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Chapitre 10 : Nems Grim Souls

N :

Retour 1 heure en arrière :

   - Aller Nems, ils ne seront rien ! Me supplia Bboy. S'teu plaît je veux dormir avec toi... Aller, me dit-il avec sa tête de chien battu.

   Ne pouvant pas résister à sa tête de chien battu, je ne pus que dire oui. Puis j'avais eu le droit à un suçon. Puis a un réveil plutôt... Costaud car Julie cira mon prénom :

   - Antoine, je sais que tu es dans la chambre à Bboy, mais s'il te plaît, va voir Julie... C'est maintenant que tu peux réparer tes erreur d'il y a quatre ans.

   - Vas y amour... Ramène la au pire... avait marmonné mon amant.

   Quand je suis arrivé sur place, Fuka avait déposé sa main sur son épaules, faisant crier Julie plus fort. Je dégageai sa main et la prit dans mes bras

   - Chut princesse. Chut. Calme-toi, je suis là, je suis là maintenant, je te lâche plus. Plus jamais, tu n'entends. Il ne te touchera plus. Ne t'inquiète pas. Je te protégerai, Nabiju. Je te protégerai. Nabiju, je te protégerai toute ma vie.

   On avait finit sur le canapế. Puis elle est venue nous rejoindre un peu plus tard. Elle est mignonne, mais me dire ça fit remonter ma culpabilité. Je l'ai tellement fait souffrir... Bboy me caresser le bras avec un sourire compatissant puis Julie se colla à moi.

   - Pleurs pas Nemsou... Faut pas pleurer... Sinon maman elle sera pas contente, et ils ne fâcheront encore... murmura-t-elle, exténué.

   - Oui Juju, t'inquiète pas. Fais dodo princesse. Ils n'en seront rien... Jamais...

   J'ensserai son corps frêle dans mes b ras et inspirai son odeur, j'embrassai Bboy et me couchai en me collant contre le mur. Ma nuit fut remplie de sublimes rêve. Je ne voulais plus me lever. Mais mon téléphone sonna en pleine nuit. Quand je regardai mon téléphone : 3 Heure.

   - Allo, répondis-je d'une voix explosé.

   - Oh, je te réveil fiston, me dis ma maman. Excuse-moi, rendors-toi...

   - Trop tard maman, attends juste deux minutes... Voilà c'est bon.

   - Excuse moi encore Antoine. Là ou nous sommes il est midi et sa faisait longtemps que je n'avais pas entendus ta voix. Comment vas-tu, mon chéri ?

   - Fatigué, mais bien et vous maman ? Comment allez-vous, vous êtes où, en ce moment ? L'interrogeai-je

   - Nous tout va bien, et on est Nouméa en Nouvelle-Calédonie. Sinon, mes anciens collège du barrot m'ont appelé, Antou... J'ai une mauvaise nouvelle... George Wollen va demandai sa libération pour bonne conduite... m'annonça-telle tristement.

   - Ah, ok. Je comprends mieux pourquoi Julie a fait un cauchemars... Mais c'est pas vrai ! Ce truc qui décide de notre vie peut pas la laisser tranquille! Ça va aller jusqu'où comme ça ?

   - Je ne sais pas... Je t'appelai seulement pour te prévenir. Prend soin d'elle Fiston, ne recommence pas tes conneries ! Me dit-elle avant de raccrocher.

   Je soupirai, c'est vrai que ne pas l'avoir crût dès le départ... C'est ma meilleure amie et elle ne m'as pas laissé tomber avec James quand ils ont sût pour mon homosexualité. Dire que James est mort... On ne pouvait pas tomber pire... Comment va sa famille ? Et que faire... C'est lui qui a soutenue Juju dans toute cette affaire... Et ce connard va sortir, elle ne m'as absolument rien dit... Bahen même temps tu l'as pas crûs la dernière fois ! Ta gueule conscience ! Même si tu as raison... Deux bras m'enlacèrent et la tête de Bboy apparut dans mon champ de vision. Il me retourna pour me placer sur son torse, le temps que mes larmes se calment. Il me frotta le dos.

   - Antoine... Ne te mets pas dans tout des états pareils... Tout va bien, je sais que c'est dur mais tout ira mieux, me murmura-t-il.

   - Oh mon dieu Bboy... Comment j'ai fais pour être aveugle? Je lui ai tourné le dos comme un mal-propre... J'ai été horrible...

   Il tentait en vain de me consoler et de me rassurer mais je me dégoûter trop à se moment précis... J'entendais encore ses pleurs résonné dans ma tête.

   Deux petites mains se saisirent des miennes avant de m'entraînais au loin. Cette petite fille ne me disait rien mais son sourire me réchauffai instantanément le cœur, puis j'entendis les paroles sur lesquels j'avais embrassé Bboyi pour la première fois. Je n'ai as grands chose à te dire e pas grands chose pour te faire rire, ce passage nous avait beaucoup fait rire, car tardos comme j'étais, je faisais des conneries des que c'était possible. Car j'imagine toujours le pire et le meilleur me fait souffrir, cette partie nous concerné tous les deux, je pensais toujours à ce qui pourrait arrivé et Bboy a toujours, ou quasiment, souffert de se qu'il aimé.

   - Papa...

   Ce mot me réveilla immédiatement. Seulement j'emmenais avec moi deux autre personnes : Julie et Quentin, qui dormait sur mon torse. Ils se regardèrent, surpris, puis se tournèrent vers mi, blasé, avant de se recouchai. Je me levai, ne comprenant pas se qui venait de se passer. Ce qui me fit entrer dans Bill. Il me demanda si je voulais bien allé manger avec lui, ce que j'acceptai directement.

   - Bon, dis-moi tout Nems ? Qu'est ce qui t'as mis dans cette état de niaiserie ? Rigola mon ami.

   - J'ai fait un étrange rêve, une fillette me prenait la main et j'entendais notre chanson... Mais à la fin la petite fille m'as dis un truc qui m'as choqué... Elle m'a appelé Papa... Tu crois que...

   - Qu'un jours, vous serez père avec Bboy ? Oui car vous êtes géniaux !

   - Merci... Attend, quoi ?!

   - Sérieux les gars, le manoir, c'est pire que les magazines people des qu'un truc se passe, tout le monde est au courant ! Donc oui, on sait que vous êtes plus au moins, me souria Bill.

   Je lui rendis son sourire et remontai cherchait mon pull. Bboy et Juju s'était rendormis dans les bras l'un de l'autre. Pour une fois, je souriais vraiment.

Grim :

   Tout devenait horrible. Devoir le regarder et de ne pas être avec lui, dans ses bras et surtout de ne pas pouvoir l'embrasser. Je sais qu'il aime Julie, ça se voit : il accoure des qu'elle a besoin, il l'écoute... Mais je ne suis pas fâché ! C'est vrai elle est jolie on ne va pas se le cacher. Mais elle n'est pas moi... Il ne me destinera jamais ses rires et ses lèvres. Mes vieux démons me rattrapé encore une fois. Je fixai une vielle amie avant de m'en saisir. La lame me provoqua quelques frissons mais ma peau se réchauffa lorsque mon sang perla suite à la coupure. Quatorze. Je me suite fait quatorze coupures ; je m'apprêtais à en faire une quinzième lorsque Fufu débarqua dan la chambre. Je me dépêchai de cacher mon bras.

   - Grim, j'ai besoin de te par... commença-t-il. Grim, ça va ?

   - Oui pourquoi tu me demandes ça ?

   - Tu es blanc et... Grim tu cache quoi dans ton dos ?

   - Ri-rien, paniquai-je.

   Il s'approcha de moi le regard suspect. Il répéta mon prénom plusieurs fois, comme s'il répétait une prière. Je voyais dans ses yeux de l'espoir et aussi de l'inquiétude. Fufu s'arrêta à quelque pas de moi avant de se baissé à mon niveaux.

   - Mickaël, montre-moi ton bras. S'il te plaît, me demanda-t-il.

   - Non, gémis-je.

   - Pourquoi, Grim ? Qu'est-ce qui se passe ?

   - Je crois... Je crois que... Que j'ai fais une bêtise... Une grosse bêtise ; tu vas me fâcher et Grégoire ne voudra plus jamais me parler, pleurai-je.

   Fufu franchit le mètre qui nous séparé, il me saisit doucement le bras droit, celui dans mon dos ; rien quand posant sa main sur mon bras, il savait. Je le savais à son regard apeuré. Il m'arracha un gémissement en me retournant ma droite. Il ne put pas s'empêché de lâchai un cri.

   - Grim ! Non... Pas toi... Pourquoi, petit prince ? me supplia Fufu. Tu ne peux pas... Aller viens, on va te soigner... soupira-t-il.

   En traversant le couloir, je voyais les pieds de mes amis. Mes larmes coulèrent ; je les entendais murmurer. Fufu m'emmena jusqu'à la salle de bain commune. Il me fit m'assoir sur le tabouret et commença à chercher la trousse de premier secours. Une fois trouvée, Dark sortit de l'alcool 90° et des cotons. Je grimaçais quand le coton rentra en contact avec ma peau. La brûlure se propagea lentement me piquant jusqu'à se que je supplie DarkFunéral d'arrêté. Ce feu me donnait envie de pleurer. Les larmes commencèrent à coulait quand du bruit se fit entendre.

   - Excusé-moi... Pardon... Grim ! Oh mon dieu... dit-il. Je... Je suis... Je suis désolé Grim, me répéta-t-il.

   Il se précipita à mes genoux et attrapa ma main gauche. Je le fixai vaguement sans comprendre ; je me concentré sur la douleur qui me tirai de temps à autre des gémissements de douleur. Une fois terminé, Fufu me banda le bras. Brioche et lui parlèrent un peu avant que Bri m'emmena dans notre chambre :

   - Micka ? Pourquoi ? Pourquoi tu as fais ça ? Je croyais que tu avais arrêté ! Ne reco...

   - Je t'aime.

   Je lui avais dit ça comme ça, sans peur.

   - Je t'aime mais je sais que tu m'aimeras jamais, car t'es hétéro et que tu aimes Julie, pleurai-je. Donc je vais partir de l'apparte...

   Il me fit taire d'une manière assez étonnante. Il m'embrassa. Il ouvrit la bouche et me regarda hébété. Mes yeux se remplir encore une fois de larmes. Il se jouait de mes sentiments ! Je me levai précipitamment et alla m'enfermer dans notre salle de bain. Je me regardai dans le miroir. Mon propre reflet me dégoutait. Je vis mon reflet se fissuré, ma main me lançais et en sang. Je rentrai dans la douche et fis coulait de l'eau froide sur mon corps tremblant. J'étais dans mon monde, vraiment loin de tous ces problèmes. Je m'assis en boule sous les jets d'eau. Il me semblait entendre des battements à la porte, mais lointain, très lointain. Mes yeux se fermèrent d'eux-mêmes. Ce qui me réveillai, c'étais deux bras qui me frictionnai les bras en faisant attention a mes coupures.

   - T'es vraiment con... Tu es allés jusqu'à te rendre malade car tu as crûs que je ne t'aimais pas ? Grim, pourquoi tu n'as pas attendus que je te réponde ? Tu m'as fais peur débile, pleurais Grégoire. Je t'aime Mickaël. Je t'aime de tout mon cœur. Ne refais pus jamais ça. Je t'en supplie.

   Je ne lui répondis pas ; je le serrai juste plus fort dans mes bras. ? Mais évidemment tout ça était trop beau, faut que quelque chose se passe... ATCHOUM. Je mis plein de morveux partout. On se regarda avec Brioche et on éclata de rire. Je me levai pour attrapé un mouchoir, m'essuyai le visage et me mouchai. Il me saisit le bras et me fis basculait sur le lit, lui à califourchon sur moi. Il avança sa tête vers la miennes et nous plongea dans un tendre baiser qui firent s'envoler des papillons dans mon ventre.

   - Hey les gars, vous venez mangéééé... nous demanda Julie. Oups... Désolée de vous avoir... Avoir dérangée.

   - T'inquiète pas princesse, tu ne nous déranges pas, rigolai-je.

   - Ca va Grim ? me demanda Julie timidement.

   - Ca ira mieux, princesse des que j'aurai mangé et que j'aurai eu mon câlin. Aller viens mon bébé, viens voir papa Grim et papa Brioche.

- Okay ! cria-t-elle. Attends Papa Brioche ? OH PUTAIN C'EST TROP BIEN ! VOUS ÊTES ENSEMBLE ! AHHHHHHHHHHH ! hurla-t-elle.

   Après un énorme câlin entre nous trois, Julie nous emmena à table, ou tout les Tardos nous attendais en riant de tout leur cœur. Fufu me regarda en applaudissant. Plus tards dans la soirée, je me présentai à Audrey, une jeune fille arrivée hier. Quand il fut leur d'aller dormir Brioche traina les pieds, mécontent, mais une fois dans notre lit s'endormis comme une pierre. Je me glissai contre lui et détaillai son visage je déposai mes lèvres sur les siennes et plongeai dans un sommeil paisible.

Souls :

   Elle m'énerve ! C'est pas parce qu'elle ne va pas bien qu'il faut qu'elle me pique mon copain ! Regardez-la lui faire ses yeux doux ! Franchement, je me demande si Julie n'aimerait pas Zera... Car chaque fois qu'il lui a dit un truc, elle rougissait ou partait... ca se trouve Zera l'aime aussi... Il ne m'aimerait donc pas ? Et du con, tu sais bien qu'il t'aime ! Pourquoi tu doute débiles ? Ma consciente est de retour. Bah oui, car sans moi tu fais que des conneries ! La preuve ! Roh, c'est bon... Ils ont passés toute la journée ensemble, je voudrais bien profiter de mon copain ! Je boudais sur mon téléphone quand deux mains se placèrent sur mes yeux :

   - C'est qui ? me susurra mon amant.

   - Je sais que c'est toi Zera, répondis-je froidement.

   - Qu'est ce qui se passe Chéri ?

   - Bah je suis content que tu rendes compte de mon existence ! Rien de plus rien de moins.

   - T'es fâché ? me demanda Adrien.

   - Oui. Je voudrais passer du temps avec mon petit-ami, mais lui semble plus intéressai par sa meilleure amie ! soupirai-je, énervé.

   - Tu... Serais-tu jaloux Souls ?

   -Non j'en ai juste marre que tu passe tout ton temps avec Julie et pas avec moi ! Tu veux quelque chose en particuliers ?

   - Ah... Euh... Je voulais savoir si tu... si ça ne te dérangeais pas si j'allais dormir avec Julie ?

   Je vis rouge. Je me concentrai pour juste hochais la tête et ne pas m'énervé. Je nous voyais déjà rompre et les voir heureux. Tous les jours de l'année. Et souffrir, souffrir encore et encore. Je montai dans ma chambre pour prendre un plaide. Je tombai sur une photo de Zera et moi.

*Flash-back*

   - Allez Souls, viens cuisiner avec moi ! me supplia-t-il.

   - No ! Je suis trop mauvais Zera. Puis j'ai pas envie, je veux rester dans le lit, lui rétorquai-je.

   Il se mit à boudé.

   - Zera, mon cœur...

   -...

   - Adrien, tu vas pas bouder, si ?

   - ...

   - Bon Ok, on va aller faire tes cookies.

*Fin Flash-back*

   On s'était mis à faire une bataille de nourriture en attendant que les cookies cuisent. Et Julie en avais profité pour nous prendre en photo. Je souris à la vue de cette photo. En redescendant, je vis tout le monde assis. Julie, chantait toute seule se soir. Elle démarra la musique ; Zera saisit ma main.

Graver l'écorce
Jusqu'à saigner
Clouer les portes
S'emprisonner

Vivre des songes
À trop veiller
Prier des ombres
Et tant marcher

   Zera me regardait dans les yeux pendant que Julie chantait. Les larmes débordaient de ses jolis yeux. Mes mains s'activèrent à les faire disparaitre. Mais je ne pouvais pas l'embrasser

J'ai beau me dire
Qu'il faut du temps
J'ai beau l'écrire
Si noir sur blanc

Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi

   Il se mordait la lèvre signe, qu'il était très mal. Il vient se blottir contre moi. Je sentais

Passent les jours
Vides sillons
Dans la raison
Mais sans amour

Passe ma chance
Tournent les vents
Reste l'absence
Obstinément

Cette partie me fit monter les larmes aux yeux. Je l'aimais mais...

J'ai beau me dire
Que c'est comme ça
Que sans vieillir
On n'oublie pas

Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi

Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi

   Il murmurait cela dans mon oreille sans cesse comme une prière. Mon cœur se fissura un peu

Y'a pas de haine
Y'a pas de roi
Ni dieu ni chaîne
Qu'on ne combat

Mais que faut-il
Quelle puissance
Quelle arme brise
L'indifférence

   Julie versa deux trois larmes, qu'elle essuya rapidement

Oh c'est pas juste
C'est mal écrit
Comme une injure
Plus qu'un mépris

   Sa voix fléchis sur ses paroles et les larmes de mon amour redoublèrent. Je ne pus résister plus longtemps : je l'embrassai.

Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi

Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi.

Et pas toi
Et pas toi
Yeah

Et pas toi
Et pas toi
Et pas toi
Et pas toi

   - Excuse-moi mon amour, je t'aime de tout mon cœur. Pardonne-moi... Je voulais ne pas te blesser... Excuse-moi, me suppliai Adrien.

   - C'est rien, c'est rien... le consolai-je.

   Le lendemain, Fuka me coinça dans la cuisine pour me parler.

   - Dis Souls, ton copain il a quoi pour tourner autour de Julie ? Il est en manque ou quoi, m'agressa-t-il.

   - Oh, tu te calmes ! Et puis mon copain est gay donc pas attirer par Julie ! Redescend sur Terre Thomas ! Alors qu'est-ce qui se passe ? le calmai-je.

   - {...} (Nda : Et oui, vu que je suis sadique et que les mots échangé dans cette conversation pourrait peut-être bien concerner un 2° tomes, chut ;))

   Je regardai mon ami étrangement. C'est vrai que tout ceci est étrange... Mais on risque de blesser de nombreuses personnes... J'avais peur de que tout cela dégénère, je ne voulais blesser personnes... Mais ils ne me laissaient pas le choix. Je les regardai dans le salon entrain de préparé je ne sais quoi. Je courus dehors et j'hurlai en silence. Je me jure que je me vengerai.

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Yoooo tout le monde, comment ça va ? Tout d'abord... DESOLEEEEEEEEEEEEEEEEE de pas avoir publié la semaine dernière maissssss y a trop de devoirs de chose privée qui font que j'ai pas eu le temps. Deuxièmement, la partie de Souls, la TROISIEME, ne me plait pas trop. puis pour finir, une absence se fait sentir... Oui je parle de PommeDap qui n'apparait plus dans mon file d'actualité. Reviens petite Pomme d'amour :(.

Sinon je vous aime toujours mais nems :)

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