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Chapitre 2

2 ans plus tard

   Cela fait maintenant trois jours que j'ai 17 ans, et rien ne se passe. Je n'ai aucun pouvoir qui se manifeste et le coffre est toujours fermé.
   Je m'enuis de plus en plus. Je n'ai aucune nouvelles de Maikan et Yloann et moi ne nous parlons plus aussi souvent. Leana est toujours insupportable, tout comme ma belle-mère, et mes cours de discipline sont énervants. Le cauchemar!  J'ai l'impression que je ne décide plus de rien, que ma vie est contrôlée par des personnes que je ne connait même pas.
Ahaaaaahh
Kiaaara
- Quoi?! Qui est là ?
- Ouvre moi.
  J'ouvre de grands yeux. Mais bien sûr !
  Je me lève de mon lit est cours jusqu'au coffre de ma mère.
- Ouvre moi!
   Mes mains tremblent. Je saisis la petite poignée, la tourne, et.....soulève le couvercle.
- Il s'est enfin ouvert!
   Un bruit se fait entendre dans le couloir. Merde! Je peux pas parler moins fort.
   Après être sur que personne ne m'écoute ou est devant ma porte  je retourne vers le coffre. Je.....une lumière en jailli. Une lumière éclatante, doré.
- Mais, qu'est-ce que....?!
  La lumière se tarit un peu et laisse place à une.....statue, mais pas une statue de marbre ou de pierre, non, une statue de lumière bleu.
    C'est une femme avec de long cheveux lisse. Je ne la connais pas du tout.
- Kiara, tu as maintenant 17 ans et tu es en âge de découvrir ton avenir et de savoir la vérité sur ton passé. Ta destinée t'attends, pour pouvoir l'accomplir tu dois libérer tes pouvoirs. Mais je suis dans le regret de te dire que tu ne pourra jamais le faire ici, alors tu dois partir à la recherche tu Grand Maître. Vas dans les montagnes, trouve le, tel es  ton destin.
  La vérité t'attend Kiara. Que les Dieux t'accompagnent.
- Non attendez, que voulez-vous dire ?!
   La femme disparaît, tout comme le coffre qui se transforme en poussière.
  Non! Je veux qu'elle revienne, qu'elle m'explique d'autres choses, mais je me heurte à un grand vide et je suppose que la seule chose que j'ai fais s'est rameuter tout le château.
   Je laisse les larmes couler sur mes joues. Je savais que des choses n'allaient pas me plaire mais je m'attendais à tout sauf à ça. Partir, quitter ce château où je suis née et où j'ai toujours grandi.
  Mais...même si cela me fais de la peine, j'ai confiance en ma mère.

                *    *
                   *
Yloann me dévisage depuis au moins dix minutes. Il me regarde comme si j'étais monstre, en même temps je n'ai pas vraiment bonne mine, c’est sûr je n’ai pas dormi de la nuit, c’est ce soir que je dois quitter le palais, surement pour toujours, alors je ne reverrais pas Ylolann, normal que je sois stressée.
- Kiara, tu es sûr que tu vas bien ? Me demande-t ’il.
- Oui ne t’inquiète pas Yloann, je lui réponds.
- Bon ben si tu le dis.
  En réalité Yloann avait raison je ne suis pas bien du tout, rien qu’à l’idée que je dois quitter ma famille me rends nerveuse, je ne peux pas disparaître comme ça comme ma mère, père va être tellement triste et le pire dans tout ça c’est que personne ne pourra reprendre le trône tant qu’ils ne m’auront pas retrouvé vivante ou morte, car mon père refuse qu’une autre personne que moi monte sur le trône.
- Mais pourquoi pleure-tu Kiara ?
    Je me rends compte seulement maintenant que je suis entrain de pleurer.
   Je sèche vite mes larmes du revers de la main.
- Rien, rien, c’est juste que tu vas me manquer.
- Pourquoi? Je ne pars pas.
  Pendant quelques instants j’hésite à lui dire, mais je réponds :
- Viens dans ma chambre vers 18 heure comme ça je t’expliquerais tout, d’accords?
- D’accords.
- Oh tellement mignon, la petite Kiara fait une dépression à cause de ses cours de discipline, me lance Léana avec un air de défis.
- Tais-toi Léana, réplique Ylollan.

                *    *
                   *

Pour moi la seule façon pour que l’on me laisse tranquille c’est de m’enfermer dans ma chambre, mais une chose à laquelle je n’ai pas pensée c’est que Hélène est la seule personne à avoir un double des clés de ma chambre alors cela ne m'étonne même qu’après trois heures à pleurer dans ma chambre, elle ouvre la porte en grand, juste avant de la refermée à nouveau, à clés.
  Hélène s’approche de moi et me prend dans ses bras.
Après la disparition de ma mère, Hélène n’a pas été seulement ma gouvernante mais aussi ma mère adoptive, on peut dire ça, car elle a toujours été là pour moi et m’a toujours soutenu, c’est d’ailleurs, avec Iollan et Maïkan, la seule personne qui me comprends vraiment.
- Alors mon poussin, qui a t’il?
  Elle réussit à m’arracher un sourire.
- Arrête tu sais très bien que je n’aime pas quand tu m’appelle comme ça.
- Bon tu me dis ce qu’il y a.
  J’attends quelques minutes et me jette à l’eau.
- Je dois partir.
Elle ne paraît pas choquée du tout.
- Tu as trouvé la lettre de ta mère je suppose.
  Je suis plus qu’étonné.
- Tu te demandes comment je le sais, mais je ne peux rien dire, je l’ai promis. Bon il faut que je te laisse, et rappelle-toi que la porte de la réserve n’est ouverte qu’à 20h.
  Et elle part en me laissant seule à nouveau, mais je sais que j’ai son soutient, quoi qu’il arrive.

                *    *
                   *

- Donc, si je comprends bien, tu as des pouvoirs et tu dois partir, ce soir ?
- Oui Yloann c’est ça et je sais que c’est la bonne décision mais rien que de penser que je ne te reverrais jamais me brise le cœur.
    Je baisse les yeux, n'osant pas lui montrer mon visage noyé de larmes.
- Ne tant fait pas si j’ai aussi bien compris tu vas revenir.
- Oui mais je ne sais pas quand.
  Il me passe une main chaleureuse dans le dos.
   Il me rassure du mieux qu’il peut. Il est vraiment incroyable, comment on ne peut pas l'aimer. Je ne sais pas ce que je ferais sans mon frère.
- Je suis désolé mais je dois partir, désolé...
- Non ne t'excuse pas, ne vas pas t'attirer d'ennuis.
  Je lui souris, et au moment où il me dit en revoir je pleure toutes les larmes de mon corps mais je sais que de toute façon ce ne sera pas ma dernière peine.

               *    *
                  *

   19h38, à chaque minute le stress revient et à chaque heure les larmes coulent, dans même pas 30 minutes je serai parti et personne ne pourra plus m’aider. Je ne peux pas arrêter de penser que je n’ai que 17 ans, et le fait d’abandonner le royaume et ma famille, me rend plus triste que je ne l’ai jamais été mais je sais que de doute façon je serais partis un jour où l’autre car les cours de discipline m’énervent très vite

               *    *
                  *
  Plus qu'une minute, je ne peux partir qu’à 20h parce que les gardes ne surveillent pas la porte de derrière à cette heure-là.
20h! Voilà, c’est bon,  maintenant je dois me dépêcher si je ne veux pas me faire prendre. Je rassemble mes affaires allume ma lampe et sors de ma chambre.
  Je me dépêche de descendre les escaliers et cour jusqu’à la porte de la réserve.
Mes mains tremblent mais je rassemble mon courage et ouvre la porte.
   Le vent glacé de la nuit me fouette le visage.
Une fois dehors je prends soins de ne pas faire de bruit déverrouille le portail et une fois que je quitte le village, je cour vers les montagnes, plus libéré que jamais.

               *    *
                  *

   Je ne me suis jamais sentis à ma place au palais et j’ai toujours su que je n’étais pas faite pour être reine. Toute ma vie je me suis battu pour que je me fasse respecter par ma belle-mère et par Léana, j’ai tout fait pour que mon père soit fier mais se n’était jamais assez bien, enfaîte toute mon enfance j’ai joué un rôle.
  Cela fait maintenant quelques jours que je suis partie et je crois que je ne me suis jamais sentie aussi heureuse.  Sentir le vent frais toute la journée, voire les animaux se balader et enfin être libre, c’est la première fois que j’ai un sentiment de liberté en moi, que je me sens moi-même. On ne m’a rien imposer je suis partie de mon plein gré, bon d'accord un être invisible m’a dit que je devais partir mais je n’étais pas obligé de l’écouter, je pouvais très bien rester au chaud dans mon palais avec ma « famille ».
   Mais contre toute attente je préfére être dans les bois et mener cette sorte de vie clandestine, en plus vous êtes là pour m’écouter.

3 semaines plus tard

Je m’habitue très vite à la vie sauvage et je ne sais pas pourquoi mais je crois que mes pouvoirs commencent à se manifester.  Je peux parler aux animaux, contrôler l’eau et le temps qu’il fait. Après ce n'est pas parce qu'ils se sont manifesté que j'arrive à les contrôler. Je me souviendrais toujours du jour où je voulais un peu de soleil et que j'ai malheureusement fais tomber de la pluie.
 
     Je suis toujours à la recherche du Grand Maître et je me demande ce que ma disparition à fait à mon père et le choque de ma belle-mère en apprenant que temps que personne ne m’a retrouvé personne ne peut reprendre le trône.
Bien sûr Yloann me manque terriblement mais je m’encourage en me disant que de toute façon je vais le revoir un jour.

Yloann

Au palais toute la panique est à son comble, tout le monde se rappelle la disparition de la reine alors la disparition de Kiara a fait un choque et ils se disent que la famille royal et maudit ou quelque chose dans le genre. Je suis le seul à savoir pourquoi Kiara est partit. Je ne suis pas sûr que cela va m'attirer d'ennuis, personne ne se doute que je suis au courant de la raison pour laquelle Kiara a fuguer, oui on peu dire qu'elle a fuguer,   mais je me dis que de toute façon elle est partit pour une bonne cause.

Kiara

Un bruit me réveille, mais je ne sais pas pourquoi mais je suis sûr que ce n’est pas un danger. Je me lève en fronçant les sourcils, et m’avance doucement.
   J’écarquille les yeux quand je vois une magnifique jument qui broute tranquillement. Elle a une robe noire mais avec des ailes et une corne couleur mis bleu turquoise mis couleur perle, ses crins sont gris et son pelage a des taches grises pommelés. Décidément je ne serais jamais au bout de mes surprises.

J’ai l’habitude des chevaux, je passais mon temps à m'occuper de ceux du palais quand j'étais encore à Neyvalla, mais là quand l’aube se lève le pelage de Perle (Oui bien sûr je l’ai appelé Perle) change de couleur il devient blanc neige, ses crins plus gris, sa corne dorée et tout le reste devint mis argentée mis or. Ce changement est plus qu’un choque pour moi mais la voix que j’entends dans ma tête l’est encore plus, surtout quand j’en comprends les paroles :
  -  Bonjour Kiara, si je ne me trompe pas tu m’as appelé Perle c’est ça.
- Qui…. Êtes v…Vous ?
- Je suis la jument que tu vois.
 - Okay, tout va bien, une licorne qui parle.
  

   Après quelque heure échanger avec Perle, elle m'a expliqué qu'elle était en quelques sorte mon alter-ego animal, nous sommes liés par un lien. Nous pouvons communiquer par la pensée et elle peut ressentir mes émotions. Et surtout elle peut volé.
    Après de longue conversation nous décidons de reprendre la route et l'avantage maintenant c’est que moi je n'ai plus besoin de marcher.

Yloann

- Ylollan tu es sûr que tu ne sais pas où est partit Kiara?
- Non mère je vous l’ai déjà dit.
- Pourtant selon Léana tu es le dernier à l’avoir vu.
- Léana invente tout et n’importe quoi pour que l’on rejette toujours la faute sur moi.
    Mon superpouvoir  à moi c’est que je sais super bien mentir comme ça je suis sûr que je ne vais pas faire de gaffe et à mon avis c’est pour ça que Kiara m’a confié son secret.

Kiara

  Je me demande vraiment où il habite ce Grand Maître mais selon le message j’aurais un signe pour me dire que je l’ai trouvé.

- Kiara, Kiara, Kiara.
  Je me réveille en sursaut.
- Kiara, Kiara.

- Ou...ii...Oui, qui êtes vous
- Je suis celui que tu cherches depuis longtemps.
- Le Grand Maître !
- Oui c’est cela et je suis ravi que Perle t'ait amené jusqu’ici.
  Je regarde Perle, elle n’a pas du tout l'air d’être apeuré.
- Viens approche mon enfant.
   J’approche doucement en suivant la petite lumière qui me guide et arrive ensuite dans une petite clairière éclairée par le claire de lune.
Et ce que j’aperçois me trouble encore plus : assis sur un banc il n’y a non pas un vieux papy qui ressemble aux sages qu'on trouve dans les livres, non, à la place il y a une ravissante jeune fille aux cheveux couleur de l’océan, et des oreilles pointu qui ressemble plus aux elfes qu’aux humains. Elle se lève et se rapproche de moi, j’ai un mouvement de recule mais elle me prend les mains et me dit :
- Ma chérie que suis contente de te revoir, tu as tellement grandi.  Sache que je suis désolé.
- Comment ça ?
- Tu ne me reconnaît pas parce que je suis sous ma véritable forme mais si je change en te disant mon nom tu te souviendras de moi.
  Un tourbillon de lumière blanche l’enveloppe et elle change : ses cheveux sont maintenant roux comme les miens et tout le reste me ressemble mais jamais je ne pourrais oublier ce visage car s’est celui de ma mère......Isira.

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