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Chapitre 32

Izana m'avait profondément marquée. Il avait laissé dans mon cœur une plaie que je pensais ne jamais pouvoir guérir tellement elle pompait mon sang et hantait mes pensées. Pendant des jours, je n'ai fait que le voir partout, l'entendre me chuchoter ses faux conseils. J'avais du mal à profiter de mes amis sans penser qu'ils avaient de mauvaises intentions cachées, ou à croire sur parole Shuji quand il disait qu'il m'aimait. Il y avait même des jours où je m'enfermais chez moi et je ne voulais plus voir personne.

J'avais conscience qu'il n'avait pas fait ça par pure méchanceté, qu'il ne savait pas s'y prendre et qu'il avait peur de me perdre comme Shin, mais je ne pouvais pas le pardonner.

Cela a pris des semaines pour oublier le traumatisme qu'était Izana, mais grâce à mes proches, j'ai réussi. J'ai plus ou moins réussi à me défaire de son emprise, avec la force de tout l'amour et la patience qu'ils me portaient.

Mais malgré tout ça, je n'arrivais pas à le détester. J'avais l'impression de devoir haïr Shinichiro et c'était impensable. Il y avait toujours quelque chose au fond de moi qui refusait de croire qu'il me manipulait, qui pensait qu'il ne voulait que mon bien. Du coup, j'ai coupé tous les ponts avec lui. Depuis ce fameux jour au parc, je ne l'ai plus jamais revu. Je ne sais même pas s'il a essayé de me recontacter puisque je l'ai bloqué immédiatement.

Parfois, j'avais envie de reprendre de ses nouvelles, je voulais savoir s'il était toujours avec ses camarades de l'ancien Tenjiku, s'il se sentait toujours seul. Je me disais qu'il devait y avoir au moins une personne sur Terre qui veille sur lui, qui blessé par la vie ne savait pas et ne voulait plus se faire des amis, et que cette personne serait moi. Mais je me ravisais aussitôt en réalisant tout le mal qu'il m'avait fait. Je me souvenais de la façon dont il avair essayé de m'isoler de mes proches.

Enfin, tout ça, c'est du passé, car maintenant, j'allais mieux et je pouvais dire adieux à mes problèmes. À tous, sauf un...

— Et ça ne te dérange pas qu'on parte vivre loin de toi ? lançai-je à l'intention de mon père.

Il aspira quelques gouttes de son café fumant et reposa lourdement la tasse sur la table en verre. Moi, je dégustais un bol de riz aux légumes.

— Allons, Kanzaki, on se reverra un weekend sur deux et pendant les vacances, c'est pas la fin du monde.

Je levai les yeux au ciel. Il savait très bien ce que j'insinuais et que ce n'était pas lui qui me manquerait.

La brise printanière du matin s'infiltrait à travers les fenêtres grandes ouvertes dans la cuisine dernier cri. Le soleil bas et dépourvu de nuages était agréable à regarder.

— T'aurais pas dû accepter, à cause de toi je vais être séparée de mes amis, m'emportai-je.

— Les amis ça va ça vient, tu t'en feras d'autres à Sapporo. Pas besoin de t'en faire autant, ça va bien se passer.

Je posai brusquement mon bol pour signifier ma colère, faisant trembler légèrement la table. Il leva un œil intrigué, comme s'il ne s'attendait pas à cette réaction disproportionnée.

— Yujin—

Papa, me corrigea-t-il.

Yujin, tu peux pas faire un seul petit effort dans ta vie pour essayer de me comprendre ? On dirait que t'as jamais eu mon âge ! Bien sûr que je veux garder mes amis et mon copain !

Comme il ne répondait pas, je continuais :

— Tu sais quoi j'en ai marre, tu penses jamais à mes sentiments. Tu me traînes toujours à droite à gauche à tes réunions de riches, tu passes jamais de temps avec moi et tu penses que me donner de l'argent de poche résout tout. Et maintenant, tu laisses ma mère m'emmener loin de Tokyo sans demander mon avis ? Et en plus de ça, tu me dis de relativiser ?!

Il baissa les yeux. Un petit moment passa sans qu'aucun de nous deux ne parle, il semblait chercher ses mots.

— Je suis désolé, lâcha-t-il finalement.

— Désolé de quoi ? C'est facile de s'excuser si—

— Kanzaki, en disant ça, je voulais juste te réconforter, parce que je n'ai aucune autre solution. Je ne peux pas tenir tête à ta mère. De plus, tu sais que son travail actuel est très instable, c'est une source de stress quotidienne et énorme pour elle. Je ne peux pas l'empêcher de trouver mieux à Sapporo.

Je ne répondis pas, ne sachant quoi dire. D'un côté, j'étais toujours furibonde que personne ne s'intéresse jamais à mon avis, mais de l'autre, je me disais que je devais prendre en maturité. Grandir et comprendre que ma mère avait besoin de cette opportunité, plus que mon petit caprice d'adolescent.

Je ne m'attendais pas à ce qu'il ajoute quelque chose, mais il se racla la gorge, hésitant.

— J'ai conscience d'être un très mauvais père. Si je pouvais tout recommencer depuis le début, je le ferai. Je ne suis jamais là, je passe mon temps à travailler, et je n'ai aucun tact. Je pensais juste pouvoir me racheter en t'offrant une vie de rêve. Je pensais que toutes les petites filles rêvaient de galas et de se marier à un homme riche. Il faut croire que je me trompais lourdement et que j'ai été incapable de comprendre tes attentes.

— Je te demandais rien, je voulais juste un père aimant, marmonnai-je, la voix à deux doigts de se briser.

— Je suis encore désolé Kanzaki. Je ne suis qu'un imbécile d'avar, je ne mérite pas la bénédiction de Dieu.

Dieu, encore et toujours lui.

— Tu sais, je prie tous les soirs pour notre avenir. Je prie pour que l'on se rapproche, que l'on se comprenne. Je n'ai jamais prié pour autre chose que pour Susano et toi, donc s'Il m'a accordé cette fortune, c'est pour prendre soin de vous. À partir de maintenant, je ferai plus attention à toi, je serai un père respectable, d'accord ?

Je hochai la tête en reniflant. En sachant la place importante qu'occupait la religion dans son cœur, je comprenais que ce qu'il disait était un grand honneur. Moi qui pensais qu'il préférait sa réputation à ses enfants, je me trompais peut-être.

C'est ce moment que choisit Susano pour débarquer avec son air d'imbécile heureux, un plaid sur le dos et à moitié réveillé. Il s'assit au bout de la table en bâillant.

— Pourquoi vous vous disputez de bon matin ? demanda-t-il l'air de rien. Et pourquoi tu chiales encore Aki ?

— Je pleure pas, le contredis-je en me mouchant dans ma serviette. Et fais pas genre, je sais très bien que t'as tout entendu.

— Peut-être bien, répliqua-t-il avec un sourire énigmatique. Alors, petite sœur, qu'est-ce que tu décides ? Tu pardonnes Yujin ?

Je jetai un coup d'œil à l'intéressé. Notre géniteur continuait nerveusement son café, tandis que nous discutions comme s'il n'était pas là. Je retournai la question :

— Toi, tu fais quoi ?

Il sourit.

— Je suivrai ta décision, répondit-il simplement.

Super, j'avais pas du tout la pression maintenant. Mon regard vacilla entre les deux hommes. C'était facile de s'excuser, de lâcher quelques belles paroles et de faire des promesse. Mais allait-il les connaître pour autant ? Cet homme vicieux et intéressé, était-il sincère ?

Même en connaissant sa personnalité, je voulais croire qu'il l'était. Je voulais croire qu'il aimait réellement ses progénitures et qu'il ferait des efforts pour changer. Comme on dit, tout le monde a droit à une seconde chance.

Alors, je pris une grande inspiration et le regardai droit dans les yeux.

— Je te pardonne, annonçai-je solennellement. Mais au moindre faux pas je t'adresse plus la parole.

Lui et Susano sourirent en même temps. Il faut croire que mes zygomatiques s'étirèrent aussi.

— Vous allez me manquer, déclara mon père. Énormément.

— Toi aussi, papa, répondis-je.

***

Quand on révise tranquillement son contrôle de géographie dans une classe vide avec ses meilleures amies, on ne s'attend pas à ce que la vitre arrête un cailloux lancé si fort qu'il aurait pu la briser avec un peu de volonté. Je sursautai, surprise, et me levai brusquement. Hina et Yori étaient déjà à la fenêtre, à observer l'auteur du crime. Je laissai tomber à contre coeur mes gribouillis sur les énergies renouvelables et les rejoignis.

— C'est qui ? Demandai-je avant de les atteindre.

— L'idiot de service, répondit celle aux cheveux roses pétant.

Je haussai un sourcil. Il y avait beaucoup d'idiots sur cette Terre.

Quand mon regard se posa sur le criminel, je souris aussitôt. Shuji. Hanma Shuji. Sans demander l'avis de mes amies, je fonçai à travers la salle, déplaçant sur mon passage des chaises dans un grand fracas. Je m'arrêtai sur le pas de la porte pour voir si elles me suivaient ; elles avaient l'air désespérées. Alors, sans plus de cérémonie, je courus dans les couloirs à la recherche de mon petit ami.

Je sortis en furie du hall comme un missile et trouvai rapidement ma cible. Je ne lui laissai pas le temps de dire un mot que je me jetai dans ses bras. Il ne parut même pas surpris et referma son étreinte sur moi en me caressant la tête. Je le serrai un moment du plus fort que je pouvais, avant de m'éloigner. Le simple fait de le voir me remplissait entièrement de bonheur.

Hina et Yori arrivèrent à bout de souffle derrière moi. Elles mirent un temps à retrouver une respiration correcte, avant de me remonter les bretelles.

— Tu t'entraînes pour un marathon c'est ça ? lança Yori.

— Tu pourrais nous attendre au moins, fit remarquer la deuxième épuisée.

Je leur offris un rire gêné avant de me tourner vers mon aîné. Puis, je remarquai... Emma ? Elle tenait le casque de la moto de Shuji sous son bras, signe qu'il l'avait emmenée ici. Depuis quand étaient-ils aussi proches ? Je fronçai les sourcils.

— C'est quoi cette tête Kanzaki ? Je viens t'annoncer une bonne nouvelle ! s'exclama-t-elle.

Puis, son regard fit des aller-retour entre le casque et moi.

— Aaah mais t'en fais pas pour ça ! Je n'ai d'yeux que pour Draken tu le sais bien, dit-elle en me prenant les mains. Quoi, t'es jalouse ?

Je détournai le regard, prise sur le fait.

— C'est même pas vrai, grommêlai-je.

— Rohhh c'est pas le moment de bouder alors qu'on va à la plage !

— On va à la plage ?!

Emma hocha la tête. Mes yeux s'étaient mis à briller d'une lueur enfantine. Toute joyeuse, je regardai Shuji qui me rendit mon sourire. J'adorais la plage. Pouvoir me prélasser sur le sable chaud en lisant un bon bouquin, c'était ma vie de rêve.

— Et comment est-ce qu'on s'y rend ?

— En train, évidemment !

C'est comme ça que nous nous retrouvâmes tous les six (avec Susano) dans un train direction la plage.

***

Susano rentra dans la chambre de Kanzaki. Quelle surprise, il tomba sur Hanma à moitié nu ! Il regarda tout autour, se demandant s'il venait de tremper son biscuit avec sa sœur, mais nulle idiote en vue. Le jeune homme n'osait pas refermer la porte, hypnotisé par la vision de rêve qui s'offrait à lui. Il bavait devant le six pack du délinquant.

À sa plus grande surprise, celui-ci lui fit signe de s'approcher. Susano obéit, envoûté par ce grand mâle ténébreux. Et, là, soudainement, Hanma l'attrapa par le col, et plaqua ses lèvres contre les siennes. S'en suivit un baiser torride et passionné. Le grand frère Matoi finit par s'écarter, sous le choc.

— J'ai toujours rêvé de faire ça, avoua le géant. Je t'ai toujours préféré à ta sœur.

— Moi aussi je t'aime, embrasse moi grand fou.


— Je peux savoir c'que vous faites ?

Emma et Yori sursautèrent en me voyant apparaître derrière leur épaule. La première éteignit son portable et le cacha, paniquée.

— Rien, absolument rien, prétendit-elle en faisant de grands mouvements avec ses mains.

Je levai les yeux au ciel en soupirant. Puis, je tentai de les convaincre de venir se baigner avec moi, mais elles préféraient bronzer. Je regardai Shuji et Susano qui se battaient dans l'eau au loin, et Hina qui ramassait des coquillages pour nous faire des colliers de l'amitié.

Je décidai donc de rejoindre les deux zigotos dans la mer, jalouse du temps que passait mon frère avec mon copain. Eh, c'est mon petit ami, pas le sien !

Je courrai donc dans mon petit maillot de bain blanc en dans le direction, projetant des rafales d'eau dans tous les sens. Puis, je sautai dans les bras de Shuji, qui m'attrapa comme un koala. Je tournai la tête vers Susano et lui tirai la langue.

— Eh, c'est pas du jeu ! s'écria-t-il. On était en pleine bagarre !

— Non, il est à moi ! répliquai-je.

— Je peux être à vous deux, vous disputez pas~

Sur ces mots, je lui lançai un regard de la mort qui tue.

— Bon, d'accord, capitula-t-il. Je suis tout entier à ma crackhead préférée.

Puis, il déposa un rapide baiser sur mes lèvres. Susano rit un bon coup en nous traitant de couple niais, et partit rejoindre les filles dans le sable. Shuji, lui, me laissa descendre et j'attrapai son torse dans mes bras.

Alors, l'annonce de ma mère me revint en tête. On partait demain, et je ne l'avais toujours pas annoncé à Shuji, ni à personne. J'avais trop peur de le faire. Je pensais qu'en ignorant la vérité, ça n'arriverait pas, mais c'était inéluctable.

Je me rendis compte que je fixais Shuji avec un peu trop d'insistance.

— Qu'est-ce qu'il y a, Aki ? T'as quelque chose à me dire ?

Je gardai le silence quelque secondes, réfléchissant à toute allure. Si je lui disais, j'allais casser l'ambiance, et je voulais profiter de cette vie légère un peu plus.

— Non, rien, finis-je par dire en affichant un grand sourire.

Puis, je lui envoyai une grande vague d'eau qui rentra dans son nez, et pris mes jambes à mon cou. Le temps qu'il comprenne ce qu'il s'était passé, il se jeta à ma poursuite.

Nous jouâmes ainsi toute l'après-midi, à se courir après, se balancer de l'eau et des algues, se noyer, et s'embrasser pour faire la trêve. Je me sentais plus heureuse que jamais, en repensant à d'où nous venions.

Je me remémorais la première soirée, puis quand on s'est rencontrés par hasard à la gare, la deuxième soirée où il m'observait depuis la baignoire, quand j'ai réussi à obtenir son numéro et qu'on a recueilli Sen, quand il s'est incrusté chez mon père puis au rallye et que j'ai fini par jeter des toasts à l'avocat sur Watanabe avant de péter les dents à ce dernier, quand il est venu en pleine nuit chez moi pour que je le soigne, quand il m'a sauvée d'un kidnapper puis que j'ai dormi chez lui, quand on a passé Noël ensemble chez les amis de mon père et qu'on s'est tenus la main, le Nouvel An, et puis toute cette histoire avec Izana... qui s'est soldée par Shuji se jetant dans un combat désespéré contre lui.

Ouais, on venait de loin. Et maintenant on était enfin ensemble, on s'aimait et la vie était belle, jusqu'à... demain.

Comme il se faisait tard, nous décidâmes de sortir de l'eau. Mais, avant de rentrer, on s'est retrouvés sur la terrasse d'un bar avec des smoothies et des cocktails — sans alcool évidemment.

— Regardez ce que j'ai fait ! annonça Hina en déposant sur la table un tas de coquillages suspendus à des fils bruns qu'elle venait d'acheter. Comme ça, on sera toujours reliés.

Elle me passa un collier au coquillage blanc très simple mais adorable. Je m'empressai de le passer autour de mon cou. Vous commencez à me connaître maintenant, donc vous ne serez pas étonnés si je vous disais que j'étais à deux doigts de pleurer.

— Tu vas quand même pas chialer ! s'exclama mon frère.

— Ferme là elle fait ce qu'elle veut, l'arrêta Emma en lui donnant un coup de coude.

Je sentais Yori me dévisager. Elle savait qu'il y avait quelque chose, elle le savait toujours. Mon amie était très douée pour déchiffrer l'expression des autres et particulièrement les miennes. Elle soutenait mon regard avec un sourire très doux, comme si elle me disait qu'elle me soutenait peu importante ce que j'allais dire.

Puis, je jetai un coup d'œil à Susano, qui avait la même expression. Il fit un léger mouvement de tête pour m'encourager à me lancer. Pendant un moment, je voulais que ça soit lui qui s'en charge, mais je réalisai que c'était mon rôle. Après tout, c'étaient mes amis durement gagnés.

Je me raclai la gorge de façon à avoir l'attention de tout le monde.

— Je vais déménager, annonçai-je de but en blanc.

— Quoi ?! Quand, où ?! Pourquoi je suis pas au courant ? s'écria Emma.

— Demain, à Sapporo, expliquai-je. Ma mère voulait que ça soit moi qui le dise à mes amid.

Elle afficha un regard de chien battu, et pareil pour Hina et l'imperturbable Yori. Shuji, assis à côté de moi sur le banc, avait l'air sous le choc. Sa face s'était décomposée en une demi seconde.

Je me rendis compte que mes bras trembles sois l'émotion. Je voulais le rassurer, mais je savais que ça ne lui plaisait pas de s'ouvrir ainsi en public. Alors, Emma prétexta vouloir ramener les verres vides aux serveurs, accompagnée par Hina et Yori, et Susano se rua sur les toilettes.

Enfin seuls, nous nous regardâmes dans les yeux pendant quelques secondes, voir minutes, je ne sais pas. Je finis par baisser les yeux. Je m'en voulais de ne lui avoir pas dit avant.

Je sentis ses doigts se loger sous mon menton pour relever ma tête. Puis, il dit cette phrase qui me marqua à jamais :

— Peu importe si on se perd, si on se sépare, si on habite à des milliers de kilomètres d'écart... Je te retrouverai. Je te promets que je te retrouverai.

Sans plus de cérémonie, je me jetai dans ses bras et caressai ses cheveux humides.

— Retrouve moi, grande perche, murmurai-je. T'as intérêt à me retrouver, je t'attendrai.

Ainsi se termina l'histoire de la fille seule et du garçon en manque d'adrénaline, qui avaient chacun trouvé leur âme sœur.

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Ce chapitre est treees long, je suis désolée, mais je voulais bien conclure l'histoire. Et oui, c'est déjà la fin... Mais ne vous inquiétez pas, l'épilogue arrive bientôt, puis je sortirai des bonus sur leur vie adulte et les personnages secondaires ! (Notamment sur le Yori / Yuzuha et sur Susano :))

Merci beaucoup d'être restés avec moi pendant toute cette aventure, et je suis encore désolée d'avoir mis tant de temps à sortir la fin.

Prenez soin de vous !

Ps : j'espère que le hanma x susano vous a plu

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