II
Au petit matin je me fis réveillé par des oiseaux qui chantaient gaiment sous ma fenêtre ,
ils me paraissent plus enjoués que la veille, je finissais de me préparer quand une domestique toquât a ma porte , j'ouvris la porte et je la trouvais affolé et la fis rentrer .
Elle m'apprit que ce matin elle avait trouvé le cadavre de mon amis , sans vie dans ça chambre avec une vingtaines d'entailles partout sur son corp .
Je m'empressais de rejoindre la chambre de mon ami et j'y rentrais .
J'y trouvais bon nombre d'invités que j'avais vu la veille .
Entre autres j'y entre-aperçu la femme que j'avais vu hier en compagnie d'autres demoiselles en pleurs , accroupis au pied du lit .
Un débat avais lieu au centre de la piece entre un grand gaillard et un notaire rabougris . Le plus grand affirmait que les femmes avait tué mon hôte pendant son sommeil avait dissimulé les preuves et volé l'argent , quand au notaire il répliquait qu'on avait pas de preuve contre elle et que les domestiques n'avaient vu personnes sortir de la chambre .
Chacune des femmes que j'avais interrogé me ressortais toujours la même version de l'histoire ; elles avaient eu besoin de s'aéré et avait ouvert la fenêtre et s'étaient couché , vers 2 heures du matin elles avaient été réveiller par des bruits semblable a des piaillement d'oiseaux et avaient découvert le corp sans vie de mon ami et quelques faisant qui s'affairaient autour , et lui arrachaient des morceaux de chairs et d'organes. Elles avaient essayés de les attrapés mais avaient échoué en les déplumants partiellement au passage , elles c'étaient aussi aperçu que l'argent du défunt avait disparu .
Cette vision invraisemblable des faits était cependant confirmé par les plumes, les morceaux de chairs retrouvé dans la chambre , il manquait par exemple un bout de fois et l'estomac percé répandait son contenu sur le parquet .
La plus part des gens s'accordais sur le fait que les plumes venaient du faisan farci qui avait été posé sur le buffet en prevision des fringales nocturnes du propriétaire cependant une intuition me soufflait que ce n'étais pas ça , enfin après une demi heure je descendis et pris mon petit déjeuné aux bout de 2 heure les domestiques nous prièrent de rentrer chez nous seul le notaire et un avocat restèrent sur place .
Je me trouvais dans mon hotel particulier à Rouen quand j'appris que le grand gaillard qui discutais avec qui discutais le notaire étais mort de la même façon que mon ami .
J'en eu la chair de poule ,
je tournais la tête pour regarder par la fenêtre, un oiseaux s'était posé dans un nid a coté de ma fenêtre , il lui manquait quelques plumes , il me semblait qu'il arborais un rictus ,
il me regardait avec ses yeux persans je remarquais alors une goutte d'eau qui roulais le long de son bec , elle s'en détacha lentement et
un frisson me parcouru l'échine quand je m'aperçus que cette goute
étais rouge .
Fin
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