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La deuxième intro


Bon, je vous accorde que le dernier chapitre à été un peu chaotique, c'est pourquoi je vais essayer de vous expliquer plus clairement la vie que je mène un compagnie de ces deux... faute de qualificatif plus élogieux, et par volonté de ne pas devenir vulgaire dès les premières lignes de cette épisode, je vais me contenter de dire personnages. Ces deux là, et Sherlock. Le chat. Car dans toute les bonnes comédie y a un chat, alors ne changeons pas une équipe qui gagne.

Emma, c'est la rousse. Assez grande, cheveux ondulés tombant sur les épaules, ils sont animés d'une vie propre lorsque l'humidité se fait sentir, et se révolte contre leur maîtresse, la faisant ainsi ressembler à un sorte de mouton, aux poils anarchique. Les jours de pluie sont rythmés par les jurons qu'elle pousse durant ses longs combats contre eux, car, oui, les coiffer relève presque du combat à mort ces jours là. Souvent habillée avec des couleurs... flashies, au caractère oscillant entre pénible, adorable, et terrifiante, elle a beaucoup trop énergie, part facilement dans tout les sens, mais c'est quand même elle la plus responsable du tas (c'est dire le niveau du reste). On est amis depuis très longtemps, on c'est rencontré autour d'un bouquin, on ne s'est plus lâchés. Ensemble, on écrit. Pour être tout a fait honnête, c'est elle qui fait le gros du boulot. Elle invente les personnages, construits les décors, complète l'univers, imagine des scènes entières... Le seul problème, c'est qu'entre tout les trucs qu'elle imagine, il manque souvent des bouts. Et moi je creuse la tête pendant des heures à réfléchir à comment relié ses morceaux d'histoires les un aux autres. Elle a aussi tendance à vouloir faire rentrer tout et n'importe quoi dans ce qu'on écrit, au détriment du sens, de la cohérence, et de la logique interne à l'histoire. En fait au détriment de la logique tout court.

Fénia, elle est petite, brune, porte les cernes mieux que personne, et à des cheveux long, très long, et bordélique. Je la voit rarement avec d'autres fringues que son vieux jean déchiré au genoux gauche, et son gilet noir. Sans chaussette. Trop d'effort à fournir dès le réveil je pense (oui réveil, pas matin. 14H c'est plus le matin chez moi). Flemmarde. Ce mot la résume au mieux je pense. Flemmarde, et cynique. Elle a toujours une petite pique à lancer, et souvent sur moi. Elle occupe c'est journée en dormant, jouant, et râlant. Si elle n'est pas vautrée sur le canapé, où devant le frigo, c'est qu'elle est pas là. Sa présence est... perturbante. Avoir quelqu'un qui ne fout rien à longueur de journée sur le dos alors que tu essaye de te concentrer sur, au hasard, l'écriture d'un livre, ou sur le boulot à faire pour le lycée, c'est complexe. L'effort mentale que je dois faire pour ne pas céder à l'appelle de la flemme est colossale, et, hélas, j'ai rarement les ressources nécessaire pour combattre contre la procrastination. Du coup, Je rend rarement mes devoirs à temps, et ma page Wattpad bouge tout aussi rarement.

Y a aussi le chat, Sherlock.

Pour être tout à fait honnête, là, il aurait dû y avoir une photos de ce gros tas de poil et de gras pour illustrer mon propos, mais elles sont toutes moche (ce chat n'est pas photogénique) et j'ai comme la flemme (oui encore elle, mais il va falloir vous y habituer) de lui courir après pendant dix minutes pour prendre une photos flou, vous vous contenterez donc seulement de mon verbe gracile.

Ce chat est adorable. Il tout le temps dans mes pattes, il cherche en permanence les caresses, et... et oui, c'est du sarcasme. Les trois quart du temps, il est dehors, et il fait des passages éclaire chez moi pour manger avant de repartir aussi sec. Il squatte ici plus qu'il n'y habite. Le quart qui reste, c'est pendant l'hiver, où il dort 20 h, menaçant ainsi le titre de flemmard en chef de Fénia, puis massacre tout ce qui bouge dans la maison, court partout et s'attaque avec une ferveur inédite au rideaux. Avant de se rendormir. Il se bat avec les voisins aussi. Corrections, il se bat souvent avec les voisins, et après il faut que j'aille chez le veto en pensants qu'il c'est blessé, avant d'apprendre qu'en réalité je suis juste gaga de ce chat, et qu'il a rien.

Évidemment, ma vie et mes connaissances ne se résument pas qu'à ce chat et mes deux colocs, mais vu que vous allez surtout voir ces trois là, je me suis dit que ça serais plus malin de vous les présenter autrement que dans le chapitre d'intro. Les autres suivront bien assez vite croyez moi.


« AL !!

-Emma. Ça t'arrive de ne pas entrer ici en hurlant.

- Un jour peut-être. Je viens de lire ton nouveaux chapitre...

- Comment t'a fait ? Il est pas encore sur Wattpa-

- Là n'est pas la question. Je trouve que tu résume un peu facilement l'étrange bordel que sont nos journée. Sans parler du lycée.

- Oui, ne parlons pas du lycée.

- Il faudra un jour ou l'autre.

- Oui, mais pas cette semaine.

- Tu ne fais que retarder l'inévitable.

- Et alors !! laisse moi vivre dans mon dénis. Il m'aide a leur survivre.

- Quand tu dis ça, on pourrait croire qu'ils sont pire que nous. Pourtant, je ne sais pas qui sont les pire.

- Je répond sans hésitation aucune, eux.

- Ha oui c'est vrai, j'oubliais que non content d'être un insupportable écrivain qui tente de faire du sens dans ce qu'il écrit au mépris de ma créativité salvatrice sans laquelle il ne ferais rien de ses dix doigts, tu es aussi un asociale.

- Tu viens vraiment de faire une phrase de 43 mots pour dire que j'aime pas les gens ?

- Je te rappelle que c'est toi qui écris.

- Et moi je te rappelle que le 4e mur n'est pas une obscure règle d'écriture que tu peut bafouer sans vergogne dès que je t'en donne l'occasion.

- T'a qu'a pas m'en donner l'occasion.

- Tu me fatigue aujourd'hui toi.

- Alors va dormir.

- STOP !! Je refuse de terminer ce chapitre avec le même gag que la dernière fois.

- J'y peux rien si tu n'a pas d'idée.

- C'est toi mon imagination, alors si c'est un peu de ta faute quand même.

- Tu es d'une mauvaise foi consternante.

- Non.

- Si, c'est toi qui m'interdis de toucher à ce que tu écrit dans le blog. Soi-disant parce que je ne suis pas dans le thème.

- Les hommes-robinets ne sont effectivement pas dans le thème. Je sais même pas d'où ils sortent !

- ''Un certain Mr Tokbar''

- Ah oui c'est vrai. Y avait ça aussi là-dedans. Je savais que c'était une mauvaise idée de t'emmener en options toi.

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