Passé tragique (Chapitres M)
Ils étaient tous assis autour du feu à discuter joyeusement et à se demander à quoi ressemblerait la prochaine cité d'or. Tous sauf moi. Mon esprit était remplis de plusieurs souvenirs dont j'étais le seul propriétaire. La seule chose qui me tira de mes pensés était la voix d'Esteban qui m'interpelait.
-Mendoza ? dit-il
-Oui mon garçon ? dis-je
-Il y a une question que j'ai toujours voulu te poser mais je n'ai jamais oser le faire. dit Esteban
-Et quel est cette question ?
-Est ce que tu avait une famille avant que la quête des cités d'or ne commence ? demanda-t-il
-C'est vrai que tu nous a jamais parler de ton passé. dit Tao
Cette question me glaça le sang. Je savais qu'ils allaient poser cette question un jour ou l'autre a cause de leur curiosité légendaire. Après que j'ai retrouver mes esprits quelques secondes plus tard, je dis:
-Si vous voulez. dis je
Je pris une grande inspiration avant de dire:
-Quand j'étais petit, je vivait avec mes parents, mon grand frère et ma petite sœur à la cour d'Espagne. Il faut savoir que la famille Mendoza était une famille très respecter à la cour d'Espagne jusqu'a que ma mère ne soit accuser d'avoir pratiquer de....la sorcellerie. Alors après sa mort, nous avons été banni de la cour et notre famille a été déshonorer. Après ça, nous nous sommes installer dans la demeure de mes grands parents et mon père à devenu alcoolique. Quelques années plus tard, mon père est mort a cause d'un problème de santé et mon frère a été arrêter pour je ne sais quel crime alors que ma sœur n'avait que 6 ans et moi 11. Alors nous avons vendu la maison pour s'installer dans une plus petite et vendre nos biens les plus précieux pour survivre. J'ai commencer a travailler au port et simultanément apprendre l'escrime pendant qu'elle apprenais la couture cher une couturière avec qui elle travaillait. Puis je suis devenu capitaine et à chacune de mes expéditions, je l'emmenais avec moi de peur qu'il ne lui arrive quelque chose en mon absence. Puis pendant une expédition , l'Esperanza à couler. Je voyais ma sœur se noyer devant moi, impuissant et désirant mourir avec elle car sans elle, ma vie n'avait plus de sens. Mais j'ai été sauver par des marins.
Puis je me suis arrêter. Si je continuais, les larmes allaient s'emparer de mes yeux et la plaie que j'ai dans mon cœur n'allait faire que s'agrandir. Je voulais pleure pour la mort de ma sœur et pour celle de mes parents. Je voulais pleurer, crier l'injustice de se monde mais je n'en fis rien car il y avait une chose que j'ai appris depuis tous petit; c'est de ne jamais se montrer faible, que se sois avec nos ennemis ou avec nos amis.
-Je suis désolé Mendoza. Je n'aurais jamais du.... dit Esteban
-Ce ne rien Esteban. répondit je
Je voyais dans le regard des enfants et des marins de la tristesse et le regrets d'avoir aborder ce sujet. Un regard que je ne connais que trop bien. Puis Zia essaya de briser le silence qui c'était former en disant:
-A votre avis, Ambrosius des indices pour trouver la prochaine cité ?
-Il a toujours une longueur d'avance sur nous. dit Tao
Alors les enfants commencèrent à débattre sur le sujet puis les discutions enjouer recommencèrent. Je fut heureux de voir que le sujet fut clos si rapidement car parler d'elle me faisait plus de mal que de bien. Puis je me replonge dans ma bulle en espérant qu'on ne me sortira pas de celle ci de si tôt.
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