Marianne
Hey, avant de commencer si la description est trop longue vous pouvez la zapper, de toute façon le personnage va se dévoiler tout au long de l'histoire et vous en apprendrez plus sur lui.
P.S. Marianne est en média, vu qu'elle est inspirée de moi vous verrez pas son visage désolé 😬
- Marianne ? Tu peux garder les petits le temps que la baby-sitter arrive ?
- Oui maman. J'en profiterai pour réfléchir à ce que je vais mettre dans mon devoir de français.
- parfait !À ce soir !
- À ce soir maman ! Répondent en cœur quatre enfants.
Les temps sont particulier : tout le monde est confiné chez soi à cause d'une pandémie. Mais les parents de la famille Jaroszynski sont médecins et continuent de travailler. Ils ont engagé une baby-sitter mais ne peuvent pas lui demander cinquante heures par semaine, souvent l'aînée fait donc la liaison en gardant ses frères et sœurs.
- Allez Luce, Georges ! Mettez vos chaussures et allez jouer dehors.
- Marianne, elles sont où mes chaussures ?
- Marianne, je mets lesquelles ?
- Tu choisis et toi Georges tu peux prendre les blanches elles sont dans le couloir.
- D'accord.
Les plus petits jouent dehors avec leur frère et Marianne réfléchi à son devoir de français:
- Alors : "décrivez vous, votre entourage, votre logement et votre vie ". C'est rare mais je regrette presque d'avoir une vie intéressante et de ne pas passer mon temps sur les réseaux, à regarder des séries ou à jacasser comme une pie sur les derniers ragots du collège. Alors je m'appelle Marianne, j'ai treize ans et je suis en troisième au collège Giraud. Enfin si on peut encore prétendre aller au collège. Je suis un peu atypique, on peut dire que je ne suis pas comme toutes les filles de mon âge. Enfin commençons par le début : je suis assez intelligente en tout cas largement au dessus de la moyenne et j'ai sauté le CM2. Je suis très sportive, j'adore le sport je ne pourrais pas m'en passer. Une journée sans bouger et je suis de très mauvaise humeur mais une heure de course et je deviens sympathique. Je fais de l'escalade, c'est ma sixième année et de l'athlétisme depuis Janvier. On pourrait dire que ça n'est rien, pratiquer deux mois un sport avant d'être confiner c'est certes pas beaucoup mais assez pour finir troisième de ma région en cross et surtout totalement Addict. Bon je suis intelligente et musclée, on pourrait dire que j'ai tout pour moi mais je ne suis vraiment pas belle et
- T'est pas moche Marianne
- J'ai parlé à voix haute ?
- Oui
- Oups ça ne te dérange pas si je continue, c'est plus simple pour mon français.
- Ne t'inquiète pas c'est bon.
- Merci donc je disais que - sauf pour ma famille totalement subjective - je suis moche, plutôt timide, réservée, intello, pas très sociable au premier abord, j'ai une fierté qui peut m'enfoncer, je peux être de mauvaise fois, il m'arrive d'être jalouse de mon frère mais surtout je suis très désorganisée et brouillon. J'écris très mal et déteste ça et mes affaires ne sont jamais rangées. Autant je peux me comporter comme un adulte et tenir des discussions scientifiques assez techniques autant je joue souvent à chat, je me cache dans les placards et adore faire des blagues. J'aime beaucoup de choses : escalader, sauter de rocher en rocher sur la digue, faire des cabane, bricoler, manger, faire des sciences et de la logique, avancer contre le vent sous la pluie, tailler des bouts de bois, lire, faire du violon, découvrir de nouvelles choses, apprendre, randonner, mais par dessus tout courir sur un terrain semé d'embûches, sauter et grimper dans la montagne sous la pluie, contre le vent et dans la tempête. Certains diront que j'ai des goûts bizarres mais moi je ne comprends pas comment on peut passer sa journée à regarder des vidéos. En temps normal j'ai treize heures d'activité en semaine plus parfois une heure de transport aller-retour pour m'y rendre et des concerts, compétition ou réunions scouts presque tout les Week-ends. C'est ce qu'on pourrait appeler un employé du temps chargé. Assez parlé de moi, je passe à mon entourage. Ma famille est gigantesque ! Surtout du côté de ma mère, je retrouve souvent mes cousins en Dordogne, région dans laquelle je passe toutes mes vacances, et nous en profitons pour faire les quatre cents coups. J'ai deux frères et une sœur. Ma maison déborde de vie. Elle est en ruine, nous voulons faire des travaux mais les délais sont longs. En bref, l'électricité et le gaz sont au normes de 1930 environ, il est pleut dans la cuisine et l'escalier et l'eau passe en dessous des fenêtres dans les chambres. Les papiers peints sont hideux et des bouts de balcons tombent sur la terrasse. Et tout est comme ça. Mais j'aime beaucoup ma maison et pour rien au monde je n'en changerai, elle me rappelle notre maison de vacances qui est en Dordogne où nous retrouvons tout nos cousins. Elle est dans un état encore pire que notre maison Bastiaise et quand mes parents sont arrivés il n'y avait même pas l'eau courante. Je vais pas décrire mes parents, mes frères et sœurs et mes amis parce que j'y serais encore demain et si la prof est pas contente eh ben tant pis pour elle. De toute façon on est confinés, les notes compte pas et elle peut pas me réprimander. Même si j'ai jamais travaillé pour les notes, et pour cause, ça m'intéresse pas et en plus j'ai pas besoin de travailler, j'écoute en cours et j'ai 18,5 minimum, je dois avouer que ce mode de travail me démotive profondément.
- MARIANNE !!!!
- Oui ?
- On monte.
- Vous êtes sur, vous préférez pas rester dehors ?
- Non on va dans la chambre.
Elle soupire et dit:
- Si vous voulez, j'arrive, il faut que je ferme les fenêtres.
- Ok
Elle ouvre une porte en s'acharnant sur une poignée cassée, monte les escaliers étroits pour arriver dans un couloir rendu très étroit par des vieux meubles en bois, pour la plupart en partie cassés, et arrive dans sa chambre. C'est une pièce de taille moyenne, contre le mur se trouve un lit en hauteur sous lequel se trouvent deux lits dans l'autre sens, à moitié dessous. L'un de ces lits est également surélevé, mais moins, et la partie inférieure a été réaménagée en cabane. Le mur de droite est orné d'une cheminée et celui de gauche d'un grand placard dans lequel les enfants rangent leurs affaires. Un bureau se trouve dans le coin, il est recouvert par une montagne d'affaires : livres de cours, vêtements, couteau Suisse, crayons de couleur et même gamelle scoute sont entassés avec négligence. La petite étagère à côté n'est guère mieux et des coupes sont entreposées sur le partie supérieure du bureau, elles sont transformées en pot de crayon et range -bazar mais de la plus grande déborde une quantité impressionnante de médailles. Marianne en possède beaucoup, elle en a même en or, en effet, elle est championne de France de Bridge. Mais elle a dû arrêter quand elle a déménagé pour Bastia.
Marianne s'avance pour fermer la fenêtre quand, soudain, son petit frère Georges envoie une balle de tennis qui passe par la fenêtre. Mais la fenêtre descend jusqu'au sol et l'enfant s'élance pour récupérer sa balle. Malheureusement, il se cogne contre un balustre qui se casse et bascule dans le vide.
- GEORGES !
Marianne s'élance, saute par dessus le garde corps, attrape le pied de son frère et se retient tant bien que mal au balcon avec ses jambes. Elle est suspendue, dans une situation précaire et est pétrifiée. Tout le courage dont elle a pu faire preuve s'envole mais elle s'en aperçoit et se reprend. Mais quand elle va donner son frère à son autre frère, debout sur la terrasse les bras tendus, le balcon cède et tombe.
- NON !
Et tout à coup, le temps semble se suspendre et le balcon arrête sa chute. Marianne donne son frère et se retourne pour sauter les pieds devant. Et dès qu'ils sont hors d'atteinte, le balcon s'écrase sur le sol dans un bruit assourdissant.
- Ouf, on a eut chaud, dit Marianne comme pour minimiser l'incident.
- Oui, on va dire quoi aux parents ?
- La vérité ? De toute façon après avoir été paralysé par la peur je vois pas pourquoi on appréhenderait. La question c'est plutôt comment on a fait ça ?
- Hum hum
Marianne se retourne et tombe nez à nez avec une vieille femme qui porte un chapeau pointu, elle s'interpose entre elle et sa famille d'un air qui se veut menaçant, mais en réalité elle est morte de peur. Tout d'abord son frère frôle la mort puis elle fait voler un balcon puis une dame bizarre débarque dans son jardin. Elle est dépassée par les événements mais fait néanmoins bonne figure par égard pour ses frère et sœurs. Elle rassemble le soupçon de courage qui lui reste et demande :
- Qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ?
- Je suis le professeur MacGonagald et je pense pouvoir répondre à vos questions.
- Sauf votre respect, professeur, je doute que la Science explique ce phénomène, il va à l'encontre des lois de Newton sur la gravité. Le balcon aurait du être attiré par la terre et ma présence ne devrait pas le repousser mais l'attirer davantage. A moins que... Professeur ? Est-il possible que ce soit une mauvaise blague ? Qu'un aimant très puissant se situe sur le balcon et un autre sur mes mains et que les pôles se repoussent ?
- Votre théorie est tirée par les cheveux mais cependant la plus probable si on refuse d'admettre la magie, elle sera utile si votre entourage pose des questions.
- La magie ?
- Je crois que nous devons discuter, seules, ajoute-t-elle en regard les frères et sœurs de Marianne.
- Attendez, je ne peux pas, je dois les surveiller !
- Ça peut s'arranger.
Elle pointe une baguette vers Luce et déclare clairement : Sommus. Et Luce tombe par terre dans un profond sommeil. Elle réitère son geste avec les deux autres mais Marianne, trop abasourdie, n'intervient pas et reste pétrifiée.
- Qu-qu'avez vous fait ?
- Tout va bien, ils dorment.
- Comment ça tout va bien ? Mon frère frôle la mort, je fais léviter un balcon, vous débarquez chez moi, vous me dites que c'est de la magie, vous sortez un bout de bois, dites Sommus et tout le monde s'endort! Et après vous dites tout va bien ! Je vous prierais de sortir de chez moi et de réveiller mes frères et sœurs.
- Vous ne me laisses pas le choix : INCARCEREM SILENCIO
Marianne est maintenant ligotée et muette, elle se débat comme un forcené mais rien n'y fait.
- Bien, je me répugne à utiliser ces méthodes quelque peu barbares mais la situation l'exige. Vous êtes une sorcière Marianne, vous avez des pouvoir magiques qui vous permettront de lancer des sortilèges si vous vous munissiez d'une baguette. Pour être en mesure de lancer correctement des sortilèges, les jeunes sorciers étudient dans une école de sorcellerie à partir de la 3ème ou l'équivalent dans les autres pays. Votre cas est assez préoccupant car vous n'avez de toute évidence pas été détectée. Les sorciers envoient une première vague de magie d'une cinquantaine de kilomètres vers leur six mois, une autre de plusieurs centaines de kilomètres vers leurs quatre ans et enfin, un détecteur de magie est mis tout les matins dans chaque classe de quatrième du monde pendant deux mois, en ce qui concerne la France, le manque de matériel la divise en deux zones : la zone Sud commence en Septembre-Octobre puis c'est la zone Nord en Novembre-Décembre. Savez vous comment vous avez échappé à ces détections ?
Le professeur MacGonagald observe Marianne et se rend compte qu'en plus d'être complètement sonnée par ces révélations elle est toujours muette et ligotée.
- Excusez-moi, FINITE INCANTATEM
- Eh ben... c'est pas rien ce que vous me dites c'est un peu dur à digérer, dit elle dans une tentative pour paraître nonchalante mais son visage livide la trahie. Laissez moi une minute je vous prie.
- JE SAIS ! Quand j'avais pas loin de six mois je me suis rendu en Pologne pour voir une fois mon arrière grand-père avant qu'il ne décède et quand j'avais pas loin de quatre ans je suis allée célébrer le mariage de mon oncle aux États-Unis. Si les vagues de magie se sont produites dans l'avion à cinquante kilomètres du sol et au milieu de l'océan il est normal qu'elle ne vous soient jamais parvenus. C'est vraiment pas de chance, c'est presque mes deux seuls voyages, depuis qu'on est quatre enfants l'avion n'est pas très accessible.
- Et pour les détections en classe ?
- Oh ça c'est facile, j'ai déménagé du Nord de la France l'année dernière pendant les vacances de la Toussaint.
McGonagald écrit un mot sur un bout de papier puis sort une ficelle de sa poche sous les yeux curieux de la jeune sorcière. Elle siffle et un oiseau arrive. Elle lui accroche le bout de papier à la patte à l'aide de la ficelle.
- Va porter ça à Albus, il ira à Beaubâton.
- Qu'avez-vous fait ? Qu'est-ce que Beaubâton ?
- J'ai envoyé un message au directeur de mon école, Beaubâton est l'école de sorcellerie française. Comme j'ai ensorcelé mon oiseau pour qu'il puisse transplanner de chez moi à Près au Lard, il devrait y être d'ici cinq minutes, c'est plus rapide que de traverser la manche.
- Vous êtes professeur en Angleterre ! Qu'enseignez vous ?
- Belle déduction, je vous verrai bien à Serdaigle, pourquoi pas Gryffondor. J'enseigne la métamorphose.
- Vous transformez quoi? Il y a des limites ? Est-ce que vous vous contentez de transformer la matière en gardant les molécules ou est-ce que vous réorganisez les atomes ou même les neutrons, protons et électrons où c'est illimité et vous pouvez faire apparaître de la matière ? Et que sont Gryffondor et Serdaigle ?
- Vous êtes bien curieuse jeune fille. Heureusement j'ai 5 minutes, le temps d'attendre la réponse du directeur. Commençons par les maisons, Poudlard est un internat accueillant tous les sorciers de Grande Bretagne. Ces élèves sont repartis dans quatre maisons à l'image des créateurs de l'école. Godric Griffondor prônait le courage et la bravoure, Salazar Serpentar, quant à lui, favorisait l'ambition et la ruse tout en attachant une grande importance à l'ascendance de ses élèves. Rowena Serdaigle voulait avant tout que ses élèves soient intelligents et Helga Poufsoufle acceptait tout le monde à condition que le respect, la tolérance, la gentillesse et l'entraide soit présent. Aujourd'hui, un chapeau lit au fin fond des âmes des nouveaux élèves et détermine quelle maison leur convient. Vous pouvez rire mais c'est la stricte vérité, la magie peut faire bien des choses. Pour en revenir à votre question, plus complexe sur la métamorphose, vous avez compris ce que je tente d'expliquer pendant cinq ans à mes élèves. La magie ne peut pas inventer des particules. Les réduire, les agrandire, les bouger, les réorganiser à la plus petite échelle mais pas les inventer. Les As de la métamorphose peuvent créer presque n'importe quoi à partir d'un objet de volume égal, ils peuvent même créer des etres vivants mais tout cela nécessite de connaître l'objet ou l'animal que l'on veut créer au micro mètre près. Très peu de gens en sont capables, moi même j'ai du mal, le seul qui, a ma connaissance, y arrive parfaitement, est Albus Dumbeldor, le directeur de Poudlard. La métamorphose qui est enseignée jusqu'en troisième année ne ressemble en rien à ce que je vous ai raconté, on apprend juste aux élèves des formules connues qui permettent des métamorphoses communes et peu complexes. À la fin de la troisième année, on présente aux élèves la métamorphose dite complexe et ils choisissent si ils veulent la continuer pendant deux ans ou pas.
Marianne a totalement oublié sa famille et le contexte de sa rencontre avec McGonagald, elle était suspendue aux lèvres de cette dernière, buvait ses paroles et rêvait d'une école où elle ne s'ennuierait pas et apprendrait la Science de la Métamorphose. Minerval quant à elle espère que Beaubâton ne voudra pas d'une élève en retard et qu'elle aura la charge de cette élève qui n'était pas comme tout les adolescents. Elle irradiait la joie de vivre, s'intéressait à toutes les nouvelles choses qu'elle voyait, était courageuse et semblait aimer bouger. Comme avant que ce monde moderne et ces écrans nous envahisse ! Elle parlait passionnément de son art, si heureuse de pouvoir l'enseigner à quelqu'un qui semblait vraiment le comprendre. Ces élèves étaient si rares, environ un tout les deux ans.
Très absorbées dans leur discussion elles ne voient pas un homme assez âgé avec une longue barbe qui les regarde, un sourire aux lèvres, heureux de voir sa vieille amie épanouie dans son métier. Il décide finalement de les interrompre.
- Le produit d'une métamorphose n'est cependant pas comestible, sa transformation le rend trop instable. Les gens qui s'y sont tentés ont, en plus de n'intégrer aucun nutriments, souvent du être opérés
- Hum hum
- Professeur ? Excusez moi je ne vous avais pas vu.
- Il n'y a pas de mal Minerva. J'ai contacté la direction de Beaubâton qui prétend n'avoir plus de place dans l'école. Nous allons donc accueillir Miss, Miss?
- Jaroszynski Monsieur, Marianne Jaroszynski
- Je crois que je vais t'appeler Marianne. Tu vas venir dans mon école en Angleterre, je te jetterais un sort qui te fera parler et comprendre l'anglais automatiquement. Tu vas passer ta répartition demain et tu commencera les cours dans la foulée. Tu aura deux mois pour rattraper un an. Tu aurais dû rentrer en Septembre en première année mais ça ne devrait pas être trop grave, tu m'as l'air intelligente aussi en supprimant les cours classiques et en te donnant des cours particuliers je pense que tu pourras entrer l'année prochaine en deuxième année. Des questions ?
- Je vais partir de chez moi ? Je suis obligée ?
- Oui mais j'avais cru comprendre que tu t'ennuyais en cours, ça devrait t'éviter ce désagrément.
- Oui mais je ne peux pas partir comme ça, j'ai ma famille, mes amis, ma vie. J'étais sensée partir trois mois en Allemagne l'année prochaine mais pas un an. Et puis au delà de ça, j'aime la Corse. J'aime courir dans la montagne tout en croisant des vaches, faire de longues randonnées ou des boucles courtes le plus rapidement possible. J'aime pouvoir jouer dans la neige et me baigner le soir, j'aime faire de l'escalade. J'aime ma vie ici lorsqu'on est pas confinés : mes treize heures d'activités en semaine auxquelles s'ajoutent presque chaque Week-end des compétitions, concerts ou réunion Scoutes. J'aime sauter de rocher en rocher sur la digue avec mon frère en disant que seul le gagnant est Indiana Jones...
- Je comprends ton désarroi mais tu dois apprendre à maîtriser ta magie, sinon, qui sait ce qui peut arriver quand tu es en colère ? Une fois tes pouvoirs débloqués ils peuvent se déclencher à n'importe quel instant.
- J'imagine que je n'ai pas le choix ?
- En effet, tu viendras de gré ou de force.
- Alors libérez mes frères et sœurs.
- Bien sur, nous attendrons vos parents pour tout leur expliquer, vous partirez demain à 17h, dit le Professeur McGonagald parlant pour la première fois depuis le début du dialogue. FINITE INCANTATEM !
Les enfants Jaroszynski se réveillent peu à peu puis les parents, convoqués par le directeur arrivent et les deux sorciers aguerris leur expliquent tout.
Marianne baille, elle n'arrive pas à s'endormir et se retourne une énième fois dans son lit. Demain commence une nouvelle vie, une nouvelle aventure et elle aime l'aventure. Elle a hâte d'être Demain. Dans son esprit l'expression "demain est un autre jour " prends tout son sens. Oui, demain sera un autre jour qu'elle a hâte de découvrir.
Voilà voilà, premier chapitre plein de description peut-être même un peu trop. N'hésitez pas à signaler les fautes d'orthographe ! Si des gens ont des conseils à donner je suis preneuse. J'espère que ça vous a plus, vous pouvez bien sûr voter et commenter si l'envie vous en prend. ( je sais que je rêve mais ça fait du bien)
Eh ben à plus pour l'entrée à Poudlard !
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