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26 | let me tell you

Il était 19h20 lorsque nous rejoignons nos compagnons en bas déjà à table. J'ai les cheveux mouillés et j'ai changé mes habits. Antoine à lui aussi les cheveux trempés. Je jette un bref regard vers le footballeur, lui aussi doit se préparer mentalement au réflexion qui vont suivre.

En arrivant dans la salle, tout les regards sont braqués sur nous. Je prend ma place habituelle à côté d'Hugo et en face d'Antoine.

- Vous avez pris une douche ensemble ? Demande Raphaël.

- Pourquoi ça te dérange ? Lui demande Antoine provocateur.

Je rigoles et croise le regard de mon frère. Il n'a pas l'air très très content. Il se relève et informe Antoine de le suivre. Avant de se relever je regarde Antoine qui semble aussi intrigué que moi. Je tourne la tête et regard tout les autres.

- Courage, chuchote Paul à son ami.

Antoine me regarde une dernière fois et part dans la cuisine rejoindre mon frère.

A N T O I N E G R I E Z M A N N

J'ai suivi Olivier sans poser de question. En arrivant dans le fond de la cuisine je vois son expression peu chaleureuse. Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai fait quoi de mal ?Je m'approche jusqu'à m'appuyer contre le plan de travail, Olivier est devant moi contre l'évier les bras croisés.

- Qu'est-ce qui y'a ? Demandais-je.

- Tu viens me demander des infos sur ma soeur, pour ensuite partir déterminer, pour ensuite prendre une douche avec elle. Et tu me demande ce qu'il y a ?

- Olivier, on a....

- Je veux pas savoir ! s'énerve t-il. Antoine tu me déçois vraiment là !

- Quoi ? Tu penses vraiment que j'ai fais ça pour voir sa cicatrice ? je rigoles.

- C'est quand même une coïncidence, fait-il remarquer.

- Mais Olive, soupirais-je. Vraiment tu me crois capable de ça ?

Mon ami ne répond pas. Il se contente de regarder le sol. Je soupire. Il le pensait vraiment, et ça me vexait.

- Ça me déçois vraiment que tu penses ça de moi, dit-il. Je n'ai même pas vraiment pris de douche avec elle. Je l'ai juste balancé sous l'eau et elle m'a attiré avec elle. Point, s'en est resté là.

Olivier hoche de la tête.

- Je peux te poser une question ? demande t-il.

- Oui, vas-y t'en qu'on y est.

- Pourquoi au début de son séjour tu ne pouvais même pas lui adresser un regard et que maintenant tout va bien entre vous ? demande t-il. Il s'est passé quoi ? Tu l'a connaissais avant qu'elle arrive ?

- J-Je sais pas vraiment ce que je dois répondre là, avouais-je.

- Dis-moi la vérité.

C'est dur ce que je vais dire mais c'est la vérité et je pense qu'il devrait savoir. Je crois les bras son mon torse et lui explique.

- En 2013, commençais-je. Lorsque j'ai été suspendu à cause de ma sortie nocturne... et bien c'est Émilie que j'ai été voir ce soir là. J'ai rejeté la faute sur elle pendant toute ces années.

- Attend ? Le soir ou on t'a repêché totalement defoncé ? assimile t-il.

- Ce soir là oui...

- Antoine ? Tu te moque de moi ? Elle était dans le mee état que toi ?

- Olivier, je veux pas avoir de problème. J'étais jeune, j'étais con. On a fait une erreur tout les deux et...

- Est-ce-que tu savais que c'était ma sœur ?

- Non, je te jure j'en savais rien.

- Elle savait qui tu étais ? demande t-il.

- Non, elle savait pas, dis-je. J'ai pas voulu lui dire, moi j'avais que son prénom.

- Ok, merci pour ton honnêteté, dit-il en partant.

- Attend ! dis-je en lui rattrapant le bras. S'il te plaît, elle n'y est pour rien. J'apprécie ta sœur, tu sais. C'est pas une fille de passage dans ma vie, je te le promet.

- Eh bien tu aurais du lui dire ça là preiere fois que tu l'a laissé comme une merde, dit-il en partant.

- Comment ça ? Je comprend pas...

Il ne prend pa le temps de me répondre et quitte la cuisine. C'est la merde. Ça va mal se finir..

E M I L I E G I R O U D

Je suis en train de me démaquiller et me mettre en pyjama quand quelqu'un frappe à ma porte. Je pars ouvrir. Mon frère, je lui souris. Il entre sans dire un mot.. Limite il m'as bousculés. Ok sympas. Je referme la porte derrière lui et le rejoint.

- Ça va pas ? Demandais-je. Tu en tire une tête.

- 9 mai 2013, dit-il. Ça te parle ?

Je me fige un instant. Comment est-il au courant ?

- Comment tu sais ça ? demandais-je.

- La personne qui t'a rejoins ce soir là m'a dit la vérité.

C'est pas vrai. Je soupire et me frotte le visage.

- Pourquoi est-ce que tu n'a rien dit ? s'énerve t-il.

- Parce que c'était rien, dis-je. C'était qu'une soirée anodine avec un mec qui finalement s'avère être reconnu. Je le savais pas à l'époque. Je savais juste son nom et on s'amusait bien ensemble, c'était tout ce qui comptait.

- C'est faux, dit-il. Si ce n'était qu'une soirée, alors pourquoi as-tu passé les deux mois qui ont suivie en dépression ?

Il a raison.

- Ça n'avait rien avoir.

- Oh que si Émilie, tout à avoir maintenant ! s'aclame t-il. Tu es tombée amoureuse d'Antoine pour une simple soirée !

- C'était pas le coup d'une soirée ! haussais-je le ton. C'était pas le coup d'une soirée... Je voyais Antoine depuis quelques temps déjà.

- Et tu ne m'a rien dit ?

- Je suis pas dans l'obligation de te faire un rapport à chaque garçon avec qui je bois un verre.

- Non mais si tu l'aimes, oui.

- Arrête, dis-je. C'est faux.

- Tu mens, tu te mens à toi même depuis 3 ans Émilie, tu te rend compte.

Je ne lui répond pas, il commence à m'énervait.

- Et si ça recommençait Émilie ? demande t-il sur un ton plus calme.

- Ça n'arrivera plus, dis-je. Antoine n'a rien avoir avec Alexis.

- Je ne parles pas d'Alexis, dit-il. Je sais très bien qu'Antoine n'est pas lui. Mais là, je te parles de toi.

- J'ai grandis Olivier.

- Peut-être mais tes sentiments n'ont pas changés.

Je ne répond pas.

- Je sais pas si t'es au courant, Émilie. Mais tu repars dans une semaine.

- Je vais demander à rester plus longtemps alors ! dis-je sérieusement.

- Arrête de rêver, se moque t-il. Et tu fera quoi si tu restes ?

- Mon travail de psychologue, dis-je. Didier est prêt à me garder.

- Laisse-moi rire.

- Olivier...

- Avant d'aider les autres psychologiquement, commence déjà part de soigner toi même.

Sur cette dernière phrase, il sort de ma chambre. Aïe. Ça fait mal, quand ton frère te dis ça. Ça fait vraiment très mal. Je me frotte le front. J'entends quelqu'un arrivé. C'est Antoine.. Je soupire.

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