Toi...
Je fermais les yeux, et profitait. Oui, je me remémorait ses instant si précieux, si géniaux, si merveilleux et extraordinaire passés avec toi. Je ne pourrais les oublier.
Flash back...:
Tu venais d'arriver, moi je te regardais. Tu étais nouvelle donc tu n'osais pas trop venir vers les autres. Mais dès ton entrer, tout le monde t'avaient remarqué par ta beauté.
En cours c'était la même chose, tu t'étais présenté et on avait appris des choses sur toi. Je ne pouvais pas détacher mon regard du tiens. Le professeur n'avait pas besoin de t'interoger, tu étais déjà caler. Tu connaissais tout. Certaine étaient jalouse car plein de garçons voulaient parler avec toi.
Un jour je me suis lancé, je suis venu te parler. Je me suis enfin lancé.
Après ça, on a appris tous les deux à se connaître. On ne parlait pas trop mais quand on parlait c'était de choses intéressante. Quand je me plaignait ou que je disait que j'en avais marre quand on disait rien tu me disais toujours. "Tu sais, on peut ne pas arrêter de parler mais on peut, aussi, s'exprimer sans rien dire."
Tu rigolais, parce que tu voyais ma tête se décomposer et je ne disais plus rien mais finalement je ne me retenais plus de rire.
Plus les jours passaient plus on se rapprochait. Je m'attachais vraiment à toi.
D'ailleurs au lycée tu étais vraiment doué, tout me monde t'aimait, certaines filles t'admiraient, les garçons te relookaient et ça te faisais rire. On te surnommait tous, "la meilleure" et c'était vrai, tu l'étais.
Au fil du temps je me rendais compte que tu étais vraiment importante à mes yeux. J'ai finis par t'avouer les sentiments que j'avais, parce que je ne pouvais plus te les cacher. À ma grande surprise, tu me l'as aussi avoué, on a donc décider de se mettre en couple. On était le couple modèle de tout le lycée.
Seulement voilà. Un mois après ton bonheur la maladie est arrivé. J'étais décapité. On a tous fini par apprendre que tu avais un cancer...Le tiens, seulement,c'était un cas très rare, il n'existait pas les bons médicament pour te soigner...Mes notes baissaient, tout le monde s'inquiétait, et pour moi et pour toi. Je ne m'imaginais pas une seule seconde ma vie sans toi. Si j'étais ce que j'étais aujourd'hui c'était grâce à toi. Tu m'avais transformé. Je t'aimais tellement. Alors oui, oui il y a eu cette maladie qui nous a séparé..Le médecin me répondait sans cesse désoler. Mais sait-il à quel point cela fait mal de perdre la personne qu'on aime le plus sur terre, la personne qui, dès qu'on la voit, nous fait sourire, rire, nous fait sentir bien. C'est cette personne qui est morte pas un objet. Non, c'était quelqu'un et tout le monde l'admirait, je t'admirais.
Alors voilà, je n'ai jamais pu te dire ce que je ressentais pour toi. Je ne le savais peut-être pas. Mais bon, je vais écrire tout ce que j'ai ressentis pour toi. Oui, au début on ne s'appréciait pas énormément car on ne se parlait pas du tout, mais comme je me suis lancé, j'ai découvert à quel point tu étais loin d'être bête. Je ne suis peut-être pas intelligent mais tu m'as beaucoup aidé pour ça. On se parlait encore et encore et mes blagues te faisait rire, tu avais donc un sens de l'humour très pourri comme le mien mais bon, la perfection, je le croyais, n'existait pas. Mais si. Fin' bref, après j'ai commencé à m'attacher à toi, vraiment. Un jour on s'est avoué nos sentiments l'un pour l'autre. On était heureux, chaque jours passaient plus je t'aimais, j'étais juste devenu dingue de toi. De tes yeux, de ton sourire, de tes cheveux, de ta bouche, de tes manières, de ta façon de parler, de toi. Juste toi. J'étais amoureux, et je le serais pour toujours. Donc oui tu as fermer tes yeux, ils ne se r'ouvriront jamais. Oh non. Mais sache une chose plus qu'importante, c'est que je t'aime.
Fin du flash back...
Je dépose ce 'poème' sur ta tombe avec une rose. Parce que c'était tes préférés.
Je pleurais oui, parce que j'avais perdu la personne qui comptais le plus à mes yeux. C'était toi.
#E
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