"Ouais, vas-y ma belle. Un peu plus vite! Oui, c'est ça! Tout doux.." dis-je a mon étalon.

Je donne une pression sur les rennes, pour qu'il s'arrête, ce qu'il fait. Je descends et la ramène.

"Ton entraînement était super, Énora, toi aussi Junger." rigole t-il.

"Merci, Nate." je lui souris.

Je le contourne et regarde dans les alentours, quelque chose est suspect. Un homme, il est vêtu d'un costume, un homme d'affaires certainement, mais, que pourrait-il bien faire ici? Ce n'est pas sa place. Une écurie et un homme d'affaire, c'est pas top top tout ça.

Je le regarde de plus prêt, il a un visage impassible, son regard est dirigé vers Junger, pourquoi le regarde t-il?

Junger sent son regard, la preuve je le sens s'affoler. Si il continue je vais aller lui dire deux mots moi.

"Doucement ma belle." Je murmure en lui caressant l'encolure.

Nate me regarde, puis l'homme. Il me re-regarde étrangement.

"Quoi?

-Bah, je le sens pas ce type. Là-bas. Il regarde Junger comme si il allait la dévorer." Il grogne.

Il s'occupe de Junger depuis qu'elle est née, voilà pourquoi il est attachée à elle.

"Bon je vais rentrer moi, bisou Nate.

-Attends, tu veux que...Je te raccompagne?" il demande se grattant la nuque.

Je hoche la tête, puis il m'emmène dans sa voiture. Comme d'habitude, on se dispute pour la radio et on termine mort de rire.

"Tu veux rentrer...?" Je demande d'une voix minuscule.

"Pourquoi pas?"

On prends l'ascenseur, puis on entre et ma mère nous accueillent un grand sourire pendus aux lèvres.

"Nate, Ma chérie! Allez vous préparez tous les deux!" dit-elle toute joyeuse.

"Mais...Je la ramenait juste moi..." commence Nate.

"Eh bah dans ce cas, dors ici ce soir! Ce sera génial, comme nous avons des invités!" Elle hurle presque.

Je monte en riant avec Nate, j'aimerai bien savoir quel sera l'invité de ce soir! Est-ce un homme? Ou bien une femme? Ou un ado? Ou une ado? Un homme d'affaire? Un secrétaire? Un patron de bar? Un catcheur? Un rockeur? Ok je me fais beaucoup trop d'idée.

À vrai dire, cela fait pas mal de temps que nous n'avons invité personne, alors...J'ai un peu peur. Même beaucoup.

Je suis prête, vêtu d'une robe noir, simple mais que j'affectionne beaucoup. J'ai bouclé quelques de mes cheveux pour un effet que j'aime bien, puis j'ai fais un effort côté maquillage. Je retourne dans ma chambre et y découvre mon cher Nate. Il s'est changé, apparemment.

"Comment tu..?

-A pu te changer?" Il termine pour moi.

Je hoche la tête, le décrivant. Il porte un jean noir, une chemise blanche et des baskets noir, je ne le vois que très rarement habillé comme ça.

"Tu es une fille, tu prends du temps, je suis re-partit chez moi prendre des affaires pour ce soir et me changer en même temps.

-D'accord, Mr je me mets sur mon trente et un."

On a rigoler. Puis nous sommes descendu, et la table était mise, le plat était prêt. Un seul détail, ma mère. Elle se triturait les doigts comme jamais, elle était stressé.

"Maman, relax!" Je rigole.

"L'homme qui vient ce soir, c'est notre nouveau voisin."

D'accord, elle stresse pour ça?!

Nous attendions tous, regardant les pauvres doigts de ma mère. Mon dieu, que c'est stressant.

La sonnette retentit, nous nous levons tous, ma mère et moi avons le même geste, lisser nos robes. Tant dis que Nate rigole tout seul pour on ne sait quelle raison.

Ma mère ouvre la porte, je sens deux bras se poser sur ma taille. À quoi joue t-il?

Deux invités, un homme et son fils qui doit avoir notre âge.

L'homme, il me rappelle quelqu'un..J'essaye de fouiller dans mes souvenirs, mais oui! C'est lui, l'homme â l'écurie, celui qui regardait Junger! J'ouvre de gros yeux et regarde Nate.

Oh mon dieu, mon dieu, mon dieu, mon dieu. Ma respiration se fait rapide tant dis que Nate me rapproche de lui, contre son torse brulent.

"Bonjour Mr. John.

-Madame Sasmanth." Il salue." Vous pouvez m'appeler Will. Voici mon fils, Jordan."

"Enchantée." Je murmure à voix basse dans un léger grognement.

Je ne veux paq d'eux ici, surtout lui. Cette homme qui est venu à l'écurie. Je ne le sens pas.

"On va prendre l'apéro, les jeunes?" demande ma mère.

Tout les trois vont dans le salon moi j'emmène Nate dans la cuisine.

"Nate, l'homme c'est...

-Le mec de l'écurie, je sais.

-C'est mon voisin, c'est abusé!" je dis en grognant.

"Viens la princesse..

-Non.

-T'es sérieuse?" Il rigole.

"Non." Je ri alors qu'il me prends dans ses bras.

Après notre petite étreinte, nous allons dans le salon. Je détail Jordan, avec un regard froid. Il est petit, des yeux noirs et il est brun. Il porte un jean et un tee-shirt mis sûrement à la va-vite.

***
Nous sommes passés à table. Les conversations passe et défile.

"Monsieur John, vous aimez les chevaux non?" dis-je avec un regard noir de haine.

Tu vas payer pour t'être incruster, mon gars.

"Oui j'adore ça. Je pense même que je vais en acheter un." Il dit, avec un sourire joueur.

Junger. Si tu l'achètes je te fais la misère.

"Ah bon, on ne dirait pas, un homme en costume avec un cheval, ça ne colle pas. Je suis certaine que vous n'en n'avez jamais fait. C'est sûre, vu votre tête.

-Merci mademoiselle mais j'en ai déjà fais, et cet après midi même...

-Vous vous êtes incrusté!!" Je crie presque.

"Non, je regardais les chevaux.

-Vous vous êtes incrusté quand je m' entrainais avec mon cheval." Je dis d'une voix terriblement froide.

"Junger me paraît être un cheval formidable, je pense bientôt l'acheter." dit-il, toujours en ayant le sourire joueur.

Je commence à trenbler, c'est mauvais signe, Nate me prends par la taille mais...

"VOUS N'AVEZ PAS LE DROIT!!! JUNGER M' APARTIENS !!!!" Je hurle à plein poumon.

Nate me prends par la main et m'emmène dehors. Il me serre contre lui comme si j'étais un bébé sans protection.

"Calme toi, je suis là.

-Oui...Mais Junger...

-Elle restera, je te le promets, Énora." il murmure dans mon oreille.

Je relève la tête, des larmes se formant autour de mes yeux. Je ne veux vraiment pas la perdre.

"Tu sais ce qu'on va faire?" il dit, un sourire au lèvre.

"Non...

-Tu vas venir dormir chez moi ce soir, Ok?"

Je souris puis dépose un bisou sur sa joue.
Il me prend la main puis nous montons à l'étage, je prends des affaires et nous re-descendons.

"Tu fais quoi ma chérie?

-Je vais dormir chez Nate, ça se voit non?

Je sors en claquant la porte. On rentre dans la voiture avec Nate. Et il démarre le plus vite possible.

***
Nous sommes rentré, sa mère me voit et elle a un temps de réaction.

"Je...Tu dors ici, ce soir?" elle demande.

Je hoche la tête.

"Ça ne te dérange pas maman?"

Elle fit non de la tête puis nous sommes montés. Je m'assis sur son lit tant dis qu'il se mettait torse nu. Wouh. Je ferme les yeux devenant plus rouge qu'une tomate. Pourquoi est-il si bien foutu?

"Tu peux ouvrir les yeux hein?" il rigole voyant ma gène.

"Te fou pas de moi!" je dis en lui lançant un coussin qu'il évite de justesse.

"Ah ouais, tu veux la jouer comme ça?" il dit avec un sourire de pervers.

"J'en suis plus si sûre..." je murmure.

Et c'est le commencement d'une longue bataille de polochon.

Il s'équipe d'un coussin et je fais de même. Sa mère nous prendra sûrement pour des fous.

Je lui lance des tas de peluches et saute sur lui pour lui donner son coussin dans la tête. L'occasion de prendre son coussin est trop belle donc il se retrouve sans rien.

"Éh!" il rigole.

Il essaye de venir mais il se prends des coups de coussins à plusieurs reprises. C'est marrant.

Il trouve une nouvelle tactique, il s'approche lentement avec un sourire m'attrape par la taille et me fait tomber sur lui.

"Cette fois-là, j'ai gagné." Il murmure.

"Cette fois."

Mon dieu, nos visages sont si prêts. Ses lèvres sont...Oh mon dieu...J'ai une terriblement envie de l'embrasser. Pour je ne sais qu'elle raison.

Je le regarde lui puis ses lèvres et...

Je le regarde lui puis ses lèvres pendant des secondes qui me paraissent être des heures entière avant qu'enfin, je sente ses lèvres si douce et chaude sur les miennes. Il mets ses mains dans mon dos pour prolonger le baiser, et moi je pose mes mains sur ses joues. Je vais être honnête, Nate me plaît, vraiment. Alors je n'allais certainement pas refuser son baiser.

Quand on se sépare tristement, on se regarde pendant quelques secondes, -le temps de reprendre notre souffle-, puis je me jette sur ses lèvres fines.

Le seconds baiser étant plus...Sauvage, j'ouvre un petit passage pour sa langue, bientôt nos deux langues commencent une sorte de danse. Il me serre contre lui comme si, maintenant je n' appartenais qu'à lui, j'étais maintenant sa copine après tout.

Nos langues se séparent et notre baiser prend fin.

Il me regarde droit dans les yeux, et moi aussi.

"Je crois que je n'ai pas besoin de le dire, mais je pense t'aimer." il dit avec sa belle voix rauque.

Je m'approche de lui, lui fait un bisou sur la joue, puis lui murmure que «je l'aime aussi».

"C'est plus là, le bisou, maintenant." il sourit.

"D'accord j'ai compris." je rigole.

Je l'embrasse quand j'entends.

"Oups..." dit une voix féminine.

Je me détache immédiatement de Nate, étant rouge tomate.

"Désolée...!" elle dit avec une voix bizarre, sûrement sous le choque d'avoir vu son fils m'embrasser moi...

"Maman! T'aurais pu toquer au moins...!" il dit, essayant d'avoir la mine dure.

"Ça fait combien de temps?!" elle questionne.

Oh non...Je reste couleur tomate. La tête baissée.

"Maman..." grogne Nate.

"Allez, dit moi!" elle demande comme une petite fille.

Je ne peux réprimer un petit rire. Sa mère et Nate se joigne à moi, petit à petit je deviens à l'aise.

"Bon alors, vous me dites?" elle rit.

"Cela ne s'est fait que depuis ce soir, maman.." dit Nate, toujours un peu gêné.

"Oh vous êtes un petit couple tout frais et tout mignon alors!" elle sourit.

Elle a le même sourire que son fils. Ils sont mignons.

"Bon, vous avez peut-être faim?"

On avait pas trop mangé vu ce qu'il s'est passé...Donc nous hochons tout les deux la tête.

"Bon je vais vous préparez des macaronis." elle me regarde. " C'est son plat préférée." elle dit avec un clin d'œil et un petit rire.
Mon dieu, sa mère est si rigolotte.

Il me regarde alors que sa mère part.

"On en étais où, déjà?" il dit avec un sourire.

"Sale pervers!" Je rigole.

Il m'attrape par la taille et me mets sur lui. Il place ses mains sur mes joues, les caressent puis m'attire à ses douces lèvres.

Ce baiser-ci est plus cours. Parce qu'après il viens déposer ses lèvres sur mon cou. Oh non. Il me fais un suçon.

Quand il a terminé son œuvre, fier de lui, il dit :

"Comme ça, ils sauront que tu m'appartiens, qu'à moi."

Puis, il rit comme un idiot. Toi aussi, t'en auras un, rassure-toi, chéri.

Je souris comme une idiote en pensant à ce que je vais lui faire quand je sens ses bras protecteur venir se poser sur ma taille pour bientôt être collée à son torse tout chaud.

Je me retourne pour lui faire face et je mets ma petite tête dans son cou.

Prépare toi, mon amour. Je lui aspire la peau doucement pour qu'il s'aperçoit que bientôt lui aussi il aura une marque violacée dans le cou.

J'enlève mes lèvres, fière de la petite trace violette que je lui ai laissé.

"Ils sauront également que tu es pris, hein mon amour." je rigole tant dis qu'il me soulève.

J'enroule mes jambes autour de lui et on s'embrasse comme deux adolescent amoureux.

Le moment où tout ça devenait de plus en plus...Chaud, sa mère toqua à la porte, il grogne mais me repose tout de même pour aller manger le plat préféré de monsieur Nate.

Nous mangeons en riant, mon téléphone sonne.

"Excusez-moi, je reviens."

Je vais dans une pièce plus loin, puis décroche.
-Oui, allô?
-Bonjour, Énora. Je suis l'homme voulant Junger.
-Vous ne l'aurez pas Mr. John. Laissez-moi.
-Oh bien sûre que si je l'aurais, et pour te faire plaisir, je l'enverrais à l'abattoir.
-Vous n'auseriez pas." je dis, les yeux remplis de larmes.
-Oh que si. Demain, à 9 heure, prépare toi à faire tes adieux a Junger."

Il raccroche et moi je m'éffondre. Je tombe en larme sur le sol de la cuisine.

Il ne peut pas...Il n'a pas le droit de faire ça...C'est pas juste...Junger...Elle est à moi...Il a pas le droit...C'est pas possible...Je vis dans un cauchemar, mais en même temps non...
Je vais perdre mon Junger....Non....

Nate et sa mère arrive et me découvre par terre en larme. Sa mère prends les choses en main.

"Nate, emmène là dans la salle à manger, on va lui faire du chocolat chaud. Le chocolat cela résout, TOUT!" elle dit se dépêchant au plus.

Il fait ce qu'elle dit, me portabt en princesse tant dis que je cache ma tête dans son cou, toujours tremblante et en sanglotant. J'ai tellement peur qu'il enlève Junger et qu'il mette ses menace à exécution.

"Raconte moi, princesse." il dit en posant délicatement sa main sur ma joue.

"Tu sais...L'homme, celui de...De l'écurie?..C'était lui...Il m'a menacé et..Junger aussi...Il l'achète, Nate...Il a dit qu'il allait l'envoyer à l'abattoir...Je...Je suis sûre qu'il le fera..." je termine toute frêle dans ses bras, toujours en pleurant un peu.

Il me serre contre lui.

"Si il l'a prends, je ferais tout pour qu'elle revienne, y compris aller la chercher à l'abattoir. D'accord mon ange?"

Je hoche la tête puis il dépose un baiser sur mon front et ma bouche.

Sa mère arrive avec un sourire de compation, c'est réconfortant.

"Tiens ma belle." elle me tend une tasse de son fameux chocolat chaud.

Je le prends dans mes mains moites, et en bois une gorgée.
Je sens les bras de Nate autour de moi, il me serre contre lui. C'est une façon pour me calmer, et j'ai l'impression que ça marche.

La mère de Nate ne me pose aucune question, elle se contente de sourire, un sourire très réconfortant. Petit à petit, la bonne humeur revient, j'oublie presque que Junger va partir, parce qu'ils me change les idées.

***
"On va se coucher, princesse?

-Vous dormez ensemble?!" demande sa mère, avec de gros yeux.

"Promis je la touche pas, maman!" rigole t-il.
On monte tous les deux mains dans la mains, après une étreinte avec sa mère ou je l'ai beaucoup remercier.

Une fois arriver dans sa chambre, il ferme la porte puis reviens vers moi, je suis devant sa fenêtre, je regarde le lointain. Je sens deux bras autour de mon cou, et de petits bisous se déposer sur ma tête.

On reste comme ça pensant un bout de temps, à regarder le lointain, la tête dans les nuages et le cœur qui bats à cent à l'heure.

Après cette étreinte, on se couche toute les deux, il m'embrasse et moi je pose la tête sur son torse dénudé.

Demain va être une journée...Horrible.

*
Je sens de fines et douces lèvres sur les miennes. Mes yeux restent clos mais je ne peux empêcher un petit sourire venir se placer sur mes lèvres.

"Tu es cramé, mon ange." dit Nate.

"Dommage, j'aimais bien tes lèvres." je dis, ouvrant les yeux.

Je me lève, me retrouvant avec un de ses tee-shirt et une culotte. Je rougis instantanément en y pensent, donc j'en file un de ses jogging et je sens ses bras venir m'entourer la taille. Je me retourne vers lui et mets mes mains autour de sa nuque. En jouant avec ses cheveux, j'ai posé mes lèvres sur les siennes.

Ce baiser est réconfortant, il me console parce que j'ai vraiment peur de perdre mon étalon.

Nous nous habillons l'un après l'autre, après avoir déjeuner. Puis nous partons voir une dernière fois Junger.

La route est silencieuse, durant le chemin. Je pense a Junger, tout ce que lui et moi avons vécu. Il m'a été attribué à sa naissance, c'était un très beau poulain, il l'est toujours aujourd'hui mais il est adulte.

Nous arrivons à l'écurie, mes yeux s' innondent de larmes.

Jacob, le «directeur» vient me voir, une mine triste. Avec M. John a ses côtés.

Je deviens furieuse, la haine s'empare de mon corp et j'ai envie d'hurler à quel point c'est horrible de m'enlever mon cheval.

Jacob inspire, une fois puis deux, il a un visage impassible, vidé de toute émotion.

"Comme tu le sais Nora, Mr. John veut acheter Junger." les larmes me monte au yeux. Nate prends ma main et la serre dans la sienne." Monsieur John est venu me voir plusieurs fois pour proposer des offres hors-normes, pour acheter Junger. Je les avaient décliner jusqu'ici. Mais la sommes est tellement importante cette fois-ci Monsieur John, que..." se tourne vers lui. "Que je dois vous dire que je refuse, une fois de plus. Junger est a Nora, pas à l'écurie. C'est son cheval, son étalon, et il reste ici. Maintenant, partez je vous pris, Monsieur John."

Je n'en croyait pas mes oreilles, JUNGER RESTE !

Je saute dans les bras de Nate et il m'embrasse passionnément, chose que je ne refuse pas, il approfondi le baiser en me collant à lui, moi en entourant mes jambes autour de lui.

"Euhm...J'ai raté un ou deux, ou encore trois mille épisode, non?" a demandé Jacob.

Nate et moi nous nous détachons et rions, puis expliquons et enfin, nous sommes aller voir mon Junger.

Je lui caresse l'encolure. Je reste quelque minutes avec lui, puis je rejoins Nate.

Mains dans la mains nous rentrons chez lui et tout qui est génialisme dans un monde idéal.

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