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Chapitre 1

La place était bondée. 

Les gens étaient là par milliers et par milliers, rare étaient ceux qui n'étaient pas venus, rares étaient ceux qui n'étaient pas là sur cette grande place en cette heure avancée de la matinée, où le soleil illuminait la cité de milles feux, comme s'il approuvait de toute sa volonté ce qui allait se produire. 

Les gens restaient agglutinés autour du centre de la place, là où une construction en bois se dressait fièrement, là où une corde était déjà suspendue au haut de la structure, là où un panneau coulissant n'attendait qu'une chose, être enfin abaissé.

Les gens voulaient tous voir ce panneau coulisser vers le bas, ils voulaient voir le cadavre pendre dans le vide, ils voulaient tous voir de leurs propres yeux enfin, le fruit des recherches de nombreux mois de la police d'Area. 

Ils voulaient tous voir Clive Raven périr la corde au cou. 


                                                                                                 ***


Les gardes, deux, armés encore jusqu'aux dents par sécurité, et portant le casque réglementaire anti C qui les protègerait du captif une fois sortis de sa cellule hermétique, s'avancèrent dans les longs couloirs sombres de la prison du palais. C'était les mêmes gardes qui avaient déjà dû à plusieurs reprises conduire le même captif devant le Roi, mais à chaque fois c'était dans le but de le libérer, parce qu'il n'avait pas commis un délit très grave. 

Là, tout est différent. 

Ils s'avancent, le pas lourd, le visage fermé, bien que dans leurs yeux on puisse déceler une certaine lueur de satisfaction, de jubilation même. Ce ne serait pas un pendu pour rien, ils en étaient plus que certains.
Ils arrivent devant la dite cellule, et le premier, le plus fort, le plus robuste, jette un regard à travers les barreaux.
Le prisonnier est là, appuyé contre le mur, sur le bout de planche qui lui sert de matelas. Sa jambe droite est repliée à moitié, l'autre pend au bord de la planche et à cette cheville est attachée solidement une chaîne, reliée à un pan du mur. Son pantalon est sombre, sale, troué. Ses mains sont menottées, il a un bras appuyé sur sa jambe replié, et l'autre laissé tombé sur l'autre jambe.
Les deux bras sont peuplés d'égratignures, sales également, noirs de suie.
Le captif porte une chemise qui jadis était blanche, les manches sont portées repliées jusqu'au coude, et le haut de la chemise est déboutonné, laissant apparaître un bout de torse sculptural.
Mais le visage du prisonnier est dissimulé dans l'ombre, tout ce que le garde avancé peut distinguer c'est le bas de la face du prisonnier, uniquement le bas de sa bouche au dessus d'une légère petite barbe non rasée.
Le garde dit d'une voix forte, autoritaire :

« - C'est l'heure. »

C'est tout. Il s'apprête à sortir la clef permettant d'ouvrir la cellule, quand il voit avec effroi un sourire se dessiner sur le visage du captif dans la cellule.
C'est un sourire effroyable, un sourire... de dément, il ne voit pas d'autres mots pouvant le d'écrire.
Et puis, à la suite de ce sourire, les deux gardes peuvent entendre distinctement, bien qu'il soit très bas, un petit rire sardonique en provenance de la cellule.
"Cet homme est fou", se dit le premier garde en se décidant à ouvrir la cellule.
Le bruit métallique de l'ouverture résonne, et la porte aux barreaux de fer s'ouvre.
Les deux gardes s'avancent, côte à cote, comme pour se rassurer.
Le premier garde ordonne :

« - Lève-toi. »

Le prisonnier se met à rire, de ce même petit rire supérieur et moqueur qu'il a laissé échappé il y a quelques secondes. Il prononce d'une voix grave, enrouée :

« - J'aimerais bien. Mais j'en suis incapable... Voyez vous-même... »

Il écarte sa main gauche, attachée par des menottes à la droite, et désigne sa cheville attachée par une chaîne.
Le premier garde comprend, et fais signe au deuxième de s'avancer pour libérer la jambe du prisonnier.
Le deuxième garde hésite. Il a une peur bleu de ce prisonnier, ce prisonnier pas comme les autres imperturbable à tout, dont le visage encore dissimulé dans l'ombre ne peut pas être encore plus effrayant. Il a peur de ce prisonnier condamné à mort pour meurtre, de ce C, qui n'hésiterait sûrement pas à faire de lui sa prochaine victime.
Mais il finit par s'avancer, sort de sa poche une clef, et la place dans l'emplacement prévu pour que le mécanisme de la chaîne s'ouvre.
Il l'a tourne en tremblant légèrement, et il distingue nettement ce petit mouvement de tête du prisonnier, qui se tourne vers lui. Il a l'impression effroyable que le captif affiche un rictus moqueur devant sa peur si visible.
"J'aurais dû rester chez moi avec ma femme et mes enfants", se dit le garde en son fort intérieur.
Le prisonnier une fois libéré de sa chaîne, se redresse, ce qui provoque un mouvement de recul au deuxième garde. Mais le premier s'avance, et saisit le bras droit du jeune homme. Il fait signe au deuxième garde de faire de même, et celui ci après une hésitation finit par s'avancer, et saisir en tremblant le bras gauche du prisonnier.
Ils sortent de la cellule, et le visage du condamné s'affiche enfin à la lumière.
Les deux gardes auraient presque peur de ce visage si beau, si parfait.
La peau de leur prisonnier est recouverte de suie à certains endroits, sale, mais pourtant, cet effet crasseux n'endommage en rien la beauté du jeune homme, au contraire même. Sa mâchoire est bien dessinée, ses lèvres sont pleines, recouvertes d'un peu de sang qui a séché, mais elles affichent un rictus effroyable, un sourire qui fait frissonner les deux gardes. Son nez est droit, fin, parfait. Ses cheveux châtains en bataille ont poussés jusque dans sa nuque, et le plus captivant sont ses yeux, d'un bleu époustouflant, comme magnétique qui fait qu'on a envie à tout prix de s'accrocher à ce regard pour ne jamais s'en détacher. Mais c'est avant avoir décelé dans ces yeux bleus la lueur effrayante, cette lueur de profonde méchanceté, cette lueur qu'on pourrait appeler celle du diable.
Les deux gardes n'ont jamais vue un homme aussi beau de toute leur vie, et le premier se demande en son fort intérieur comment une créature aussi parfaite peut elle être capable de choses aussi effroyables.
Ils continuent d'avancer, et finissent par sortir de la prison royale, sans que le prisonnier ait tenté de se dégager à une seule seconde, ce qui ne fait qu'effrayer plus les gardes.
Ils finissent par sortir au grand jour, et la lumière aveuglent les gardes, mais pas le prisonnier, qui au contraire lève ses yeux vers le soleil, ses yeux qui se mettent à briller de milles feux.
Ils gravissent les marchés qui mènent à la potence, ils connaissent le chemin par cœur, et ont dû emprunter un autre passage dicte par les policiers pour éviter que les spectateurs ne provoquent des émeutes.
Des barrières se dressent devant la potence, pour que les spectateurs se trouvent à une distance respectueuse de la structure, et qu'ils ne puissent donc pas intervenir, tout en pouvant observer.
Sur le côté, pas très loin, une estrade se dresse, là où le Roi Caleb est assis, bien installé dans son fauteuil, son trône. Il attend, le regard bienveillant, et promène son regard sur son assemblée.
Les gardes s'avancent, le prisonnier au bras, et enfin, le captif devient visible aux yeux de tous, dressé à la lumière du grand jour.
C'est une place immense, entourée d'une palissade haute d'un mètre qui entoure toute la place. De l'autre côté de la palissade, les habitations commencent.
Des hurlements, des huées retentissent alors, des cris de rage, de détermination, de colère. Les gens lèvent les bras en hurlant de faire exécuter tout de suite maintenant le prisonnier, les visages se plissent sous la colère, les gens éructent d'abréger cette attente, cette mort qu'ils attendent depuis maintenant six mois.
Le prisonnier est installé devant la corde, juste devant, mais le Roi fait un signe aux gardes pour qu'ils ne mettent pas immédiatement la corde au cou du condamné.
Il se lève, se dressant dans toute sa splendeur, dans ses habits fortunés, et aussitôt les hurlements se taisent, et tous, le peuple d'Area tend l'oreille pour écouter ce que leur Roi a à leur dire.
Caleb se redresse, écarte les bras, et dicte d'une voix forte :

« - Mes confrères ! Si nous sommes tous réunit en ce beau jour c'est pour célébrer un événement de la plus haute importance, et que nous attendons tous avec impatience depuis maintenant six longs mois d'attente et de colère. »

Caleb fait une pause. Il sait que tous l'écoute, il connait ses talents d'orateur, il sait qu'il a capté les foules, et que les gens présents ici boivent ces parles comme un breuvage de haute qualité.

« - Mes amis, voilà bien longtemps que nous n'avons condamné à mort personne. Voilà bien longtemps qu'aucun être vivant ici, dans notre belle cité d'Area, n'a brutalement arrêté de vivre sur la potence. Les rares fois où cela s'est produit auparavant, c'était par tristesse, désespoir. Jamais par gaieté de cœur, nous l'entendons bien. Mais aujourd'hui, aujourd'hui est un jour nouveau. Aujourd'hui, nous allons condamner à la pendaison un homme qui ne mérite que ce châtiment, aujourd'hui va trouver la mort celui dont nous soupçonnons qu'il ait été à l'origine de cet attentat secret contre moi, votre nouveau Roi alors, il y a de cela une demi douzaine de mois. Aujourd'hui va trouver la mort celui qui a assassiné, de sang froid, sans état d'âme, celle qui a tout fait pour me sauver moi, mes confrères, mais aussi vous, vous peuple d'Area. Cette personne s'appelait Céleste Hunter. C'était une A dévouée, droite, juste, qui n'a cherché dans toute sa vie qu'une seule chose, combattre les injustices pour que la vérité règne. Céleste Hunter, âgée alors de 19 ans, s'est opposé à la volonté du condamné, et a tenté de nous sauver. Pour cela mes amis, elle a trouvé la mort. Et par conséquent, pour qu'il punisse de ses crimes et de son âme salie par le diable, je condamne en ce jour, par la présente, Clive Ravens de la Zone C à la mort par la pendaison. »

La fin de son discours se solde par un tonnerre d'applaudissement. Certaines personnes sont émues, et n'osent dirent mot, d'autres pleurent même en silence, pleurent Céleste, cette brave fille qui s'est sacrifiée pour eux et est partie trop tôt. Tandis que d'autres sont survoltés, brandissent points corps et âmes vers le haut pour accélérer les évènements, et que cet envoyé du diable périsse durement et lentement.
Caleb se tourne face à Clive, depuis son estrade.

« - Mettez la corde autour de son cou. »

Les deux gardes chargés de surveiller Clive s'approchent de lui. Celui ci ne bouge pas, il ne mime pas un geste, mais son affreux sourire en coin ne quitte pas une seconde son visage. Il semble fixer la foule, avec cet air de fou dans les yeux.
Le premier des deux gardes tend la corde, et la place autour du cou de Clive, qui lui est positionné exactement sur la planche coulissante.
Caleb se lève pour dire quelque chose, mais il est interrompu.

« - Dites les affreux, je peux dire un mot avant de crever ? »

Cette phrase, insolente et pleine de moquerie, vient de Clive qui fixe, amusé, le Roi Caleb.
Interloqué, celui ci ne répond pas, ainsi que la foule, ébahie.

« - Bien, merci de votre attention ! Continue Clive avec son petit sourire. Alors de un, j'aimerai bien savoir pourquoi on m'a condamné à la pendaison, et pas à une autre peine de mort, je ne sais pas moi un truc spécial C ? Genre me retrouver confronté à quelqu'un qui a le même pouvoir que moi pour me faire souffrir autant que j'ai fais souffrir Céleste ! Ça aurait pas été con de votre part ça ! »

Il a dit toute ces paroles en imitant une voix d'outre tombe, toutefois très moqueuse, et il finit par un petit rire.

« - Ensuite, je tiens à tous vous dire, et je dis bien à tous, surtout à vous votre méchanceté Caleb, que vous êtes des idiots. Et quand je dis des idiots c'est des idiots hein, des vrais, du genre les petits cons de F qui ne comprennent rien à rien. Oh non je ne me dis pas supérieur ! Même si cela est vrai bien sûr, je suis supérieur à vous puisque mon QI est certainement élevé au delà de 150. Alors que vous, il ne doit pas s'envoler au delà de 70... Et encore je suis bien gentil il faut l'avouer. Et vous savez quoi ? Au final je suis bien heureux de quitter cette cité pourrie ! Ma personne si intelligente ne mérite pas de vivre au milieu d'être si inférieurs à moi comme vous...
- Il suffit ! Hurle Caleb.
- C'est vrai quoi, je ne mérite pas ça... Moi, Clive Ravens, un être si intelligent, si beau et si drôle vivre au milieu d'êtres... si répugnants et idiots que vous ? Ah non pas question ! Vite abaissez ce levier je veux mourir ! Je ne mérite pas ça c'est un sacrilège !
- Il a raison ! Pas question qu'on supporte ses jérémiades plus longtemps ! Hurle quelqu'un dans la foule.
- Je suis d'accord avec toi mon bonhomme ! Crie Clive en souriant. Vite que cette corde se tende et que je rejoigne les Dieux, les seuls êtres méritants ma personne ! Abaissez cette planche bon Dieu ! »

Les foules ne comprennent pas. Ce fou veut mourir, contre toute attente. Il supplie même de le tuer, avec un sourire des plus déconcertants et une assurance hors du commun.
Mais d'où sort ce C complètement dément ?
Caleb, lui, est furieux. Il contemple cette potence où Clive attends, avec ce petit sourire provocateur qu'il ne supporte pas. Caleb allait hurler d'abaisser le levier qui enclencherait le mécanisme pour que la planche coulisse et laisse tomber Clive, quand un bruit sonore retentit alors, attirant le regard de tous sur leur gauche, à l'opposé de là où se tient Clive.
Trois coups sec se font entendre, et résonnent alors sur toute la place.

« - Eh ! Je suis là ! »

Cette voix, ils la connaissent tous. Ils lèvent les yeux vers le ciel, découvrent avec stupeur Léna Martin, perchée sur le toit du cinéma.

« - C'est bon vous me voyez tous ? »

La foule ne répond pas, ébahie, et personne ne regarde à ce moment là Clive.

« - Ok je crois que vous me voyez tous, fait Léna en souriant. Je sais que vous me reconnaissez tous, vous m'aimez vous m'adorez, machin et patati et patata et patatras. Mais j'ai une annonce à faire ! »

Sur ce, elle brandit les mains vers le ciel, et hurle :

« - Journée piscine !!! »

Une musique se déclenche alors, et retentit sur toute la place, tandis que des mains de Léna jaillissent des tonnes et des tonnes d'eau, qui se déversent par flots sur les gens.
Mais Caleb n'est pas dupe, il se tourne alors, dans les cris de surprise des gens, vers la potence.
Clive est toujours là, la corde encore au cou, mais un homme est avec lui, un homme dont il ne peut pas distinguer le visage, et qui est en train de se battre avec les gardes.

« - C'est une ruse ! Hurle Caleb. Une diversion ! Vite ! Abaissez le levier ! »

L'un des gardes, le premier, cherche alors le levier des yeux, mais l'homme face à lui l'en empêche, et lui assène un direct du droit. Le garde tombe, mais tombe sur le levier, celui ci est poussé, et alors enclenché.
La planche coulisse, la corde se tend sous le poids de Clive, et il tombe.
Au moment où il allait tomber pour de bon, l'homme avec lui sortit une épée longue de presque un mètre, et tranche la corde autour du coup de Clive. Celui ci s'écroula sur le sol, menottes aux poignets, et corde encore au cou.
Il se redresse tant bien que mal, ne pouvant pas se défaire de ses chaînes, tandis que Caleb hurle :

« - Il va s'échapper ! Rattrapez-le ! »

Clive sort de sous la potence au moment où des gardes arrivent de toutes parts, et il cherche des yeux une issue, tandis qu'une voix hurle :

« - Clive ! Tends tes poignets ! »

Il lève les yeux face à la voix, celle de Léna, et il voit alors avec un sourire la jeune fille s'élancer dans le vide, accrochée à une corde, et arriver à une vitesse vertigineuse sur lui. Un crochet est fixé sur une corde que la jolie rousse tend, et Clive comprend aussitôt son idée.
Il tend ses poignets menottés vers le haut, et les écarte au maximum, tandis que des gardes arrivent de toutes parts.
Il se retrouve très vite encerclé, Caleb s'époumone de rage, et hurle des ordres à qui mieux mieux.
Au moment où Clive allait se faire embrocher par la garde Royale, Léna fonce droit sur lui, tend son crochet lui même attaché à la corde, et il s'accroche aux menottes de Clive. Celui ci est emporté sous l'élan, et Léna et lui s'élancent au loin, en levant les jambes au dessus des gardes pour ne pas se faire attraper.

« - Ils vont s'échapper ! Bloquez la palissade ! S'époumone Caleb. »

Les gardes se précipitent vers l'endroit de la palissade que Léna et Clive s'apprêtent à survoler, et tendent leurs armes en piquets.

Au moment où les fugitifs s'apprêtent à passer, ils replient bien haut leurs jambes, et évitent de justesse de se faire embrocher.
Clive regarde derrière lui les gardes dépités, et en souriant de toutes ses dents, il tire la langue dans un sourire et brandit son majeur.

Léna crie :

« - Prépare-toi à sauter, je vais couper la corde pour atterrir au bon moment ! »

Clive se prépare mentalement, cela ne va pas être facile d'atterrir avec les poignets attachés.
Léna brandit une lame en l'air, sur la corde, et commence à cisailler les ficelles. Celles ci s'effilochent, et finissent par se briser.
Léna et Clive poussent un cri quand ils sont lâchés brusquement sur le sol, roulent, et Léna brandit ses mains pour s'arrêter juste avant de tomber dans l'océan.
Elle entend cependant un « spalsh » puissant, et quand elle lève les yeux, elle réalise que Clive vient de tomber dans la mer, poignets liés. Au lieu de mourir pendre, il va mourir noyé en ayant tenté de s'évader.
Lena plonge sous l'eau, pour découvrir quand elle ouvre les yeux avec un immense picotement Clive, se débattant avec ses menottes, et tenter de remonter à la surface sans y parvenir.
Elle le saisit par les aisselles, et le fait remonter en refoulant les brûlures qu'elle ressent dans ses voies respiratoires trop longtemps bloquée, et ses yeux agressés par le sel. Elle lutte pour tirer Clive vers la surface.
Elle finit par réussir, sortir de l'eau, et tirer Clive sur le sol.
Celui ci tousse et crache de l'eau, inspire un grand coup, et se tape le torse.
Il reprend son souffle, haletant.

Une fois qu'il a retrouvé une respiration plus normale, il se tourne face à Léna.

« - Merci ma vieille.
- Pas de quoi ! Te voilà libre !
- Génial ! Je vous revaudrai ça. »                 

Il accompagne ses paroles d'un clin d'œil, puis penche la tête en arrière, en fermant les yeux, savourant sa liberté.

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