Poème 3 : Le Déni
Parfois, je souhaiterais pouvoir refléter l'image de mon cœur dans les yeux des gens,
Comme on reflète notre image charnelle dans un miroir larmoyant,
Ma langue est trop courte pour exprimer à ceux que j'aime ce que, pour eux je ressens,
Trop longue, pour les gens distants,
Mon cœur est aveugle quand cela touche aux personnes qui me sont chères,
Comme si l'aveu et le déni étaient de paire,
Je me perds,
Dans un torrant de guerre,
Et c'est comme si je vivais un songe,
Dans la peur qui me ronge,
Rien est réalité,
Cette guerre n'a jamais existé
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