I-V "Astre de Lumière"
Se levant depuis l'horizon voilé,
Qui atteint le nadir somptueusement,
Dans sa robe de lumière argenté,
Cette Lune me hante et m'envoûte longuement.
Que l'Homme semble petit !
Lorsqu'il pointe ses yeux vers le ciel,
Où il apprend sa réelle position dans celui-ci,
Et scrute l'Univers froid éternel !
Les mers et océans dansent onduleusement,
Au rythme de l'atmosphère qui affaiblit,
Ma vision de ce si singulier satellite étrangement,
Qui donne le tournis depuis des décennies !
Que j'aurais voulu voir ma Terre,
Depuis ce panorama exceptionnel,
Où la conscience change d'air,
Pour prendre conscience de l'éternel.
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