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En média : Le Sénéquier, célèbre café de St Tropez.

Résumé du chapitre précédent : Je pense que si je vous dis que les choses ont été un peu chaudes entre Alix et Hans, ça résume assez bien le chapitre précédent, non ? ;)

*

Mes chocolats !!

Je vous souhaite une merveilleuse année 2017 !!!!!! J'espère qu'elle vous comblera à tous les niveaux ! J'ai  également adoré passer cette année avec vous. Vous me vendez du rêve en puissance !

Et pour ma part ce sera un début d'année sportif parce qu'entre Noël et le Nouvel An j'ai mangé pour tout un continent ^^ Je tiens aussi à remercier tous ceux qui ont pris des nouvelles de moi sur Wattpad et m'ont souhaité leurs vœux. Vous êtes adorables !

Bref, je commence cette nouvelle année avec une autre bonne résolution : publier la suite des Louboutin !! Et ce plus régulièrement parce que là j'ai disparu avec les partiels, les préparations de concours. (Ce n'est pas l'envie qui manquait pourtant !)

J'espère que cette suite vous plaira en tout cas. Je vous laisse lire la suite. N'hésitez pas à voter et commenter !

ENJOY :*

— Apolite

*


Ahiko fit les gros yeux et jetait des regards répétés vers Ryan, comme pour être certaine qu'elle ne rêvait pas. Il avait l'air encore plus sonné qu'elle.

Alix avait été surprise au saut du lit par leur appel en visioconférence. Elle bailla la bouche ouverte sans retenue avant de conclure par un «  C'est la triste vérité ».

— Et Nina va bien depuis cet incident ? demanda Ryan avec un trémolo dans la voix.

Il y eut un silence gênant.

— On vient, dit soudainement Ryan.

Ahiko et Alix le regardèrent avec le même air interrogateur.

— Je ne sais pas si Ahiko pourra mais en tout cas, moi je viens. Ça fait une éternité que je n'ai pas pris de vacances donc j'y ai bien droit cette année. Je viens à Saint-Tropez avec vous. Je me prendrais un hôtel une fois là-bas.

— Tu pourrais faire ça ? sourit Alix.

— Vous me manquez trop, et puis je pense que Nina aura besoin d'un avocat dans cette histoire, et il se trouve que je sois bon dans ce que je fais. Elle a intérêt à porter plainte. Je pourrais lui faire gagner le procès avec les preuves que vous avez.

— Peut-être que ton salaire d'avocat te permet de partir en Europe quand tu le décides mais c'est pas mon minable salaire d'assistante médicale qui va pouvoir me faire bouger les fesses de New York, dit Ahiko, acide.

— Eh bien reste, la titilla Ryan avec un air  de défi.

— Je passe pour une mauvaise amie si je fais ça. Et toi tu récoltes toutes les palmes en ramenant ta tronche de beau gosse en France, hors de question !

— Bon, je vous laisse vous disputer en paix. Je crois que Hans m'a suffisamment attendue. En ce qui concerne le logement je vais voir si je ne peux pas abuser de la bonté de Thalia. Elle a au moins cinq chambres dans sa maison. C'est du jamais vu.

— C'est qui Hans ? s'écria Ahiko.

— Je vous entends très mal, mentit Alix.

— Benson! T'as pas intérêt à raccrocher ! cria Ahiko en rapprochant sa tête de la webcam.

Alix raccrocha subitement et se laissa tomber dans la literie la plus douce qu'elle n'ait jamais connue. Elle entendit soudain un bruit de verre cassé et un juron. Hans venait de prendre maladroitement le plateau du room service. Son pas sourd se dirigera vers elle. Hans apparut dans l'encadrement de la porte. Il avait les cheveux en bataille, et avait jeté un simple peignoir sur ses épaules. Alix sourit malgré elle. Elle n'aurait jamais pensé le voir dans une sphère aussi intime, lui qui était toujours bien propre sur lui.

Il posa le plateau sur le lit avec un air satisfait.

— Ce n'est pas moi qui ait cuisiné, donc c'est certainement bon.

Alix le remercia de ne pas avoir cuisiné et prit un verre de jus d'orange.

Le visage de Hans se ferma soudain.

— J'ai démissionné, asséna-t-il.

Alix n'osa le questionner. Elle sentait bien que Hans réunissait toutes ses forces pour s'exprimer. Il fixait intensément un point dans le vide.

— Je... suis désolée pour Frank. le pire c'est que Nina n'est pas son coup d'essai. C'est le genre d'homme qui pense que l'argent achète son comportement et lui donne tous les droits. Je n'ai pas pu m'empêcher d'entendre ta conversation avec tes amis et je pense que tu as tord de vouloir porter plainte. C'est pas le genre d'homme avec qui on peut négocier. La justice ne peut rien dans notre cas. Au pire, il fera de la prison avec sursis et sera libéré deux semaines plus tard.

— Ryan est un bon avocat. Il n'a jamais perdu une affaire. On fera arrêter Frank et on le jugera sur le sol américain. La justice doit s'appliquer à tous, et c'est comme ça que ça se passera.

Hans leva enfin les yeux vers Alix. Il planta son regard dans le sien.

— Les règles ne s'appliquent pas de la même façon et tu le sais.

Il lui prit les mains avec vivacité.

— Ne te mets pas en danger. Je te le demande personnellement.

Les yeux habituellement pétillants de Hans perdirent leur éclat. On y lisait à présent une crainte qu'il essayait tant bien que mal de dissimuler. Hans était le mieux placé pour connaître Frank. Ça devait faire un moment qu'il travaillait pour lui. Et s'il n'était pas en prison à l'heure actuelle pour avoir commis des crimes similaires c'est que les victimes n'avaient pas porté plainte...ou qu'il était inutile de s'acharner. Le regard de Hans lui laissait suggérer que la seconde option était la bonne.

Alix détourna le regard. Elle se sentait à des kilomètres de la réalité de ce monde qu'elle convoitait tant. Tout n'était pas strass et paillettes. Des hommes comme Hans existaient et avaient suffisamment de pouvoir pour se soustraire aux règles du commun des mortels.

L'argent achète-t-il tout ? Il semblerait qu'il achète des choses qui ne devraient s'acheter. Pourtant... Fallait-il renoncer ? Elle ne s'appellerait plus Alix Benson si elle faisait ça.

Il fallait qu'elle évite ce regard intense qui la dissuadait, qui se souciait d'elle.

Elle baissa les yeux et arrosa son pancake de sirop d'érable.

— Qu'est-ce que tu vas faire à présent ? Ton job ? demanda-t-elle.

Hans eut l'air satisfait. Il avait la certitude qu'Alix ne tenterait plus rien, qu'elle avait compris l'ampleur du danger.

— Je vais monter ma propre entreprise, annonça-t-il fièrement. J'ai suffisamment d'expérience et d'économies pour me lancer là-dedans. Ne plus avoir à travailler pour personne, et surtout pour Frank Moody.

Il exposa à Alix tous les détails de son plan, et comment il était parti de Paris sans demander son reste.

— J'avais qu'une envie : te retrouver. Et honnêtement je ne regrette pas, sourit-il.

— T'étais pas mal aussi cette nuit, rit-elle entre deux gorgée de jus d'orange.

— La nuit est à peine terminée tu sais, dit-il en se rapprochant subrepticement.

— Il est dix heures...du matin Hans.

— C'est bien ce que je dis.

Il l'embrassa avec tendresse avant de déposer le plateau sur la table de nuit, puis se replongea dans ses bras. Alix se laissa guider par ses sens, se laissant bercer dans les bras de Hans, enivrée par son odeur boisée estompée par la volupté de la nuit passée.


C'est à contrecoeur et à grande peine qu'Alix finit par s'extraire de la chambre d'hôtel. Hans lui avait commandé un taxi qui mit un temps invraisemblable à arriver. Le chauffeur se fondit en excuses lorsqu'il arriva. Ils avaient à peine fait trois cents mètres et échangé quelques banalités que le taxi fit un soubresaut. Alix en laissa échapper un hoquet de surprise. Il y eut un bruit de rouages et de tuyauterie grinçantes. La voiture se stoppa net. Le chauffeur se retourna sur Alix. Il eut un sourire gêné avant de sortir pour venir ouvrir la portière de sa passagère.

— Je crois que le moteur a lâché. Je vous prie de bien vouloir m'excuser, mais la course s'arrête ici. Je vous conseille de prendre au plus vite un autre taxi, dit-il en se reculant pour la laisser sortir.

— Vous êtes sûr que ça ne peut plus avancer ? Les taxis mettent une éternité à arriver ici...

Le chauffeur souleva maladroitement le capot de sa voiture. Une fumée aveuglante se dégagea alors, faisant reculer Alix encore plus vite que le chauffeur.

— Prenez un autre taxi, toussota le chauffeur.

À l'extérieur, les gens sur les terrasses des cafés et les passants lui lançaient des regards noirs comme si Alix venait de propager la lèpre dans toute la région. Elle monta sur le trottoir et se réfugia sur son portable, cherchant l'application Uber. Le prochain taxi ne pourrait venir la chercher que dans vingt-cinq minutes. Elle se mordit la lèvre sauvagement pour ne pas jurer. Elle regarda autour d'elle et aperçut les regards sanglants des petits vieux qui la dévisageait. Elle décida de partir, laissant la voiture cracher des nuages de fumées grisâtres, et le chauffeur se faire fusiller du regard à son tour.

Elle passa devant la boîte de nuit de la veille, ce qui lui arracha un sourire. Il repensa à la veille et vit Hans la prendre dans ses bras pour l'emmener à l'hôtel. Cette facilité qu'il avait à la soulever l'impressionnait toujours autant.

Elle finit par apercevoir les fauteuils et la banderole rouge du Sénéquier. Elle jeta un coup d'oeil à sa montre. Elle avait bien le temps pour un café. Elle s'assit à une table, en extérieur, juste devant le système qui vaporisait légèrement une eau fine et légère, qui était la bienvenue par cette chaleur caniculaire. Elle sentit soudain une pression sur elle. C'était le genre de sentiment qu'on avait lorsqu'on se sentait observé. Elle ne mit pas longtemps avant de constater qu'une femme d'une soixantaine d'années la scrutait avec indécence à une table d'elle. Elle avait la peau roussie et fripée par le soleil. Une de plus. Elle baissa son menton sur son magazine people puis fixa Alix après avoir retiré ses lunettes de soleil. Elle oscilla son regard entre son magazine et Alix pendant un long moment. Elle finit par se lever de la chaise rouge du café et s'approcha d'Alix, de son pas claudiquant. La jeune femme la regarda s'asseoir à la même table qu'elle, sans y avoir été invitée.

C'est d'une voix très rauque que la vieille dame lui adressa la parole :

— Mademoiselle ? Vous pourrez peut être satisfaire ma curiosité, dit-elle en lui tendant son magazine.

— Vous savez, je suis assez mauvaise en mots fléchés, sourit Alix.

La vieille dame prit la mouche. Sa bouche se rida davantage tandis qu'elle lui déposait sèchement le magazine entre les mains.

— Elle vous ressemble cette gamine, lança-t-elle en pointant son doigt maigre et tremblant sur une photographie.

Alix traina lentement son regard sur la couverture de la presse à scandale. Elle décela en effet un air de ressemblance, et pour cause, « la gamine » sur la photo c'était elle !

La photo la représentait, elle, Hans et Octave. Ce dernier était dans une position assez peu menaçante, tandis que Hans, de dos, semblait avoir le dessus sur ce qui était sans conteste une querelle entre les deux hommes. Alix était au premier plan de la photo, à demi retournée, complètement tétanisée. Elle feuilleta le magazine, cherchant l'article en question. La photo et l'article prenaient toute une page. Elle se dépêcha de lire le début, sous l'air inquisiteur de la vielle femme.

« La scène s'est déroulée hier soir, aux abords du VIP ROOM, dont la renommée n'est plus à faire. Le Comte Octave Amondrique de NeufBourg y a fait une entrée remarquée, en limousine. Tous ont pu l'apercevoir en charmante compagnie ce soir là. Il ne semblait pas cacher l'attirance qu'il avait pour la belle inconnue de notre photo. Mais si l'entrée du Comte a été éblouissante, sa sortie ne fut pas aussi remarquée. C'est pourtant à quelques pas du VIP ROOM que l'héritier de la prestigieuse famille n'a pas hésité à se salir les mains pour défendre cette mystérieuse jeune femme d'un agresseur survenu par surprise. L'homme a profité d'un moment d'inattention des gardes du corps du Comte pour lui asséner plusieurs coups. Mais le Comte a finalement repris le dessus. Et c'est sains et saufs que les deux amants ont pu continuer leur soirée, à l'abri des regards indiscrets et du danger. Les rumeurs se multiplient dans toute la région quant à l'identité de la belle jeune femme . Qui est-elle, quel est son rang social ? Nous serons certainement amenés à les revoir puisque le Comte et sa famille ont l'intention de s'attarder sur la côte française la plus glamour... »

Alix ne finit pas sa lecture. Octave était comte ? Impensable. Mais surtout, qui avait bien pu prendre cette photo ? Et surtout qui avait pu écrire un article déformant autant la réalité ? Elle se rappela soudain de l'homme qu'elle avait vu lorsque Hans et Octave se battaient. Il avait pris une photo avec son portable. Le flash de la photo l'avait ébloui et elle s'était retournée. C'est à ce moment que la photo avait été prise. C'était lui, sans l'ombre d'un doute qui était à l'origine de cet article pitoyable.

Alix se concentra mais son visage ne lui revenait pas. Elle n'avait pu le voir distinctement avec la lumière éblouissante du flash.

— Alors ? grommela la vielle femme en traînant sur les voyelles.

Alix lui lança un regard interrogateur.

— C'est vous ou pas ?

— N...non, mentit Alix.

— J'aurais juré pourtant, râla la vieille française avant de regagner brusquement sa table où elle se remit à siroter son thé glacé.

Le taxi finit enfin par arriver et le trajet fut bercé par cette photo. Elle arriva chez Thalia où Nina lui ouvrit la porte avec un air grave.

— On t'attend dans le salon.

— Désolée, j'ai un peu traîné avec Hans. Tu m'en veux pas trop ?

Elle se jeta dans les bras pour tenter d'obtenir son pardon.

— J'étais déchirée, assez salement d'ailleurs. Je me souviens plus de ce qu'il s'est passé.

— Pourquoi tu m'attendais alors ?

— Quand je disais, « on t'attend »,  ce n'étaient pas Thalia et moi...

Nina se défit doucement de l'étreinte d'Alix. Nina se recula. Alix vit alors surgir Octave dans le hall. Il remit son nœud papillon en place avec empressement tout en avançant vers elle.

— Bon... voilà, situation assez gênante à expliquer..., bégaya-t-il.

Il fit une pause, sortit un peigne de l'intérieur de sa veste et se mit à brosser ses cheveux en arrière de façon machinale.

— Ça me détend se justifia-t-il en voyant Alix suivre chacun de ses mouvements, les bras croisés.

— Pourquoi t'es là ? Comment tu m'as retrouvée ?

— C'est Thalia qui nous a présentés, tu te rappelles pas ? C'est une amie à moi.

— Ça n'explique toujours pas pourquoi tu es là.

— J'ai un deal à conclure avec toi, tu veux ?

Alix contenait sa rage. Elle comprenait pourquoi Hans lui avait envoyé son poing dans la figure. Il avait une vraie tête à claque.

— Tu remarques ma nouvelle paire de lunettes ?

— Des Cartier, très jolies, ironisa Alix.

— Des nouvelles lunettes. Car ton copain a détruit l'ancienne paire. Donc voici le deal. Je ne porterais pas plainte contre ton mec si tu acceptes de m'épouser. Vois ça comme une faveur que je te fais, dit-il en souriant largement. Mes parents sont dans la pièce d'à côté. Ils nous attendent.

Alix eut un rire dément. Octave avait un air grave.

— OK Octave Machin. Je n'écrase pas ton nez avec mon poing si tu dégages, dit-elle en brandissant le poing.

Octave ne bougea pas d'un iota et prit un air hautain :

— La dernière fois que quelqu'un a fait ça il a eu une caution à payer si élevée que ses enfants seront encore endettés pour ce geste regrettable. Donc, je te déconseille.

— Vire tes fesses d'ici ! dit-elle en ouvrant la porte.

— O.K. Je ne voulais pas employer cette tactique, mais j'imagine que je n'ai pas le choix, marmonna Octave en baissant la tête.

Il prit une profonde respiration, comme s'il s'apprêtait à faire un effort physique :

— S'il te plait ? dit-il sur un ton peu sûr en haussant les épaules.

— Jamais !

— Je ne comprends pas. On m'a pourtant dit que j'étais super mignon quand je faisais ça, marmonna-t-il. Écoute Alix, c'est le seul moyen pour moi de pouvoir passer à l'étape suivante dans ma vie.

— En bousillant la mienne ? Non merci. Maintenant, on va aller expliquer tout ça à tes chers parents.

Alix entra en trombe dans le salon, aux côtés de Nina qui lui tapotait maladroitement l'épaule, pour l'encourager. Les parents d'Octave se levèrent en voyant arriver Alix. Le père était son portrait craché : grand, maigre avec de grandes lunettes rondes qui lui donnaient un air pensif. Sa mère, quant à elle, était étonnement petite et blonde.

— Oh, vous devez être Alix, s'empressa-t-elle d'aller la saluer en activant ses petites jambes.

Octave dépassa Alix et Nina et vient s'interposer entre la poignée de mains .

— Je peux tout expliquer, cria-t-il en écartant les mains comme pour séparer une dispute.

Les parents reculèrent, Alix et Nina également. Octave se tourna successivement vers ses parents puis vers Alix et Nina. Tout le monde échangea un regard.

— On t'écoute mon ange, dit la Comtesse qui avait un visage aussi apaisant que l'était sa voix.

Octave se peigna une dernière fois les cheveux, avant de remettre le peigne dans l'intérieur de sa veste. Il souffla bruyamment. Il fixa alternativement Alix et Nina et sourit. Et c'est dans un geste théâtral qu'Octave posa un genou à terre.

— Faites que ce soit une blague, murmura Alix.

Octave farfouilla dans sa poche pour en sortir un écrin d'un rouge écarlate. Il l'ouvrit précautionneusement, laissant voir une bague de mariage avec un diamant plus gros qu'une phalange. Octave sourit largement. Alix se cramponna davantage à Nina, les yeux écarquillés.

— Nina Ashton, veux-tu faire de moi le plus heureux des hommes ?

Alix se tourna lentement vers Nina qui se grattait le nez, et se figea progressivement en entendant l'intégralité de la phrase. Elle soutient tous les regards, analysa l'émotion des parents d'Octave. La mère d'Octave étouffait des petits cris de joie, et le père essuyait une larme qui s'esquissait au coin de l'oeil. Elle finit par s'attarder sur l'air suppliant d'Octave. Elle lança un regard alarmé à Alix avant de se tourner de nouveau vers l'homme à genoux.

Ce dernier lui sourit plus largement encore :

— Me ferais-tu l'honneur d'être la Comtesse d'Amondrique de NeufBourg ?

*

Prochain chapitre : le 11/01 ( après mes partiels * joie* )

J'espère que vous avez aimé ce chapitre en tout cas :*

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