-" Courez, courez, ne vous arrêtez surtout pas. la sortie doit être au fond à droite" répéta le jeune homme à la femme.

- " Merci pour ton aide", répliqua automatiquement la femme qui gardait toujours sa petite fille entre ses mains.

Elle se Leva, s'arrêta un instant pour bien voir le lieu où elle doit se rendre sans se laisser déconcentrer par le bruit déchirant de ces balles qui retentissent. Une fois le plan bien établi dans sa tête, elle se mit à courir aussi fort que possible en gardant son corps abaissé pour ne pas être touché.

De son côté, le jeune homme, disons la vingtaine environ se leva aussi, pris une boule en métal qu'il avait dans son sac, visa la porte d'entrée de ce couloir, puis la lança. La boule roula par terre puis, apparu sur elle des aurifices laissant sortir un gaz verdâtre fait pour embrouiller la vue aux assaillants. Ce guerrier qui n'avait pas froid aux yeux , se munit de son arme qu'il bourra de balle.

La femme de son côté était déjà arrivé au fond de la pièce comme on l'avait indiqué, puis, pris par la gauche. Au bout de 10 m, elle se rendit compte que c'était pas le bon chemin, revint sur ses pas et continua à droite ce qui l'a fait perdre du temps.

Plus le gaz verdâtre se dissipait et plus les assaillants entraient et ouvraient le feu avec leurs armes hyper sophistiqué.
D'ailleurs ils portaient des combinaisons complètes noires avec des casques a projections tactiles doté d'un système de reconnaissance faciale et des détecteurs de mouvement à rayons Ultra X . Leur cible, le jeune homme se cacha derrière un mur, repris son arme et attendait patiemment le moment où leur balle s'arrêteront de chanter l'hymne de la force.
Une fois l'instant venu, il répliqua.
réussi à en tuer deux d'entre eux. Parmis les autres qui s'étaient caché pour se protéger, un groupe se forma et tira à fond tout en avançant. Ce qui força le jeune homme à rester bien tranquille dans sa cachette. Ce groupe arriva à le dépassé en se dirigeant vers le fond de la pièce, précisément à droite. Il ne pu donc les stoppé. Le reste du groupe continua à faire rebondir les balles sur le Mur derrière lequel il s'abritait.

Les assiégeants arrivaient au bout du couloir et allaient à droite. Il n'y avait personne dans la pièce. Étrange !
Il fouillaient minutieusement la pièce malgré leur première impression.
La question était: S'est elle déjà enfui ?
Malheureusement non !
Les assaillants se dirent il est impossible qu'elle ait choisir de prendre par la fenêtre qui fait environ 100 m de long du sol pour finir sur un tas de vieux bâtiments écroulé. Pourtant il ne la voyaient toujours pas.
L' un d'eux marcha vers la fenêtre, la dame sorti de nulle part, avec un bois et l'assoma. Les autres entendirent le bruit et coururent vers le lieu.

- " plus aucune sortie maman ", adressa la petite fille de 12 ans à sa mère.
- "cache toi Luliana" dis la mère à sa fille en la tenant les mains et en reculant tout en faisant dos à la fenêtre.

- " j'ai reçu un ordre du chef major capitaine . Il ordonne d'éliminer la cible. "

Un des soldats pointa son arme en direction de la Maman puis, actionne la gâchette. Le bruit assourdissant de la balle mis tout à coup le silence dans toute la pièce. La petite fille mis ses mains au dessus de ses oreilles pendant que la mère s'abaissait pour la protéger. Le temps était mis au ralentit. Plus rien ne bougeait aussi vite que dans une réalité normal. Même la balle flottait toujours dans l'air. C'était seulement la fille qui n'avait pas été affecté par ce moment de pause éclair. Elle ferma les yeux, puis hurla de toute ses forces.

L'environnement se déforma complètement, quelque chose était apparu dans la pièce. C'ést un trou lumineux au fond noir qui s'est interposé entre la mère et les assaillants.

Le temps que les soldats reprennent leurs esprits, il n'y avait plus personne dans la salle, plus aucune trace. La mère et sa fille ont disparus et la balle lancé plutôt s'est déjà logé dans le mur d'en face ratant ainsi sa cible. Que s'est-il passé ?

Revenons un peu en arrière. Au tout début de l'histoire, une semaine plutôt.