Mot du dénomé auteur :

J'écris très peu ce qui fait que ma plume n'est pas rodée, pleine de défauts, peut être lourde. J'essaye de faire de mon mieux pour que vous, chers lecteurs, appréciez le plus possible mon histoire, bien sûr toute critique construite est la bienvenue dans mes mp ^^. En écrivant, je cherche surtout à extérioriser, c'est une sorte de défouloir... J'espère que vous prendrez tout de même du plaisir à découvrir mon égocentrique personnage principal : Otto... (Ps : désolée pour les fautes d'orthographe)

Bonne lecture :3

Bonjour,

Ici Otto, je me tourne et me retourne dans mon lit. Mes pensées sont assez confuses. Mes pieds sont gelés par le froid qui passe dans ma chambre jusqu'à mes draps, humidifiés par la fraicheur de l'aurore. Les conséquences d'avoir un père au chômage et une mère caissière. Ce ne sont clairement pas mes aspirations, l'idée d'une vie de misère me répugne au plus haut point. Je pense avoir de grandes capacités, en politique notamment. L'idée de débattre, défendre, marketer une image, MON image, me semble adéquate. Je gagnerais de l'argent en faisant ce que je sais accomplir de mieux; mentir et convaincre.

Ici Otto, mon ex débarque dans mes messages de manière légèrement stressante. Mes yeux sont encore engourdis et collés par la somnolence matinale.

"Tu dors ?"

"C'est Elodie, tu m'as bloquée donc j'utilise le portable d'une pote pour t'écrire."

"T'es réveillé ? "

"C'est urgent."

"Réponds à mes appels stp"

"Vraiment"

"Je t'en supplie".

Notre relation s'est arrêter de façon assez subite. En vérité, elle à eu l'effet de la guillotine. Couper proprement, rapidement, un boulot efficace. Ai je aider à la dégradation subite de cette idylle ? Oui. J'en suis même très fière. Tout mes talents de diplomate, de manipulateur ont été déployés pour qu'au final ce soit elle qui me sorte, durant une soirée d'été dans une salle de bain où trainait des bouteilles vide et des cadavres gémissants d'adolescents expérimentant les limites de leurs corps "Je trouve que notre couple ne va plus, on ne peut plus être ensemble, je t'aime mais tu seras mieux avec une autre". Phrase relativement classique, son manque d'inventivité me confirmant que j'avais bien fait d'être aussi exécrable.

Elle était jolie Elodie, une peau blanche, lisse, délicate au goût de lait, un fessier sucré, de petits seins rond et doux qui tenait dans le creux de ma paume, des cheveux blond, une bouche fiévreuse lui donnant un air lascif. Son corps brulant contre moi me consumait. Ces mains arachnéenne dégringolant les montagnes de ma peau embrasé.

Elodie c'était... l'amour fougueux, simple, beau, d'un jour, d'une nuit, entre parfum de cerise et bulle de champagne. La douceur et la violence pétillante, un merveilleux personnage de roman lubrique. Ces vises la rongeait, et par la même occasion, me rongeait. Je l'avais aimer, à n'en pas douter, peut être même un peu trop. Ce qui ne devait être qu'un simple coup d'un soir était devenu la femme d'une vie. C'est en cela que je voyais un problème. Un être, comme moi, ne DEVAIT pas s'attacher. L'amour est un défaut, il pervertit les âmes, nous fait devenir faible, tout petit, un rien, pour répondre aux attentent de l'autre quelque part.

***

Voilà, voilà, premier chapitre, j'espère que vous aimez, j'ai beaucoup travailler dessus, enlever, rajouter des paragraphes entier. J'ai malheureusement la fâcheuse habitude de rajouter tellements d'adjectifs que ca en devient ridicule ^^', j'espère ne pas vous avoir trop endormie

Au prochain chapitre si vous avez et si j'ai la fois de continuer....