Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 3

Ce soir là Sophia regarda encore son médaillon, dans cette chambre d'internat, qu'elle partagea avec une camarade. Son visage remplit de larme, sa camarade lui chuchota encore des atrocités:

-Tu es vraiment qu'un bébé ! A cause de toi on va se taper un contrôle demain. Tu ne sais rien faire à part pleurer. Tu crois que c'est comme ça que tu vas être aimée. Julien a toujours raison. 

Sophia s'endormit dans sa peine, bercée par des paroles malsaines. 

Le contrôle arriva, Sophia compléta ses connaissances :

 Philosopher c'est l'art de penser. Les Lumières est une période historique et un courant Littéraire, où les philosophes sont révoltés par la société. Cette période se déroule au XVIIIème siècle, où les inégalités sont immenses. Plusieurs philosophes, comme Rousseau, Voltaire, Lavoisier, Condorcet, Olympe... vont changer la société.

Elle arrêta sa plume. Elle rendit sa copie. Sa professeur la lisait consciencieusement. Elle était étonnée par ces connaissances. Elle n'était qu'en quatrième, mais elle était déjà bien cultivée. Elle écrivait de manière fluide et sans fautes d'orthographes . Elle avait le sens de la réflexion. Bien avancée, elle était en décalage avec ses camarades. Qui la considérait comme un animal sauvage. 

Elle était la souffre douleur. Après quelques moqueries, dans les couloirs. Julien l'écrasa dans ces escalier. Il prit du temps à se relever, prisonnière de la douleur. Elle traversa cette cour de collégien, où elle croisa sa petite sœur. Alicia fut bien en colère, qu'Alexia ait quitté cette institution. Elle le vivait comme une trahison. La responsable Sophia. Pourtant ce n'était pas elle. Elle voulait juste prendre soin des autres. Sophia pensait que la retrouver la protègerait. Mais Alicia pensait qu'Alexia serait bien mieux chez sa mère. Elle n'avait plus les codes. Elle était perdue. Elle frappa Sophia. Sophia était trop faible pour se défendre. Enfin elle n'avait récupérer des plaies de Julien. Le sang coula de plus en plus et les hématomes s'agrandissait. Alicia n'était pas bien futée, de la frapper au milieu de cette cour. Les camarades de Sophia se cachait toujours dans les couloirs ou les escaliers, afin que l'harcèlement ne soit pas dévoiler. Deux surveillants arrivaient. Alicia fut arrêtée, sa violence s'arrêta. Elle fut envoyée au CPE. La CPE essaya de comprendre cette gamine souffrante.

-Pourquoi tu as frappé ta sœur ?
-Pour rien !
-Tu veux finir comme Alexia ?
-Non ! Elle revient quand ?
-Lundi.

La CPE remarqua la fragilité de l'enfant dans ses yeux et sa voix. Elle comprit la situation :

-Ce n'est pas à cause de Sophia que Alexia est virée. Elle devait être virée avant sa fugue. Cependant Sophia a bien fait de dire où elle était, ça nous a permis de la retrouver et de la protéger. Tu vas être collée ce soir et après on verra.

Sophia était à l'infirmerie, l'infirmière la soigna. Elle remarqua beaucoup de plaies et d'hématomes, qui ne venait pas d'aujourd'hui. Elle demanda :

-Vous vous frappez souvent entre sœur ?
-Non, on était très fusionnelle.
-Pourquoi ce passé les choses ont changé ?
-Oui.
-Qu'elle a été l'élément déclencheur ?
-Moi.
-Tu as fait quoi ?
-J'ai pensé à moi, à mon destin grâce aux études.
-Mais ce n'est pas un tort. C'est plutôt bien que tu es des rêves.

Les mots de l'infirmière résonnait en elle, comme un réconfort dans cet enfer.

Sophia avait expliqué la situation sans contexte, donc personne ne pouvait comprendre cette haine. 

Elle se releva et s'apprêta à sortir. L'infirmière la retenait :

-Attends. Comment tu t'es fait, ces plaies et ces hématomes ?
-C'est Alicia il y a 10 minutes.
-Et les autres ? Ca ne date pas d'aujourd'hui.
-Je suis maladroite.

Elle quitta l'infirmerie, pour se réfugier au CDI. Elle lisait la pièce de théâtre qu'elle allait jouer avec l'option théâtre. Elle apprenait son rôle. En pensant à sa mère, voulant que sa fierté, pour adoucir cette sensation amère. 

Elle partit loin dans ses rêves, en lisant les revues peoples. Voyant sa mère en première page. Cette actrice célèbre. Espérant acquérir ce destin et ce bonheur à jamais.

Madame Durand avait bien caché sa vie privée, pour protéger ses enfants. Elle pensait à eux. Mais voulait laisser une place à ce père. Ce père qui n'aura jamais de places dans le cœur de ces adolescentes. 

Madame Durand ne comprenait pas pourquoi elle n'avait pas de nouvelles de ses enfants. Mais ressassant l'histoire. Elle pensait que ses filles grandissaient et voulaient voler de leurs propres ailes. La vérité était plus sombre. Comment imaginer cet enfer ? 

Sophia retourna en cours, le cœur bien lourd. Julien était bien énervé dans ce rang. Il disait des méchantes. Il était bien turbulent :

-Alors Sophia ce ne fait même pas respectée par sa petite sœur. 

La professeur d'Anglais arrivait, elle avait entendu ces paroles. Elle reprit Julien :

-Julien tu arrêtes ! Tu dois respecter tes camarades comme tes professeurs.
-Même si personne ne la respecte !
-C'est bon Julien, tu es viré de cours.

Cette parole calma un moment Julien, qui s'en alla en permanence. 

Sophia était douée pour toutes les matières littéraires. Elle se débrouillait dans les matières scientifiques. Elle aimait apprendre. Ce que ces camarades avaient du mal à comprendre.

Certains camarades avaient remarqué ce médaillon, en reconnaissant la célébrité.
Ils ne savaient pas que c'était sa maman.

Alexia revint en cours. Maintenant elle se tenait à carreau. 

Sophia commença à sauter des repas, pour s'éteindre à petit feu. Elle en avait marre des insultes quotidiennes. Elle s'était noyée dans sa peine. Elle commença à faire des malaises. Son corps lâchait. Elle se retrouvait souvent dans l'infirmerie, avec un bas taux glycémique. La tension basse. Ce qui inquiéta l'infirmière. Elle essaya de l'aider, mais face au silence, ce fut compliqué. Donc elle convoqua Alexia :

-Ta petite sœur Sophia ne va pas très bien. J'espère que tu sais pourquoi ?  
-Pourquoi je serais ?
-Tu es sa grande sœur !
-Je suis sa grande quoi ? Elle est rien pour moi ! C'est qu'une traître !
-Et pourquoi donc ?
-Car c'est une grande balance et une suceuse.
-Tu ne pourrais pas parler de ta petite sœur avec un peu plus de douceur ?
-Non.
-Ecoutes elle fait des malaises tous les jours.
-Je peux la voir.
-Oui. 

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro

Tags: #ado#lycée