Le temple (@JeannotNimes)
Il déclinait paisible au bord
Du sel et du soleil, blanchi
Comme un coquillage. Rebords
Effrités, vieilles pierres. Puis
Un séisme vint, l'avala.
La colline est vide, depuis.
Le laurier-rose y prit ses droits
Et le temple fut oublié
Comme c'est bien souvent le cas.
Les pierres gisent, tranquilles
Et, oh, désormais, la colline
Connaîtra bien mille autrefois !
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