-" Eteingnez les générateurs d'air."
C'était la voie du chef de la vigilance.
Il est maintenant 18h50 et les derniers cargos remontaient vers la surface. Cette journée là, les hommes et les femmes qui travaillaient dans cette carrière de la compagnie target one avait fait plus que l'heure normale de travail. Mais, avaient t'ils le pouvoir de se plaindre ?

Ce sont de simple esclaves hélas depuis la guerre qu'il y avait eu 7 ans plus tôt, et qui avait opposés les riches aux pauvres. Le calme était finalement revenue.
Désormais il y avait les riches et leurs esclaves.

Une mane humaine éternelle, en effet les enfants qui naissait étaient marqué comme leurs parents d'un code électronique qui s'il tentaient de s'évader, leur faisaient sauter la tête.
Dans un coin des dortoirs une femme étaient restée seul. Elle n'avaient pas eu le malheur d'aller travailler et pourtant elle avait eu le malheur d'être esclaves.
Pas de soins médicaux, rien, que des tourments.

- "Maman ! Ça va aller, soit forte tiens bon."
C'était Luliana.
Luliana était le seul enfant que Corine avait eu.

Un véritable ange, qui n'avait jamais connu un semblant de paradis. En effet, Luliana est né dans un camps pour esclaves. Toute sa vie elle n'a connu que ce monde elle ne souffrait donc pas tellement de cette condition. Mais pour Corine, c'était une autre histoire.

En effet son mari le père de Luliana avait été éliminer par les militaires de la TARGET ONE. C'était un meneur qui toute sa vie durant avait fait apprécier la simplicité à sa famille.
Originaire de Antiavis, petite île perdue dans le pacifique, c'est son caractère mystérieux et docile qui avait ravis le cœur de Dahjlonica.

- "Ne t'inquiète pas ma chérie je vais bien."
Elle fit une bise à sa fille qui lui rappelait son mari en tout point.

- "Matricule 7.7.1.9.3.4"
Pourquoi ne t'est tu pas présenté à ton poste ?
C'était le commandant de la vigilance qui interrogeait Corine. Il faisait comme d'habitude sa ronde du soir avec des gardes dans les bâtiments de siège des ouvriers.

Elle lui répondit :
- "Veuillez m'excuser commandant je ne me porte pas bien. Cela ne se répètera plus."

Le commandant afficha un sourire avant d'éclater de rire. Un rire sinistre et il rétorqua:
- "Tu te moques de moi ?
Tu n'es parti au travail car tu étais malade !
Ah ah ah, tu mourras si tu veux mais, tu mourra au travail pas ici ! Au moins comme ça ta misérable vie va connaître une fin beaucoup plus noble. Saisissez-vous d'elle !"

Les gardes se saisissa de Corine qui essayait de se débattre le plus possible. Mais c'était en vain. Elle était transporté au centre du camp tout en bas aux yeux de tous.

- "Non ne l'emmener pas, laissez ma mère."
La petite Luciana tentait de retenir les gardes.
Peine perdu, Corine avait été fixé au dessus du vide et on fit retentir une sirène qui attira l'attention de tous.

- "Camarade !"
C'était le commandant de la vigilance qui parlait.

La Target one à placé de grands espoir en vous, je vous rappelle qu'après un travail acharné, les plus méritant rejoindrons la cité d'or batti par la Target one.
De même, ceux qui ne veulent pas atteindre ce objectif ne seront pas toléré.
Il prit un objet qui avait la même taille qu'un stylo. C'était un émetteur laser.

- "Matricule 7.7.1.9.3.4, ceci est un laser conçu pour attendrir la chaire."

Il pointa le laser sur le dos de Corine qui était immobilisé par les gardes.
Elle se mit à hurler de toutes ses forces.
Son dos devenant l'œuvre de son tirant qui prenait plaisir à dessiner sur son dos parfumé de sang comme un artiste qui peint son chef d'œuvre du siècle.

Suite à une atroce douleur, elle perdu connaissance.

Le commandant continuait son entreprise sur la pauvre Corine quand, un homme hurla :
- "Arrêtez ! Arrêtez ! Pour l'amour du ciel, arrêtez !"
Le commandant se mit à rire en disant :
- "Eh bien, eh bien qu'avons-nous la ?"

Puis s'adressa au corps inerte de Corine :

- "Vois-tu ? Ton comportement d'insubordination contamine l'autre vermine."

Il ordonna ensuite qu'on libère Dahjlonica, chose que les gardes exécutaient avant de la ramener dans la même cellule que l'homme qui avait pris sa défense pour lui faire montre qu'il est au dessus de la loi même de l'humanisme.

Intéressons-nous à cet homme. Il était en fait un ancien militaire devenu rebelle du régime de la one Target qui s'était fait arrêter récemment et qui hurlait depuis sa cellule situé à l'étage un peu plus haut.

Il avait connu des années auparavant le père de luciana, le mari de la jeune victime. Devant cette scène, il avait crié sons ras-le-bol par humanisme contrairement à toute la foule rassembler qui n'osais se prononcer de peur d'être les prochains cobayes pour servir d'exemple.

Une fois quelle fit admise dans la dite cellule, il s'approcha d'elle pour lui administrer un médicament qui devrait soigner rapidement ses plaies de manière très discrète après que les gardes se soient éloignés.

- "relève toi ma chère. Le médicament fera vite effet. Je sais que tu souffre et je veux pas que Cette petite fille grandissent dans un trou à rat pareil".

- " merci Robert "fit-elle en sanglots avec une voix cassé difficilement auditive dû à la douleur immense qu'elle ressentait.

Son sauveur s'assoie à côté d'elle puis, se rabaisse pour lui soufflé un truc à l'oreille.

- " Ne t'en fais pas . Si tout ce passe comme prévu, d'ici ce soir , Ta fille et toi serions en sécurité Loin de ce taudis de malheur."

Son beau visage attristé afficha des lors une expression de grande inquiétude.

- "c'est dangereux ce que tu prépares et je veux pas que ma fille soit exposée à un danger pareil. Si jamais on se fait prendre, ça ne serai pas juste une correction au laser, je crains qu'ils ne me torture de la manière la plus sévère possible forçant ma fille a me regarder mourir à petit feu. Ils vont finir par la réduire en prostituée jusqu'à ce qu'elle se fasse déchiré par un de ses malades mentale.
Je veux pas que cela arrive. Je dois la protéger. " Dit elle en lâchant quelques gouttes de larmes tout en froissant son visage.

- "Ne t'inquiètes pas. Mon fils est sur le coup. Rien ne vas vous arrivé à toi et aux autres esclaves d'ici. Tu comprendra quand je vais t'exposer le plan alors écoute moi bien car cela peut être la fin de ton calvaire et le début d'une nouvelle ère où juste ton premier pas en enfer".