Chapitre 42 - Odeur et herbes coupées
On y est, les gens, le dernier chapitre...
Je vous laisse en profiter et on se retrouve à la fin pour deux annonces qui devraient vous plaire.
Édit du 26 juin 2022 : J'ai reçu mon premier fanart, les gens !! Et il est si beau ! <3
Je vous l'ai mis juste ici au-dessus, ça se passe au chapitre 34, lorsque Severus revient chez Harry. Je l'aime beaucoup trop.
Merci encore _Plume-Blanche_ , c'est beaucoup trop adorable ! (Je vous remet son pseudo de façon cliquable en commentaire, parce qu'on connait Wattpad et sa propension à rendre incliquable ce qui devrait l'être, hein...). Allez jeter un œil à son travail et noyez-la sous votre amour, surtout. Elle le mérite. >>>
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Harry atterrit, comme prévu, à quelques mètres de l'entrée de son terrain et il se précipite sous le dôme protecteur, pressé de retrouver Severus et d'oublier les allusions graveleuses d'Hermione. Même s'il doit bien reconnaître, qu'encore une fois, la jeune sorcière n'est pas tombée si loin de la réalité.
Quand il s'approche de la maison, il est surpris de découvrir que les lumières n'y sont pas allumées. La porte n'est pourtant pas fermée à clef, donc l'homme doit bel et bien l'attendre à l'intérieur. Quoiqu'il ne jurerait pas de l'avoir verrouillée ce matin, au vu de la précipitation avec laquelle ils ont quitté les lieux.
Sa baguette à la main, illuminée en son bout, il traverse la cuisine et le salon jusqu'à sa petite chambre où il espère trouver l'homme endormi. À sa grande déception, pourtant, la maison est vide et Harry commence par jurer dans sa barbe, plus attristé qu'énervé, en réalité, quand une lueur attire son regard par la fenêtre. Depuis la maison, il ne peut voir son coin préféré au bord du loch, mais il est certain d'avoir aperçu quelque chose briller sur les eaux sombres, alors il fait demi-tour et quitte la chaumière pour la contourner en silence.
Assis à même le sol, l'homme lui tourne le dos, absorbé dans un livre qu'Harry est certain de n'avoir jamais vu dans la maison. Autour de lui, volette plusieurs dizaines de minuscules points lumineux ressemblant à des lucioles et dont certains s'évadent parfois en direction du loch avant de disparaître dans la nuit, aussitôt remplacés par d'autres.
Oh, merde, réalise Harry, incapable de s'arracher à la contemplation de la scène féerique. C'est la chose la plus adorable qu'il ait vue depuis des lustres.
— Tu vas rester encore longtemps à m'espionner tel un voyeur ou tu vas me rejoindre ? demande soudain la voix de Severus sans que celui-ci ne lève les yeux de son livre.
— Mais comment ? désespère Harry en faisant quelques pas dans sa direction. Comment peux-tu savoir à chaque fois que je suis là sans même me voir ?
Cette fois, Severus se retourne et lui sourit alors qu'il corne la page à laquelle il s'est arrêté avant de poser le livre par terre.
— Tu n'as toujours pas compris, après tout ce temps ? s'amuse-t-il. Je t'ai donné la réponse, pourtant, il y a des mois de cela.
— Comment ? insiste Harry en se laissant tomber à genoux devant lui.
Tendrement, Severus passe une main dans la tignasse désordonnée et approche le visage d'Harry du sien. Mais au lieu de l'embrasser, il penche la tête et vient enfouir le nez dans son cou tout en inspirant profondément.
— C'est ton odeur qui te trahit, lui apprend-il enfin. Au début je ne reconnaissais que celle de ton après-rasage, à moins que ce ne soit ton parfum ? Mais aujourd'hui, celle de ta peau suffit.
— Ma... Mais... rougit Harry, une fois de plus, cette nuit alors qu'il s'écarte de Severus pour le regarder bien en face. Mais je dois sentir extrêmement fort pour que tu m'aies reconnu à cette distance. J'étais à plusieurs mètres de toi... Je... Pourquoi personne ne m'a jamais rien dit ?
Sa réaction fait tout d'abord naître un sourire sur les lèvres de Rogue, mais quand il découvre l'air gêné que cette révélation a laissé sur le visage du jeune homme, il ne peut s'empêcher d'éclater de rire.
— Décidément... grogne Harry. Tout le monde semble bien décidé à se payer ma tête, ce soir.
— Non, le contredit Severus. Non...
Mais le fou-rire l'emporte et il met plusieurs minutes à se calmer, vautré sur l'épaule d'Harry qui ne sait s'il doit rire avec lui ou se fâcher, mais qui choisit au final de juste attendre que la crise soit passée dans l'espoir d'avoir un peu plus d'explications.
Quand Severus parvient à se calmer, il se redresse et essuie du bout des doigts les larmes qui ont coulé aux coins de ses yeux.
Adorable, grince Harry en son for intérieur. Absolument adorable.
— Au château, explique alors l'homme en se réinstallant plus confortablement aux côtés d'Harry, dans les couloirs, c'est comme ça que je te repère, quand je passe près de toi et que l'on est suffisamment proches. Mais cette fois, tu as juste fait du bruit en ouvrant la porte, d'abord quand tu es entré dans la maison, puis quand tu en es sorti. Je ne suis pas qu'un grand nez, j'ai aussi des oreilles qui traînent partout.
— Quel Serpentard ! s'offusque Harry en le repoussant jusqu'à le faire s'allonger par terre. Et dire que tu m'as laissé croire que...
— Je viens de te détromper, au contraire, le corrige Severus en passant une main à l'arrière de son crâne et en l'attirant à lui.
Le baiser qui s'ensuit témoigne des craintes qu'ils ont nourries l'un pour l'autre, toute la journée durant, de la frustration qu'ils ont ressentie à ne pas pouvoir se toucher quand ils étaient chez les Weasley, de la passion que fait naître chez chacun d'eux le toucher de leurs peaux, l'odeur de leurs nuques, la saveur de leurs lèvres.
Faisant passer Harry par dessus lui, Severus glisse sa main libre dans son dos et le presse contre son torse. Sa bouche, avide, délaisse ses lèvres et descend le long de sa gorge.
— Harry... murmure-t-il tout contre sa peau. J'ai eu si peur pour toi, aujourd'hui.
Revenant à sa bouche, il l'embrasse avec plus d'ardeur, la respiration saccadée alors qu'Harry passe une main dans ses cheveux et l'enjambe, pressant ainsi ses genoux contre ses côtes avant de commencer à déboutonner sa chemise.
— Ne fais plus ça...
Harry se fige. Les doigts encore agrippés aux boutons récalcitrants, il le dévisage, incertain.
— Ne te mets plus en danger...
Rassuré, il ne peut s'empêcher de sourire et se penche à nouveau pour embrasser l'homme.
En quittant sa bouche, il marmonne un sort qu'il n'a encore jamais pu essayer et a le plaisir de voir tous les boutons sauter de concert, lui ouvrant enfin l'accès au torse de Severus.
— Je le fais pas vraiment exprès, susurre-t-il en réponse, en lui embrassant le cou à son tour et en descendant jusqu'à ses pectoraux. Mais shhht, Severus, ne parlons pas de ça, pas maintenant.
Alors qu'il pince son mamelon de ses lèvres, l'homme gémit en balançant la tête en arrière et ses mains agrippent le t-shirt d'Harry et le lui arrache d'un coup, révélant son torse et son dos couverts de cicatrices et toujours barbouillés de résidus des potions rouge et noire depuis leurs ébats du matin.
— On devrait peut-être... Aah, Sev... continuer ça, dans la... dans la douche... Severus...
Si Harry a voulu lui offrir une échappatoire en se rendant compte de son état de saleté, Severus a choisi de ne pas la saisir et s'est, au contraire, emparé des hanches du jeune homme pour le faire rouler sur le sol.
Se débarrassant de ses robes noires et de sa chemise, Severus s'allonge sur son torse, ses mains effleurant ses flancs, son ventre, sa nuque dans des caresses auxquelles Harry est extrêmement sensible. De sa langue, il trace le contour de sa clavicule et de ses muscles fins qu'il devine à fleur de peau.
Emplissant son cerveau des odeurs provenant de sa peau et qu'il cherche à inscrire en lui, il approfondit ses baisers, appuie davantage ses caresses et sent son corps se mouvoir, onduler, sous lui.
Les mains d'Harry dans ses cheveux, sa jambe qui se plie, contre laquelle il cale son basin. Les gémissements qui sortent de sa bouche, ses yeux fermés, ses cheveux qui se mélangent aux herbes à mesure qu'il remue la tête.
— Harry... grogne-t-il en enfouissant le visage contre la peau douce de son ventre.
Ramenant ses mains au niveau de sa ceinture, il le débarrasse de son jean moldu en deux secondes. Ses cuisses vibrent d'excitation quand il passe ses longs doigts autour d'elles, quand il les embrasse. Passant une main sous l'élastique de son boxer, il joue un instant avec sa toison pubienne, avant de faire glisser le dernier morceau de tissu couvrant Harry le long de ses jambes.
— Tu es si beau, murmure-t-il contre sa peau, humant sa fragrance, léchant son épiderme embrassant, suçotant cette peau qui vibre à chaque fois qu'il se déplace sur elle.
— N'importe quoi, grogne Harry avec un sourire qu'il ne peut contrôler sur les lèvres.
L'air du soir s'est rafraîchi, mais aucun d'eux ne s'en est rendu compte, leurs peaux brûlantes compensant cette perte de degrés. Quittant son pantalon et ses sous-vêtements, Severus s'allonge sur le corps tendu d'Harry et ils se mettent à bouger de concert. Leurs bassins se pressant l'un contre l'autre, leurs mains parcourant les reliefs qu'elles ne connaissent pas encore par cœur, leurs bouches soufflant, gémissant, promettant ce que leurs cerveaux shootés à l'endorphine estiment adéquat en cet instant, alors qu'ils ne parviennent plus à réfléchir de façon cohérente.
Leur étreinte leur semble durer des jours, des semaines, des mois, et leurs respirations saccadées témoignent de leur ardeur, de la passion qui régit chacun de leurs gestes, de leurs mouvements, de leurs roulades dans l'herbe verte de ce milieu du mois de juillet. L'esprit vidé de toute autre considération, ils accélèrent la cadence, énergisent leurs caresses jusqu'à ce que leurs ventres se couvrent d'un liquide chaud, mélange de leurs excitations, résultat de leurs ébats.
Pendant de longues minutes, ensuite, ils restent allongés l'un contre l'autre sous le ciel de plus en plus sombre, voyant les étoiles s'allumer les unes après les autres.
La tête posée contre l'épaule de Severus, un bras plié par dessus la tête pour pouvoir caresser ses cheveux, l'autre posé à même le sol, entre eux deux, vibrant au rythme des chatouilles exercées par l'homme qui a fermé les yeux, profitant du silence retrouvé et de la brise sur son corps nu, Harry ne parvient plus qu'avec difficulté à cligner des yeux. Victime pour la première fois de son existence d'un vertige cosmique.
— Une nuit sans lune, susurre-t-il, incertain quant au fait que Severus soit toujours éveillé. Sombre, terrifiante au premier regard, noire et indéchiffrable. Mais si belle quand on lui laisse une chance, hypnotique, dévorante, ornée de milliards et de milliards d'étoiles. Elle me fait penser à toi.
Sur son avant-bras, les chatouilles s'arrêtent, remplacées par des caresses plus franches du plat de la main. Une main réchauffée par leurs ébats, moins froide qu'à l'ordinaire, et qui contraste avec l'air plus frais de la nuit tombante.
— Je ne te savais pas poète, se moque Severus en se redressant sur un coude pour remplacer dans son champ de vision le spectacle de la voûte céleste par son visage comblé.
Quand il parvient à capter son regard, il se baisse, ses cheveux, tombant en rideau de part et d'autre de son visage, venant frôler les pommettes d'Harry, et commence à l'embrasser.
Jamais il n'est resté allongé ainsi à ne rien faire, nu comme un ver. Jamais il n'a fait l'amour au bord d'un loch, non plus. Jamais il n'a regardé quelqu'un avec une telle douceur dans le regard. Jamais il n'a souhaité avec plus de force qu'un moment ne s'arrête jamais.
Il est complètement fou de lui et le comprend à cet instant.
Ah, quelle folie. Comment a-t-il pu se laisser entraîner là-dedans ?
Mettant un terme à leur baiser, il le dévore des yeux, vient caresser son nez avec le sien, l'embrasse encore, puis s'éloigne à nouveau et ne peut s'empêcher de sourire.
Il est mordu. Foutu. Et il voit Harry ouvrir la bouche.
Non, cette fois, il sera le premier. Cette fois, il sera courageux. Même si ça ne demande, au fond, aucun courage tant c'est naturel.
Et dans un souffle, il embrase le cœur du jeune Gryffondor, réchauffe jusqu'à ses orteils recouverts de mousse et de terre.
— Je t'aime, Harry. Je t'aime plus que je ne croyais ça possible.
Le sourire qui lui répond est le plus beau, le plus sincère qu'il n'ait jamais vu se peindre sur les traits du jeune homme, et aussitôt, deux bras s'enroulent autour de son cou avant qu'une bouche avide ne se referme sur la sienne.
Quand Harry le relâche, son sourire ne l'a pas quitté et il pose son front contre le sien sans le lâcher des yeux.
— Je t'aime plus encore. Je t'aime plus que tout.
C'est si mignon, pense-t-il, et en même temps si puérile qu'il ne peut empêcher un rire franc et doux de s'échapper de sa gorge alors qu'Harry fronce les sourcils, ne comprenant pas ce qu'il a pu dire de si drôle.
— Qu'...
Un index, suivit aussitôt par deux lèvres à demi hilares, vient l'empêcher de poser sa question.
— Tu es adorable, se contente d'expliquer l'homme. Mais je n'entrerai pas dans ce petit jeu du « qui aime l'autre le plus ». Parce que je n'ai plus quinze ans, déjà, et ensuite parce que la réponse est évidente : c'est moi.
Son air si sûr de lui et le visage solennel qu'il arbore ne correspondent tellement pas à ses dernières paroles que, cette fois, c'est Harry qui se met à rire. Il n'y a pas si longtemps, Severus s'en serait offusqué, mais aujourd'hui, il le rejoint juste dans son hilarité. Trop heureux pour se formaliser de ce qu'il aurait pris pour une attaque voilà à peine une année.
Peu de temps après, ils se rhabillent et s'en retournent vers la petite maison. Pressés d'enfin pouvoir se glisser sous la douche, au moins, et pourquoi pas l'un dans l'autre tant qu'ils y seront.
— Avoue, l'interroge Harry alors qu'ils remontent la légère pente les séparant de l'habitation, les lucioles, tout à l'heure, c'était pour l'ambiance romantique.
Severus lève les yeux au ciel, affermissant sa prise sur le livre qu'il lisait plus tôt et qu'il tient dans la même main que ses robes noires qu'il n'a pas pris la peine de renfiler.
— Bien entendu.
— Je m'en doutais. Tu es bien plus fleur bleue que tu n'en donnes l'air. C'est dommage qu'elles n'aient pas tenu jusqu'au bout.
— Tu m'excuseras, souffle l'homme en lui lançant un regard en biais. J'avais un peu la tête ailleurs, si tu vois de quoi je veux parler...
Le rire qui lui répond est le son le plus doux qui ne lui ait jamais été donné d'entendre, et de sa main libre, il vient ébouriffer les cheveux du jeune homme qui se colle à son flanc, avant de déposer un baiser sur son front.
FIN
...
du tome 1
**
Les gens !
C'est la fin !!
Et en même temps... non.
Parce que j'ai ouvert un nouvel arc, mine de rien. J'aurais pu essayer de le clôturer dans ce tome, mais ça n'aurait pas été super logique d'un point de vue équilibre de l'histoire. Surtout que ça ne va pas tenir en 10 000 mots, hein, parce que je ne sais pas faire court et que je suis une saloperie de pipelette... Et en même temps, le gros de ce volume devait tourner autour du couple en devenir et, ben, ça y est, il est formé.
C'est ce que tout le monde attendait, je pense, et je tenais à ce que cette histoire se termine une fois le couple formé. Je voulais raconter leur rapprochement, pas les tracas de la vie quotidienne quand on est deux. Et puis bon, ce livre fait déjà 100 000 mots, c'est bien assez.
Je n'avais juste pas anticipé que j'allais relancer derrière avec un nouveau mystère... (Alors que si je voulais être honnête, j'admettrais que je fonctionne comme ça depuis toujours et que c'était putain de prévisible... Je ne sais pas finir les histoires avec un bon gros point final qui clôture tout, j'ai BESOIN de laisser une porte de sortie. Parfois, c'est une lucarne dans la cave et on peut vivre en sachant qu'elle est restée ouverte, c'est pas trop dérangeant, puis d'autres – genre ici – c'est la porte d'entrée de Poudlard qui est restée béante...)
En ce qui concerne la suite, donc, l'arc sera forcément différent. Harry et Sev vont devoir découvrir ce que veut vraiment dire être en couple (public, en plus) tout en gérant ce nouveau problème d'ersatz.
Ça n'aurait eu aucun sens de mettre ça ici, on est d'accord, non ? Du coup, je préfère le faire dans un tome 2.
Je pensais m'en occuper quand j'aurais terminé l'histoire sur laquelle je bosse pour l'instant, mais en fait, j'ai pas envie d'attendre... Donc, je vais probablement écrire les deux de front.
Je suis débile de faire ça, bordel. Je vais quand même essayer de ne pas épuiser tout mon flux créatif en quelques semaines, comme j'ai un peu trop tendance à le faire quand je bosse trop vite et trop longtemps sur un projet.
Je ne sais pas trop à quoi ressemblera le rythme de publication, mais il est assez peu probable qu'on reparte sur deux chapitres par semaine. On verra bien, mais, vraiment, je veux essayer d'avancer en priorité mon histoire originale.
(En parlant de ça, d'ailleurs, elle pourrait vous plaire. Ça va parler d'un groupe d'ados LGBTQ+ qui acquièrent des pouvoirs magiques et apprennent à les gérer dans le Londres d'aujourd'hui. Si vous avez aimé Les larmes du Phénix, la façon dont mes persos sont construits et mon humour à deux balles, il y a moyen que vous passiez un moment pas trop désagréable avec ce nouveau projet.)
Pour être tenu·e·s au courant (aussi bien de la sortie du tome 2 que de celle de l'histoire des ados londoniens), le plus simple, c'est de vous abonner ou de mettre cette histoire dans votre bibliothèque et de vérifier de temps en temps s'il n'y a pas eu d'update, parce que je préviendrais dans un ultime chapitre quand j'entamerais le nouveau tome. Et bon, n'espérez pas le voir débouler d'ici quinze jours, hein. Pour l'instant je n'en ai pas encore écrit une seule ligne ^^ Mais ce n'est pas totalement déconnant, non plus, de se dire que ça pourrait arriver dans les semaines à venir. Parce que j'ai vraiment envie de m'y mettre. Raaah ! Et que j'ai plein d'idées ^^
En attendant, j'espère vraiment que ça vous a plu et que je n'ai pas laissé trop de fautes ni d'incohérences.
Merci d'avoir passé ces quelques semaines en ma compagnie et d'avoir lu mon petit bousin.
Pensez au like si vous êtes arrivé·e·s jusqu'ici et prenez soin de vous.
Vous pouvez aussi me suivre sur Instagram. Je publie pas très régulièrement, mais je préviens quand j'écris un truc nouveau. @Kobaitchi
Des bisous.
PS : Je sais que vous êtes nombreuxses à habiter en France (merci les stats) et j'ai la haine pour vous en voyant le choix de merde qui vous attend au second tour :/
Quel que soit le résultat final, bonne chance pour les cinq ans de galère qui vous attendent. C'est putain de désespérant dans tous les cas.
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