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chapitre 4

Deux jour plus tard, Audrey n'était pas rentré chez elle et resta à l'hôpital en s'attendent à ce que son mari allait se réveillé de son coma.

Tous c'est passer très rapidement avant même que Robert tombe malade, c'était une journée qui était pas comme les autres. Audrey se rappelait que ce soir même, ils avaient veillé toute la nuit en se racontant les vieux histoires du passé et en planifiant les futurs projets qu'il allait préparer. Elle avait sentis en elle cette atmosphère de revivre ses moment de jeunesse. Quand elle avait rencontré robert à l'âge de 24 ans, à cette époque il n'était pas trop riche, ni trop arrogant. Tous ce qu'elle aimée de lui ces son cotés romantique. Elle aimait bien le fait qu'il lui écrivait toujours des lettres en utilisant des mots ou des expressions de langage soutenue. Elle se rappelait qu'une fois elle était devenue jalouse de voire Emma à ses côtés. Ce jour-là elle ne s'était pas endormie toute la nuit en y pensant comment exprimer son amour qu'elle lui porte pour lui par écrit. C'était vraiment difficile pour elle d'écrire ses première paragraphes qui était touchant.

Chers Robert Lorenzo

Je tiens à t'écrire cette lettre pour t'avouer mes sentiments. Voudrais-tu savoir quel genre de sentiment ai-je pour toi ? Un sentiment de regret de n'avoir pas eu le courage de te répondre à tes premières lettre, un sentiment remplie de faiblesse et de manque d'énergie quand tu te trouves auprès de moi, un sentiment dont la jalousie prend place quand ces filles se trouves à tes cotés. Comment veux-tu que je te réponde aussi facilement si mes sentiments ont déjà traversée ce long parcourt. Le parcourt d'un chagrin d'amour ! je ne suis pas la plus belle des femmes ni la plus intelligentes mais je suis l'unique portrait d'un peintre qui pourrait me valorisé selon sa volonté et son intérêt. Mon peintre est celui qui ferra de moi une œuvre d'art, car cet amour est une preuve de témoignage.

Audrey Larsen

Un beau jour, Gueva se décida de faire une petite promenade avec son vélo en passant par une petite école de primaire dont les élèves étaient en train d'attendre leur parent. Quand soudain elle rencontra à nouveaux cette femme qu'elle avait décrit à son père. Elle s'était mise à courir pour la revoir.

Gueva : Bonjour, euh... Madame ou Mademoiselle

La femme : Bonjour, Lui répondais très brièvement.

Gueva : Excusez-moi, je pense que je suis allée un peu trop loin.

La femme : Non ce n'est pas grave, vous pouvez m'appeler les deux. Sa me dérange pas !

Gueva : Vous êtes un professeur ?

La femme : Oui, comment t'as su ? Lui demandais avec un air étonner.

Gueva : Bah...je l'es juste deviner.

La femme : Ah d'accord, sinon je vous laisse conduire votre vélo Bon après-midi, en lui faisant un signe d'au revoir à la main.

Gueva : Bon après-midi à vous aussi.

La femme partit aussitôt avec sa voiture même si que Gueva voulais lui demandait trop de question.

Gueva était une jolie petite fille, qui avait un visage rond et des cheveux noirs très courts jusqu'à la nuque dont sa franche caché son front. Elle détenait de sa mère un petit nez et des lèvres minces. Ce qui l'embellissait c'était ces fusettes et son regard qui attirait l'intention. Elle n'était ni grosse ni maigre ni de petite taille, elle avait une démarche élégante qui ravitailler sa courtoisie. Elle avait un caractère qui donner aux gens de la connaitre un peu plus et aimait voir les gens faire ce qu'elle désirait. Pourtant elle n'avait que 13 ans et c'était une petite fille dont son père l'avait gâté dès son plus jeune âge. Beaucoup de jeunes fille de son âge rêvait d'être la fille de Frédéric Mate vu le collège dont laquelle elle étudiait qui était l'un des écoles les plus réputés. Etre belle et riche sa vaut la peine d'être connue sur Skyrock. Les jeunes suivait ces actualités dans les réseaux sociaux, tandis que pour d'autre elle était une source d'admiration. Depuis qu'elle était née son père ne s'était jamais marié. Elle pensait qu'il devrait surement aimée sa mère Emma, son père lui dit souvent qu'elle ressemblait à sa mère, les cheveux noirs très courts et fin, un visage ovale et des gros yeux en amande. Sa lui faisait réjouir d'entendre ces compliments mais au fond elle avait toujours voulut que son père tombe amoureux à nouveaux tout en oubliant le passé.

Au plein milieu d'un paysage ou l'on admire la verdure verte et les fleurs rose d'un arbre fruitiers, un lac d'eau qui coulait entre les herbes parfumée. Est-ce le printemps ? Car le temps était agréable, fascinés par le rayon du soleil qui touché la peau dont l'on ressentait aucune chaleur brûlante et ce vents qui soufflait de temps en temps que l'on entend par son bruit un son mélodieux. Est-ce la Suède ?

Un peu plus loin, On observés un grand jardin qui s'étend à perte de vue. Il avait des allées parallèles et plein de jets d'eau et quelques bancs de pierres blanches. On se demande qui demeure dans cet endroit ? Ce lieu paradisiaque est un lieu lointain empreint de sérénité. On entendait les cris joyeux des enfants qui se mêlent aux discussions emportées des adultes et la fraicheur du vent nordique qui les font frissonner d'excitation. On voyait le dos d'une femme et un homme qui discutaient et qui rigolait, les paroles et leur conversation étaient remplie de charme. Qui est-ce couple qui sont assis sur ces chaises Cristallisés ? Cette femme avait un teint très pâle comme blanc et des cheveux brun et court jusqu'au épaule, elle avait le visage très arrondie, avec un large front, des lèvres pulpeuses et des yeux de chat qui vire au jaune et au vert. Elle portait légèrement un panier de fruit remplie de cerise et de fraises et les goutter avec délicatesse. Ce vieil homme qui se trouvait à ses côtés avait un visage rectangulaire, le nez arqué, le front droit et les joues saillantes. Il avait la peau blanche et grasse, des lèvres charnues et des dents blanches. De taille environ un mètre soixante-dix, il avait des yeux marron et des cheveux noirs très doux. Il était vêtu d'un chapeau noir et un manteau en cuivre.

Les discussions devenaient de plus en plus longues et un sommeil profond l'attrapait dont elle s'allongea dans l'une des épaules de cet homme. Elle ressentait sa main qui passait dans ses cheveux, ses paroles ne cessait pas alors que sa voix commencer à diminuer de plus en plus.

Tous d'un coup, un son aigu et très sonore émis par un électrocardiogramme se met à crier, Audrey se réveilla en plein milieu d'un rêve, elle était endormie en étant assis sur une chaise et coucher sur le bord du lit de Robert. Les infirmiers et les médecins coururent en se dirigeant vers le patient. Le médecin baisse sa voix en parlant à l'infermière et procéda un examen pour détecter l'arythmie cardiaque de Robert.

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