Countryhuman : L'intervention démoniaque
En enfer, le calme régnait enfin. Avec la grande masse des tarés qui y avaient été envoyé en moins, c'était presque le paradis... du moins, pour la tenancière ! Elle avait envoyé l'autre connasse de N***** au plus profond de l'enfer, la où les cas les plus dangereux étaient et la paix continuait... le calme... la tranquillité...
L'ennuie...
Le diable s'ennuyait terriblement en enfer. Et, ce n'était pas ce qui se passait sur terre qui allait la réconforter...
UK et France étaient à nouveau ensemble ? Pas une grande surprise, ils étaient ce que les vivants appelaient « âmes soeurs »... pareil pour Prussia et Russia Empire, rien d'étonnant à ce qu'ils se remettent ensemble.
Alsace et Third avaient eut un bébé ? Petite inquiétude vue que le père était ressuscité... mais, c'était aussi le cas de la génitrice de Néo et il allait très bien, plus de peur que de mal, c'était sur.
Oh ! Et l'anglais avait tué l'autre garce... c'était amusant de la voir de retour. Elle qui avait échappée à son contrat par une belle entourloupe, la voila rattrapé par le destin. N***** n'en croyait pas ses yeux quand elle se retrouva à nouveau dans la salle de torture, surtout d'y avoir été renvoyé par UK. La reine des enfer ne savait quoi en penser. Devait-elle alourdir l'âme du britannique pour se crime ? Il avait tué après tout. Ou, au contraire, l'alléger puisqu'il avait remit l'allemande entre les mains de son bourreau légitime. Que faire ?
Punir ou récompenser ?
Peu importait... vue ses crimes passé, le soulager un peu ne changerait pas grande chose. En même temps, on parle tout de même de la personne qui avait mit à feu et à sang la moitié du monde pour des épices... pour ne toujours pas arriver à cuisiner quoi que ce soit de comestible ! Juste pour ça, pour sa cuisine, il méritait de souffrir pour l'éternité.
Ça n'empêchait pas qu'elle s'ennuyait à mourrir... que pouvait-elle faire pour changer cela ? La dernière fois qu'elle s'était amusée, c'était quand France avait passé son pacte qui l'a privait de ses émotions. Ça, c'était amusant !
Même si...
Et bien, après réflexion, elle n'était pas allé très loin de son envie de vengeance. Pourtant, en regardant son passé, elle avait déjà fait mille fois mieux... n'était-elle pas une « Ombre » ? Et pas n'importe laquelle, celle qui avait presque tuer Prussia trois fois, UK une fois, Empire six... et le seul qu'elle aurait dû tuer, selon la mission, était l'anglais.
Même, Third était incroyablement calme, il regrettait un peu de ne plus faire peur mais c'était tout. Il aimait même sa nouvelle vie, plus que l'ancienne. Et les autres ressuscités n'étaient pas mieux ! Pas au vrai faux pas ! Pas une violation de contrat ! Rien. C'était trop efficace comme système de réinsertion.
URSS était redevenue le gentil papa qui passait des heures à jouer avec ses enfants, Empire était un grand frère hyper fusionnel, Japan-Empire s'intéressait même au manga pour faire plaisir à sa fille. Fascist et son fils qui cuisinaient ensemble, très content de s'amuser comme ça et tellement d'autres choses ! D'ailleurs, seul chose un peu amusante, France, Prussia, Pologne et Japan-Empire étaient devenues tellement bonnes copines qu'elles se faisaient une soirée fille une fois par mois.
Que faire ?
Ressusciter d'autres ? Non, elle avait lâcher ceux qui voulaient vraiment avoir une rédemption... et une intrus. Une qui avait mit un bordel monstrueusement amusant, certe, mais tout de même un chaos inutile.
Pas question de ramener qui que se soit de plus.
Mais alors, que faire ? Que faire pour tromper son ennuie ? Que faire pour s'amuser vraiment ?
Et la, une idée diabolique alors qu'elle regardait USA, Canada, Australie et Nouvelle-Zélande arriver l'un après l'autre devant chez leur mère. Les quatre frères riaient bien ensemble, visiblement, et maintenant que le « buzz » autour du couple que reformait leur parents c'était largement calmé, ils étaient presque heureux. Surtout que, bon, il fallait l'admettre, ils étaient un petit couple adorable... un petit couple pleins de culpabilité et de mauvais côtés tous plus atroces les uns que les autres.
Les quatre entrèrent et allèrent dans la cuisine. Il y avait du monde chez la française ! Pourquoi toute cette agitation ? Le diable se concentra.
« -Hello everybody ! » s'exclama USA, très heureux que, pour une fois, Australie ne lui as pas fait le coup des mains.
« -Comment ça va les gens ?
-Tiens, toujours aussi bruyant l'américain. » accueilli Liberté.
« -Comment ça va les trois muet ?
-Liberté, quel main ? » proposa l'australien en tendant ses deux mains fermé devant elle.
« -Maman ! Il recommence ! » appela alors la plus jeune.
« -Qui est-ce qui... » elle arriva, regardant Australie.
« -Ah. Coucou vous quatre.
-Tiens, maman, choisit une main. »
USA ricana en reculant d'un pas alors que les deux autres étaient complètement exaspérés.
« -Bien sur. » elle sourit, montrant la main gauche.
Il l'ouvrit pour dévoiler une énorme tarentule qui leva alors les deux pattes avant sans pour autant avoir l'air menaçante.
« -Queeny ! Ça fait une éternité. » elle la prit doucement dans ses mains et lui frotta doucement l'abdomen.
La petite bête se frotta avec plaisir contre le doigt de France, adorant visiblement les câlins.
USA devint pâle, il avait en horreur les araignées. C'était même sa plus grande phobie. Sa mère s'approcha alors, la petite bête toujours gentiment lové dans une de ses mains, à quémander des caresses de l'autre.
« -Bonjour mon fils, comment va tu ?
-M... mommy... please... do... don't...
-Oh, oui, tu as peur des araignées, je sais. Mais, moi, je n'aime pas que mes enfants se chamaille et encore moins qu'un d'eux jubile d'une dispute. » elle s'éloigna, laissant l'américain reprendre son souffle mais uniquement une fois qu'il avait perdu toute ses couleurs.
Third et URSS, assit à la table à mangé, étaient installé à la première place pour voir se spectacle. Ils étaient plié en deux de rire.
Canada soutenait son frère ainé tendit que Nouvelle-Zélande, qui devait aussi se retenir de rire, lança tout de même un regard noir au deux ex-tyran pour qu'ils arrêtent de se moquer. France, elle, alla rendre l'arachnide à son maitre.
« -Tiens, elle est adorable.
-Tu as bien caresser dans le sens du poil ?
-Bien sur. Tu sais, ce n'est pas la première tarentule que j'ai en main ! Au fait, tu as quel serpent sur toi ?
-Voldi. » en ouvrant sa main droite, laissant un long mais très fin reptile sortir de sa manche et poser sa tête dans sa paume.
« -Oh la la... qu'est-ce qu'il a grandit. » la française caressa alors les écailles de l'animal, souriante.
« -Hello s... » UK arriva et resta figé en voyant ce que faisait sa compagne.
Le père avait autant peur des serpents que son fils des araignées. Autant dire qu'avec Australie, ils étaient tout les deux servit.
« -Un... un serpent... Au... Australie... tu...
-Ce n'est pas un serpent. » France prit alors l'animal tout doucement et le laissa s'enrouler autour de son bras.
« -C'est Voldi.
-V... Voldi ?
-Oui, le serpent le plus jeune de la famille Slytherin. »
Australie se retenait autant que possible de ne pas rire alors que Queeny grimpait tranquillement sur lui jusqu'à se percher sur sa tête pour mieux voir.
Il y avait vraiment du monde. Tout le monde semblait de bonne humeur. Déjà, il y avait tout les enfants de France et d'UK, ensuite des amis, comme Germany, Pologne, un peu tout le monde, et puis ceux qui c'était incrusté, typiquement URSS, Empire de Russie, Second, Prussia, Japan-Empire et beaucoup d'autres. Mais pourquoi ? Il n'y avait absolument aucun événement... du moins, organisé par la propriétaire des lieux. En fait, c'était ses enfants qui, sachant maintenant qu'elle avait été malade, mais que UK, Empire, France et Autriche étaient maintenant guérit et plus du tout contagieux depuis plusieurs jours, lui avaient rendu visite pour ramener des choses à grignoter, discuter... et une chose en amenant une autre, tout le monde s'incrusta. Si, au début, la française avait envie de mettre tout le monde dehors... elle changea vite d'avis quand Néo arriva, lui offrit une petite fleur et, tout sourire, lui demanda comment elle allait.
Ah...
Elle ne pouvait pas résister à ses petits-enfants.
Pour preuve, quand elle vit Third, elle était plutôt contente, non pas qu'il soit venue, mais parce qu'il ramenait Ambre.
Une fois la généalogie de l'adorable reptile expliqué à l'anglais, la française le rendit à son fils.
« -Merci maman.
-Pour ?
-Pour t'intéresser comme ça à mes animaux.
-Oh, tu sais, je comprend tout a fait ta passion. » sourit-elle.
« -Je t'ai... » elle prit un peu son fils à part, laissant les deux autres aider UK et USA à reprendre leurs souffles.
« -Je t'ai surement transmit cette passion.
-Ah ?
-Je ne t'ai jamais parlé de la fois où j'ai adopter un bébé loup ?
-Never, je veux entendre cette histoire !
-Moi aussi ! » appela une petite voix.
Ils baissèrent la tête, tombant sur Néo.
« -Et je peux faire un câlin aussi à Voldi et Queeny tonton Australie ? »
En le voyant, l'araignée bondit sur la tête du jeune garçon. Néo sourit, content. Il n'aimait pas que les oiseaux pour le coup.
« -Ah, elle t'aime bien.
-C'est vrai ?
-Yes. Elle ne va jamais sur les gens qu'elle n'aime pas.
-Oh ! » encore plus heureux.
La petite bête allait s'installer confortablement sur la tête de Néo quand, soudain, elle aperçu Japan. Elle salua d'un geste et d'un sourire Australie qui rougit légèrement. Si l'enfant et Japan-Empire ne le virent pas, France et Queeny, elles, le remarquèrent. La gentille créature bondit alors sur la tête de la japonaise qui sursauta, ayant soudainement sentit quelque chose se poser sur sa tête. Elle se figea, se demandant ce que c'était, n'osant plus bouger d'un mini-mètre.
Australie, par peur que son araignée ne se fasse écrasé, se précipita.
« -Attend, ne bouge pas. » il récupéra Queeny, lui lançant un regard noir alors que Japan tourna doucement la tête.
« -C'est... c'est quoi ?
-Oh... euh... c'est mon araignée domestique. Mais, ne t'en fait pas, elle est... » en lui montrant.
C'est alors que le regard de la jeune femme s'illumina.
« -Elle est adorable ! » sourit-elle, faisant un petit coucou à l'arachnide.
« -Elle s'appelle comment ?
-Tu... n'as pas peur ?
-Non ! J'adore les arachnides et les insectes. Si j'avais sue que c'était ça sur ma tête, je n'aurais pas manqué de faire un arrêt cardiaque. » ria-t-elle doucement.
Australie sourit, un peu rouge. Décidément, la japonaise était surprenante.
« -Tu en a d'autres ?
-Oui, une centaine mais elles ne sont pas toutes aussi sociable que Queeny.
-Oh la chance ! »
Il sourit.
« -Tu as quoi comme espèce ? A part des petites tarentules trop chou ?
-Oh un peu de tout. Et pas que ceux qu'on trouve chez moi.
-Tu as des veuves noires ? Je rêve d'en voir une en vrai.
-Oui, même une européenne.
-Vraiment ? » ils continuèrent de parler d'araignées comme ça pendant... oh, facilement toute la soirée.
Japan adorait parler de petite bête en tout genre... comme Australie. Et, quelque chose qui inquiéta fortement USA, les deux préféraient de loin les petites bêtes hautement dangereuses à huit pattes. L'américain décida donc de soigneusement éviter son petit frère et Japan. Il préférait aller retrouver sa mère et son fils, installé sur le canapé. La française racontait sa passion d'enfance à son petit-fils soit recueilli et soigner tout les animaux blessé de la foret...
« -Des loups ?
-Oui, j'ai dû en soigner et relâcher... oh, une petite cinquantaine.
-Cinquante ? » s'exclama USA en s'installant à côté de France.
« -Je pensais pas tellement.
-Mais ils t'ont jamais mordue ? » demanda Néo, curieux.
« -Non, les loups sont plutôt craintif quand ils sont blessé. Donc il faut faire en sorte de ne jamais leur donner l'impression qu'ils sont piégés et les laisser venir à toi, jamais aller vers eux.
-Comment ça ?
-Et bien... on leur à bien expliqués qu'il ne faut jamais parler à un inconnue ou accepter quelque chose d'eux.
-Ben oui, c'est dangereux.
-Exactement.
-Mais toi, t'es gentille.
-Oui. C'est pour ça que j'ai put les soigner et les relâcher.
-Pourquoi tu les as pas gardé ?
-Euh...
-Oui, pourquoi momy ? » USA était aussi captivé que son fils.
« -Un loup, c'est pas fait pour vivre avec des humains, c'est mieux en liberté ou, du moins, dans un environnement fait pour lui. Pas dans un château entouré d'abrutit pomponné et couvert d'une horrible poudre blanche. »
Néo rit.
« -T'as dit un gros mot mamie.
-C'est un gros mot abrutit ?
-Oui.
-Ah. Autant pour moi. » elle lui fit un câlin.
« -Je ne recommencerais plus, promis.
-C'est bien mamie. » il sourit.
USA les regardaient... c'est fou ce que Néo et France étaient fusionnel. Elle était beaucoup plus proche de lui que de ses autres petit-enfants, mais eux étaient plus âgés aussi, ça jouait. Mais l'américain aimait à ce dire que c'était parce que son fils lui ressemblait terriblement... oui, USA était vraiment un fils à sa maman, avec une terrible envie depuis toujours d'être son petit préféré... sans se l'avouer. De toute façon, il savait pertinemment que sa mère ne faisait pas de favoritisme.
« -Bon. Qui veut boire quelque chose ? » proposa la plus âgée.
« -Un soda momy, please.
-Moi un jus de pomme mamie, s'il te plait.
-Tout de suite. » elle posa Néo sur les genoux d'USA et y alla.
« -Alors mon grand, comment ça va ?
-Bien. J'ai eut pleins de bon poing cette semaine à l'école ! »
Il sourit.
« -Je sais, ta tante me les as envoyé, I am very proud of you.
-Merci papa. » content.
USA c'était trouvé une occupation pour cette soirée improviser, discuter avec son petit dernier. Ils étaient si concentré qu'aucun des deux ne virent France poser leurs boissons devant eux.
Elle les laissa en tête à tête.
Maintenant, elle regardait un peu ce que tout le monde faisait. Tout allait bien, heureusement et parce que des petits groupes c'étaient formé. Elle était plus ou moins la seule... toute seule. Donc, profitant ce fait pour être toute seule, elle fila dans la seule pièce où il n'y avait personne, son bureau.
Pas pour travailler... juste se reposer un peu au calme !
Il y avait tellement de monde...
« -Besoin de calme ? »
La française sursauta.
« -Qui... oh. Bonjour.
-Bonjour. » sourit le diable.
« -Comment va-tu petite française ?
-Très bien, je n'ai pas besoin de pacte.
-Oh... quel dommage... moi qui voulait t'en proposer un gratuitement.
-Non, sans façon. Vraiment. Tout va très bien.
-Et un cadeau ?
-Non plus.
-Mais tu ne sais même pas ce que c'est.
-A part si c'est un soudain talent pour la cuisine, ça ne m'intéresse pas.
-Comment ça ?
-Mes enfants adorés veulent me donner un cour de pâtisserie.
-Aie. Ils savent que...
-Oui. » désespérée.
« -Bref. Dans tout les cas, quoi que tu propose, c'est non, désolée.
-Et si je ne te laissais pas le choix ?
-Je croyais que ce n'était pas possible ?
-De pactiser de force ? Tout à fait impossible. D'offrir quelque chose contre ton gré ? Parfaitement faisable ! Mais je préfèrerais que tu me fasse confiance.
-Mh.
-Est-ce que je t'ai déjà joué un mauvais tour ?
-Non mais moi à moi même, si. Donc je préfère être prudente.
-Très bonne mentalité ! Tu mérite bien ça. » elle lui attrapa alors la main et la serra avant de disparaitre.
Laissant France, perplexe, regarder l'intérieur de sa main. Il y avait une légère trace de brulure... étrange mais pas douloureux et presque invisible. Elle toucha l'intérieur de sa paume avec son annulaire et son auriculaire... cherchant à comprendre.
Qu'est-ce qui venait de se passer ?
La porte de son bureau s'ouvrit.
« -Ah, tu es ici, tu peux dire aux autres que... are you Ok my love ?
-Mh ? Oui ça... » tout se figea, tout sauf UK.
« -Qu'est-ce que ? » il regarda autour de lui et, en tournant la tête, il vit le diable en personne.
« -Oh... god.
-Oh hell, tu veux dire ? Ou encore « oh devil ». Mais ne me parle pas de lui, on a un passif pire que toi et ta belle française.
-Qu'est-ce que... vous faites ici ?
-Déjà, bonjour. C'est pas la politesse qui t'étouffe.
-Sorry. Bonjour, que puis-je faire pour vous ?
-Ah ! Je préfère. » elle sourit et s'approcha.
« -J'ai discuté avec France, déjà. » elle lui tendit la main, pour le saluer bien sur.
Ne connaissant pas la personne autrement que ce qui relevait du biblique, UK se dit que ce montrer coopératif était la meilleure des choses à faire.
« -Vous... avez arrêtez le temps ?
-Bien sur. »
Il lui serra la main et sentit une violente douleur qui le fit reculer. Il regarda l'intérieur de sa main, une trace de brulure.
« -What is... »
Un petit rire attira son attention.
« -Je te l'ai dis, j'ai discuter avec France. C'est donc ce qui m'a décidé à lui faire un cadeau... et, à d'autres, comme toi, de m'amuser avec vous.
-S'amuser ? How so ?
-Tu verras. » elle disparut alors et le temps reprit sa course.
« -Ça va, j'ai juste une drôle de trace dans la main. » elle lui sourit.
« -Oh, tu es tout pâle. » elle s'approcha.
« -C'est le serpent encore ? » en lui caressant la joue.
« -Désolé mon coeur, je voulais te taquiner un peu.
-Oh... no... c'est passé ça...
-Tu es sur ? »
L'anglais enlaça sa bien aimée.
« -Yes, tout va bien.
-Dit... » un peu tracassé.
« -C'est à cause de ce que t'as dit la psy ?
-Mh ? No, why ?
-Et bien, tu es bizarre depuis hier.
-Oh, no. Elle... m'a même annoncé une bonne nouvelle. Enfin, elle me l'a fait remarqué.
-Et je peux savoir ce que c'est ? »
UK hésita. D'un côté, lui dire qu'il avait une personnalité en moins était une très bonne nouvelle. De l'autre, il n'avait pas envie d'en parler de trop... il ne voulait pas qu'elle le voit que comme... comme ça.
« -J'ai une personnalité en moins.
-Comment ça ? »
Voila, il l'avait dit. Et, bien sur, France posait une question pour savoir, surement, si c'était une bonne nouvelle ou une raison de s'inquiéter.
« -C'est compliqué, I don't have all the explanations, mais c'est une très bonne chose.
-Et c'est normal que, tout d'un coup, ça aille mieux ?
-Je me soigne, automatiquement, ça ne peut que aller mieux. Can we... can we change the subject ?
-Oui. » elle sourit.
« -Tu voulais me demander quelque chose ?
-Mh ? Oh ! Yes, tu peux dire aux enfants que j'ai effectivement défoncé deux portes, s'il te plait ? »
France rit.
« -D'accord, j'y vais. Je vais dire à tes fils comme tu as vaillamment vaincu mes deux pauvres portes. »
Elle y alla, le laissant, vexer, la regarder.
« -Hey, I'm... » il croisa les bras, en le faisant, il jeta un coup à sa main douloureuse.
La brulure était toujours la...
« -Mh... » il en parlera une autre fois.
En bas, à la table, Germany donna une bière à son père.
« -Tiens.
-Une bière ? tu veux qu'Alsace m'étripe ?
-Elle est d'accord.
-Wirklich ?
-Ja.
-Oh, je vais la faire durer. »
URSS le regarda.
« -T'as le droit de boire de l'alcool ?
-Ja. Pas de drogue, pas de violence, pas d'obsession et pas d'abus mais un peu une fois, je peux.
-Le café, c'est de la drogue ?
-Soit disant... et puis, y'a Alsace qui veut pas que je fume, que je boive du café... »
URSS éclata de rire... avant de se figer dans la position. Ne comprenant pas ce qui lui arrivait, Third regarda dans la direction de son fils, lui aussi figé alors qu'il retenait un rire.
« -Danke für die Unterstützung, es wird geschätzt. » et il regarda les autres, le temps c'était arrêté.
Et puis, une étrange sensation.
« -Alors Third ? La belle vie ? » il sursauta.
« -J'ai rien fait de mal ! J'ai le droit de boire un peu d'alcool !
-Oui. Bien sur. » sourit l'être démoniaque.
« -Temps que tu ne tombe pas dans l'alcoolisme, tout va bien.
-Also, was tust du hier ?
-Te féliciter ! Ma plus belle réussite. Alsace te limite tellement que tu as un comportement tellement modèle que même tes bagarre avec URSS semble être amical.
-Ahr... et... donc ?
-Donc tu es un peu ennuyeux.
-Es tut mir leid, aber ich bin gut so. » en goutant sa bière.
« -Ah... délicieux.
-Vraiment ? On en parle alors de ton « bad trip » après que ta soeur t'es empoisonné ? Ou de tes récentes réflexions sur le fait que tu ne te reconnait plus ?
-Oh... un petit coup de mou.
-Tu ne pense pas que tu serais mieux si... tu pactisais avec moi ?
-Un pacte ? Quoi contre quoi ?
-De toi, rien, de moi, une journée de liberté pure sans conséquence. »
Third regarda alors Germany mais aussi Alsace, assise un peu plus loin, en train de discuter avec ses frères et soeurs, tous figés... elle avait Ambre dans les bras.
« -Nein. J'ai pas besoin d'une journée de liberté pour faire ce que je fais déjà tout le temps.
-Oh. Et bien tu m'amuseras comme les autres. » elle lui attrapa la main et le brula comme elle l'avait fait pour UK.
« -Aie ! »
Le temps reprit son cour normal pile à ce moment.
« -Euh... ça va papa ?
-Comment tu t'es fais ça ? » demanda URSS en voyant la main de Third.
« -Euh... bonne question. Tu l'as prise dans le four la bière ?
-Nein, du frigo, comme la mienne. » Germany regarda aussi.
« -Pff... ça doit rien être de grave. » en secouant sa main et buvant une autre gorgé de bière.
« -Une brulure spontanée ? Да вообще ничего серьезного.
-Je suis devenue un gentil petit chien fragile, que veux-tu.
-Third ?
-Ah, ma maitresse appelle, je reviens. » ricana-t-il.
« -Etrange. Depuis quand ton père c'est acheté un sens de l'humour, Germany ?
-Euh... la dessus ? Jamais.
-Alsace est une vrai magicienne. »
URSS fit alors un signe à la personne qui venait d'arriver, Russie. L'allemand, en le voyant, se leva pour prendre la fuite mais le père le retenue.
« -Aller, reste, il va pas te... » tout se figea encore et pour la dernière fois.
Tous sauf Russie qui slaloma entre tout le monde pour aller vers Germany, il n'avait même pas fait attention à la foule.
« -Hey, j'espérais te voir... qu'est-ce qu'il a mon père ?
-Je n'en ai aucune idée.
-Moi j'en ai une idée. »
Ils sursautèrent.
« -Vous êtes qui ?
-Je me présente, je suis le diable, pour vous servir. J'avais pactisé avec Pologne qui t'avais contaminer Germany mais, bon, tu ne connais pas les détails, c'est normal. » sourit m'être diabolique.
« -Et pourquoi tout le monde est figé sauf nous ?
-Je tenais à vous dire que, déjà, ta nouvelle tenue te va à merveille jeune Reich, tu aurais dû commencer par la Russie. »
Le russe regarda alors, c'est vrai, l'allemand portait toujours une chemise blanche, une cravate et un pantalon noir. La, il avait une chemise noir, pantalon noir, un gilet de smoking noir avec des bordures rouges et une cravate rouge.
« -Pff... bravo la reconquête dis donc. Pauvre petit Germy, toi qui a fait tellement d'effort pour juste lui re-parler... lui qui fait déjà beaucoup d'efforts pour rester sobre.
-Je...
-Tu bois beaucoup ?
-Un peu ? Mais... en même temps, j'étais au fond du gouffre... mais depuis qu'on...
-Peu importe. Je ne suis pas la pour ça.
-Warum bist du dann hier ?
-Vous serrez la main.
-C'est tout ?
-Vraiment ?
-Oui. » en lui tendant la main.
Germany la serra.
Puis Russie.
C'est une fois que les deux eurent fait ce que le diable leurs avaient demandé, une atroce douleur leurs prit avant de se calmer.
« -C'est bon ? Plus mal ? Je peux relancer le temps ? Parfait. Et, faite la paix. » ne les laissant pas répondre, elle relança le temps et retourna en enfer.
Le diable revint en enfer et reprit sa place d'observatrice dans le silence le plus totale, souriant juste à l'idée de ce qu'elle avait préparée.
« -Enfin un peu de stimulation. »
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