Bon. La vampire n'a rien vu, il y a encore moyen de s'en sortir. Il suffit d'être subtile et de la jouer fine...

« On risque quoi si, par exemple, une de nos amie proche faisait mu-muse dehors avec un grimoire louche, qui pourrait très probablement être la source de la magie que le B.I.P capte ?

- Tu devais pas être subtile ?

- Alors Fénia, déjà, c'est très mal polie de lire la narrations, et ensuite, JE SUIS SOUS PRESSIONS OK !!

- Dans le cas hypothétique qu'une de vos amie soit la source de la magie qui irradie de la ville, alors vous risquez la peine capitale selon le Code Légal Omnipotent et Universelle de Dahu.

- Le C.L.O.U.D ?

- Oui le cloud.

- Dahu ?

- Un célèbre juriste vampire.

- Ah ok. Et du coup la peine capitale...

- Tout a fait. Mais ce n'est qu'une hypothèse n'est ce pas.

- Heuuuu... Oui, absolument.

- Je crois qu'elle a pas remarquée...

- Je crois aussi... Va prévenir Emma, je la retiens... Vous connaissez le Grimmboldurchtmoll ? »

Ce que je croyais être une question innocente uniquement poser pour détourner l'attention de l'enquêtrice du paranormale c'est vite révéler être d'une importance capitale. Enfin je crois. C'est la vue de son regard regard, surpris, puis un peu flippant, qui m'a mis sur la piste.

« Vous connaissez le Grimmboldurchtmoll ?!

- J'ai posez la question le premier.

- Bien que je le connais ! Qui ne le connais pas ?

- Bin... moi pour commencer...

- Non je veux dire chez les vampires. Tout les vampires savent ce qu'est le Grimmboldurchtmoll. En revanche les humains...

- Et du coup c'est quoi ?

- Une sorte de grimoire magique qui voyage entre les dimensions fictive.

- Et du coup c'est quoi ?

- Un gros bouquins qui fait nawak.

- D'accord... Et il fait quoi concrètement ?

- Nawak.

- Tu m'aide pas beaucoup.

- C'est dure de décrire ça autrement. Ce livre apparaît au pif dans les dimensions fictive, à des personnes sélectionnées par hasard, et ses effets sur eux et sur la dimensions concernée sont complètement aléatoire. Il peut tout aussi faire apparaître un homme-robinet dans un monde proche de la Terre et uniquement peuplé d'humain, que transformer un drame psychologique sur des yakuzas manchots (les animaux) en comédie musical.

- Gné ?

- Quoi encore ?

- Comment ça ''proche de la Terre'', c'est ici la Terre.

- Alors en faite non, pas vraiment. Mais comme le chapitre est déjà trop long, si les lecteurs veulent une conclusions propre et ne pas poireauter encore trop longtemps avant de savoir comment cette Halloween pourrie va finir-

- Et encore, dans cette versions j'ai pas chopé la crève, du coup ça aurait pu être pire. (Car oui, dans la vrai vie, le soir d'Halloween, j'étais tranquillement en train de décéder à cause d'un rhume dégénerer et particulièrement agressif. Quel chieur)

- Ils vont devoir patienter avant qu'on leur explique le délire avec la Terre.

- Non mais ça me rajoute plein d'épisodes à écrire ça !

- T'a qu'à mieux gérer ton rythme gros con.

- Ah, tu me vouvoie plus ?

- ... ça m'a échapper. Tout ça pour dire qu'il faut choisir : l'exposition, ou les vannes.

- On peut pas combiner les deux ?

- Non. Les gros pavé qui explique comment l'univers marche sont rarement amusant. »

Et c'est à ce moment ci qu'Emma eut l'idée du siècle : Balancer un grimoire transdimentionnel à travers la fenêtre, pile dans la gueule dans l'inquisitrice vampire.

Et re-merde.