre un homme et en tombe amoureuse alors qu'elle aime toujours son mari. Tous trois emménagent ensemble et viennent alors les disputes, les cris. Jusqu'à l'ouverture du couple à d'autres sortes de relations et les ressentiments.
Ils finissent par trouver un terrain d'entente et, là, elle tombe enceinte. Personne ne sait de qui est l'enfant et les tensions reprennent. À la naissance du bébé, pourtant, tout le monde a fait un gros travail sur lui-même et une solution est trouvée.
En version plus longue (plus un synopsis qu'un pitch, mais bon)
C'est l'histoire d'une femme – disons qu'elle s'appelle Agathe – et de son mari – va pour Victor.
Ils vivent tous deux dans une jolie petite maison, ont un chouette boulot et sont très amoureux. Ils ont la fin de trentaine ou la petite quarantaine et commencent à sérieusement envisager d'avoir un enfant.
Un jour, Agathe décide de partir faire un trekking. Mettons qu'elle soit bédéiste et qu'elle ait besoin de se ressourcer, d'être un peu seule avec elle-même et de soigner son imaginaire après un gros projet qui l'a occupée pendant deux années entières. Elle prépare donc son sac, ses meilleures chaussures de marche, sa gourde, des provisions, et là voilà déjà qui embrasse Victor et claque la portière de sa voiture. Elle roule longtemps. Elle a besoin de mettre autant de distance possible entre elle et sa vie.
Quand elle s'arrête enfin, il fait nuit et elle rejoint le gîte qu'elle a réservé pour la nuit.
Au matin, elle vérifie son sac, avale son dernier petit-déjeuner chaud de la semaine et prend le départ.
Elle a volontairement choisi un tracé très peu utilisé et pendant trois jours, elle ne croise pas un seul randonneur. Loin de s'en effrayer, elle profite à fond. C'est ce qu'elle est venue chercher, et les quelques SMS qu'elle échange chaque soir avec Victor pour lui donner sa position et le rassurer quant à la bonne tenue de son voyage, sont suffisants pour lui permettre de remplir son quota de socialisation journalier.
Le soir du quatrième jour, pourtant, alors qu'elle est installée depuis une heure tout au plus, une silhouette apparaît sur le chemin en contrebas de l'endroit où elle est postée. Elle n'a pas encore allumé de feu et si l'homme ne lève pas la tête en passant, il ne la verra pas. Si bien qu'elle hésite à faire connaître sa présence.
Alors qu'il avance au pas, elle prend le temps de le détailler. L'inconnu semble âgé de quarante ans tout au plus, son sac à dos est aussi large que celui d'Agathe et il prend tout son temps. Flânant les mains dans les poches, il siffle de temps à autre pour attirer l'attention d'un chien noir et blanc qui galope dans les hautes herbes à cent ou deux cents mètres du chemin.
Ce qui surprend Agathe, c'est que l'homme vient du même côté qu'elle. Au vu de sa lenteur, il a dû partir bien avant elle, et elle aurait dû le dépasser à un moment. Elle va le laisser passer et disparaître dans la nuit tombante, quand le chien qu'elle n'avait fait qu'entrapercevoir jusque-là, traverse le chemin au pas de course et fonce droit dans sa direction.
En deux secondes, finie la discrétion. L'homme la repère à l'instant où le chien lui saute dessus pour lui faire la fête.
S'en suivent des excuses, des présentations, une proposition à dîner – puisque de toute façon, il va bien devoir s'arrêter, lui aussi, car d'ici une demi-heure, il ne verra même plus où il mettra les pieds.
Ainsi, l'inconnu – qui s'appelle Louis, disons – monte sa tente à quelques mètres de celle d'Agathe et tous deux se mettent à discuter autour du feu qu'elle a finit par allumer.
Le courant passe bien et le lendemain, ils décident de faire un bout de chemin ensemble. Louis est parti il y a deux mois, il ne suit pas le sentier, ce qui explique qu'Agathe ne l'a pas vu avant. Il a démissionné d'un boulot abrutissant après avoir fait un burn-out et a décidé de se reconnecter aux choses simples et vraies.
Au bout de cette première journée ensemble, ils partagent un second dîner et il est décidé qu'ils se quitteront le matin suivant. Seulement, aucun des deux n'en a vraiment envie. Louis n'est pas réellement un ermite et ses deux mois dans la nature sauvage en compagnie de son chien ont été suffisants à soigner une partie de son mal-être, il pense de plus en plus à revenir dans la société. Agathe, quant à elle, est mal à l'aise, car en quinze ans, jamais elle n'a sérieusement envisagé de tromper Victor. Aucun homme, aucune femme, n'aurait pu davantage lui correspondre, de toute façon. Sauf que là, elle sent bien que l'intérêt poli du premier soir a été remplacé par quelque chose de plus puissant, de plus dévastateur.
Au final, Agathe et Louis passent toute une semaine ensemble dans les montagnes. Ils ne partagent pas la même tente, n'échangent même pas un baiser, mais tous les deux ont compris que les regards à la dérobée qu'ils ont surpris, les rires qu'ils ont échangés, les mains qui s'attardent plus que nécessaires quand ils se passent un couteau ou un morceau de pain rassis, signifient plus qu'ils ne sont prêts à l'accepter.
Le jour où Agathe rejoint sa voiture sur le parking du gîte où elle a passé sa première nuit, elle ne parvient pas à se faire à l'idée que cette histoire n'ira pas plus loin et elle fait une chose complètement folle. Elle sait que Louis n'a plus d'appartement, car il a rendu les clefs au moment où il s'est isolé, mais aussi qu'il n'a pas énormément d'argent de côté et qu'il ne souhaite pas retrouver un travail dans la même branche que celle qui l'a rendu malade, alors que c'est tout ce qu'il sait faire. Alors elle lui propose de venir habiter chez elle. Chez elle et Victor. Il s'occupera du ménage, du jardinage, peut-être qu'il ira faire les courses, aussi. Enfin, il les libérera d'une partie de leurs corvées en échange d'un lit et d'un peu de temps pour se retourner et trouver ce qu'il veut faire de sa vie.
Louis sait qu'Agathe est mariée. Il l'a vue échanger des messages avec Victor tous les soirs, il a reconnu l'amour dans ses yeux quand elle lui a parlé de lui. Il a même pu observer l'homme sur quelques photos. Victor à la plage, Victor assis à son bureau, Victor qui enlace Agathe et l'embrasse amoureusement. Il en sait beaucoup à son sujet, déjà, et ne peut s'empêcher d'être curieux. Qui est cet homme qui a su ravir le cœur d'une femme telle que celle-là ? Et surtout le garder enflammé au cours des années ?
Il n'a pas grand-chose à perdre, alors il accepte. Il installe Dango, son border collie, sur les sièges arrières, et prend place aux côtés d'Agathe. En route vers sa nouvelle vie.
Sans surprise, Victor l'est, lui, surpris, quand sa femme lui présente son nouvel ami. Plus encore quand elle lui explique sa situation et la solution à laquelle elle a pensé sans le consulter.
Malgré tout, il aime Agathe et accepte pour lui faire plaisir.
La cohabitation ne se fait pas sans heurt. Victor supporte mal que cet inconnu vive sous son toit. Pire encore, il déteste la façon dont celui-ci regarde sa femme. Et comment elle le regarde en retour. La tension monte entre eux, des disputes éclatent de plus en plus souvent et un soir, la discussion, celle qui aurait dû être initiée bien plus tôt, s'impose d'elle-même.
Une caresse de trop de la part de Louis. Juste sur le bras d'Agathe. Rien de sexuel. Rien d'inconvenant. Venant d'un parent ou d'un ami, jamais Victor n'y aurait prêté attention, mais cette fois-là, s'en est trop et il éclate.
Des cris. Peut-être de la vaisselle cassée. Des pleurs.
Et un aveu. À demi-mot, d'abord. Puis assumé, ensuite.
Oui, Agathe aime Louis. Elle le désire. Elle veut le toucher, l'embrasser, le faire entrer dans leur lit.
Mais ce n'est pas tout, car Agathe aime aussi Victor. Elle l'aime plus que jamais, avec ses qualités et ses défauts, avec leurs souvenirs et les promesses d'avenir.
Elle les aime tous les deux et elle est désemparée. Car elle ignorait que c'était possible.
Les semaines qui suivent sont compliquées. Victor râle beaucoup, mais il reste. Louis se fait aussi petit que possible, mais il sent que ce n'est pas comme ça qu'il trouvera sa place dans ce couple un peu particulier, sur le point d'éclater.
Et puis un soir, une nouvelle dispute. Victor quitte la maison, Agathe est au fond du gouffre. Elle pleure, l'appelle des dizaines de fois sur son portable, finit par accepter l'épaule de Louis.
Cette nuit-là, pour la première fois, ils la passent ensemble. Et c'est bon. C'est bon, mais triste en même temps. Agathe est heureuse car la peau de Louis, son souffle dans son cou, ses mains qui essuient les larmes, tout est plus beau et plus fort qu'elle ne l'avait imaginé. Elle est amoureuse, ça ne fait aucun doute.
Mais Victor lui manque. Pire que ça, son absence a creusé un gouffre dans sa poitrine.
Le lendemain, quand il revient, elle lui raconte ce qui s'est passé pendant son absence. Elle ne lui ment ni quant à ce qu'ils ont fait, ni quant à ce qu'elle a ressenti. Elle lui rappelle qu'elle l'aime et qu'elle ne contrôle pas ce qu'elle ressent.
Victor ne comprend pas ce qu'elle lui raconte. Il n'aime qu'elle, lui. Mais bon, si c'est ce qu'elle veut... Ils vont donc ouvrir leur couple ? S'autoriser des aventures avec des parfaits inconnus ? Fréquenter un club échangiste, pourquoi pas ?
Ce n'est pas ce qu'Agathe souhaite, mais elle a conscience d'en demander beaucoup. Elle ne peut pas s'attendre à ce que Victor lui reste fidèle si elle-même couche avec un autre. Sauf qu'elle ne le fait pas avec des inconnus, justement, mais avec Louis. Louis dont elle est amoureuse. À contrecœur, elle accepte pourtant cette solution. C'est elle qui a entrouvert la porte de leur couple, elle ne peut quand même pas s'étonner si son mari choisi de la pousser davantage.
Pendant plusieurs mois, ils vivent donc ainsi. Agathe alterne les nuits passées avec son mari et avec Louis, tandis que Victor le lui fait payer en s'envoyant en l'air avec toujours plus de femmes qu'il rencontre dans ce seul but.
Le jour où il en ramène une chez eux et qu'il lui propose un plan à trois, pourtant, s'en est trop pour Agathe. Elle s'énerve, se met à pleurer, lui balance des tas d'atrocités.
Victor a un moment d'hésitation qui lui est fatal. Alors qu'il s'attarde sur le pas de la chambre, sa femme en pleurs est emmenée par Louis. Dans la petite chambre d'amis – qui est devenue la sienne – Louis la console. Lui répète qu'il l'aime et qu'il fera tout pour elle.
Car oui, pendant que le couple marié se déchirait, lui est resté fidèle à Agathe. Ça ne le dérange pas qu'elle s'envoie en l'air avec d'autres hommes, du moment qu'elle ressent aussi pour eux des sentiments forts. Et il n'exclut pas l'idée de le faire aussi, si un jour il tombe amoureux d'une autre personne. En l'état, pourtant, ce n'est pas le cas, et il n'y a qu'elle dans son cœur. Qu'elle qu'il veut dans son lit.
Dans l'autre chambre, Victor se rapproche de sa conquête du jour, mais celle-ci lui fait la morale. Oui, elle était d'accord pour coucher avec lui et sa femme. Oui, l'idée l'excitait. Mais elle n'imaginait pas qu'il ait pu ne pas en parler avec la principale concernée avant. Alors, la fille s'en va, lui conseillant quand même de réaliser ce qu'il a déjà, la chance qu'il ne mérite probablement pas.
Penaud, Victor se sert à boire. Il est un imbécile, il le sait. En plus, avec ses conneries, il ne peut même plus coucher avec sa femme sans préservatif, parce qu'il lui arrive de ne pas se protéger avec les autres. Il ne la mérite pas. Elle est bien mieux avec ce type, ce Louis, ce...
Son verre dans une main, son seum dans l'autre, il réalise soudain toutes les tentatives qu'il a repoussées ces derniers mois. Louis, il ne l'aime pas. C'est clair et net. Il ne l'aime pas, par principe. Parce que le type se fait sa femme, dans sa propre maison. Parce qu'il est avenant avec elle, qu'il la fait rire, qu'il s'occupe d'elle. Qu'il est... parfait. Ou pas loin. Parce qu'il est gentil, même avec lui. Parce qu'il remplit la cafetière, même si Victor est le seul à s'en servir. Parce qu'il lui dit bonjour tous les matins. Parce qu'il tente en vain de se rapprocher de lui, et ce, depuis des mois.
Combien de fois ne l'a-t-il pas invité à venir les rejoindre dans sa chambre ? Pour parler, qu'il disait. Ou bien quand il se poussait sur le canapé pour lui faire une place. Et toutes ces fois où il a tenté d'entamer la discussion. Pour Agathe. Parce qu'il est fou d'elle. Parce qu'il est prêt à faire un effort, lui, pour que leur couple si particulier – leur trouple – fonctionne.
Et-ce que parce qu'il se rend compte de ça ou parce qu'il a un verre dans le nez, quoique qu'il en soit, il marche jusqu'à la chambre d'amis – la chambre de Louis. Il ne frappe pas, il est chez lui, après tout, mais il ouvre la porte avec une infinité de précautions. Ce qu'il découvre le choc moins qu'il ne l'aurait cru. Sa femme est allongée contre cet homme. Ses épaules tressautent encore par moment, mais son visage est caché par ses cheveux détachés. Elle ne l'a pas entendu arriver. Louis, en revanche, a les yeux braqués sur lui. Il le fusille du regard. Mais Louis est bon et, pour la dernière fois – ce que Victor ignore – il lui tend la main. Littéralement. Il détache son bras du corps d'Agathe et le tend en direction de Victor, l'invitant à les rejoindre.
Ce que l'homme, après un nouveau débat interne, fait. Il accepte la main honnie, contourne le lit, et s'allonge dans le dos de sa femme. Celle-ci se retourne, comprend l'effort considérable qu'il vient de faire et l'embrasse.
Peut-être qu'ils parlent un peu, peut-être qu'ils n'en ont pas besoin, en tout cas, le matin suivant ils se réveillent tous trois nus et dans le même lit.
Après cet événement, les choses s'améliorent entre eux. Victor acceptent plus volontiers les gestes que Louis a envers lui. À défaut de s'aimer, ils se tolèrent. Ils commencent même à discuter quand ils ne sont que tous les deux. À se rapprocher. Pendant des semaines, des mois, Louis est le seul à aller vers lui. Et puis un jour, Agathe, inquiète par l'absence de sang dans sa culotte depuis trop longtemps, sort des toilettes avec une tigette en plastique à la main. Elle est enceinte.
Mais de qui ?
Pendant neuf mois, Victor est tendu. Il refuse de plus en plus les avances de Louis et passe de moins en moins de temps à la maison. Cet enfant, il l'a voulu, c'était en projet avant que leur couple traditionnel ne vole en éclats. Mais s'agit-il vraiment de son enfant ? Et si c'était celui de ce type ?
Sa réaction fait souffrir Agathe, elle qui s'imaginait que les choses allaient enfin mieux entre eux. Louis, en revanche, est plus présent que jamais. Il se fiche de savoir à qui appartenaient les gamètes qui sont à l'origine de cette nouvelle vie, il compte bien en prendre soin et l'aimer de toute son âme. C'est déjà le cas, de toute façon.
Après une discussion entre Agathe et Victor, il est décidé qu'un test de paternité sera réalisé à la naissance de l'enfant. La femme comprend, même si elle espérait que son mari était enfin confortable avec leur situation.
Le jour de l'accouchement, Agathe enfante et manque d'y rester. Pendant que les médecins font de leur mieux pour lui sauver la vie, Victor et Louis discutent de ce qui se passe. Louis est déçu du comportement de Victor. Il fait de la peine à Agathe, et pourquoi ? Juste parce qu'il n'est pas certain que ses spermatozoïdes ont été les plus performants ? Quelle connerie.
Peut-être qu'ils se disputent. C'est probable.
Mais Victor fini par se rendre compte que ce qu'il veut, c'est élever un enfant avec Agathe. Celui-ci, un autre, quelle importance ? La sage-femme le lui met dans les bras alors que Louis tourne dans la pièce comme un lion en cage, et Victor réalise que malgré tous les efforts qu'il a fait pour s'en prémunir, il aime déjà le nouveau-né. Il n'est peut-être pas de lui, mais il est d'Agathe. Et du moment qu'il le protège, qu'il joue avec lui, qu'il s'en occupe et l'aide à bien grandit, qu'importe les gênes qu'il porte en lui, il sera sien, aussi.
Alors, il s'approche de Louis, il le force à regarder l'enfant.
— Elle va s'en sortir. Elle ne peut que s'en sortir. Mais... si ce n'était pas le cas... Tu l'élèverais avec moi, pas vrai ?
Quand Agathe se réveille (parce qu'il est évident qu'elle s'en sort !) elle retrouve ses hommes et son bébé. Elle aborde le sujet du test de paternité quand elle se rend compte que Victor est gaga de l'enfant, et il lui répond qu'il se fiche du résultat de ce test, qu'il ne veut plus le faire.
Ça se termine bien. Ils sont parvenus à déconstruire l'idée du couple traditionnel et s'apprêtent à élever cet enfant à trois. Ce qui promet de nouvelles prises de tête, mais puisque l'amour a su se frayer un chemin entre eux, alors que c'était loin d'être gagné, ils sont persuadés qu'ils y arriveront.
***
Est-ce que j'ai fait affreusement long pour cette première ? Aaaarg ! Oui !
C'est une histoire que j'ai en moi depuis de très nombreuses années et avoir enfin pu en écrire le synopsis ne pourra que m'être bénéfique. Je vais enfin pouvoir m'en débarrasser.
Évidemment, le style est tout pourri, mais bon, le but n'était pas d'écrire un beau texte, juste de faire comprendre en quoi doit consister l'intrigue.
Je sais que je ne l'écrirai jamais, parce que ce n'est pas mon genre de prédilection, qu'il n'y a rien de fantastique ou d'horrifique et qu'à cause de ça, je m'en lasserai avant la fin, mais j'y tiens quand même un peu et si elle pouvait prendre vie sous une autre plume que la mienne, ça me ferait extrêmement plaisir. Alors ne vous gênez pas. Prenez-là, dénaturez-la, appropriez-la vous. Faites en ce que vous voulez.
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