Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

5- En sécurité


« Je vous en prie. Ma mère m'a demandé de ne pas tarder. S'il vous plaît. » Supplia la petite adolescente de treize ans dont la petite main était emprisonnée par celle d'un monsieur qui boitait un petit peu et qui lui faisait des sourire en coin.

- Ne t'inquiète donc pas. Ton père m'a demandé de venir te chercher. Il a besoin de toi. Ta mère comprendra.

L'argument semblait tenir. Mais la petite adolescente était quand même inquiète. Cet homme lui disait que son père avait besoin d'elle mais comment son père si grand et si fort pouvait-il avoir besoin d'elle ? Elle si faible, si perdue. Au collège elle était une marginale. En quoi serait-elle utile à son père ? De plus, sa mère était tellement intelligente. Elle lui avait toujours dit de ne pas parler aux inconnus et elle était carrément en train d'en suivre un mais comment aurait-elle pu refuser d'aider son père ?

Une voix chiffe molle lui demandait de partir. Seulement la peur de laisser son père en danger - Et le désir de lui prouver sa valeur, elle qui se sentait toujours bonne à rien - la faisaient suivre cet homme aux cheveux grisonnants.

À la sortie des cours, alors qu'elle s'était mise en toute pour la maison, il avait accouru avec tristesse, avait dit être un collègue à son père, et débité qu'il avait besoin d'elle.

Pourquoi il n'était pas plutôt allé rejoindre sa mère pour tenter de secourir son père ? Elle était bien plus expérimentée dans la vie.

Mains dans la mains, ils s'engagèrent sur une ruelle vide. Devant eux se trouvait un bâtiment de fortune délabré, plein de crasse.

À force de s'auto-questionner la jeune fille décida de partir. En plus son instinct le lui dictait et sa mère lui avait toujours dit de suivre ce dernier.

Elle se mit à se débattre. L'inconnu la foudroya du regard :

- Qu'est-ce qui t'arrive. Nous sommes arrivés à destination petite. Ton père...

- Je veux rentrer chez moi. Je ...

- Tu iras après. Pour l'instant ton père a besoin de toi.

- Vous ne voulez pas me dire pourquoi et comment. Je... Je vais aller prévenir ma mère.

La jeune fille évitait soigneusement le regards dévastateur de l'inconnu qui la maintenait avec force au point où son poignet lui faisait atrocement mal. Résolue à se battre, elle mordi son avant bras avec toute l'énergie dont elle disposait. Il poussa un grognement désapprobateur sans la lâcher. La jeune fille ne se découragea pas. Animée par une violente détermination elle se débattait en criant.

Elle finit par jeter un regard à cet homme barbu et y vit de la colère et un autre truc nauséabond qu'elle ne parvenait pas à reconnaître. Cette autre chose dansait dans son regard. La jeune fille savait que cette dernière était encore plus dangereuse que la première. Las de jouer à ce petit jeu de chat et de souri, il la gifla avec tellement de force qu'elle perdit connaissance.

Quelques instants plus tard, la pénombre fut la première chose que la jeune adolescente découvrit à son éveil. Ses sens encore endormis essayaient de s'éveiller chacun à leurs manière. Sa vue tentait de distinguer les objets, son ouïe espionnait le silence avec l'espoir qu'un semblant de son se pointerait, son odorat découvrit sans trop de peine que l'endroit puait énormément. Quelles étaient ces odeurs infectes ? L'odeur ferré du sang dominait le reste et l'organe du goût confirma cela lorsque la jeune fille avala le sien. À cet instant, une crainte la força à s'éveiller plus que ça. Pourquoi du sang coulait dans sa bouche ? Elle essaya de bouger ses bras mais des cordes les reliaient à des barres de fer. Ses chevilles également attachées lui faisaient mal car elle les avait secoué. Pas besoin de beaucoup réfléchir pour comprendre qu'elle était dans de salles draps. Ses pieds étaient attachés et écartés comme ses bras. Elle était nue comme un ver et elle avait froid. Pourquoi ? Où était sa mère ?

C'est alors qu'elle se souvint du vieux monsieur qui l'avait demandé de l'aider pour sauver son père. C'était un méchant vieux monsieur et elle était une vilaine fille stupide. Elle n'avait jamais été intelligente, et ce jour le confirmait.

Alors qu'elle se lamentait, le vieux monsieur entra par une vielle porte qui grinçait. Le bruit de celle-ci la fit trembler. Le vieux monsieur avançait à pas de tortue comme pour ajouter à ce sinistre moment une connotation encore plus péjorative :

« Pourquoi pleures-tu ? Demanda-t-il.

- Vous êtes méchant. Vous m'avez menti. Vous avez retiré mes vêtements et vous m'avez fait très mal.

Un sourire désolé fendit les lèvres du vieillard.

- J'ai dû te faire mal ma chérie, parce que tu faisais beaucoup de bruit. Désolé. Et j'ai dû retirer tes vêtements parce que je voulais voir jusqu'où allait ta beauté.

- Remettez-les moi monsieur. J'ai tellement froid. Dit-elle en larme après avoir craché du sang.

- Je vais te remettre tes vêtements. La rassura-t-il en frappant le plancher avec une canne en bois.

Cette annonce lui arracher un soupir.

- Mais, avant, continua-t-il, je veux d'abord jouer à un jeu avec toi. Je sais que tu aimes les jeux ma petite. Toutes les filles de ton âge aiment. Cependant tu ne joueras pas à vos jeux habituels. Je t'apprendrai un nouveau jeu et tu verras à quel point c'est rigolo. Moi aussi je vais retirer mes vêtements et comme ça ce sera équitable.

Un jeu ? La jeune fille ne comprenait pas. Quel jeu nécessitait qu'elle soit nue ? Elle n'avait pas envie de jouer à ça. Elle n'avait pas envie de voir le vieux monsieur nu. Elle voulait juste voir sa famille.

- Qu'est-ce qui ne va pas ma petite ?

- Je veux rentrer chez moi s'il vous plaît monsieur. Je ne sais pas jouer.

- Ne t'inquiète donc pas. Je vais t'apprendre. Lui dit-il en caressant, ses seins encore immatures.

Un frisson parcouru l'échine de la jeune fille et par instinct de conservation, elle voulu se recroqueviller mais la douleurs causée par les cordes attachées au niveau des chevilles l'en dissuada.

- Je ne veux pas jouer. Ma mère dit que je suis déjà une grande fille. Je n'ai plus besoin de jouer car j'ai treize ans. Hurla-t-elle les larmes aux joues.

Le vieux monsieur se figea. Ses yeux miroitèrent la chose dégoûtante que la jeune fille n'avait pas pu identifier. Il déposa sa canne entre ses petits seins et entreprit de se déshabiller. Par pudeur, la jeune fille ferma ses yeux très fort.

- Tu as raison. Lâcha le vieux monsieur d'une voix vétuste qui fit trembler la jeune fille. Tu es une grande fille. On va donc jouer en grand. Je ne vais pas te ménager de ce fait. J'espère que tu vas adorer.

Les paupières serrées, elle contractait ses muscles malgré la douleur infligée par les cordes attachées à ses petits poignets et ses chevilles. Ils étaient si enflammés que de petites plaies s'y formaient déjà.
Soudain, une douleur inconnue la fit ouvrir les yeux. Elle avait déjà senti beaucoup de douleur dans sa faible vie : celle du feu qui brûle, des yeux qui démangent, du mal de ventre, des piqures d'insecte, et bien d'autres... Celle-ci était de loin la plus horrible. La petite fille n'avait jamais su qu'il était possible de souffrir ainsi.

Nu comme un mollusque, le vieux monsieur venait de planter violemment sa canne dans l'entrejambe de la petite Fille, lui arrachant un crie des plus assourdissant. La voir se tordre de douleur l'amusa alors il enfonça sa canne encore plus profondément.

- Pourquoi pleures-tu ? Je pensais que tu étais une grande fille ! Donc tu n'as jamais joué à ce jeu ? Pauvre petite. Je te promet de retirer cette canne pour la remplacer par quelque chose que je pari que tu n'as jamais vu.

La petite fille avait tellement mal qu'elle ne parvenait plus à articuler. L'impression d'être fendue en deux augmentait ses sanglots. Il l'a déchirais de l'intérieur et elle ne comprenais rien. Elle était sur le point de s'évanouir.

Se délectant du sang qui coulait entre les petites jambes de sa proie aux cheveux noirs, il lui fit une tendre bise sur la bouche. Il remarqua qu'elle sombrait déjà, alors il la secoua :

- Ne t'évanouis pas. Ça ne fait que commencer. Tu es si belle ma petite. Si belle. Tu vas me donner du plaisir.

★★★★★★★★★★★★★★★★★

La fille de dix huit ans rentrait des cours qu'elle avait trouvé particulièrement ennuyeux. Elle avait emprunté un raccourcis des plus calme, car le bruit des automobiles l'irritait parfois. La petite ruelle sombre lui donnait un sentiment de quiétude, sentiment devenu rare dans sa vie à cause du climat dans sa maison.

Elle étudiait depuis un an et demi la psychologie pour tenter de se comprendre elle même et surtout, se rectifier pour mieux vivre. Comprendre les autres était devenu un jeu d'enfant mais pour ce qui était de son propre être, c'était compliqué.

Elle avait des besoins insastifaisables du fait de sa peur du sexe masculin. Des besoins qui paradoxalement ne pouvaient être satisfaits que par celui-ci. Seulement cette peur irrationnelle jouait les enquiquineuses. Au début la peur avait été handicapante mais désormais elle savait la diminuer même si sentir des regards braqués sur elles du fait de sa beauté l'effrayait. Être belle était une malédiction pour elle alors elle se négligeait physiquement pour s'enlaidir mais hélas les hommes continuaient de la courtiser, de la regarder dans les rues, les bâtiments, et les plus effrayants étaient ceux qui avaient des regards lubriques.

Il y avait également ces voix qui chahutaient dans son sommeil et lui donnaient des céphalées terribles au réveil.

Elle savait qu'elle n'était pas normale, et celà à tous les niveaux. Connaître comment être comme les autres filles de son âge était impératif à cet effet. Elle voulait être plus heureuse. Elle n'en pouvait plus. C'était pour cela qu'elle avait choisi d'étudier la psychologie. Mes ses parents n'en étaient pas fières. Ils voulaient la voir neurochirurgienne ou avocate. L'étudiante s'en fichait. Elle était libre de faire ce qu'elle voulait car son bonheur en dépendait.

Ses écouteurs enfouis dans ses oreilles lui fournissait l'instrument de paix nécessaire... La musique. La musique était un absolu pour elle. C'était son sauveur. Elle avait voulu être pianiste et aller en Grèce, dans la ville de drépano-polis pour apprendre mais il ne fallait pas pousser le bouchon trop loin.

Une sensation qu'elle haïssait par dessus tout venait de s'insinuer en elle... Celle d'être observée. Dans cette ruelle sombre et sans témoins la sensation était des plus engoissante. L'instinct de conservation, toujours si fidèle, lui commanda de marcher vite alors elle exécuta cet ordre qui garantissait sa survie. Entrainée par '' Dark horse '' de Katy Perry, elle commença à courir.

Une main imposante la tira en arrière et une autre se plaqua sur ses lèvres tremblantes. L'odeur si caractéristique d'un humain de sexe masculin, l'odeur de la virilité, la fit trembler d'effroi. Elle avait peur qu'un homme la regarde mais elle avait encore plus peur qu'il la touche.

Elle tremblait de tous ses membres tandis qu'on la tirait vers l'arrière. Ensuite on la jeta sur le sol caillouteux. Elle réprima un crie de douleur. Son gilet était si léger que les cailloux avaient pu atteindre son dos.

Deux hommes caustauds en cagoules la regardaient. Elle reconnu la fameuse chose qui donnait la nausée, la lubricité. À ce moment, l'étudiante su qu'elle passerait un sal card d'heure.

Tellement tétanisée, elle n'arrivait pas à crier. À quoi bon crier ? Elle savait ce qu'ils voulaient, elle savait qu'il la tuerait peut-être. Elle voulait vivre. Elle devait éviter de prendre des risques. Elle savait qu'elle souffrirait atrocement. Peut-être plus qu'avec le vieux monsieur et sa vilaine canne.

Rapidement, des larmes s'empressaient déjà sur son visage déformé par la douleur.

L'un des deux hommes se baissa, et mit son genoux entre ses jambes tandis que l'autre lui montrait un énorme couteau :

- Si tu fais un geste brusque ma jolie, tu mourras. Je n'aimerais pas tuer une belle créature telle que toi. Compris ?

En guise de réponse, l'étudiante hocha la tête en réprimant un cri.

Ils la déshabillèrent précipitemment. Une fois nue, une main attrapa son sein gauche :

- Wah... C'est énorme. Mon frère nous sommes tombés sur une merveille.

- Je t'ai bien dit que cette fille était bonne. Je sais reconnaître les filles pinocumettables.

Des rires lubriques et moqueurs suivirent une violente claque sur le derrière de la jeune étudiante qui empréhendait son suplice. Elle ferma les yeux fortement, en priant pour qu'ils abusent d'elle rapidement, sans la tuer.

La vie était décidément une peste. Elle avait emprunté cette route pour avoir la paix et la vie lui rendait la souffrance.

Elle détesta sentir leurs mains surexitées sur son corps. Ils la giflaient, la griffaient, la mordaient un peu partout, l'étranglaient. Ils étaient encore plus violents que le vieux monsieur et sa vilaine canne. Allait-elle survivre ? Pendant que l'un tirait ses cheveux, l'autre lui crachait dessus. Elle se sentait humiliée. En plus ils lui lançaient des mots si crus. Elle haïssait la grossièreté.

Le moment le plus difficile la fit crier. Comment aurait-elle pu s'empêcher de crier? S'était horrible. Elle reconnu la sensation d'être déchirée, d'être charcutée de l'intérieur. Il l'avait pénétrée d'un coup sec et la besognait durement. Elle se mit à les supplier d'arrêter là. Énervé, celui qui la besognait la poignarda quelque part. Elle était tellement épuisée qu'elle ne su pas où.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? Elle va mourir !

- Elle n'arrêtait pas de pleurer. Et d'ailleurs on s'en fou qu'elle meurt. L'important c'est de finir de la pinocumettre.

- Et bien c'est mon tour de la prendre. Je vais m'amuser avec cette cochonne avant qu'elle ne meurt.

- Je veux la sentir encore un peu, elle est trop bonne.

- lâche là.

Ils se mirent à se battre. Encore un peu consciente, l'étudiante s'étonna de leurs comportements. Deux truants de leur acabit se battaient pour une paire de fesse. Ses fesses à elle. La peur des homme se transforma doucement après une révélation. Elle compris qu'elle avait un pouvoir. Elle pouvait soumettre des hommes, surtout des tordus. À cet effet, elle compris qu'en tant que dominatrice elle ne serait plus jamais une victime car c'était son corps qui jouait les appâts. Si elle alliait à cela son cerveau, elle irait loin, très loin.

Tandis qu'elle se vidait de son sang, les violeurs continuaient de se taper dessus pour pouvoir copuler encore un peu avec elle. Même mourante, elle avait apparemment du charme. L'étudiante sourit faiblement face à ce scénario.

Une voiture émit un claxon prolongé. Les truants effrayés s'en furent à pas de guépard et la laissèrent à demi morte.

★★★★★

La jeune femme de vingt ans venait d'échapper à son cousin qui la pourchassait pour une raison stupide. Pour lui, la forêt était maudite. Mais quel superstitieux ! La jeune femme ne croyait pas au surnaturel et ça n'allait pas changer.

Elle venait de loin et son arrivé en Grèce l'avait plu. Elle avait vu le désir qu'elle avait allumé chez les hommes alors son excitation était arrivé à son paroxysme. Son appétit sexuel insatiable lui commandait d'en profiter. Même son cousin semblait avoir envie de la prendre dans son lit mais c'était impossible. La jeune femme se demandait si l'inceste était si grave que ça. Son cousin était tellement sexy qu'elle se demandait si elle allait résister à l'envie de l'exciter. En tout cas, il y avait des hommes encore plus croquants, comme celui qu'elle avait rencontré à l'aéroport, et qui était riche. C'était la totale.

Les hommes étaient tous des idiots à ces yeux. Ils ne juraient que par une partie de jambes en l'air. Quand on savait tirer parties de ses attribues physiques et de son cerveau, l'homme n'était rien.

Une antilope blessée venait de sauter par dessus son corps. Attirée par la bizarrerie de la science, ignorant l'alerte qui hurlait timidement en elle, elle sortit son smartphone pour prendre en photo l'animal apeuré et blessé. Une douleur plus que lancinante la fit lâcher son smartphone. Son sang parcourait déjà son bras gauche. Que se passait-il ? Après un effort supra humain elle vit qu'une flèche s'était logée dans dans sa chère, sur son épaule. Un crie deforma son visage. Quelque chose lui disait qu'elle allait à nouveau souffrir tandis qu'elle essayait de se convaincre que rien de tout ça n'était réel. Son corps devint beaucoup trop lourd pour tenir et tomba sur le sol.

Une morsure sur la cuisine la fit ouvrir les yeux. Le vent violent agressait sa peau nue, et une odeur de viande fumée lui donna la nausée. Après avoir inspiré, elle se mit à observer autour d'elle. Non loin d'elle, un lac étincelant miroitait joliment la lumière du jour. Au bord de celui-ci, un homme a la musculature imposante, mais sans excès, car il gardait des traits délicats, marchait voracement de la viande. Il était aussi nu qu'elle et ça ne sentait vraiment pas bon. L'instinct de survie lui dicta de partir de là sans se faire remarquer. Elle tenta de se lever mais la douleur de sa blessure à l'épaule la secoua à tel point quel lâcha un crie.

Ses yeux croisèrent celui de l'homme nu. Il ressemblait à un sauvage éloigné depuis longtemps de la civilisation et de ce fait très dangereux.

Il avança vers elle par petits pas avec un rictus hautain. Dans sa main droite, il tenait un morceau de viande. Elle le regardait de haut en bas et ne pu s'empêcher de se concentrer sur le bas. C'était un homme d'une virilité massacrante quand on voyait la taille de sa verge. Ses jambes était puissante, et pourtant il n'était pas costaud comme ces bodybuilders. Il avait l'air d'un mannequin avec une musculature saillantes mais pas grotesque. En tant normal, la jeune fille de vingt ans aurait eu envie d'un tel étalon car elle était une bête de sexe insatiable mais la situation n'était pas normale, et le type n'avait pas l'air commode.

Il lâcha un soupire las et la toisa avant de s'éclaircir la gorge :

- Tu n'as pas tord femme. J'ai effectivement été éloignée de la civilisation. Commença-t-il d'une voix gutturale qui donna des sueurs froides à la jeune femme.

Elle recula instinctivement après qu'il s'accroupît près d'elle. Il venait d'affirmer une pensée qu'elle avait eu. Elle faillit s'étouffer avec sa salive.

- Mais tu m'as l'air plus sauvage que moi, femme. Dit-il en l'obligeant à le regarder.

Elle trembla d'avantage quand elle vit à quel point son regard était froid.

- Mon phallus te captive à en voir ton examen précédent. Il est ce dont tu as besoin.

Elle secoua frénétiquement sa tête de droite à gauche comme si cela lui garantirait un sorte d'immunité. Il emploigna sa chevelure noire la mordit aux lèvres jusqu'à ce qu'elle saignât tout autour. Du sang s'ecoula le long de son menton. Il se mit à le lécher en émettant un bruit qui se rapprochait du grognement d'un fauve. Elle entreprit de le frapper car elle s'était jurée qu'elle ne serait plus jamais une victime, encore moins celle d'un homme. Elle souleva une de ses mains mais il l'intercepta et la tordit à tel point que ses phalanges s'émiettèrent sous le poids de sa force. Elle cria à s'en rompre la gorge. Sa main n'existerait bientôt plus, elle était désormais une infirme

Il la força à s'allonger et s'allongea sur elle à son tour. À ce moment, elle comprit qu'elle revivrait ses horreurs du passé à une puissance exponentielle.

Il entoura son cou de ses longs doigts et le serra. L'air n'existait plus et le vertige brouillait sa vue. L'envie de mourir commençait à faire battre son cœur :

- Les choses ont changé. Avant, personne n'aurait osé festoyer dans ces bois, mais à présent ils sont moins craintifs. Ça m'arrange.

Les yeux de son agresseur rougissait pour l'achever de terreur. Elle ne respirait déjà plus. Allait-elle vivre ces dernières minutes ?

____________

Méïdi ouvrit les yeux à la hâte comme pour fuir l'horreur. L'environnement qui l'accueillit la stupéfia. C'était une chambre chaude, pas les bois maudits. Et les yeux qui la regardaient tendrement n'avaient rien à voir avec ceux-là plus froid qu'un bloc de glace. Elle haletait et suait à grosses gouttes. Mais elle s'inquiétait encore un peu pour son sort :

- Où... Où suis-je ? Osa-t-elle demander avec les yeux à demi clôt.

- En sécurité. Répondit la voix de la sûreté.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro