♫ 𝐄𝐭 𝐭𝐨𝐧 𝐧𝐨𝐦, 𝐣𝐞 𝐧𝐞 𝐥𝐞 𝐝𝐢𝐬 𝐩𝐚𝐬.

Les gens le vomissaient.

Il vomissait les gens.

Il ne se souvenait plus dans quel ordre ces éléments avaient fait leur apparition.

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Peut-être avait-il voulu échapper à l'ascétisme. C'est pour ça qu'il s'était rendu au bar le plus proche de chez lui dont l'enseigne n'affichait pas encore la fermeture.

Observer les vices.

Pourtant, Minho, des vices, il en dégageait peu.

Il n'avait pas touché à son verre de pastis, celui ci était resté amorphe dans le coin de la table vernis.

Il n'était pas venu pour boire. Lui même se posait la question, quelles étaient ses sources de motivation?

Mais ce n'était que le temps d'une nuit, alors on pouvait lui pardonner ses actions irréfléchies.

Le brun, il avait besoin de se rebeller. Et même si ce n'était que pour quelques heures, et bien ce serait quelques heures extrêmement importantes pour lui car;

Il aurait l'impression de ne pas être seulement 𝙍𝙞𝙚𝙣.

Et, une fois le soleil aura pris la place des ténèbres, tout redeviendra comme avant:

Il se fondra dans le moule.

Les gens ne lui accorderont aucune attention.

Il n'accordera aucune attention aux gens.

Mais les étoiles s'éclaircissaient de plus en plus vite, personne ne pouvait le nier. Il fallait se rendre à l'évidence: il était temps de rentrer.

Minho aurait aimé rester. Pas longtemps. Juste encore un peu.