Chapitre 2
Le temps passe et le weekend arriva, la famille d'Edward se préparait pour partir en vacance pour se décontracter dans l'ancienne maison des parents de Rose qui se situé dans un petit village de Suède.
Rose était en train de préparer quelque affaire dans la cuisine. Tandis que son mari en essayant de réparer la voiture, il s'était rendu compte qu'il y avait un problème due à une fuite d'huile. C'était à ce moment qu'il avait appelait un garagiste dont il l'avait toujours contacté. Rose et les enfants étaient prêts à attendre à ce que la voiture se fait réparer par le garagiste M. Clark.
M. Clark connaissait M. Edward depuis longtemps, il se rappelait que tous les matins de bonheur il passait devant la porte de sa maison avec son camion pour travailler.
C'était normale pour Clark que tout le monde connaissait qui était bien et bel Edward Teyd, un homme qui a était recruter en tant que employer dans une entreprise auquel tout le monde rêve d'y bosser.
La famille d'Edward s'installa dans la voiture et Rose demanda à ses enfants de remercier M. Clark. Cet ainsi qu'il lui renvoyait un sourire de confort aux enfants en leur souhaitant de passer un bon weekend.
M. Clark rentra chez lui tout en voyant sa femme qui avait des airs triste. Il lui parla pour s'assurer de son état :
Clark : Qu'est que vous avez aujourd'hui ? Lui demanda
Elena : Je viens de prendre un calmant, maintenant je vais mieux ! Répliqua-t'elle
Clark : Un calmant ?
Elena : Ouai... t'as oublié que c'était un Parastamol, Lui coupa t'elle la parole
Clark : Oui je sais ce que c'est... mais qu'est ce qui t'arrive aujourd'hui et pourquoi me parles-tu ainsi ?
Elena : Clark t'as pas autre chose à faire au lieu de se soucier de moi ? Parlait-elle avec frustration.
Clark : Mais ... j'ai finis ce que je devais faire. Il y a-t-il un problème pourquoi me parles-tu de cette manière aujourd'hui ?
Elena : il y a plein de chose auquel tu ne t'es jamais soucié de moi et la question que je pose pourquoi aujourd'hui tu prêtes attention à mon humeur matinale.
Clark : C'est parce que depuis hier soir, t'as changé t'es devenue une autre personne. Enfin je te reconnais plus, s'exprima-t-il.
Elena : Depuis hier... (Sourire de moquerie).
Clark : Excuse-moi il y a-t-il quelque chose de drôle ? Demanda-t-il
Elena : Non Clark (se leva rapidement), je dois aller chercher Nathan de l'école.
Clark: Elena, je sais que je n'ai jamais pu te faire ce que j'ai toujours voulut...
Elena : Sa suffit Clark, je ne veux pas entendre ça si t'as autre chose à me dire à part ça je suis disponible, Lui coupa-t-elle.
Clark : Non je n'ai rien d'autre à dire à part ça ! Répond
Elena parti et monta dans sa voiture et conduisait d'une vitesse surprenante. Elle ne s'était pas réveiller de mauvais pied mais c'était le fait qu'elle a revu le soir dernier l'homme qu'elle aimait il y a 10 ans de cela. Elle n'a pas voulu se marier avec lui parce qu'il lui parlait souvent de sa ex-femme par exemple ce qu'il aimait d'elle et celui-ci lui rendait en quelque sorte énervée. C'était excentrique l'aisance d'être jalouse d'une personne qui avait déjà quitté ce monde, avec les femmes ont vas tous entrevoir. Arrivé au portail de l'école de Nathan. Elle voyait une jeune petite fille dont elle était familière faire de la marche avec ses amies. Une bonde de gosse de riche qui rigolait et parlait à haute voix, jusqu'à que l'une parmi la fille familière en question se faisait renverser par un jeune homme qui conduisait un vélo à toute vitesse. Hélas! Elle tomba par- terre. Elena sortait de sa voiture rapidement pour s'assurer de son état tandis que le jeune homme s'arrêta pour l'aider à se relever et s'excusa.
L'homme : Désoler mademoiselle, je n'ai pas voulu vous faire du mal ! S'expliqua.
Elena : tu conduis de cette manière sans même regarder ce qui se trouve devant toi ! hurla-t-elle.
L'homme : Non madame, c'était une grosse erreur de ma part...enfin je ne voulais pas...
Elena : (lui coupa la parole) sa suffit de te justifier maintenant il faut t'excuser sa coute rien. Lui répondu.
L'homme : Excuser moi mademoiselle !
La jeune fille regarda ses copines avec un sourire et enleva la poussière de ses vêtements.
La jeune fille : excuse accepter, merci Madame vous m'avez consolé. Mais est-ce que vous me connaissait par hasard ? demanda t'elle
Elena : Pas du tout, je ne fais qu'aider les gens de cette manière, c'est ma nature. Répliqua-t-elle.
La jeune fille : Ah c'est vraiment gentille de ta part, c'est juste vous avez un très beaux caractère.
Elena : Alors elle est ou votre maman, vous ne devriez pas être avec vos parents à cette heure-ci ? demanda-t-elle.
L'une des filles répond : Vu qu'on est sorti de l'école on a comme même l'aire de rentrer chez nous ! S'expliquait tous en rigolant.
Elena : Bah essayer de rentrer chez vous en sécurité pas avec un demi-pied cassé.
Les jeunes filles partirent avec un fou rire et Elena entendit les cloches sonnés dont elle se précipita de chercher Nathan.
Les mois passèrent, la famille d'Edward voyage dans un village un peu plus loin de la ville. C'était de leur habitude de prendre des longs voyages pour se prendre des belles photos familiales.
Nancy : Maman, maman... !
Rose : Oui Nancy ?
Nancy : On est en vacance, alors vas t'on faires des découvertes ?
Rose : Bien sûr ma chérie on va vraiment bien s'amusée.
D'un coup le père surgit de la porte et dit : Mais qu'est-ce que vous faites à perdre votre temps on doit vraiment se dépêcher Rolala !
Nancy se mettait à rire et prend son sac de Totally Spies et elle dit : Je suis prête papa il ne manque que vous.
Le père : Rose t'aurais vu il est ou Steven ?
Nancy : Ne me dit pas il est en train de manger ces chocolats comme d'habitude. Disait-elle en rigolant.
La mère : Oh seigneur il a taché le chocolat dans son tee-shirt encore une fois !
Le père prenait Steven au toilette pour laver son coup et ses joue remplie de chocolat et dit : Eh bah à partir de maintenant vaut mieux mettre le chocolat un peu plus loin.
Les minutes passent vite et la famille commençait déjà à fermer leur sac et les mettre en arrière de la voiture.
Il fait 16 heures 20, c'était un joli petit après-midi, Frédéric s'en profita de boire son café et de contempler la vue de la terrasse de l'hôtel avec sa fille qui était en train de boire un verre de jus et des gâteaux au chocolat.
Frédéric : Comment sa était ta journée au collège ? demanda t'il.
Gueva : ça vas tous allait bien. Mais en sortant du collège, j'étais avec Tatiana et Jasmine. Bref on était au point de rentrer jusqu'à qu'un garçon qui conduisait un vélo cogna ma cheville.
Frédéric : Quoi ? Pourquoi tu ne m'as pas téléphoné ?
Gueva : Non... ce n'était pas la peine ! Enfin je me suis relevé très rapidement.
Frédéric : Il t'a fait mal Gueva ? Lui demanda.
Gueva : Non pas du tout mais j'ai rencontré une femme, elle était très belle, elle avait des long cheveux noir bouclés, elle était grande de taille et elle était habillé d'une robe bleu foncés qui était court jusqu'à ses jambes. Elle avait une belle denture, enfin un beau sourire, Disait-elle.
Frédéric : Ah bon... et comment vous l'avez rencontré ?
Gueva : c'était tout simplement magique, j'ai sentis en elle qu'elle me considérait comme si j'étais sa fille.
Frédéric ne parla point car il savait que Gueva n'a jamais eu la chance de voir sa mère, il trouvait que c'était triste de voir grandir sa propre fille tous en ayant ces air fragile de s'attacher rapidement aux femmes. Pendant qu'elle continua de l'a d'écrire, il se demandait profondément qui était bien et bel cette femme.
Après avoir passé des heures en voiture, la famille d'Edward arrive dans un grand immeuble de plusieurs étages et rencontra une famille ordinaire qui eux aussi était d'ailleurs venu pour des vacances dans une terrasse très large dont l'on apercevait une grande piscine.
Le temps était ensoleillé et humide, d'autre profité de cette journée pour bronzer tandis que d'autre se décidée d'avoir une journée reposante. Elena était dans sa baignoire remplie de mousse de savon en train de réfléchir. Elle se disait dans la tête qui était bien cette petite fille qu'elle avait croisée. Elle avait eu cette impression de l'a déjà voir quelque part. Tous d'un coup, sa voix lui rappelait de quelque chose... une voix qui était familière. Elle ferma ses yeux, tous en respirant profondément et se rappela du soir dernier. Lors de sa promenade n'a-t-elle pas entendu cette voix enfantine quelque part ? Les souvenirs lui reviennent rapidement.
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