Avant qu'il ne rentrent dans la nef, Mendoza leur dit:

-Attendez. dit-il brusquement

-Qui a-t-il Mendoza ? demanda Esteban

-Vous n'avez pas remarquer que seul Ambrosuis et Gaspard sont sortit?

-Ça veut dire que Laguerra est resté pour garder la nef. dit Zia

-C'était prévisible. Ambrosuis ne partirait jamais en laissant sa nef sans surveillance. dit Mendoza

-Et si elle nous repère, l'effet de surprise qu'on a sera fichu. dit Tao

-Alors faisant vite. dit Zia en courant vers la nef suivi par Esteban, tao et Mendoza. Quand a Sancho et Pedro, ils ne vinrent que quelques minutes après.

Lorsqu'ils rentrèrent, une carte agrandi par une sorte de loupe était posé sur une table. Avant qu'Esteban ne la prenne, Mendoza dit:

-Vous trouvez pas que c'est trop facile ?

-C'est vrai d'Ambrosuis n'aurait jamais laisser la seule piste qu'il a au yeux de tout le monde. dit Tao

-On n'a qu'a chercher si le double médaillon avant de prendre la carte. dit Zia

-Mais Ambrosuis le cache peut être avec la pyramide de Mû. Le seul problème c'est qu'on ne connait pas le code.

-Donc on n'a qu'a prendre la carte et partir. dit Esteban

Et aussi tôt dit, aussi fait. Mais comme ils le soupçonnaient, d'est que la carte quitta son emplacement, un mécanisme fut déclencher et une sirène se déclencha. Les quatre amis se dépêchèrent de sortir de la nef. Mais, par faute d'observation, Mendoza trébucha sur une planche qui était mal entretenu. Alors celui si ce retrouva à la merci de Laguerra qui le captura.

-Mendoza !!!! s'écrièrent Esteban et Zia

-On n'a pas le temps de rester planter là. dit Pedro en poussant Esteban qui n'arrivait plus à bouger

Arriver près du condor, les enfants s'assirent par terre pendant que Sancho et Pedro étaient aller chercher du bois. Esteban avait la tête entre les genoux et ne voulais parler à parler à personne. Mais malgrés sa demande, Zia s'approcha de lui et lui dit d'une voix remplis de douceur:

-Je suis aussi malheureuse que toi Esteban.

-On n'aurait jamais du le laisser tous seul. dit-il

-Mais qu'est ce qu'on pouvais bien faire ? dit Tao en rentrant dans la discutions. En plus, tu sais mieux que moi qu'il va s'en sortir.

-Tao a raison Esteban. Mendoza peux se sortir de n'importe qu'elle situation.

-Et puis, nous avons la carte. Il ne c'est pas fait capturer pour rien.

Avant qu'Esteban est le temps de répondre que Sancho et Pedro était de retour avec plein de fruit. Pendant le repas, Zia essaya de briser la glace en disant:

-Est ce qu'on peut voir cette carte Tao ?

-Bien sur Zia. dit-il en la déroulant au milieu de ses amis.

-On dirait une rivière là. dit Zia en pointent l'endroit du doigt

-Tu as raison Zia. Mais je vais étudier la carte avant d'aller dormir

Après cette brève discussion, le reste du diner se passa en silence. Chacun était plonger dans ses penses.

Ce d'Esteban était dirigée vers son mentor, son seconds père. Il s'inquiétait énormément pour lui et espérait qu'il allait bien. Le fait de le savoir à la merci de leur ennemie de toujours et devoir rester impuissant devant cette situation le rendait fou. Après tous ce que Mendoza leur avait fait, ils étaient réduits à rester en rentrait pour ne pas risquer leur vies. Alors il commença à résister les prières apprises au monastère en priant de tout son cœur que Mendoza sent sorte vivant.

Celui de Zia était aussi au début dirigé vers la situation de Mendoza mais dériva vite vers ses mystérieux pouvoir. Elle savait qu'elle n'allait que se rendre chèvre par ce sujet mais c'était plus fort qu'elle, elle ressentait un besoin fort de le remettre sur la table dans son esprits. Leur apparition soudaine et le fait que ne peux pas les utiliser à sa guise la rendait folle. Elle avait bien essayer de repousser Laguerra grâce à son pouvoir télékinésie, sans succès. Cela la stressait et la faisait doutée d'elle même plus qu'elle ne l'était.

Celui de Tao était moins complexe et remplis que celui de Zia. Il ne pensait qu'a retrouver les cités d'or mais bien sur lui aussi avait des préoccupation comme le fait qu'il n'est pas de pouvoirs. Il avait beau se creuser les méninges, il ne pouvais pas expliquer ça. Et même si il le ni, il est un peu jaloux des deux élus.

Les deux marins pensaient à leur capitaine très vaguement puis il pensèrent à leur passe-temps favori qui est de manger et de dormir.

PDV Mendoza:

Je n'avais jamais vu cette pièce aux part avant. Dommage qu'il n'y est pas de fenêtre, la vue serait magnifique. Très ingénieux de sa part de me ligoter, et en plus avec des cordes en fer. C'est super, je me suis fais capturer par Zarès. Plutôt par Laguerra.

Cette prison me rappelle celle de Barcelone mais en plus spacieuses. Celle qu'on donne au vrai criminels. L'idée de m'échapper m'effleure l'esprit, mais je me dis que c'est pas le bon moment. Il faut que je lui parle avant de partir. Si il faut que j'écourte mon séjour c'est en sachant est-ce que ce qu'on a vécu était réel pour elle ou juste un leurre. Je ne sais pour quoi je doute énormément de moi ces derniers temps. Il faut que je me ressaisisse. Je suis Juan Carlos Mendoza, il en faut plus pour me décourager.

J'entend des bruits bizarres à côtés. Pas des bruits de pas qui viennent vers moi mais ceux d'une personne qui tourne en rond. Peut être un autre prisonnier.

PDV Laguerra:

Il est vivant. Certes j'ai été ravi une seconde de le revoir mais le sens de l'honneur m'est revenu tel une vague géante. Je ne devais pas traire mon roi et quitte à devoir traire la personne que j'aimais. En vérité, l'amour fait mal et j'ai eu mal qu'en le croyant mort alors si je devais vivre une relation... C'est vrai que c'était lâche de l'emprisonner alors qu'il était vulnérable, mais je pouvait pas faire autrement ou si non Ambrosuis allait me démasquer.

Je dois attendre que Zares reviennes pour aller le voir. Même si je fais tout ça pour l'honneur de ma famille, je n'arrête pas de culpabiliser. On dit que l'amour rend aveugle, mais j'ai été trop aveuglé par mon amour pour lui. J'en peut plus. Je sais plus quoi faire. D'un côté, l'amour me dit de le libéré et de partir avec lui, je sais c'est ridicule mais bon, et d'un autre je veux que le nom Laguerra soit prononcé avec fierté. Je veux tellement que tous s'arrange et que je puisse vivre une vie normale, mais je sais depuis très longtemps qu'on n'a pas tous ce qu'on veux dans la vie.

J'étais tellement dans mes pensées qu'il a fallu à Ambrosuis qu'il m'appelle deux fois avant que je ne lui réponde. En arrivant sur le ponts, Ambrosuis souriait jusqu'au oreilles en me disant:

-Notre plan à marcher. Est ce que tu les a capturer ?

-Je n'ai réussi qu'a capturer Mendoza, Ambrosuis. dis-je avec froideur

-J'aurais préférer que ce soit les enfants mais bon. Et en plus ils n'aurons plus personnes pour les protéger. Alors de ce pas l'interroger. Gaspard, tenait la vraie carte et suivais l'itinéraire à la lettre. Laguerra suivait-moi.

Fin du PDV

Zia se réveilla en sueur. Elle prit quelque minutes pour reprendre ses esprits puis s'en alla réveiller Esteban et Tao. Les garçons se levaient dans les brume en disant en cœur:

-Que ce passe t'il Zia ?

-On n'est en danger . s'écria-t-elle

Quel danger attend nos héros ?

Qu'espère Ambrosuis de Mendoza ?

Et surtout ce que vous appendis tous: est ce qu'il y aura du Mendoguerra dans le prochain chapitre?

Vous le saurais dans le prochain chapitre des mystérieuses cités d'or !!