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Chapitre 21

Hey !
Bon ben sûrement autant pour vous que pour moi, c'était la première semaine de cours 😓
Comment ça s'est passé pour vous ?
Comme j'entre dans une classe importante, je vais avoir très peu de temps, donc je vais devoir réduire le rythme à un chapitre par semaine qui sera posté le week-end.

Bonne lecture !



Céleste


Je reste engourdie quelques instants, et puis je me reprends, et je me mets à sourire, pensant au plan qui se forme dans ma tête.

Je suis Clive pour rejoindre les autres, et c'est à ce moment là que Nick ouvre la porte menant à la principale salle de décors et de tournage.

Nous entrons tous à sa suite, et je me mets volontairement en retrait pour avoir une vue d'ensemble, et pouvoir tout observer.

Clive se retourne, et croise mon regard alors que j'ai les bras croisés et que j'affiche un sourire en coin.

Le jeune homme fronce les sourcils, et ça y est, il est déstabilisé.

J'ai la preuve que ce n'est pas une machine !

Je lui souris, un sourire satisfait cette fois ci, et il reste un moment perplexe avant de sembler comprendre et de sourire à son tour et reporter son attention de nouveau sur les autres.

Au moment où ses yeux me quittent, le sentiment de familiarité s'accroît au fond de moi, et je détourne les yeux, sentant l'incompréhension grandir en moi de nouveau.

Cela fait beaucoup trop de fois en peu de jours que je me sens si perdue, et cela ne me plait pas du tout.

Nick s'approche du producteur de dos, je crois qu'il s'appelle Bill, et le salue :

- Salut Orson !

Ah ben non c'est pas Bill son nom.

Pourquoi j'ai cru que c'était Bill ?

Et puis je comprends quand mes yeux se posent sur son badge.

Il s'appelle Orson Gates, et comme une idiote j'ai confondu avec Bill Gates.

C'est où déjà l'asile s'il vous plaît ?

Orson tend la main à Nick, et mon agent présente les nouveaux venus.
Le producteur sourit à Thomas et Léna, et m'offre une poignée de main beaucoup trop douce à mon goût.

Je retire ma main des que je le peux, détestant le contact avec les êtres humains.

Oui, je suis un être humain aussi vous allez me dire, mais des fois j'aimerais bien être un animal, un loup par exemple, ou un renard je ne sais pas, ou même une mouche ou une souris, comme ça, pas de problèmes d'humains.

Bon après j'aurais des problèmes d'animaux du genre si je suis une mouche essayer de pas se faire écraser sur les murs ou les fenêtres.

Parce qu'il y en a, des humains je parle, qui dès qu'il y a une mouche qui entre dans leur chambre ne peuvent pas s'empêcher de la tuer. Ils ne se contentent pas de la faire sortir de la chambre en ouvrant la fenêtre, ben non ce serait trop simple, ces gens là capturent la mouche, et la noie ou la grillent avec la raquette à mouche s'il y en a une sous la main.

Ou encore l'écrase avec un livre qu'on appèlera "l'arme du crime", et résultat il y a des cadavres de partout, que ce soit des moustiques, des araignées, des mille-pattes, et des mouches évidemment.

Je parle d'une expérience personnelle là, si un jour je meurs et me... mince c'est quoi le mot déjà ? Reforme ? Transforme ? Réinitialise ?

Foutue mémoire.

Bref, si un jour en mourant je deviens une mouche, note à moi même, ne jamais pénétrer dans la chambre de Sam.

Elle a comme devise "tout insecte entrant dans ma chambre n'en ressort pas vivant".

Oui, la compassion et l'humanité sont les mots qui l'a définissent le mieux.

- Clive Raven... je n'ai jamais entendu parler de ce nom auparavant, fait le producteur, me ramenant sur Terre.

Ah ben oui ! Tiens enfin quelqu'un qui semble revenir à la raison et réaliser que Clive on n'en a pas entendu parler, et ce, nul part ailleurs.

Orson se met à bouger et observer Clive sous toutes les coutures, comme s'il était une bête de foire, et celui ci ne semble pas vraiment apprécier.

Ce qui, évidemment en vicieuse que je suis, me fais sourire.

- Avez vous une certaine expérience dans le cinéma, le théâtre ou la comédie ? Demande Orson.

Ahahahahahahahahah.

Très bonne question Gaston.

Alors que je crois que Clive va répondre, le regard du producteur semble se brouiller légèrement.

C'est très étrange, ses yeux chocolat se recouvrent d'un voile plus sombre, il cligne des paupières, plisse les yeux, et répond d'une voix pâteuse :

- Je vois, c'est intéressant...

Euh une minute j'ai pas suivit, qu'est ce qui est intéressant ?

- Clive a joué dans plusieurs films et séries, c'était lui dans The Hat, New York Academy et Underground, approuve Nick.

Quoi ?
Attendez attendez, s'il vous plaît on peut me passer la télécommande du DVD ?

Merci beaucoup.

*touche repeat*

"- Avez vous une certaine expérience dans le cinéma, le théâtre ou la comédie ? Demande Orson.

Ahahahahahahahahah.

Très bonne question Gaston.

Alors que je crois que Clive va répondre, le regard du producteur semble se brouiller légèrement.

C'est très étrange, ses yeux chocolat se recouvrent d'un voile plus sombre, il cligne des paupières, plisse les yeux, et répond d'une voix pâteuse :

- Je vois, c'est intéressant..."

Ouais c'est bien ce qui me semblait, Clive n'a STRICTEMENT rien dis, il a pas répondu à la question de Gates, alors pourquoi le producteur répond "je vois, c'est intéressant" ?

Et pourquoi Nick approuve ce qu'il dit ?

Et puis je n'ai jamais entendu parler de The Hat, New York Academy et Underground.

Réincarné !

C'est ça le mot que je cherchais !

Si je me réincarnais en mouche !

- Quel bon choix tu nous as fait ! Je suis content de toi comme d'habitude mon cher Nick, fait le producteur.

Mon agent sourit et fais un geste de la main comme pour dire que ce n'est rien.

Connard.

Quoi ? Comment ça pourquoi je l'insulte ?

Ben parce que j'ai envie, contentez vous de lire et de la fermer.

Orson parle à Clive alors que je n'écoute plus et m'interroge sur le brusque changement de comportement de mon agent et mon producteur.

Celui ci se tourne d'ailleurs vers moi, et j'ai moins d'une seconde pour plaquer sur mon visage le sourire de la fille épanouie et aimable, ce que je ne suis pas.

- Ma chère Céleste voici donc ton coéquipier pour le film, même si tu dois l'avoir déjà croisé plusieurs fois ces derniers jours.

Malheureusement oui.

Que ceux qui viennent de se dire que je me mens à moi même la ferment immédiatement sinon je vous fais subir le même sort qu'aux mouches entrant dans la chambre de Sam.

Je ne répond pas à Orson et me contente de fixer Clive, parce que je ne sais pas quoi regarder, et parce que c'est l'une des plus jolies choses à observer dans cette pièce.

Je parle de lui comme je parlerais d'une jolie tunique blanche.

Orson se tourne vers la jolie tunique blanche, et dit :

- Céleste va jouer le rôle de Stella, le premier rôle féminin, et vous allez avoir la plupart de vos scènes en commun, du moins dans la première partie du film. Parce que dans la deuxième partie comme vous devez être au courant, Stella n'est plus avec les Rebelles.

Ah ben tiens, cette deuxième partie va être très agréable à jouer sans ma jolie tunique blanche.

Orson rajoute un truc sur les jumeaux machin bref je m'en tape.

Je commence à avoir faim, et je me souviens qu'il y a un joli distributeur d'M&MS à l'accueil, c'est mal élevé d'y aller maintenant ?

Bon c'est vrai c'est impoli.

C'est bien pour ça que je devrais y aller dès maintenant !

Mais au moment où je veux m'enfuir furtivement, Orson se tourne vers moi :

- Étant donné que les toutes premières scènes sont avec Adrian, tu n'as pas à venir aussi tôt, seulement à 11heures, Stella n'apparaît qu'à la quinzième minute si tout se passe normalement.

Et rater une occasion de rabaisser Clive et montrer à tout le monde que ce n'est pas un acteur ? Certainement pas.

Je coupe en levant la main :

- Je serais là.

Je plante mon regard dans celui de la jolie tunique blanche, tandis que celle ci m'observe aussi.

Est ce qu'il m'imagine comme une jolie cravate noire ?

Non ça a pas l'air d'être son style, peut être plus une chemise bleu.

Orson blablatte encore un peu, et moi je commence à avoir de plus en plus faim.
Le producteur s'en va, et Nick dit :

- Eh bien c'est parfait ! Je savais que ça allait bien se passer !

J'allais en profiter que l'attention soit détournée de moi pour m'échapper à quatre pattes quand j'entends Thomas, pas très loin de moi, chuchoter à Clive en français :

- Je t'avais dis quoi beau brun ?

De un, Clive n'est pas brun il a les cheveux châtains clairs avec de jolies mèches b...

Non non non, et de deux, pourquoi parle t'il français ?

Clive souris - et quel sourire ! -, et chuchote en réponse :

- Que j'étais beau ? Ah oui je m'en souviens !

Lui aussi parle français ??

Avec aucun accent en plus.

Une minute ils viennent d'où ces trois là ?

Thomas dodeline de la tête, et Nick se tourne vers Clive en disant :

- Alors à dans deux jours ? Vous arriverez à trouver la sortie ?

Hop hop Nicky, je m'occupe de ces deux lascars.

- Pas la peine Nick. Je les accompagne, je dis en levant la main de nouveau.

Je plante mon regard dans celui de Clive, et il me lance un sourire ravi.

Elle est jolie cette tunique blanche quand elle sourit.

Nick sourit, mais il est moins joli, et il s'éloigne en portant son téléphone à son oreille.

Bon ok, je me reprends, et je me tourne vers les trois amis une fois qu'on ne peut plus voir Nick :

- Suivez moi.

Je les dépasse, prend la porte de sortie menant au couloir des affiches.

Ils me suivent, j'entends leurs pas, et je rassemble mes idées le plus rapidement possible pour décider de la marche à suivre à présent.

Je veux en savoir plus, et il est hors de question de les laisser partir sans plus d'informations.

Je marche devant eux, et alors que le silence commence à devenir lourd, je dis :

- Alors d'où vous venez ?

Un affreux sourire en coin étire mes lèvres, et je jure de ne pas le faire exprès !

Je pourrais presque les entendre retenir leur souffle derrière moi, et cette constatation me remplit de plaisir.

- On... commence Léna, mais elle est coupée par Clive :

- Vient d'une petite île près de l'Océanie.

Mais bien sûr ! Les jolies tuniques blanches ne sont pas importées d'aussi loin.

Et elles ne parlent pas français !

Bon d'accord, de base, ça parle pas les tuniques.

- Ah oui ? Je dis pourtant en me concentrant de nouveau. Curieux... on parle qu'elle langue là bas ? Anglais non ? Alors même si vous parlez tous les trois très bien l'anglais, je vous ai entendu parler en français tout à l'heure. Et très bien.

Clive rétorque immédiatement :

- Si tu sais qu'on a parlé français, c'est que tu comprends la langue. Tu n'es pas Américaine ?

Ah ah, ah ah, ah ah.

Le pire c'est que sa question pourrait être tout à fait innocente et sans arrières pensées.

Mais bizarrement, c'est pas comme ça que je l'entends.

- Tu n'as pas répondu à ma question, j'objecte.

- Tu n'as pas non plus répondu à la mienne, réplique t'il.

Je me retourne brusquement vers eux, alors que nous venons d'arriver dans le hall.

Je ne peux pas cacher la fureur dans mon regard, mais surtout, j'espère que personne ne peut y lire à quel point je suis paumée.

Je pointe un doigt sur les trois amis, et chuchote d'une voix menaçante :

- Je sais parfaitement que vous cachez un truc, tous les trois. Et je...

Mais Thomas me coupe brusquement, en faisant un simple geste de la main devant moi.

Je me tourne brusquement vers lui, furieuse qu'on me coupe la parole avec un simple geste.

Quoi ? Comment ça c'est ce que je fais avec tout le monde ?

Mais Thomas recule, ayant soudain l'air terrifié, et je découvre que Léna est exactement dans le même état.

Clive ne montre rien, comme à son habitude, mais il recule doucement, et chuchote :

- Ok, d'abord on se retourne...

Thomas et Léna l'obéissent, et je comprends immédiatement que Clive est un leader, qu'on ne remarque d'abord pas comme tel, mais qui l'est bel et bien.

Je fronce les sourcils, et puis les contourne, pour me placer face à eux étant donné qu'ils me tournaient le dos.

- Qu'est ce qui se passe là ? J'interroge.

Clive me regarde, et demande :

- Est ce qu'ils regardent dans notre direction ?

Je comprends qu'il parle des deux hommes au comptoir, puisqu'il n'y a personnes d'autres derrière eux et face à moi, et je lève les yeux au dessus de sa tête.

- L'un d'eux oui, je réponds.

- Y a t'il une sortie de secours ? Demande Clive calmement.

La situation doit être plutôt grave en revanche puisque Thomas et Léna fixent Clive comme un dernière recours, et que celui ci reste centré sur son objectif.

Je décide d'emblée de ne plus poser de question, et d'agir.

Je dis bien fort, en affichant le sourire de la fille beaucoup trop gentille pour être sincère :

- Oh mais bien sûr ! Je suis ravie de vous avoir rencontré monsieur Merson ! Quel dommage que vous partiez en voyage d'affaire en Inde ces prochains jours... j'aurais adoré collaborer avec vous !

Clive sourit, et je comprends que j'ai vu juste.

Visiblement, les deux hommes au comptoir ne doivent pas retrouver les trois amis, et avec ma petite phrase s'ils croyaient les avoir vu ils ne reviendront pas ici, pensant qu'ils sont partis en Inde.

Je chuchote entre mes dents, tout en gardant mon sourire :

- Il ne regarde plus, suivez moi et ne vous retournez pas.

Je les invite à retourner dans le couloir des affiches, et je place ma main dans le dos de Clive pour le faire avancer.

Ma main tremble légèrement, et un frisson me parcourt le long de l'échine, alors je dis bien fort pour chasser ces sensations :

- L'agent Nick Foster ? Bien sûr je vous y conduis pour lui dire au revoir ! Suivez moi !

Nous avançons jusqu'au couloir, et je me demande pendant une seconde pourquoi je les aide.

Une fois hors de vues des deux hommes, je me retourne vers eux et dis :

- La sortie est par là, après cette porte à droite, vous continuez jusqu'au fond du couloir et vous aurez l'insigne.

Je les regarde un moment, tente de rassembler mes pensées, prend une inspiration, et me retourne pour m'éloigner.

Je n'ai pas fais deux mètres que Clive me rattrape en criant :

- Attends !

Je me retourne, et Clive essaye immédiatement de fouiller dans mon regard pour savoir ce que je pense le fourbe.

Eh ben tu sauras pas !

- Tu n'essayes même pas se savoir qui sont ces hommes ? Et pourquoi nous sommes nous enfuis ? Demande t'il.

Très bonne question !

Bien sûr que je me pose la question, seulement je préfère ne pas connaître la réponse.

Je ne sais pas dans quoi je vais m'embarquer si je pose la questions.

Et je ne sais pas non plus si j'en ai envie.

Comme à chaque fois que je suis stressée, je triture mes mains, détourne le regard, et évidemment, me mordille la lèvre inférieure.

Je m'apprête à dire que je ne veux pas savoir, quand je me mord la langue.

Je porte ma main à ma bouche en grognant contre moi même, et me fais la réflexion que si j'étais une mouche, peut être que je finirais noyée, carbonisée ou encore écrasée contre un mur, mais en tout cas je ne me mordrais pas la langue devant une jolie tunique blanche !

Clive éclate de rire devant l'absurdité de la chose, et je le fusille du regard.

- Te moque pas ! Je grogne en essuyant un filet de sang de ma bouche.

- Je ne me moque pas, rétorque Clive. C'est adorable.

Si j'étais une maison, je serais à ce moment là en flammes, et les pompiers ne suffiraient pas à éteindre la torche vivante que je suis.

Je détourne le regard alors que lui essaye au contraire de le capter, et un silence passe pendant lequel mon cerveau envoie pleins d'informations en même temps, que je suis incapable d'analyser.

Comme si vous étiez en pleine bataille de purée, debout sur la table, en évidence devant tout le monde, et là, la totalité des participants se munissent d'une machine à projeter de la purée comme les machines pour les balles de tennis, tournent le bouton au maximum, et m'envoie tout sur la tronche.

Bon je suis nulle en métaphore, mais vous avez comprit le principe.

J'enlève la purée de mon visage, et dis :

- Rejoins tes amis.

Il répond :

- C'est un ordre ?

- Un désir.

Il s'approche de moi, très près, beaucoup trop près à mon goût, et chuchote à quelques centimètres de mon visage :

- On ne t'as jamais dis qu'une jolie demoiselle comme toi ne devait pas mentir ?

Je me pétrifie.

Cette phrase, la phrase qu'il vient de dire, me plonge dans... une sorte de... je ne sais pas de vision ?

C'est comme si on faisait soudain pause sur ce qui se passe en ce moment, qu'on me projette je ne sais où.

En pleine forêt, c'est ça, je me retrouve soudain en pleine forêt, un endroit que je crois n'avoir jamais vu, et qui pourtant m'ait familié.

Je me vois soudain, campée sur mes jambes, et je semble énervée.

Du moins c'est ce que je crois, parce qu'en face de moi il y a... il y a Clive, qui m'observe, une cigarette entre les doigts, et un rictus satisfait sur les lèvres.

Un échange se produit, et c'est moi qui commence :

« - Ne me compare pas à ces spécimens.

- Ces spécimens, tu en as un exemplaire devant toi.

- Et je préférerais ne pas l'avoir.

- On ne t'a jamais dis qu'une jolie demoiselle comme toi ne devait pas mentir ? »

Je suis projetée de nouveau dans le présent, et quand j'atterris de nouveau devant Clive, je sens mes jambes trembler, et je vacille.

Je perds l'équilibre, et ce sont les bras de Clive qui m'empêchent de tomber.

Je reste le regard vide, fixé devant moi, et quand je me remets de ce... cette vision, je lève les yeux sur ceux de Clive.

Ce que j'y lis me glace, c'est comme... comme s'il venait de faire une gaffe, qu'il s'en est rendu compte, mais qu'en fait ce n'est pas si grave.

Qui est il ? Qu'est ce qui se cache derrière lui, ce sourire, cette façade, ses regards ?

Qu'est ce qui se cache derrière le regard si perdu de Léna, ses sourires timides, et ses yeux vissés sur moi ?

Que se cache t'il derrière ma ressemblance fulgurante avec Thomas ? Cette impression de le connaître ?

De les connaître tous les trois ?

Mon coeur se met à tambouriner, et il me hurle de me laisser aller, de poser toutes mes questions à Clive, devant moi.

Mais ma raison, elle, ne l'entend pas de cette manière.

Et c'est elle qui l'emporte.

- Dégage... je chuchote à Clive.

- Céleste écoute... commence t'il.

Mais je me tourne vers lui, furieuse, et le pousse en arrière en me dégageant de ses bras et hurlant :

- DÉGAGE !

Je me retourne brusquement en faisant abstraction de la douleur qui me foudroie d'être détachée de ses bras, mais je ne veut surtout pas voir sa réaction.

Alors je pars, en laissant derrière moi mes questions toutes plus étranges les unes que les autres.

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