Aujourd'hui, est venue le jour. Le jour damné (et en retard d'un bon mois, ça aurait été bien de sortir cet épisode le jour de la rentré, mais bon tant pis) de la rentré des classes. Le jour damné du retour au lycée. Car oui, je suis au lycée. Certains me dirons qu'ils s'en foutent.

- Je m'en fout.

- Merci Fénia pour cette interventions de qualité.

Et d'autre partageront en partie ma douleur. Car, il se trouve que je suis le plus parfait des asociaux. Je hais les gens, eux ils m'ignorent, c'est un échange de bon procédés. Cependant, certain gens ne peuvent pas être ignorés. C'est partie pour une courte présentation (encore, oui je sais, mais bon faut bien que je fasse de l'exposition un jour)

- Quasiment tout ce qui est publié sur cette page Wattpad est de l'exposition. Il faudrait que tu commence à écrire pour de vrai un jour plutôt que nous expliqué des trucs dont on se fout.

- T'es plus pénible que d'habitude toi aujourd'hui, t'a mal dormis ? Ou pas assez ?

- Pas assez. Emma à jacassé toute la nuit à propos d'un bouquins à la con et d'une sombre histoire de fantasy trop terre-à-terre ou une connerie du genre.

- Cet épisode est particulièrement vulgaire, tu pourrais pas te calmer un peu.

- QUAND JE SUIS FATIGUÉE JE PARLE MAL OK !!

- Tu parle en majuscule aussi.

- C'EST POUR QUE LES LECTEURS COMPRENNENT QUE JE HURLE !!! ça me fatigue encore plus d'ailleurs. T'a pas honte de me faire crier.

- Tu t'énerve toute seule, t'a pas besoin de mon aide.

- Tu me fatigue. Encore plus que je ne le suis déjà.

- Alors va te cou-

- NON !! On la fait à chaque épisode cette vanne, va falloir la changer.

- J'ai pas d'autre idée de gag.

- T'emmerde toi pour en trouver, moi je veux plus l'entendre celle-là. J'me casse, si tu me cherche, ce que je ne souhaite pas, je dors sur le canapé.

Bon, maintenant qu'elle est repartie, je peux à présent reprendre ce que je disais : Les présentations.

Olaf Bjorg Érikkson, le métalleux. Il fait parfaitement honneur à son stéréotype, cheveux long, uniquement habillé avec des fringues noirs avec des couverture d'album de Métallica, d'Iron Maiden, ou d'AC/DC imprimé sur le torse, cheveux long, un peu dégueux, voix grave flippante, et barbiche. Amateur de bière et de jurons, il est légèrement bourrin (ça doit venir de ses racines Italiennes). On est potes, un des rares que j'ai. La musique nous à réunis, car oui, je suis aussi un grand fan de métal, bien que ça ce voie moins que pour lui.

Ensuite, y a Wendy. Iel est un·e collègue écrivain·e, hystérique et paranos, c'est mon ex. Iel à un grave problème avec Emma, à qui, pour une obscure raison de couleurs capillaires, iel voue une haine féroce. On arrive parfois à discuter sans avoir envie de s'insulter de tout les noms (la séparations ne c'est pas vraiment bien passé).

Anaëlle Velascez, prononcé VelasKezzz, c'est pas vraiment mon amie, elle est même mon opposé direct, travailleuse, populaire, exemplaire et amicale. Plus ou moins amicale en fait. Je la mentionne car, à cause d'une sorte d'alignement cosmique improbable et malheureux, il se trouve que quoi que je tente, fasse, ou ne fasse pas, elle seras là. Alors dis comme ça c'est pas clair, je vais donc prendre un exemple : imaginez quelqu'un que vous connaissez de loin, et que vous n'appréciez que très peu. Imaginez maintenant que pendant environ 15 ans de votre vie, quoi que vous fassiez, vous la retrouviez. Toujours dans la même classe, dans les mêmes clubs, vous faites vos vacances en même temps, aux même endroits, même quand vous faites vos courses, quand vous prenez le bus, quand vous allez en voyage, Elle est là. Elle est toujours là. TOUJOURS !! FOUTRAC !!!

- Habituez vous à l'entendre dire des trucs bizarre quand il est en colère. Surtout son truc là ''foutrac'', il l'aime beaucoup.

- Pourquoi tu hurle comme ça toi ? Y a des gens qui essaie de dormir dans cette baraque. Tiens Emma, qu'est ce que tu fait là ?

- J'allais menacer Al de libérer une horde de démons le soir d'Halloween si il n'implémenter pas un peu de fantasy dans son blog nul et terre-à-terre, lorsque que je l'ai entendus s'énerver sur le lycée, et j'ai jugé que si je voulais qu'il soit réceptif à mes menaces, il vaut mieux qu'il se calme.

- Ah je comprend mieux. Anaëlle ou... ?

- Oui il parle d'elle. Il a pas encore assez de courage pour parler de Ça.

- Tant mieux. Si t'a besoin de le calmer, les fléchettes sont dans le placard à pharmacie, à coté des somnifères. Moi je retourne me coucher.

Et pour finir, j'ai gardé le meilleur pour la fin : André Nivet. Il a beau porter un nom de vieux, je vous promet qu'il est au lycée. Sans avoir redoublé plus d'une fois. Il est un peu... Bizarre. Plus que moi, c'est dire. C'est un immense fan de variété française nul, d'humour nul, et de ma prof d'allemand, à qui il a dédié un culte religieux : La Sainte Milène. La descriptions est peu flatteuse, mais en vrai André est mon meilleur amis, et c'est un peu grâce à lui que je survis à la fois au duo d'emmerdeuse qui vie chez moi, et au lycée.

- Le duo d'emmerdeuse il t'emmerde !

- C'est exactement ce que je vous reproche. Pose cette sarbacane et tes fléchettes empoisonnées, je suis calme.

- T'es sur ? Tu va pas parler de lui ?

- Non pas aujourd'hui. Bien que j'ai des choses à dire à son sujet, je vais me retenir, pas besoin de remplir cet épisode plus que ça, j'ai déjà atteins les 1000 mots réglementaires.

- Alors en fait non, si tu enlève la réplique que je suis en train de dire, ça fait 986.

- T'étais juste là pour réduire le quatrième mur en cendre...

- Tu ne l'a pas ménagé non plus ce pauvre mur.

- Ou tu tiens à faire une interventions pertinente ?

- J'ai effectivement une interventions pertinente à faire, voir deux : Tout d'abord, il va falloir que tu arrête de m'accuser de détruire le quatrième mur, parce que Fénia ne l'a pas franchement aidé tout à l'heure, que toi aussi tu tape régulièrement dedans. De plus, nombre de grand auteur (ce que tu n'es pas) ce passe de ce mur. Citons par exemple le grand C.S Lewis, créateur de Narnia, qui s'adresse très régulièrement au lecteurs, et ce alors même qu'il est en plein récit. Le quatrième n'est donc qu'un vague bout de béton imaginaire troué de partout. Le deuxième trucs qui fallait que je dise, et qui, comme ma précédente parenthèse au sujet de du Quatrième mur, ce révèle particulièrement important, et... je l'ai oublié.

- ...

- ...

- Tu l'a oublié.

- Oui.

- Bon bah... J'imagine que c'est la chute de l'épisode...

- Oui, probablement.

- ...

- ...

- Tu compte partir un jours ou...

- ...

- D'accord...