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Chapitre 40 : Les pouvoirs de la lune obscure

  Je fus réveillée par les cris de guerre et l'entrechoquement des lames. Assaillie de douleurs dans tout le corps, j'ai ouvert péniblement les yeux avant de constater que je me trouvais au beau milieu d'un champ de bataille. Allongée à même le sol, j'étais entourée de cadavres. Des Nawas, pour certains, le sang noir et les habits de même couleur, et pour d'autres, c'étaient des humains. Adultes ou même adolescents, ces derniers m'étaient inconnus. Debouts et défendent leurs vies, il y avait, à ce que je pouvais voir, deux camps : l'un composé de personnes apparemment normales qui se battaient à l'aide d'armes, et l'autre d'où faisaient partie les Nawas, se servant pour la plupart de magie, et des monstres les plus étranges. Il y avait des Saïds, des créatures de forme humaine avec, par exemple, la peau grise ou écailleuse, des animaux à quatre pattes monstrueux et d'autres choses encore plus bizarres. Les hurlements fusaient, mêlés aux bruits des objets qui se rompaient avec un son strident. L'odeur du sang commençait à s'élever dans la salle, qui elle était toujours la même ; je n'avais donc pas bougé. 

  Rassemblant mes forces, je me suis levée avant de daigainer mon épée double. Mes yeux parcoururent la salle avec horreur, horreur qui se mêla à la peur. Où étaient Maïwen, Djenn et Liam ? J'ai tout de suite regardé au pied de l'autel de marbre avant de constater avec soulagement qu'ils étaient toujours là et ne semblaient pas blessés. Or ils dormaient encore. Je les ai secoués pour les réveiller, ce qu'ils firent en râlant. Puis la peur voila leurs yeux lorsqu'ils remarquèrent la battaille qui se déroulait autour de nous.

  — Nous devons trouver les dieux ! ai-je crié. Ces gens-là doivent être les renforts ! 

  Mes amis se remirent rapidement sur pied. Alors qu'on allait partir, mon regard rencontra la dague de l'immortalité qui gisait sur le sol. Je me suis baissée pour la prendre avant que Maïwen ne me saisisse le bras pour m'emmener avec eux. 

  Évitant les rayons de lumière, les lames acérées et les crocs des monstres, nous avons traversé le champ de bataille en courant vers la sortie située au fond de la salle. Mes amis se munirent d'armes de personnes tombées au combat, étant privés des leurs. Nous zigzaguions entre les guerriers, tuant les monstres qui osaient se dresser devant nous. Une créature de forme humaine à la peau bleue me barra le chemin. Elle tenta de me mordre d'une bouche qui occupait tout son visage. J'ai évité avant de planter ma lame dans son ventre. Le monstre fut réduit en poussière. On a continué de courir.

  — Nous avons eu de la chance d'être toujours en vie ! s'exclama Liam alors que je le rattrapais. 

  En effet. Les combattants du camp adverse nous avaient sûrement pris pour des cadavres. L'issue se trouvait à présent devant nous et, sans hésiter, on a franchi l'arche. La battaille se poursuivait dans le couloir. Mais les guerriers étaient bien moins nombreux. Il y avait quelques Nawas mais, tout comme à l'intérieur de la salle, la plupart de nos ennemis étaient des espèces différentes. Beaucoup d'humanoïdes mais aussi des bêtes à quatre pattes. Dans notre camp, je n'avais pour l'instant vu que des humains qui m'étaient inconnus.

  Nous avons pris à gauche — là où il y avait le plus de bruit — et avons couru à toute vitesse en esquivant les tentatives de meurtre qui nous étaient destinées. Puis soudain, Maïwen s'arrêta d'un coup devant nous. J'ai regardé dans la même direction qu'elle et j'ai compris : Jasson, l'ancien mentor de mon amie, se battait contre un monstre ressemblant à un Gerriok. Ce dernier avait le dessus. Après la surprise, on a tous couru vers l'adolescent pour lui venir en aide. Maïwen s'est placée derrière son adversaire, tandis que nous arrivions des deux côtés. Le Gerriok n'a pas eu le temps de se défendre qu'il recevait l'épée de Liam dans le ventre. 

  — Jasson ! Cria Djenn.

  Le concerné le regarda, un sourire rayonnant aux lèvres.

  — Vous êtes vivants ! s'écria-t-il. Saouro est mort ?

  Un sentiment de culpabilité m'envahit. Non seulement mon père était toujours en vie, mais j'avais aussi poignardé le soleil.

  — Non, avoua Maïwen. Et Wanda a détruit la pierre de Jour.

  Le sourire de Jasson s'effaça et il me regarda. Tout le monde me fixait.

  — Je n'avais pas le choix, me suis-je défendue, les larmes aux yeux. Les élus de la prophétie allaient mourir.

  Il y eut un moment de silence. Puis l'aîné changea de sujet.

  — Nuit et Jour sont venus nous chercher, expliqua-t-il. Ils ont fait le tour des sept camps afin de rassembler une armée. Mais nous sommes arrivés trop tard.

  — Non. Je sais qu'il y a une solution. Je vais trouver les dieux et nous allons aranger ça, ai-je tranché. Qui m'accompagne ?

  Maïwen, Djenn et Liam levèrent la main. Jasson s'abstint.

  — Allez-y, c'est votre destin. Je combattrais ici.

  Nous avons salué notre allié avant de nous engager dans le couloir. C'est votre destin. Cette phrase résonna dans ma tête. Il avait raison.

  Nous avons débouché dans une vaste salle rectangulaire. De chaque côté et au fond, plusieurs ouvertures menaient à d'autres galeries. Et ici, la battaille continuait. Un animal de la taille d'un cheval et recouvert d'écailles rodait autour des combattants, en décimant quelques-uns de sa queue hérissée de pics. Des griffes comme des poignards armaient ses pattes et il possédait deux têtes à long cou qui crachaient un liquide vert. Les personnes touchées par cette substance se désintégraient. Mais ce qui me retint le plus l'attention fut les explosions de couleurs qui avaient lieu vers le milieu de la salle. Entre deux éclats, j'ai eu le temps de voir qui se trouvait au centre de tout ça : Myluna. Aux prises avec plusieurs personnes qui tentaient de percer son bouclier avec leurs armes, la jeune fille lançait des globes et des rayons à tort et à travers qui provoquaient des explosions colorées. Elle ne semblait pas avoir de mal à tenir ses assaillants à l'écart et souvent, ses coups étaient fatals.

  — Nous devons la remettre du bon côté, ai-je décidé, elle nous serait d'une grande aide.

  — On s'en occupe, fit Maïwen. Trouve les dieux et explique-leur ce qui s'est passé.

  J'ai hoché la tête. Mais j'avais peur pour eux.

  — Parlez-lui d'Aisha. J'ai remarqué que ça la faisait redevenir momentanément normale, leur ai-je conseillé. Et faites attention.

  Ils me firent un signe de la main et se fondirent dans la foule. La peur de les abandonner me tourmentant, je me suis retournée pour me remettre en route. J'ai emprunté l'issue la plus proche, évitant les lames, les crocs et les rayons destructeurs. J'ai fait tournoyer mon épée double avant de la planter dans le dos d'un humanoïde à la peau rouge qui était recouvert de pics. Il se désintégra sur le coup. J'ai continué de courir. La galerie était presque vide, mais je pouvais entendre les cris de guerre qui résonnaient devant moi. Je suis arrivée dans une autre salle, qui elle était immense et remplie de guerriers. Les armes virevoltaient, blessaient, tuaient, et les rayons et explosions de noirceur fusaient dans toutes directions. Des flèches volaient tandis que des monstres assénaient des coups à leurs ennemis à l'aide d'armes ou tentaient de les mordre. Et, au centre, se trouvaient Nuit et Jour. Le dieu resplendissait d'une lumière jaune orangée, et se battait en envoyant des globes blancs ou couleur du soleil sur les tas d'ennemis qui se massaient autour de lui. Quelques mètres plus loin, la déesse, auréolée de bleu et de blanc, formait des halos entre ses mains qui décimaient ses adversaires dans une explosion de noirceur. Les deux semblaient rechargés d'énergie : ils brillaient bien plus qu'auparavant. Plus grands que la majorité des combattants de la salle, on les distinguait facilement. 

  Prenant mon courage à deux mains, j'ai foncé dans la foule. Il fallait que je trouve un moyen de parler à ma mère. Je devais lui dire ce que j'avais fait. Mais comment attirer son attention ? Un Nawas envoya soudainement un rayon noir vers moi. J'ai formé un bouclier magique juste à temps. La décharge de l'Obscurius se brisa sur la barrière et je faillis perdre l'équilibre sous l'impact. J'ai levé mon épée double. Mais, utilisant la ruse, je lui ai envoyé un halo de lumière au lieu de l'attaquer avec l'arme. Il ne s'y attendit pas et fit projeté au sol par la puissance de l'explosion. Je ne me suis pas attardée pour voir s'il était mort ; j'ai continué ma route. Une partie de moi espérait qu'il soit toujours en vie car, tuer un humain, aussi méchant soit-il, était une chose vraiment difficile pour moi.

  Je me suis pliée en deux pour éviter un rayon noir qui passa juste au-dessus de moi. Puis j'ai paré une épée dentelée appartenant à un Nawas qui voulait me faucher en deux. Pour riposter, je lui ai lancé un globe de lumière. Il l'arrêta du plat de sa lame. La sphère explosa mais ne l'atteignit pas. Mon adversaire m'attaque de nouveau avec son arme. J'ai esquivé, puis répondu d'un coup d'épée double. Pendant qu'il parait ma lame, je lui ai envoyé un rayon noir en pleine poitrine. Il n'eut pas le temps d'éviter. Le Nawas s'écroula avec un cri de douleur. Cri qui resta gravé dans ma mémoire. 

  Bizarrement, cet homme n'avait pas utilisé de magie pour se défendre et attaquer. S'agissait-il d'un Lumius ayant basculé du côté de Saouro ? 

  Je me trouvais à présent derrière les tas de monstres et Nawas qui essayaient d'anéantir Nuit et Jour. Ils hurlaient, se bousculaient, lançaient des décharges magiques où tentaient de percer le bouclier des dieux avec leurs armes. Je devais signaler ma présence à ma mère. J'ai donc formé une boule de lumière entre mes mains avant de la lancer vers le haut. Elle explosa dans une gerbe d'étincelles blanches et bleues. Les couleurs de la lune. Après quelques secondes, je fus happée par les ténèbres.

  Nuit se tenait à côté de moi. Elle revêtait une tenue de combat : bottes militaires, pantalon noir et cuirasse, épée accrochée à la ceinture. Ses longs cheveux foncés étaient tressés dans son dos et les étoiles sur sa peau brillaient de mille feux. Mais il n'y avait plus de lune sur son front. Je ne pouvais distinguer qu'un rond noir presque imperceptible. Tout autour de nous, les sbires de Saouro s'acharnaient sur le bouclier de Nuit. Il était invisible, mais les impacts faisaient apparaître des fissures lumineuses et parfois des ouvertures sur sa surface transparente. Mais elles se refermaient plutôt rapidement. À chaque fois que la déesse lançait une attaque, elle devait lever la protection. Les monstres se jetaient alors sur nous avant de se faire repousser à nouveau par la barrière magique. Nuit devait donc être extrêmement rapide. Quelques mètres plus loin, Jour combattait un autre tas de monstres.

  — J'ai... j'ai détruit la pierre de soleil, ai-je avoué à ma mère.

  Elle se tourna vers moi. 

  — Je sais.

  Nuit posa une main sur son front.

  — La lune est devenue obscure. Elle est à présent entièrement sous le pouvoir de Saouro. Et, sans le soleil, nous ne pouvons faire revenir le jour. Te rends-tu compte de ce que tu as fait ? Même si nous gagnons cette battaille et anéantissons ton père — ce qui est improbable — le monde restera plongé dans l'obscurité pour toujours.

  J'ai baissé la tête, honteuse. Autour de nous, nos ennemis tapaient sur la barrière invisible en tentant de la briser, mais la déesse conservait son bouclier.

  — Les élus allaient être tués. Et je n'ai su que faire.

  Nuit me fixa durement.

  — Tu es juste trop faible. Tu as pensé à tes amis avant de penser à l'humanité. Je vous avais dit d'attendre en dehors de la forteresse.

  — Qu'allons nous faire ?

  La déesse hésita.

  — Pour l'instant, nous devons nous battre. Mais tu dois rester en vie car nous aurons sûrement besoin de toi. La prophétie des ténèbres s'est réalisée, peut-être que l'autre le pourra aussi.

  J'avais donc fait le mauvais choix. J'aurais dû mourir depuis longtemps. Maintenant, j'avais tout fichu en l'air. Pourquoi avais-je survécu à toutes ces épreuves jusqu'à présent ? Je n'aurais pas dû.

  — Et vous, pouvez-vous mourir ? Ou êtes-vous complètement immortels ? ai-je demandé.

  — On ne peut pas. Mais nous pouvons être gravement blessés ou vidés de notre énergie au point de devoir se retirer. Et maintenant que nous n'avons plus de pierres divines, notre magie est diminuée, tout comme notre résistance.

  J'avais donc vraiment tout raté. Et on ne pouvait plus revenir en arrière. Or je n'allais pas m'avouer vainçue. J'allais tenter de réparer une partie de mes actions.

  — Je vais tuer Saouro.

  — Tu n'y penses pas, me sermonna durement Nuit.

  — C'est notre seule chance. Je dois accomplir mon destin.

  — Ce n'est pas le tien. C'est celui des quatre élus.

  Or je ne voulais plus rien entendre. Je me suis immobilisée, me préparant à bondir. Puis, quand la déesse leva son bouclier et lança son magnifique halo de noirceur, j'ai foncé vers l'explosion. Elle eut lieu juste devant moi. Quand les ténèbres se dissipèrent, je pus voir les corps écroulés sur le sol et la poussière des monstres. J'avais la voie libre. Mais pas pour longtemps. J'ai donc couru.

  — Wanda ! hurla Nuit derrière moi.

  Comprenant qu'elle allait me faire réapparaître à ses côtés, j'ai accéléré ma course. Sans doute inutilement. J'ai regardé en arrière pour voir que la déesse avait repris le combat. Les explosions se formaient tout autour d'elle. Elle m'avait donc laissée partir. Peut-être jugeait-elle l'action de me retenir inutile vu qu'elle devait garder ses forces. Mais mieux vallait se dépêcher. 

  J'ai couru vers une porte immense qui trônait eu fond de la salle. Après avoir traversé le champ de battaille, je me suis retrouvée devant celle-ci. De gros anneaux en fer servaient de poignées. Tirant de toutes mes forces sur l'un d'eux, j'ai ouvert le battant. 

  Devant moi, c'était le chaos. La cour autrefois vide et silencieuse que j'avais traversée pour venir ici était remplie de monde. Il y faisait sombre et les décharges magiques explosaient partout. Des dizaines de monstres frappaient et tuaient leurs ennemis, qui eux étaient bien moins nombreux. Les hurlements agonisants, les cris, les lames et les coups créaient une cacophonie de bruits de guerre. Le sol était par endroits tapissé de cadavres, qui eux étaient pour la plupart des humains de mon camp. Ils perdaient énormément de terrain. J'ai pu appercevoir pour la première fois des elfes parmi nos alliés. Ils lançaient des flèches qui atteignaient très souvent leurs cibles ou maniaient d'autres armes. Beaucoup de gens s'étaient donc mobilisés pour nous aider à gagner cette guerre. Nous les avions conduit à la mort. Mais le pire de tout, c'était les éclairs complètement noirs qui décimaient une multitude d'humains dans une explosion de noirceur. Et le maître de ces rayons, c'était Saouro.

  Debout sur les remparts, le fils de Nuit lançait des décharges magiques qui ne manquaient jamais leurs cibles. D'une immense puissance, ses attaques tuaient de nombreuses personnes et ne laissaient jamais de survivants. Et en plus de cela, l'homme vêtu de noir ressuscitait les monstres tombés au combat. C'était lui qui les avait créés, et ce, grâce aux pouvoirs de la lune obscure. Seul, sa cape flottant au vent, Saouro semblait se prendre pour le maître du monde. Il allait d'ailleurs le devenir.

  Si je ne l'en empêchait pas.

  Alors, j'ai tracé. Essayant d'atteindre les escaliers qui menaient en haut des remparts, j'ai couru entre les combattants en tentant d'éviter un maximum de conflits. Je devais survivre. Pour tuer Saouro. Pour sauver l'humanité. Maintenant, plus rien ne m'importait. Qu'il fasse nuit ou qu'il fasse jour, cela m'était égal. J'ai atteint les remparts. Et les marches. J'ai rangé mon épée double ; dans ce combat, seul la magie me serait utile. Puis j'ai gravi l'escalier en métal. Une bouffée d'air frais me carressa le visage au moment ou j'arrivais en haut. J'ai regardé d'un côté de la muraille : le champ de battaille, le sang, l'horreur. Puis de l'autre : la forêt de pins, le pré, la liberté. Je me trouvais à cheval sur la frontière entre deux mondes. L'un qui signifiait la mort, la désolation, la tristesse et le courage, l'autre la vie, le bonheur, la joie et la lâchetée. Lequel choisir ? Pouvais-je tout simplement fuir ? Mais la bravoure qui restait en moi m'en empêchait. Je devais sauver les deux mondes.

  Saouro se trouvait devant moi. Le cœur battant, je me suis approchée de lui. Il m'a regardée sans m'attaquer.

  — Je te remercie, Wanda. Tu m'as été d'une grande aide.

  La rage se mit à bouillir en moi. Cet homme m'avait manipulée. 

  — Dis à tes sbires de se replier, ai-je ordonné d'une voix forte chargée de colère.

  — Sinon, quoi ? Tu ne me sers plus à rien, Wanda. Je peux donc librement te tuer.

  Il me lança un éclair. J'ai formé un bouclier invisible, qui retint son attaque de justesse. Des fissures apparurent sur sa surface. Et Saouro en profita. Il envoya un nouveau rayon. J'ai dû me jeter à terre. Mon père se mit à avancer vers moi et j'ai essayé de me relever. Mais une force invisible me maintint au sol. Saouro était au-dessus de moi. Je tentais désespérément de m'enfuir, en proie à la terreur. Le fils de Nuit sortit une dague de sa tunique et la fit tourner entre ses doigts.

  — J'aurais pu t'utiliser encore, ensembles nous aurions pu changer le monde. Mais je vois bien qu'ils t'ont empoisonné l'esprit.

  Saouro leva l'arme et la planta dans mon cœur.

  Une douleur insupportable me déchira la poitrine. Ma vue se brouilla et j'ai poussé un cri aigu de souffrance. Avec un effort surhumain, j'ai relevé légèrement la tête pour voir le manche de la dague ressortant de mon corps. Le sang commençait a s'étaler sur mes vêtements et le supplice empirait. J'ai gémi de douleur et ma tête retomba lourdement sur le sol. Je voyais flou, les yeux remplis de larmes. Une silhouette penchée sur moi s'éloigna, sa cape flottant au vent. Mon propre père venait de me poignarder. Et j'avais mal. La souffrance devint trop insupportable. Mais elle ne dura pas longtemps. Car soudain, plus rien. La douleur cessa. Le monde disparut. J'eus une dernière pensée avant de sombrer dans les ténèbres :

 Suis-je morte ?







Coucou les gens ! J'avoue avoir eu grave la flemme de recopier ce chapitre. Ce qui explique le retard. Cependant, le prochain sortira sûrement dans deux semaines. Même si j'ai pas mal de travail (allez, on y croit !)

Donc, flemme de poser des questions :

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Voilà. Merci beaucoup et passez une merveilleuse journée / soirée / nuit !!!


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