32 | let me tell you
Encore endormi, je sentais de légère caresse se promener dans mon dos. Je souriais légèrement avant d'ouvrir lentement les yeux pour me tourner face à lui. Sons jolie minois au réveil n'était que du bonheur, il avait de petit yeux et ses cheveux n'était toujours pas en place. Je souris et passe la main dedans.
- Salut, dit-il d'une voix douce encore endormi.
- Ça va ? Lui demandais-je en refermant les yeux un instant.
- Parfait, dit-il en m'embrassant l'épaule. Il est presque 10h.
- Je ne travaille pas aujourd'hui, dis-je.
- Nous non plus, mais je voulais aller passer une journée dans Paris.
- Tu ne rentre pas à Mâcon d'habitude ?
- Si normalement mais la prochaine fois c'est avec toi que j'y vais.
- Antoine voyons...
- Ne discute pas, me coupe t-il.
J'émets un léger sourire contente de sa proposition. Je me penche vers lui et dépose mes lèvres sur les siennes. Je me relève ensuite retirant le drap de sur moi. Je me dirige vers ma valise et commence à retourner mes affaires pour trouver mon bonheur. Je m'arrête et me tourne vers Griezmann.
- Antoine, tu crois que c'est une bonne idée de sortir dans Paris en ce moment ?
- Ça ne peux pas nous faire de mal, dit-il. Pourquoi ?
- On fait la une des journaux depuis Rio, tu ne passe pas vraiment inaperçu, et...
- Et Alexis est de retour, continue t'il l'air compatissant.
- Et il est de retour...
Il se relève, s'approche de moi. Je baisse les yeux, il saisi mes mains. Son regard cherchait le miens.
- Pour Alexis les flics sont sur le coup, pour ce qui est de la une des journaux, on évitera tout les kiosques, et pour passer inaperçu, j'ai mes lunettes et ma casquette, dit-il d'un ton enjoué. Et si les gens voient deux personnes follement amoureuse en train de s'embrasser, ils vont pas chercher à nous regarder.
- T'as regardé Captain America toi ? lui demandais-je avant de rire.
- Marvel et moi c'est tout une histoire d'amour, Rigole t-il.
- On va bien s'entendre toi et moi, rigolais-je.
Nous continuons de rire jusqu'à ce qu'il lève la main, la paume devant mon visage.
- Ça marche ?
- Ça marche, dis-je en lui tapant dans la main.
- Aller va te préparer ! Dit-il. On se rejoint en bas pour déjeuner.
Je lui souris et me dirige dans la salle de bain, j'essaie de prendre une douche rapide, en sortant je me passe de la crème sur le visage et met du baume à lèvres.
Quelques minutes plus tard j'étais en bas. Je fait le tour de la table pour saluer le monde autour de la table. Arrivée en bout de table, j'embrasse Hugo sur le crâne comme toujours avant de lui piquer des céréales.
- Bon aujourd'hui qui fais quoi ? Demande Pat.
- On est plus beaucoup, dit Hugo. Les autres sont rentrés chez eux.
- Mon frère ?
- Il est partie se matin très tôt, dit Raphaël.
- Il est... rentré à la maison ou chez lui ? demandais-je.
- Je crois que c'est chez vous.
- Sans moi... Tellement gentil, dis-je.
- Mais toi profite d'être là, me dit Antoine.
- C'est quand que tu repars ? Demanda Pat.
- Lundi prochain.
Je regarde Antoine qui essaie de garder sa tristesse pour lui. Je n'ai aucune envie de partir d'ici.
- Et notre psychologue ? Dit Raphaël. On aura qui comme remplaçant ?
- J'aimerais rester..
- Bah reste, me dit Antoine. C'est aussi simple.
- Olivier ne veux pas, dis-je.
- Fais toi engager à temps plein ! Dit Hugo.
- Il faut que j'en parle avec Didier.
- Ton frère on s'en fou, il part à Arsenal avec Lolo.
- Bon on y est pas ! Dit Antoine. Profitons d'elle.
- Toi tu profite bien assez d'elle, dit Pat.
- On t'as vu sortir de sa chambre ce matin ! Dit Raphaël tout content.
- On à juste dormis, j'étais fatigué !
- C'est vrai, il est arrivé, il c'est étalé sur mon lit sans rien dire ! Continuais-je.
- On vous crois pour cette fois ! Dit Raphaël.
Nous rigolions, pour ce qui était d'être discret eh bien c'est à revoir. Je prends mon petit déjeuner et débarrasse ensuite la table. Je remonte ensuite en haut pour préparer mon sac, je prend mon eastpack noir a point blanc que je traîne depuis des années maintenant. Je mets mes affaires, Antoine entre et me donne ses affaires aussi. Je me tout dans le sac et le ferme. J'attrape mes lunettes de soleil et les mets sur mon nez. Je suis prête, nous descendons les escaliers pour nous diriger au garage.
- Ma voiture ?
-- Tu veux prendre ta Clio alors que j'ai ma Maserati ? Dit-il en me taquinant.
- Excuse moi de pas toucher 2 millions d'euros part mois !
- Un peu plus..
- Tais-toi.
Il se moque de moi, nous faisons le tour du garage pour arriver à son emplacement... Une magnifique Maserati. Wow...
- Je crois que c'est mort pour passer inaperçu, dis-je.
- Aller Grimpe !
Il monte le premier, je suis bien trop aspirer par cette beauté que j'en oublie de monter, il insiste à nouveau. Je monte enfin, Antoine démarre et me regarde. Ce merveilleux bruit. Il sourit, direction les Champs Elysées.
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