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Countryhuman : Révélation

Le soleil se leva tranquillement sur la « maison » d'UK. Le vieux château de pierres grise sombre s'illumina alors tendit que le monde commença à s'actionner. tout le monde se réveillait, tout le monde se levait... ou restait encore un peu au lit sans pour autant dormir. Le maitre des lieux était réveillé déjà depuis une petite demi-heure et n'avait absolument aucune envie de se lever. En même temps, il était avec France. Depuis qu'elle était sortit de l'hôpital, il était tout le temps chez elle ou elle chez lui. L'anglais ne l'a quittait plus, angoissé à l'idée qu'elle s'écroule d'un coup de fatigue ou parce qu'elle n'allait pas mieux au final. 

Ils passaient tellement de temps ensemble depuis que c'était étonnant que leur relation soit encore un secret. Après, ils étaient tout de même prudent, bien sur... mais tout de même. Personne n'avait encore compris. La seule qui semblait se poser des questions étaient Ecosse, étant donné qu'UK avait changé de comportement, sachant que France était vraiment une bonne mère, elle commençait à penser que c'était pour la française que l'anglais faisait tellement d'effort avec ses enfants. Rien de trop sérieux comme doute.

En fait, en la regardant dormir si paisiblement, son envie de vivre avec elle n'en était que plus forte. Sauf que ça voulait dire être au grand jour... il le savait très bien, il gâchait toujours tout quand ça devenait public. Déjà, selon lui, il n'y avait rien de plus gênant que de s'afficher, c'est à dire ce tenir la main, s'embrasser... France adorait faire cela. Un peu pour le faire rougir, surtout parce qu'elle s'en fichait de ce qu'on pouvait penser d'elle.

Combien de crise avait-il déjà fait juste parce qu'elle l'embrassait et lui disait « a ce soir » ? Assez pour que, vers 2015, soit un an environ avant leur dernière rupture, elle avait décidé de laissé faire le britannique pour tout ce qui était « romantique ».

S'en était au point où ils ne marchaient même plus l'un à coté de l'autre. En même temps, il fallait comprendre la bêtise du personnage ! Il était terriblement gêné que tout le monde le regardait parce qu'elle était juste sublime et qu'il était avec elle ! Que c'était impudique qu'elle se serre un peu contre lui... indiscret qu'ils s'embrassent... surtout, il ne supportait pas d'être surnommé « the first lady tomato ». Son égo était touché, non seulement c'était lui le « conjoint » mais, en plus, on faisait tout le temps référence au fait qu'il rougissait...

Il avait peur de retomber dans ses vieux travers si ça venait à se savoir. Il ne voulait plus la repousser juste parce qu'il trouvait ça gênant qu'elle soit démonstrative... ou parce qu'il faisait une crise d'orgueil mal placé.

Mais bon, ça, il entendait déjà « Faux » hurler dans son esprit que jamais ça n'arrivera avec lui. Pire, il avait clairement en tête de faire le coup à France, se disant que ça la ferait bien rire en plus de la rendre encore plus adorable.

Il tendit alors la main, souriant, pour caresser doucement la joue de sa belle alors que un fin filet de lumière traversait les épais rideaux. La pièce était bien chaude même si le feu dans la cheminé n'était plus que des braises. L'anglais n'avait même pas eut le temps de ne serais-ce que la frôler qu'elle se blottit contre lui, France faisait souvent ça.
« J'adore son pyjama, she's adorable with that. » ricana Irlande... celui dans sa tête.

« I prefer naked, personally. » boudait presque Pays de Galle, lui qui ne pouvait que se rincer l'oeil.

« Shut up. » stoppa alors Faux, ne supportant pas les commentaires des autres.

Il leur en voulait tellement à eux. C'était eux qui avaient influencer UK, qui avait provoqués la séparation de la personnalité principal. Même s'ils en étaient aussi un fragment, il ne leur pardonnera pas à eux. Son autre lui... il était obligé de lui pardonner s'il voulait pouvoir être avec sa chère et tendre sans avoir à prendre le contrôle et les endormir pour avoir la paix. Sauf que « vrai » faisait toujours une terrible crise de jalousie à chaque réveil, même un tout petit, même quand il laissait le contrôle.
La dernière fois, après le premier rendez-vous chez le psy, il lui avait laissé le contrôle... et il s'attendait à quoi ? Qu'il le laisse récupérer le contrôle au moment d'aller au lit juste parce qu'il était jaloux ?

En réponse, il l'avait juste endormit... et, depuis, UK n'avait plus envie qu'on prenne sa place, se contentant de ses conseils. Excellent conseils puisque France était la, dans ses bras, souriante et paisiblement endormit.

Si belle...

« Réveil la doucement. » proposa Faux.

« -Mh ? » le plus faiblement possible, il ne comprenait pas pourquoi.
L'anglais n'avait pas envie de la réveiller, elle avait besoin d'être dérangée alors qu'elle récupérait.

« Si tu la réveil, tu pourras la retenir au lit. Si elle se réveille toute seule, ce qui ne va pas tarder, elle va tout de suite se lever. »

Hésitant encore un peu, quand elle commença à s'agiter contre lui, il se décida à la réveiller en douceur. D'abord, il lui caressa la joue pour lui faire entre ouvrir doucement les yeux.

« -Bonjour l'anglais. » semblant déjà bien réveillée.

« -Hello French. » souriant.

« -Tu es réveillé depuis longtemps ?

-No, une petite demi-heure, pas plus. »

Soudain, un énorme bruit. Le couple se regarda avant que l'anglais ne se lève, le bruit continuant encore, il se décida à aller voir. En peignoir donc, il ouvrit la porte et tomba sur deux employés à l'autre bout du couloir qui ricanaient. Les deux gouvernants lisaient un magazine style tabloïdes... encore des ragots donc. Faire tout ce bruit si tôt le matin, au lieux de travailler, pour de pareil bêtises. Il s'approcha alors, aucun des deux ne prêta attention à leur patron jusqu'à ce qu'il se racle la gorge.

Ils sursautèrent, en laissant tomber l'énorme édition spécial sur le sol, se dépêchant de faire la révérence.

« -May I know if that is so funny ?

-Nothing Sir.

-So don't make any more noise ! I try to sleep.

-Forgive us, sir.

-This will not happen again.

-Get back to work. » il ramassa le magazine et, sans jeter le moindre coup d'oeil, leur jeta.

« -And release this horror from me. » toujours très calme, retournant dans sa chambre en fermant la porte, sans la claquer, malgré un agacement plus que visible... qui disparut dès que son regard se reposa sur France, endormit à nouveau.

« Nice, elle ne sait pas levée. » sourit son autre lui.

« Retourne te coucher mais, attention, don't wake her up. » se retenant de prendre le contrôle, juste pour le plaisir de sentir France dans ses bras...

Mais il se retenait du mieux qu'il pouvait alors que son lui aux manettes se rendormait, ne prenant absolument aucune attention à l'incident. Aucune de ses personnalités d'ailleurs...

Pourtant, ils devraient.

En effet, le voyeurisme et l'intrusion dans la vie privé ne se limitait pas à ce numéro spécial remplit de photo vrai mais de faux titre dit « pute à click ». Maintenant, tout le site du tabloïde n'était plus que sur un thème, les chaines info même tournait sur ce petit « scandale » people et pas que chez UK, un peu dans tout l'Europe, jusqu'à même passer outre Atlantique, outre Pacifique et même chez Russie, Chine et tout le monde. Non seulement l'information passa pour « la grande nouvelle » célébrité du moment mais, en plus, pour une grande révolution politique.

Tout ça grâce à une dizaine de photo que, maintenant, tout le monde connaissait et, en plus, de fausses légendes pour les commentés avec des soit disant preuve tout aussi inventées que les idées qu'elles justifiaient.

Dix heure du matin, Liberté se réveilla, alla prendre une douche quand elle vit le nombre monstrueux de messages et d'appelle qu'elle avait reçu. La plus jeune des fille de France regarda alors, se disant que ça devait être une panique familiale ou l'organisation d'un anniversaire, rien d'inquiétant. Mais, quand elle vit que ça venait du bureau de sa mère, de ses conseillers, ministres, secrétaire d'Etat, et beaucoup plus, elle commença à s'inquiéter.
Quand un énième appel du Premier ministre arriva, elle décrocha.

« -Hallo ? Un problème ?

-Enorme ! Pouvez vous contacter France ? C'est urgent !

-Elle ne décroche pas ?

-Non et elle n'est pas chez elle.

-Pas chez elle ? Vous êtes sur ?
-Liberté, je pense que vous ne saisissez pas bien ce qui se passe.
-On est attaqué ?

-Euh... non ? » étonnée qu'elle ne soit pas déjà au courant.
« -Crise en vue ?

-Politique et social en plus de territorial, oui.

-Ah. Et qu'est-ce qui la cause ?

-Mais regardez la press ! Allumez la télévision ou internet ! Mais dites moi où est France !

-Hey, du calme mon vieux, je m'en occupe. » en raccrochant.

Une crise politique, social et territorial ? Rien que ça... et celui la qui ne voulait rien lui dire. Elle voulait bien que c'était stressant d'être ministre, encore plus Premier ministre mais tout de même. Et cette histoire, il était dix heure du matin, à cette heure-ci, sa mère travaillait déjà depuis au moins deux heures ! Ce gouvernement n'était décidément pas très capable, vivement le suivant se dit Liberté en descendant pour récupérer son ordinateur des mains de Vichy.
Il devait déjà être réveillé et « travailler » dessus. Depuis quelques temps, il s'était découvert une passion pour le codage et les jeux vidéos. Une super nouvelle pour sa jumelle, ravie de ne plus avoir à le surveiller tout le temps puisqu'il avait définitivement changé de profession. En descendant, elle trouva son jumeau, la tête posé sur le bureau à coté de l'ordinateur encore allumé sur des dizaines de centaine de lignes incompréhensible pour elle.
C'était très amusant de le voir travailler comme ça, passionné... par contre, le fait qu'il bavait sur la table, ça, elle supportait moins.

« -Aller, debout petit frère. » en lui tapotant du bout des doigts le front.

Vichy se redressa alors d'un coup, pointant du doigt sa soeur.

« -On est jumeau, y'a pas d'ainé et de cadet !

-Si, deux deux minutes et c'est moi.

-Qu'est-ce qu'il faut pas entendre comme connerie de bon matin. » s'essuyant le visage d'une main, sauvegardant son travail de l'autre.

« -Beurk. » grimaça Liberté en voyant l'état de son meuble.

« -Je vais nettoyer...

-Tu veux pas dormir dans ton lit ?

-C'est pas toi qui passe ta vie à t'endormir en travaillant ?

-Oui mais... moi, j'essaie d'imiter maman, c'est pas pareil.

-Maman ne s'endors jamais en travaillant.
-Elle est pas humaine.

-Ben oui, c'est maman. » conclu Vichy en nettoyant sa bave.

« -Bref. j'ai pas bavé sur le PC, c'est l'essentiel.

-Oui, heureusement parce que j'en ai besoin.

-Mh ? Toi ? Toucher un ordinateur pour t'en servir autrement que comme une machine à écrire ? » émerveillé.

« -Aurait-on enfin un point commun ?

-Aucun. J'ai juste besoin de voir les infos. Monsieur le Premier ministre m'a téléphoné ce matin, en panique, pour me dire qu'il arrive pas à contacter maman.

-Il est con ou quoi ? Il a qu'à aller dans son bureau.

-Soit disant, elle n'y ai pas.

-Alors chez elle.

-Non plus, introuvable et elle décroche pas.

-Ah, ben t'as qu'à l'appeler alors. Elle décroche toujours pour un de ses enfants.

-Justement, tu vas te rendre utile. Toi, tu téléphone à maman, moi je fais mes petites recherches pendant ce temps.

-Euh... moi ?

-Oui, toi.

-Mais...

-Ben, au dernière nouvelle, t'es son fils ? » La mâchoire de Vichy manqua de se décrocher.

« -Répète ?

-T'es son fils comme tu es mon frère.

-Fantastique ! Je suis enfin passé du traitre à frère !

-Ah non mais tu es...

-Non ! Dis c'est dis ! Mais, je pense qu'il vaut quand même mieux faire l'inverse. »

Liberté, complètement exaspérée, soupira avant de lui mettre une pichenette pile entre les deux yeux.

« -Aie !

-Fais ce que je te demande sans discuter. Et arrête de réagir comme ça, ça fait longtemps que tout le monde t'as pardonné d'avoir été encore plus idiot que tu ne l'ai déjà.

-Deux mots : Quatrième République.

-maman avait prit sa retraite !

-Je dis juste que c'est la preuve de ton incompétence dans le domaine politique.

-Même pas vrai. Aller, fait ce que je dis. » en faisant sèchement un signe de la main.

« -Oui oui. » il prit son téléphone, laissant la place devant le clavier à sa soeur.

Elle commença par choisir un moteur de recherche mais, à peine avait-elle ouvert sur la page d'accueil qu'elle poussa un cris, choquée. Vichy se retourna, sans comprendre, ça ne sonnait même pas encore de son coté, elle devait pas encore avoir trouvée ce qu'elle voulait. Oh non, elle était tombé sur ce qu'il codait ?

« -Ça va c'est pas si... » il regarda alors l'écran et raccrocha.

« -Je vais le massacrer. » dirent les deux en même temps.

Pendant ce temps, Alsace aidait Néo à faire ses devoirs pendant que Germany, dans la chambre d'Ambre, berçait doucement sa petite soeur assit dans le grand fauteuil prévue pour ça sous le regard attentif de son père.

Alors non, il ne doutait absolument pas du fait que son fils arrivait à tenir et prendre soin d'un bébé, même, il devait mieux le savoir que lui-même. Mais son ainé venait de sortir de l'hôpital, en fait, il était même ici parce qu'il ne pouvait pas rester seul chez lui. Alsace l'avait bien évidement accueilli et prenait soin de lui... en plus du bébé... et de Third du coup qui, malgré tout, restait aussi malade.

« -Ein richtiger kleiner Engel. » sourit le grand frère.

« -Ja.

-Elle ressemble beaucoup à Alsace.

-Ja... je sais.

-Tu n'es pas content ?

-Oh si, elle est adorable. C'est pour te dire, ça ne me dérange même pas de ne pas dormir la nuit. » souriant.

« -En plus, j'arrive à la faire rire.

-Du ?

-Oui, moi.

-Pas que Néo donc ?

-Nein.

-Mais avec sa méthode, je présume ?

-Mh... es bleibt zwischen uns ? » Germany rit... même si c'était étrange de voir Third être... comme ça.

Ambre avait de la chance... une chance qu'il n'avait pas eut. Quoi que, il avait eut Alsace donc la dessus, ils étaient parfaitement égaux. La petite regardait l'allemand qui semblait la fixer mais... pas vraiment ? En réalité, il était perdu dans ses pensées. Alors, avec tout le caractère qui l'a définissait déjà largement, elle gonfla les joues et tendit la main aussi haut qu'elle le put.
Objectif : la joue de son grand frère !

Pourquoi ?
Allez savoir ce qui se passe dans l'esprit d'un si petit bout de choux. Enfin, quand le bout de ses petits doigts atteignirent leur but, faisant sourire son frère qui lui sourit, elle poussa un petit cris, semblant être de la fierté.

« -Bravo ma puce. » félicita alors celui qui l'a tenait.

« -Third ! » appela Alsace.

« -Ah. Euh... ça va aller Germany ? Je peux te...

-Oui, bien sur.

-Si ça va, tu appel.

-Ja. De toute façon, je reste assit avec Ambre.

-D'accord...

-Third ! Tu viens s'il te plait ? » appela encore Alsace.

« -J'arrive. » il descendit.

« -Qu'est-ce qui se passe ?

-Tu peux m'aider s'il te plait ? » elle était sur un escabeau, essayant d'attraper quelque chose tout en haut du meuble de la cuisine.

« -Tu ne veux pas plutôt que je monte ?

-Non non, ça va. Je veux pas que tu tombe.

-Mais ça va mieux, je t'assure.

-Third, aide moi juste. » en lui tendant e qu'elle voulait descendre.

« -Ja... » il prit ce que sa femme lui donnait avant de regarder.

« -C'est quoi ? » un grand coffre en bois.

« -Ouf ! » en sautant en bas, contente de retrouver le sol.

« -Des vieilles affaires de bébés et d'enfants. Je les ai enfin retrouvés.

-Oh. » il posa le coffre et voulue l'ouvrir quand la région l'arrêta.

« -Ah non, tu attend.

-Aller, je suis curieux. Il y a des affaires de toi petite ?

-Pas que. Aussi d'Haut-Rhin et Bas-Rhin, Germany, Néo.

-Néo ? Et je l'ai jamais vue.

-Mais oui ! Je l'avais rangé il y a... trois ou quatre ans ? Je sais plus mais il y a des affaires de Néo. » Third tourna alors la tête vers son neveux.

« -Néo, lâche ta tablette et vient voir.

-Euh... » hésita le plus jeune.

« -Néo. » un peu plus autoritaire, son neveu n'était pas souvent devant un écran, ce n'était pas ça le problème.
Il voulait surtout voir le contenue et savait bien que Néo pourrait l'ouvrir sans soucis et sans opposition d'Alsace.

« -Attendez, vous... devriez voir ça. » en apportant sa tablette.

La région regarda alors Third, inquiète de se dire que le plus jeune avait peut être passé le contrôle parentale hyper fort qu'elle avait mit...

Mais non, rien, le petit était sur la page d'accueil, plus précisément sur la section « les nouvelles du jour ». Si, au début, Alsace était rassuré, quand elle entendit Third éclaté de rire alors qu'il lisait « l'article ».

« -Mh ? » la région regarda alors... aucune réaction.

Elle le savait déjà... après tout, elle avait aidée sa mère à se préparer pour le premier rendez vous...

La région prit la tablette entre ses mains, ignorant les titres, regardant juste les photos. Ignorant aussi son mari, se pliant en deux de rire, il en tomba même sur le sol. En l'entendant, Germany remit sa petite soeur dans son couffin et descendit.

« -Que ce passe-t-il ?

-Germany... » Néo vint lui faire un câlin, il avait les yeux remplit de larmes.

« -Dit, c'est pas vrai que mamie elle... elle...

-Elle quoi mon grand ? » en le prenant sur ses bras, sans comprendre.

« -Qu'elle va déménager chez papi UK ? Hein ? C'est trop loin... je... je la verrais moins et... » triste, il se blottit contre son cousin.

« -Mais bien sur que non, d'ou tu tiens cette drôle d'idée Néo ? » en lui caressant le dos, toujours sur ses bras.

« -De... de la... » toujours au sol, mort de rire.

« -Papa, arrête de rire. Néo est vraiment triste. » en entendant ça, le plus vieux des allemand se calma, regardant le pauvre petit blottit contre son fils, déprimé.

« -Ahr... mais non, Néo. » il prit son neveux sur les bras.

« -Jamais ta grand-mère France ferait ça. Non seulement elle est même pas avec ton papi UK mais, en plus, faudrait qu'elle soit tomber sur la tête pour...

-Euh...

-Mh... » Alsace et Germany eurent exactement la même réaction, sans que l'autre sache pourquoi.
En réalité, les deux savaient que France était bel et bien avec UK...

« -Warte... wirklich ? » Third devint alors blême.

« -Ils se sont vraiment remit ensemble ? »

Oui de la tête des deux qui savaient.

« -Mais alors...

-Elle... elle va... » Néo éclata en pleure.

« -Non ! Bien sur que non, Néo. Ce n'est que des bêtises écrit dans cet article, il n'y a rien de vrai. » calma la région.

« -V... vraiment ? Mamie va pas avoir un bébé ?

-Un... » cette fois, la région lue tout... avant de devoir s'assoir.

« -C'est n'importe quoi ! Ridicule ! Absurde ! »
Germany prit alors la tablette.

« -Es ist unglaublich... » il prit son portable, bien décidé à appelée France.
Est-ce qu'elle savait pour ces conneries ?

Il n'y avait pas d'autres mots pour qualifiés cette horreur ! Non seulement il y avait diffamation mais, en plus, vue les choses qui étaient présumé et les preuves données... tout le monde le savait, ça tournait en boule, ça enflait, se déformait encore plus...

Un beau bordel.

Mais elle ne décrochait pas...

Alors l'allemand se décida à essayer d'appeler UK... même résultat.

Aucun des deux n'avaient son téléphone d'allumé. En même temps, UK avait décidé d'apprendre à la française le concept de Week-end, soit deux vrai jours de congés. Donc... ils avaient tout les deux éteint leurs portables, c'était aussi pour ça qu'ils étaient chez le britannique... dans cette maison la précisément.

Ils étaient tranquille, rien qu'eux deux à faire la grâce matinée. France était comme ça, il suffisait qu'elle ne se lève pas tout de suite pour se rendormir très rapidement. L'anglais aussi s'était rendormit paisiblement... calmement... rien ne pouvait le réveiller... sauf quelqu'un qui toquait à sa porte. Non, il ne bougera pas, ouvrant juste un oeil pour être sur que France ne soit pas dérangée. Rien, elle ne semblait même pas entendre, heureusement. Il se décida donc à ignorer celui qui toquait... non mais, déjà qu'ils faisaient un bruit fou, ils ne respectaient même plus sa journée de congé ? Qu'est-ce qui leur prenaient à la fin ?
Non, il allait ignorer, si c'était vraiment important, ils n'avaient qu'à insister... chose qu'ils firent et même jusqu'à appeler.

« -Sir ? » première tentative.

Non, pas question !

« -Mh... » soupira France, émergeant à nouveau.

« -Rendors toi. » lui murmura doucement son compagnon.

« -Ok... » elle se tourna pour se rendormir tendit que lui se levait pour aller ouvrir...
« -What is going on ?

-Sir, we ask you.

-Which ? » il n'eut pas le temps de répondre que son patron fit un signe de la main tout en regardant dans la chambre sans laisser l'autre voir avec qui il était.

« -Regardless, I am here to rest. Tell them to... to get out.

-But... Sir, is...

-I do not care. » il referma la porte.

Comment être tranquille alors qu'on venait les déranger toute les trente secondes ? Et puis... il se dit que quelque chose de grave devait tout de même se passer. Il hésita alors, ne sachant pas s'il devait vraiment prendre se téléphone et regarder... ou juste retourner se coucher. Il soupira, ne sachant pas quoi faire, il décida de suivre l'une des recommandation du psy soit écouter les conseils de ses autres personnalités.

Il se mit devait le miroir.

« -So... an opinion ? » soupira-t-il.

« -Go back to bed.

-Look at your phone !

-No, wake up France and...

-Shut up Ireland. » arrêta Faux.

« -Regarde ton téléphone. » continua-t-il, aussi inquiet que son autre lui.

« -Mais laisse la dormir.

-I have a bad feeling. » ajouta Pays de Galle qui n'avait qu'une envie : suivre le conseil d'Irlande malgré tout.

UK soupira avant de se détourner du miroir pour suivre le conseil de « Faux », encore la meilleure chose à faire. Surtout qu'il ne pouvait s'empêcher de surveiller France du coin de l'oeil. Elle avait l'air si bien endormit et en avait besoin...

Il se décida donc à regarder ce qui se passait dans le monde pour qu'on le dérange dans son petit coin de paix et de repos...

Une photo de lui et de sa maitresse... chez elle, c'était une photo volé à travers les rideaux du salon. Ils étaient en train de s'embrasser... et ils y avaient des dizaines, des centaines de photos comme ça.

Si seulement il n'y avait que ça.

Il y avait mille fois pire... les articles qui utilisaient les photos comme illustration. Si toutes les photos étaient vrais, le reste étaient absolument faux. Entre les « preuves » de leurs mariage secret, du « cinquième » enfant en route, du fait qu'elle est actuellement en train d'emménager chez lui...

Et avec des photos de la veille en plus !

Il y avait une photo de ce qui c'était passé la veille ! Dans ce château... celui qui était sensé être hyper sécurisé et discret... il allait avoir une conversation avec son service de sécurité.

Une très sérieuse conversation.

Plus il lisait, plus il devenait rouge, entre la gêne d'être affiché ainsi et la colère. C'était insupportable... comment ça pouvait aller ! Non seulement toute cette histoire tournait en boucle partout depuis ce matin... tout les mensonges !

Les problèmes avec les enfants...

Et politique ! Soit disant que leurs « retrouvailles romantiques » n'étaient que la conclusion d'une fusion de leurs deux territoires. La catastrophe intégrale. Eux qui ne voulaient pas que ça se sache pour qu'ils puissent prendre leurs temps, annoncer ça comme ils voulaient et quand ils le voulaient à leurs enfants, séparer le professionnel du personnel une bonne fois pour toute !

Raté... complètement raté.

La dessus, toutes ses personnalités et lui tombèrent d'accord, il fallait réveiller France... dommage pour la journée de repos mais c'était une vrai crise.

Une heure plus tard, le bureau présidentiel français. Tout les ministres et tout les enfants de France y étaient et l'attendait de pied ferme. Ils attendaient, pour la grande majorité, des réponses et, ceux qui en avaient déjà une parties, voulaient être rassurés. Ils voulaient être sur, l'entendre de la bouche de l'Etat que ce qui étaient dit étaient faux.

Un silence de mort dans le bureau en attendant quand, enfin, la porte s'ouvrit, tout le monde se leva.

« -Messieurs, mesdames, excusez moi pour l'attente. » dit France en entrant, allant s'assoir à sa place.

« -Vous êtes injoignable depuis des heures ! » commença tout de suite son Premier Ministre.

« -Oh, pardon, j'avais oubliée que vous étiez mon patron et que j'avais des comptes à vous rendre. » froidement, il présenta alors ses excuses.

« -Je ne comprend même pas vos réactions. Le simple fait qu'un seul membre de mon gouvernement à put croire en ses conneries me donne envie de vous renvoyer. » gronda-t-elle, se retenant de crier.

« -Mais, comme il semble que vous croyez plutôt des tabloïdes absurde, je vais perdre mon temps en de futiles explications. » une profonde inspiration avant de reprendre la parole, personne même pas ses enfants n'osant ouvrir la bouche.

« -Non, je ne me suis pas mariée en douce. Non, ça se voit en plus, je ne suis pas enceinte. Non, je ne compte pas faire la connerie de quitter l'Union Européenne. Et encore moins dans le but de fusionner mon territoire avec celui de Sir United Kingdom of Britannia. Et, enfin, non, je n'ai pas d'enfants caché avec lui, non, je n'ai pas mentit sur la paternité de certains de mes enfants alors que j'assume totalement pour d'autres. Il n'y a pas un mot de vrai dans cette putain d'histoire ! » plus elle parlait, plus sa voix se faisait cinglante, remplit de reproche.

En même temps, elle avait lue tout ce qui se disait sur elle, écoutés les messages laissé sur son téléphone, lue mail et messages... son envie de meurtre était plus que justifié.

« -Des questions ?

-Moi, une. » dit Vichy, presque autant en colère que sa mère.

« -Tu dis que tout ce qui est écrit est faux mais les photos aussi ?

-Non. Les photos sont vrais et, oui, je suis à nouveau avec UK mais c'est tout. Et pas depuis je ne sais quand mais depuis quelques mois. » elle fit signe aux ministres de sortir, la suite ne les concernaient pas.

« -Prévenez ces chers journalistes, je vais prendre la parole pour démentir toutes ces conneries. » ils sortirent.

« -Bon... d'autres questions ? » et le flux commença.

« -Tu comptais nous le dire quand ?

-Tu es tombé sur la tête ?

-Tu sais qu'il va te briser le coeur ? Encore ?

-Je peux le tuer ?

-Vous compté vous marier cette fois ?

-Tu l'aime ?

-Vous compté pas refait un enfant du coup ?

-Pourquoi lui ?

-Il t'a drogué ?

-Il a profité que t'étais à l'hôpital pour te sauter dessus ? »

France soupira.

« -Stop. C'est très différent cette fois. Vraiment... différent, je vais pas rentrer dans les détails mais, s'il vous plait, faites un effort.

-C'est pour ça que tu étais tellement heureuse ses derniers temps ?

-Un peu... beaucoup.

-Il y a quoi de différent ? » question légitime, France n'avait jamais dit ça avant.
Elle parlait plutôt de « réconciliation accidentel » à comprendre « on a couché ensemble et on se remet ensemble même si on sait comment ça va se finir ». Même, elle ne disait pas « ensemble » ou « en couple » plutôt... rien à part « ça recommence », surtout depuis 1945.

« -Vous comptez rester ensemble combien de temps ? » Liberté était surement la plus en colère avec Vichy.

Ils détestaient déjà tellement UK. Lui et France s'étaient « retrouvé » pendant la Première guerre mondial, vers la fin plus exactement. Non seulement, l'anglais c'était illustré par son absence du champ de bataille, le fait qu'il laisse plutôt une femme la bas au commandement direct... et leur mère pleurait encore à moitié leur père qu'il se jetait sur elle. C'est après que les jumeaux De France découvrirent le passé commun de l'anglais et de leur mère...

Ensuite, les bas avec les disputes de couples, difficile de dires s'ils étaient ensemble ou non. Ensuite, la Second Guerre Mondial, le comportement de l'anglais et le fait qu'il déclara très vite France morte ne fit que creuser la haine de Liberté contre lui. Ensuite, reprise, avec retour de France, de cette relation si étrange pour une rupture dans les larmes des deux en 1976... pour recommencer en 1999... et la rupture de Brexit.

Mais si les deux étaient tellement en colère, c'était surtout à cause des photos... France semblait si heureuse dessus, UK aussi. Cette histoire avait juste l'air d'une mauvaise blague qui allait se terminé en bain de sang !
Et la française s'en voudra à mort... parce que, oui, cette fois, il n'y aura pas besoin de pacte pour qu'elle veuille le tuer.

« -Non, la vrai question c'est : tu vas le tuer quand ? La prochaine tromperie ou le prochain coup de pute ?

-Coup à l'anglais tu devrais dire.

-Ça n'arrivera pas cette fois.

-Qu'est-ce que tu en sais ? »

France se leva.

« -J'ai envie d'y croire ?

-Grave erreur.

-Peut être. Si s'en ai une, je vous laisse le tuer. Si s'en ai pas une, temps mieux pour moi, non ? » elle sourit alors.

« -Bon, j'ai des journalistes à engueuler.

-Au fait, j'ai eu un message, USA and Co vont pas tardé à débarquer.

-Fantastique. » elle envoya un message à UK.

« °Tes fils débarquent mon cher. » même pas une minute plus tard, juste le temps de taper.

« *I know, ils sont en face de moi.

°Super, combo power of four plus Angleterre, Ecosse, Pays de Galle et Irlande ?

*Du nord et du sud. Et toi les régions bonus jumeaux ?

°Et réunion de press.

*Merde my Love.

°You too chéri. » les réponses se suivirent avant de se couper la, France devait vite y aller, on l'attendait pour enfin avoir un mot d'une moitié du « couple scandaleux » du jour.

Pendant ce temps, dans le bureau d'UK, les cris fusaient déjà alors qu'il n'y était pas encore. Quel idée de laisser ses neufs enfants dans la même pièce la première moitié ne pouvant pas supporter l'autre et inversement à causes de leurs mères. Les quatre plus âgés reprochants aux cinq autres d'avoir provoqués la ruptures de leurs parents et... inversement.

« -The only bastard here is you, USA !

-But go see in the mud if we are there Scotland !

-Shut up New Zealand !

-Oh ! But it is because England knows how to speak without being whistled.

-Shabby Canada, shabby ! » et un brouhaha sans fin...

Il entra finalement, tout les regards se tournèrent vers lui et, avec, la colère de tout ses enfants. D'ailleurs, UK avait tout de même de bons réflexes puisqu'il rattrapa une agrafeuse que lui jeta au visage Ecosse... heureusement qu'il l'avait rattrapé parce qu'elle visait bien et il se la serait prit entre les deux yeux.

« -Bien, bien... je vois que tout le monde a lue les idioties des tabloïdes... but, reassure me, no one believed it ?

-T'es mort.

-You fuck that bitch and we are not the right... » USA frappa alors Pays de Galle.

« -La seule salope c'est ta mère, pas la mienne, connard.

-Ça suffit ! » UK s'assura que celui au sol n'avait rien de grave, le coup n'avait pas été trop fort mais, tout de même de quoi laissé un jolie bleu au plus jeune des fils de l'anglais.

« -Mais qu'est-ce qui vous prend ?

-Comment t'as fait ? Tu lui a dit quoi pour la convaincre ? »
Angleterre siffla alors comme un serpent, sortant un peu de son silence soumis habituelle.

« -She must have jumped for joy on the wedding day, she won after all. » tout bas, n'osant pas vraiment parlé.

« -T'as dit quoi, la ? » grogna alors Nouvelle-Zélande, prêt à imiter l'américain.

« -J'ai dit, vue comme elle cours après le pouvoir, elle doit être contente d'être marié et de pouvoir le manipuler à sa guise ! » un effort sur-humain pour lui.

Canada pouffa alors de rire.

« -Mais bien sur, comme si maman avait besoin de Dad pour avoir du pouvoir ou de l'importance. C'est plutôt l'inverse. » il se tourna alors vers son père.

« -Tu espère quoi ? Qu'en te remettant avec elle, elle va tout te céder ? » laissant Nouvelle-Zélande expliqué, sur un ton plus qu'agressif, que jamais France n'épouserait UK en secret... même juste accepter de l'épouser serait un miracle.

« -That's enough ! » en sortant de ses gonds, chose incroyable pour le britannique.

« -Le prochain qui cris ou qui frappe, je le traine par la peau du cou dehors, it's understood ? » c'était si inhabituel venant de leur père qu'ils en restèrent tout les neuf bouche bée, n'osant plus faire le moindre bruit, comme quand ils étaient enfants au final.

« -Il n'y a rien de calculé, rien derrière cette histoire. Je n'espère rien au niveau des négociations, aucun de nous deux ne tirent aucun avantage à nous remettre avec l'autre. » il s'assit.

« -Je ne compte pas vous négliger ou...

-C'est pour ça que tu es si gentil est compréhensif. Is she the one who asked you to be ? » demanda Irlande du Sud, la plus calme de tous... surtout qu'elle aimait bien France... c'était surement la seule.

« -Non, elle ne...

-Bien sur que si ! » arrêta Irlande du Nord.

« -C'est toujours pareil, quand tu es avec elle, tu joue les bons papa et, à la moindre dispute, you treat us like shit.

-I know... ça n'arrivera plus, je vous le jure. »

USA retira ses lunettes de soleil, laissant voir ses yeux gris, chose très rare. Il fit mine de les nettoyer mais tout le monde savait que, quand il faisait ça, c'était pour mettre un coup de pression.

« -Soit. I will believe you. Mais, soyons clair, je te rappel que, quand tu as Brexit, j'ai promis de te soutenir si tu laissais ma mère tranquille. Since you broke your word, I no longer have to keep mine.

-J'en conviens.

-Alors, je vais te proposer un autre accord. Je continue de te soutenir... » ses yeux se tournèrent alors vers UK, un regard glaçant capable de faire frissonner d'angoisse un Ice Berg.

Il avait bien les yeux de sa mère, pas de doute. Combiné au regard toujours statique et dure de son père, il avait le meilleur du pire de ses deux parents.

« -Mais recommence tes conneries et I let you die with its stupidities which serve you as children. » il remit ses fameuses lunettes d'un noir absolue et partit, les mains jointes dans le dos, signe qu'il ne savait pas vraiment quoi penser de la situation.

Pays de Galle regarda les trois autres, étonné qu'ils ne suivaient pas leur ainé comme les petits chiens qu'ils étaient depuis quelques temps.

« -So we don't follow our master ?

-Je suis très, très gentil, Pays de Galle, but don't push me to the limit, will you ? » menaça Canada en se levant pour se mettre devant son frère.

La ce n'était pas le gentil nounours, très grand et imposant mais qui ne ferait pas de mal à une mouche...

« -Compris ?

-Pff... si tu crois que j'ai...

-Canada, tu sors. » arrêta UK.

« -It's better. » il partit.

« -Je vais voir ma mère, j'aimerais avoir sa version. » cacha Nouvelle-Zélande qui ne croyait rien de ce qui sortait de la bouche de son père, question d'habitude.

Seul Australie restait face aux autres.

« -Tu te rend compte qu'avec tes histoires, on s'est mis maman à dos et pas que ? Qu'on a quand même fait des arrangement contre une alliée ? » un peu pensif.

« -I know.

-USA, Canada, Nouvelle-Zélande et les autres assholes... » à comprendre Angleterre, Ecosse, Pays de Galle et les Irlande.

« -Te pardonneront surement très, très vite... not me. » et il partit à son tour, c'est le seul qui n'alla pas chez France ensuite, préférant rentrer chez lui, retrouver ses serpents et autres créatures adorés... eux, au moins, ne lui causait pas tellement de problèmes !

Les autres partirent aussi, ne voulant plus parler à leur père.

« Shit... » soupira Faux, désespéré par la situation, ne dit plus rien, déprimé.
UK passa, comme France, le reste de la journée à essayer de calmer le crise. Alors que le scandale se calmait sous les vrais information et le dépôt de plainte pour diffamation fait, les deux Etats se retrouvèrent chez la française. Les deux étaient plus que fatigué par cette journée hyper chargé... entre les enfants, les journalistes, les autres qui étaient curieux ou inquiets et tout le reste. L'anglais trouva alors sa compagne sur le canapé, elle était encore en tailleur, semblant l'attendre.

« -Coucou... » un faible sourire.

« -Hello. » même réaction en allant s'assoir près d'elle, l'enlaçant.

« -Je ne te demande pas ta journée... » elle posa sa tête sur l'épaules d'UK, montant ses jambes sur le canapé.

« -You were very good at your press conference.

-Merci, tu étais aussi très bien... dommage que la seule chose qu'on est retenue c'est que tu avais un costume noir et bleu. »

Il l'a regarda, ses vêtements surtout... un tailleur pantalon bleu et noir.

« -God... sérieusement ?

-Oui... enfin, ça change, normalement c'est moi qui me prend ce genre de remarque.

-If they knew... c'est toi qui m'a offert ce costume. » souriant.

« -Tu pense que ce serait un peu trop que je répond que c'est un cadeau de toi ?

-Oh non, sinon ils ne seraient que choqué de l'âge de ton costume. » riant doucement.

Mais les deux prirent alors une mine grave et France posa alors la question :

« -Comment l'on prit tes enfants ?

-More badly, you die. Et les tiens ?

-Les régions digèrent mais sont inquiet... Liberté et Vichy l'ont très mal prit... mais ils veulent bien faire un effort. Méfie toi tout de même, les laisse pas passé dans ton dos.

-J'en prend note... et les notre ?

-Complexe, ils ne m'ont que posé des questions... et je ne sais pas trop, d'un ôté ils étaient content ?

-Mais inquiet... » il serra doucement celle qu'il aimait contre lui.

Tout ça était de sa faute, il n'avait pas été prudent, il avait tellement fait de mal à sa famille, à France. Il se mit à trembler, il y avait tellement de bruit, ses autres personnalités faisaient trop de bruits, ils s'étaient tous mit à parler d'un coup, c'était incompréhensible, ils parlaient pour rien dire, juste pour lui faire mal...

Le regard perdu dans le vide, il entendit quelque chose...

« -UK ? » tout doux, le secouant doucement, juste pour le sortir de cette état plus qu'inquiétant.

« -Tu m'entend ?

-Mh ? Of course, yes. » il l'a regarda... ça allait mieux.

Alors il sourit et l'a prit dans ses bras, lui caressant le dos.

« -Tu saigne du nez. » elle lui donna un paquet de mouchoir en papier.

« -Oh ! Thank you. » il le prit et constata que, oui, il saignait bien... et pas qu'un peu.

Juste à la regarder prendre soin de lui, il se sentait mieux. c'était un moment calme après cette journée qui avait été bien trop mouvementé par rapport à ce qu'il avait prévue. C'est alors qu'il vit son regard... elle était si triste. Bien que que ça n'allait pas, ses enfants étaient en colère, peut être même contre elle...

Alors il lui prit les mains.

« -It's going to be fine, I'm here. » rassurant.

France lui caressa juste la joue, retrouvant doucement son sourire.

« -Encore heureux, je te rappel qu'on est marié et qu'on va avoir un septième enfants ?

-Mais tout à fait, sauf si on a encore des jumeaux. »
Un silence, UK hésita un peu. On lui avait conseillé, pour définitivement calmé cette histoire qui semblait énormément intéressé, de... de faire quelque chose que France n'allait pas du tout apprécier : créer un compte Instagram pour leur couple.

« -Un de mes conseiller m'a...

-On en parle demain, moi aussi on m'a refilé pleins de conseils... mais la, j'ai envie de me reposer.

-I often dreamed of hearing you say that. » il la souleva et la porta comme une princesse.

« -In bed !

-J'adore ne pas avoir besoin de marcher. » en s'accrochant à son cou.

Bien sur, le scène fut rendu public le lendemain par une énième photo volé... elles étaient belles ses photos... dommage qu'elles étaient détournés par des horreurs écrit dessus.

Mais impossible de convaincre France pour le compte Instagram... c'était une tel évidence que l'anglais ne lui fit pas la proposition.

Ils trouveront bien une autre solution.

En attendant, ils continuaient comme si ce jour noir n'avait jamais eut lieux.
Pas question de descendre de leur petit nuage.

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