Brise (@FeuFoLex)
Comme une lune s'allongeant sur un lac
La brume miroite de sa couche d'étain
La pâleur de l'avenir brille opaque
En mon triste cœur l'espoir s'éteint
Les blessures pourrissent au grand air
Sous les yeux caves pauvres d'esprits
Rien ne les nourrit en dehors des cathéters
Le malheur de sa hauteur nous prit
La mort éponge la vie de sa frange
Je ne sais l'attendre sereine
Ne fût-ce pour d'autres que la mienne
Le monde humain se noie d'étrange
Les gros piétinent les saisons
Et les petits de rester assis plus que de raison
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