Chapitre 13 : Audrey Fuka Julie
Audrey :
La chanson que Julie avait chantée était magnifique. Je me souvenais que Camille aimée, enfin adorée, cette chanson et son auteur. Nos téléphones étaient remplis de ses chansons. Je soupirai c'est vrai qu'elle me manquait... Mon père aussi... Seulement lui je ne pouvais pas l'appeler comme je voulais. Quoi, que je me présente ? Okay, euh... Alors je m'appelle Audrey Lemarse, j'ai dix-huit ans je sors d'un bac accélérer en sciences. J'ai trois petits frères et une petite sœur. Je les aime et se sont les personnes qui m'importe le plus avec les Tardos et mes amies. La sonnerie de mon téléphone me tira de mes pensées :
- Allo ?
- Audrey, dit la voix aigrie de ma mère. Tes frères et ta sœur veulent te parler.
J'entendis un mouvement et la voix de mes petits anges résonna dans mes oreilles.
- Audrey ? dit Max.
- Oui mon grands, ça va ? Elle ne vous a rien fais ? Vous mangez bien ?
- Non elle n'a pas levée la main sur nous mais tu nous manques, On bouffe des pâtes et elles sont raté les trois quart du temps, m'informa Boris le plus grands des quatre. Alie pleure quasiment tout le temps car tu n'es pas là ! On à un peu de mal avec Fred qui commence vraiment à bien marcher donc on doit planquer les objets... Mais ELLE oublie de ranger certain objets... Comme des cigarettes, briquets ou autres. Audrey, faut que tu rentres...
- Désolée Bobo, mais je ne peux pas. En partant, j'ai oublié mon pass pour rentrer dans la base... Mais je vous jure que je vais appeler papa et que je viendrai vous récupéré. Boris, prends soin de Seb, Fred et Alie ! Je vous aime mes petits anges, souvenez-vous en, sanglotai-je.
Je raccrochai et glissa contre le mur, mettant ma tête entres mes genoux essayant d'étouffer mes larmes. Des pas se firent entendre mais ils étaient assez éloignés. Enfin, c'est ce que je croyais jusqu'à ce qu'une voix me faisant sursauter :
- Audrey ? Ca ne va pas ?
- Oh Bill, c'est toi... soupirai-je. Non ne t'en fais pas... Tout va bien !
- Je sais que l'on ne se connait pas trop bien et que tu préférerais que se soit Fufu à ma place mais je suis là si tu veux parler, me dit-il en s'asseyant à mes coté.
Je reniflai et me tournai vers celui qui m'écoutai et lui lançai un regard tristounet.
- Mon père est militaire et il est déployé depuis maintenant quasiment un an. Donc normalement c'est ma mère qui s'occupe de nous. Malheureusement, elle... Elle préfère travaillé et allé trouver ses stupides amies ! Généralement, c'est moi qui m'occupe d'eux... Fred, Alie, Seb et Boris... Du plus petit au plus grand... Je ne peux même pas aller les chercher Bill, pleurai-je. Je sais qu'ils ne sont pas en sécurité... Fred commence à marcher et Alie n'a que quatre ans... Mais qu'est-ce qui va leur arriver... Je... Je me sens mal... De... De ne pas être avec eux...
- Oh, ma belle, murmura-t-il. Pourquoi tu ne nous en pas parlé ? On peut se battre avec toi et on pourrait les accueillir ici, ne crois-tu pas ? me souria-t-il.
Ce fut les paroles de trop. J'explosai en larmes en le remerciant milles fois mais je savais que si tout le monde n'acceptaient pas, nous seront obliger de partir. Je soupirai et Bill m'aida à me relever. Il m'aida à descendre et appela deux trois personnes. Fufu, Xari, Julie et Aze ; il leurs expliqua la situation et Fufu et Xari se regardèrent un peu géné.
- Bah... Enfaite... Je ne sais si certains seront d'accords... Enfin y a juste à demander a ceux qui crèche ici en permanence, les autres non rien à dire si ? hésita Xari.
- Oui mais le problème c'est que personne ne sait quand il est là, lui répondit Azenet.
Julie, qui s'était jusqu'alors tus, se levai et inspira un bon coup.
- Les gars, vous vous calmez ! Puis de toute façon, même si ça peut paraître cruel, mais ceci est notre propriété avec Aze et moi. Donc il suffit que nous soyons tous les deux d'accords et c'est réglé... Sinon... Je ne vois pas pourquoi nous nous considérons comme une famille si l'on rejette l'un de nous... murmura-t-elle.
Elle se retourna vers moi et me souris. Son sourire refléter sa tristesse et sa sagesse des épreuves passés. Son sourire ressemblait à celui de mon père.
- Bon, on va réfléchir et faire le tour des chambres, et toi jeune fille, tu vas me faire un plaisir d'aller appeler Camille ! Utilise le fixe ! rigola Julie.
Mes yeux s'écarquillèrent. Je savais qu'elle me ferait un coup comme ça. Mais je pris mon courage à deux mains. Je pris le fixe en main et composai le numéro de mon amie. Pendant que sa sonnait ma panique montait.
- Allo, qui êtes-vous ? me demanda Camille.
- Camille ? C'est Audrey... Je... Je dois te parler... Euh... Je... Ma mère m'as chassé de chez moi... Et... Je vis chez les Tardos... Et... Tu veux pas me rejoindre là-bas et prendre mes frères et sœur... Et Il faudrait que... Que je... Je te dise un truc...
- Attend Audrey, qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi... Pourquoi ta mère t'a chassé de chez toi ? Non, ne me dis pas que... Que tu lui as dis ? Audrey, tu devais attendre que ton père rentre ! Et tu es chez les Tardos ? Ca au moins c'est cool ! Tu es en sécurité ? Personnes ne t'a fais de mal ?
- Calme-toi Camille. Personnes ne m'as touché ni même parlé. Julie, la sœur d'Aze m'a accueillie mes bras ouverts. Camille, le souci... Le souci, c'est que mes petits anges sont coincés avec ma mère... Tu pourrais aller les chercher ? soupirai-je. Enfin, si tu peux, je veux pas empiété.
- Et chou, ne t'inquiète pas, ça ne me gênes pas ! ria-t-elle. Ils font partis de ma famille alors ça ne me gêne aucunement. Je te rappelle quand je les est.
Elle me raccrocha au nez, ne me laissant pas le temps de répliquer. J'éclatai de rire, réalisant ce qui venait de se passai. Mais je savais que se ne serai pas si simple. Heureusement la soirée était bien entamée donc ma mère serait au travail et c'est Josh qui sera de garde. Il savait se qui se passai donc il n'y aurait aucun souci. Mais je savais ce qui allait se déroulé par la suite. Je soupirai et allai retrouver Bill dans la cuisine. Il me regarda et me tendit un épluche-légume et me montra de sa main les pommes de terres à épluché.
- Pourquoi Bill ? C'est de la torture d'éplucher tout ça !
- Si nous accueillons tes petits frères et sœurs, ils vont certainement avoir faim, déclara mon homonyme. Et tout le monde aimes les frites ! Au faite, tout le monde est d'accords pour que les petits viennent. Ne t'en fait pas. On va prendre soin de vous cinq ma belle.
-Merci Bill ! Pour tout...
Fuka :
Je devenais fou. Je le savais, je ne réagissais pas comme d'habitude. Puis j'étais jaloux. En même temps, elle m'appartenait et il fallait tous les éloignés d'elle. J'attendais la réponse de Wollen qui ne tarda pas à arriver, m'indiquant un café en ville dans l'après-midi. Je pris en note l'adresse et allai voir Souls pour lui dire :
- Putain Souls ! Combien de fois il faudra que je te dise que je t'aime toi et pas Julie, pour que tu me croies ! cria Zera.
- Bah excuse-moi mais tu es tout le temps avec elle. On a plus l'impression que tues SON petit-ami que le mien ! Je pense qu'une pause est nécessaire. Donc lorsque tu auras réalisé de se qui est entrain de faire et que tu me perds, tu reviendras me voir. Sinon on s'arrête là.
Zera se retourna les joues baignaient de larmes et partis en courant dans le jardin. Souls se retourna et me vit, il essaya d'essuyer ses yeux embués.
- Excuse-moi d'avoir entendus votre dispute, essayai-je de le rassurer.
- C'est rien de toute façon je pense que tout le monde est au courant, soupira-t-il. Tu veux quelque chose ?
- Euh... Bah, Wollen m'as recontacté et ma donné rendez-vous dans l'après-midi en ville, je voulais savoir si tu voulais m'accompagner, histoire de te changer les idées ?
- Je veux bien mais on est le dix-sept Mai et aujourd'hui, y en a qui vont faire les courses. Au pire on peut se proposer de les faire ? Me proposa l'ananas.
Je lui répondis positivement et allai dans le salon m'asseoir aux coté de Pierre qui parlait avec Zera qui, lui, avait séché ses larmes. En me voyant Zera se jeta dans mes bras en me racontant ce qui venait de se passé. Je resserrai mes bras autour de lui et le berçai en souriant tristement.
- Zera, pourquoi tu ne vas pas le voir ? Je suis sur qu'il s'en veut. Tu sais que l'on ne pense pas toujours ce qu'on dit quand on est en colère, lui souriais-je. Va le voir, passe du temps avec lui, c'est vrai qu'on vous voit dissocié ces derniers temps.
- Mais... Et Julie ? S'inquiéta-t-il.
- Ne t'inquiète pas, Zera, on va prendre soin d'elle ! Intervenue Pierre.
Zera se retourna vers lui en le remerciant, me fis un bisou sur la joue et partis en directions de la chambre qu'il partageait avec son petit-ami. Pierre se tourna vers moi et quand je croisai son regards je frémis : ses yeux était dilaté et brillait à l'intérieur une lueur de haine pure. Sa mâchoires était contracté et ses phalanges devenait blanche à cause de ses poings trop serraient. Il s'avança vers moi d'un pas déterminée.
- Je sais que tu n'es pas étranger à tout ça. On sent tous ici qu'il y a un problème entre vous quatre alors Fuka tu va tout de suite calmer tes ardeurs !
- Écoute Pierre, je vais me répété mais je ne sais pas de quoi tu parles et puis, franchement, en quoi ça m'arrangerait de la faire souffrir ?
Pierre me foutu carrément son poing dans la figure. Il atterrit sur mon nez et je sentis un liquide tombait. OH LE CONNARD ! Je me précipitai dans la salle de bain et je vis du sang tombait de mes narines. Je soufflai, attrapai une serviette et la pressai contre mon nez. Quand je reviens dans ma chambre se cons n'était plus là. Treize heures approchées quand Souls et moi partîmes en ville retrouver George Wollen. Souls gigotait dans tout les sens, inquiet de la rencontre qu'on allait faire. On se gara et Souls m'indiqua le chemin jusqu'au resto. Arrivés là-bas, nous nous dirigeâmes vers l'accueil et demandai la table de Monsieur Wollen. La serveuse qui avait un sourire dragueur nous regarda d'un regard de terreur. Elle prit deux menus et nous emmena dans un salon à part. Un homme ayant la cinquantaine nous attendait.
-Mon-Monsieur Wo... Wollen... Voici... Voici vo-vos invité.... trembla-t-elle.
- Merci Cindy. Tu peux disposer, soupira George.
La serveuse partit, nous laissant les menus. George se retourna vers moi et me sourit. Il avait des cheveux blancs, de la barbe, des yeux vert persan. Un sourire malsain collé au visage. Il nous invita d'un geste de la main à nous asseoir.
- Monsieur Thomas, je suppose, me demanda-t-il. Qui est votre ami ?
- Souls, monsieur.
- Oh ne faîte pas d'histoire, appelé moi George et tutoyé-moi, sourit-il.
- Pourquoi sommes-nous là ? nous surpris Souls
- Car vous m'avez demandé de vous parlez de Julie. Je voulais vous parler d'elle et c'est plus naturel de s'adresser la parole autre que part des mails. Vous voulez parler de quoi en premier.
- Bah vous nous avez dit que... Que Julie était coupable de votre emprisonnement.
- Julie et moi nous connaissons depuis qu'elle a vécu chez des amis à moi. Elle m'a chauffé pendant pas mal d'année et quand je suis passé à l'action, elle a fait croire à tout le monde qu'elle n'était pas d'accords. Mais elle a apprécié. Vous direz ça à son copain : Julie adore quand on lui mort le lobe de l'oreille, nous dit-il avec un clin d'œil. Puis quand on a dévoilé ses magouilles avec mes avocats, elle a mentit à toute la presse en disant que je mentais. Depuis que je suis en taule, mes avocats se sont démenés pour m'en sortir. Vous saviez que Julie a une société ? Elle aurait aussi saboté la voiture de ses parents pour qu'ils meurent car ils allaient lui enlever leur héritage ? Ou qu'elle avait aidé des narcotrafiquants à faire entrer dans le pays ?
Nous le fixions avec intérêt et avec de la surprise. Notre entretien se poursuivie, nous apprenant divers choses sur notre amie, nous coupant parfois le souffle. Après deux bonnes heures à discuter, nous prîmes congé de George. Soupirant un coup et se regardant dans les yeux, nous décidions d'un coup de tête d'aller faire des emplettes et d'aller boire un coup. Arrivés dans une boutique de vêtement pour homme. Souls prit quelques affaires et se dirigea vers les cabines d'essayage. Ile n sortis avec plusieurs tenues à la suite.
- Bon Souls, que vas-tu faire avec Zera ? lui demandai-je.
- Je sais pas Fuka... C'est compliqué... Mais je pense que je vais lui demander certains trucs. Je commence à en avoir marre de les voir collés ensembles ! Alors il va devoir choisir... Et toi Fuka, avec Julie ? rigola-t-il.
- Avec Julie ? Bah... Euh... Je sais pas non plus... Je l'aime mais... Pas elle, elle aime surement ton copain ou un gars de sa fac. Ou ce James... Le plus dur est de la voir sans rien pouvoir faire. Souls, avant que je ne me mette à pleurer on ne pourra pas rentré ? On va aller parler avec Zera, okay ?
Il hocha la tête et on rentra. Pour une fois depuis longtemps, il n'y avait quasiment personnes, étant donné que tout le monde était partis au lac. Zera se trouvaient en salle informatique. Arrivé là bas on prit chacun une chaise et on s'assit à coté de lui, Souls le prit dans ses bras. Je posais une main sur son épaule alors qu'il laissait passer son regard sur nous. Souls coupa la musique qu'il écoutait :
- Zera il faut qu'on parle ? murmura Souls.
- Non... Je sais ce que tu va me demandé... soupira son amant.
- Zera, tu sais que sa ne va pas fonctionner sinon... Je regrette mais Il va falloir y passer.
Il me supplia du regard mais je restai impassible. Mes efforts allé payer.
- Zera, mon cœur, choisis. C'est soit elle, soit moi.
Julie :
Je savais que le manoir était mauvais pour moi et ceux que j'aimais : Zera était dans mes bras en larmes et une disputes venait d'éclaté entre mon frère et Pierre. Je soupirai, des perles d'eau salée naissaient. Mais je ne voulais pas les laissaient coulées. Hors de question que de les laisser tomber pour un truc stupide. Je soupirai, mit Zera dans sa chambre et me dirigea vers ma famille.
- PUTAIN MAIS JE TE DEMANDE PAS L FIN DU MONDE JUSTE DE PARLER DE NOUS PIERRE ! hurla mon frère. T'AS PEUR DE QUOI ?
- MAIS PUTAIN BAPTISTE ! TU COMPRENDS QUOI QUAND JE TE DIS QUE JE NE VEUX PAS QUE LES HATERS TE TOMBENT DESSUS ! REGARDES COMMENT CA C'EST FINIE POUR TA CHAÎNE !
- NE PRENDS PAS CA POUR EXCUSE ! MA CHAÎNE EST EN ARRET POUR UNE AUTRE HISTOIRE...
- Les gars... Stop...
- ...TU SAIS QUE JE N'AIME PLUS TOURNER SOLO ! ET PUIS LES HATERS ON S'EN FOUT !
- T'AS PAS DIS CA LA DERNIERE FOIS ! ET J'AI DU TE RAMMASSAIS A LA PETITE CUILLIERE ! PUIS CA NE LES REGARDES PAS, C'EST NOTRE VIE PRIVE ! P-R-I-V-E ! cria Pierre.
- STOP ! SA SUFFIT LES GARCONS ! (Ils se retournèrent vers moi). J'en ai marre de vous entendre vous disputez ! murmurai-je. Entre vous quatre, j'en ai ma claque ! Si vous n'êtes pas d'accords allés vous disputez dehors ! Et puis si vous n'y arrivé pas y en a un qui devrait aller se noyer au lac ! criai-je.
Ils me fixèrent longuement avant d'exploser de rire, à en tomber par terre. Je soupirai et quittai la pièce. En passant voir Zera, je le vis dans son lit, emmitouflé dans sa couverture. Je soufflai encore une fois. Pris d'un coup de tête, je pris les clé de ma voiture et partis en ville. Je mis mes écouteurs une fois arrivé là bas. Je me dirigeai vers la banque et demandai M. John.
- Julie, ravie de vous revoir, me souria-t-il.
- John, moi aussi, pouvons-nous aller dans votre bureau, j'aimerais vous parler des comptes de la société et de mon... héritage.
- Bien sûr, suivez-moi.
Il m'invita d'un geste de la main, à le suivre.
- Bien Julie, qu'est-ce qui t'amène ici ? Et pourquoi me parles-tu de ton héritage ? demanda-t-il.
- Car nous savons se qui va se passer. Wollen va sortir et cela va créer une vague de personnes qui va vouloir que je démissionne. J'ai nommé Aze pour prendre ma suite, lui n'ayant été en contact de scandales. Voilà pour répondre à ta première question. Puis il y quelques temps, j'ai remarqué qu'il y avait des irrégularités. Sur les comptes de la société. Je voudrais que tu me dises qui a fait ses transactions, soupirai-je.
- Attends je regarde... Euh, il semble que ces transactions est était effectués par... Marina Wollen.
Un choque. Voilà ce qui eu le don de me refroidir. Dix minutes plus tards, je me retrouvai dans un restaurant. Je commandai une bière, attendant que le temps passe. Puis une voix que je connaissais bien me tira de mes pensées. C'était celle de Fuka. ME retournant pour lui parler je le vis en... Bonne compagnies. George Wollen. Je ne savais pas comment réagir. Puis je partis en courant, rentrai à la maison et appelé Bri.
- Julie, ça va ? me dit mon meilleur ami.
- Non. Je... Je viens de voir... de voir Fuka avec... avec... avec... paniquai-je.
- Avec quoi louloutte ? Respire ma belle, ça va bien se passai et...
- Je l'ai vu avec Wollen.
Après mon annonce, un blanc se fit. J'entendais sa respiration s'accélérer. Il y eu du mouvement et la voix de Grim se fit entendre.
- Comment c'est possibles Julie ? Comment Fuka peut voir ce fils de pute ! cria-t-il. Je veux bien croire qu'il n'était pas là quand tout ceci c'est produit mais, d'après ce que ma dit Aze, il est courant que ce n'est pas un type qu'il faut voir !
- Je sais... Mais je ne sais pas... Comment lui dire ? (Des cris se firent t'entendre) Désolé Greg mais je dois te laisser, Pierre et Aze semble se disputer... Encore, soupirai-je.
Après l'avoir salué je descendis pour voir, qu'effectivement, notre nouveau couple se disputer. Pris d'un coup de folies, je pense, Aze leva sa main pour mettre une gifle à son petit-ami. Ne contrôlant pas mais mouvement je m'interposai entre eux et reçus la gifle à la place de mon beau-frère. Mon frère écarquilla ses petit yeux en me voyant et distingua la coupure qu'il venait de me faire. Alors qu'il s'approchait de moi, Pierre me tira en arrière ne voulant pas que mon siamois me touche. Il me prit par le poignet et m'emmenait en haut ans ma salle de bain et désinfecta ma blessure.
- Excuse-nous... de nous être disputé... encore... Mais ton frangin ne veut pas comprendre... Il ne peut plus comprendre... Les haters ont pris plus d'importance maintenant... Et... Il y a eu notre chanson... Celle que tu m'as chantée quand tu n'étais pas là... Et...
Vous l'ai-je dit, belle dame ?
Je suis tombé d'un seul coup sous le charme
Vous avez mis le bonheur en mon âme
Et mon cœur en émoi, et vous ?
Vous l'ai-je dit, cher ami ?
Vous réveillez une flamme endormie
Quand je voulais maîtriser l'incendie
De mon corps en émoi, et vous ?
Je savais ce que représentai ses mot. Car en se moment même je serrai contre moi un homme que je croyais ne pouvoir jamais pleurer. Mais je ne pouvais que le laisser se vider de toues cette oppression qu'il ressentait
Dès que je suis contre toi
L'interdit vole en éclat
Vole en éclat
Tant pis, soyons pour
Les maudits mots d'amour
Disons nous sans détour
Les mots mélos des beaux mélos
Tant pis, soyons fort
Les non-dits mis à mort
Pourvu qu'on ose encore
Les mots mélos des beaux mélos
S'il suffisait de mentir
Pour oublier ce qu'il ne faut pas dire
Toutes ces nuits passées à retenir
Son désir impromptu, et vous ?
Mes pensées se dirigèrent vers Fuka. Je ne comprenais pas pourquoi il avait vus cet homme monstrueux qui avait ruinait plusieurs familles.
S'il suffisait de souffrir
Pour épargner ceux que l'on va trahir
S'abandonner sans remord au plaisir
Défendu qui me tue, et vous ?
Mais dans l'ivresse de tes bras
Tout le reste vole en éclat
Vole en éclat
Les sanglots de Pierre se tarirent. Ses bras vinrent entourer ma taille et il se laissa bercer. Je chantais maintenant avec une voix brisée et je laissais ma main se balader dans son dos
Tant pis, soyons pour
Les maudits mots d'amour
Disons nous sans détour
Les mots mélos des beaux mélos
Tant pis, soyons fort
Les non-dits mis à mort
Pourvu qu'on ose encore
Les mots mélos des beaux mélos
Tant pis, soyons pour
Les maudits mots d'amour
Disons tout sans détour
Les mots mélos des beaux mélos
Vous disposez de mon sort
Ce n'est plus Dieu mais c'est vous que j'adore
Et je vous jure à la vie à la mort
De me perdre à ce jeu, et vous ?
Pierre dormait maintenant. Sa respiration était lente. Je soupirai et me levai prenant pierre en mode sanglier dans Astérix. Mais c'est qu'il est pas léger ce con ! En arrivant dans sa chambre, je vis Aze sur leur lit en positions fœtale, entrain de pleurer. En me voyant, il s'arrêta et viens m'aider à mettre son copain au lit. Il me fit un bisou et je repartis dans ma chambre. En passant devant la chambre de Zera, j'entendis Souls lui dirent :
- Zera, mon cœur, choisis. C'est soit elle, soit moi.
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Coucou mes loulous ! Comment allez-vous ? Excusez moi encore pour la semaine dernière... Sinon bah, quoi vous dire... La fiction est a plus de la moitié et les choses s'accélère. J'espère que ça vous plait toujours autant et... Et rien d'autre. Pour ma petite Mortezia666, sache que ton léortos est en réflexions dans ma tête si tu veux voir des truc spécifiques, indique le moi ;). Aller bye tout le monde.
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