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Chapitre 24 : Panique

- Et toi, au fond, qui es-tu ?

Cette question me laisse coite. C'est vrai, qui suis-je au fond ? Je ne le sais pas. Je ne l'ai jamais su. Avec ma nouvelle partie métamorphe, cela va devenir encore plus dur à trouver.

- Que veux-tu ? je reprends subitement, déstabilisée par sa question.

La tâche blanche réapparait. Elle n'est pas totalement nette, et semble bouger et grossir les secondes passant. Je ne suis pas sûre, mais je pense que c'est un humain. De forme légèrement rectangulaire et verticale, ses bords ondulent à cause du léger courant d'air qui s'infiltre par une petite fissure dans le plafond. Un rai de lumière transperce la galerie, entre la tâche et moi.

Étrangement, je n'ai pas peur. Cette "chose" n'a pas l'air de vouloir me faire du mal. Le peu de lumière qu'il y a laisse un zigzag de lumière sur le sol sableux.

- Je ne veux que t'aider.

Sa voix envahit l'air à chaque fois qu'elle parle. Une petite voix qui ressemble beaucoup à celle d'un enfant mais ne parait pas humaine. Beaucoup plus douce, fluide et avec une inflexion très claire. Je suis incapable de lui donner un âge précis.

- Que fais-tu ici ? je l'interroge.

La tâche s'approche du filet de lumière. Je vois désormais plus ou moins nettement sa forme. Un humain. Deux bras et deux jambes nues.

Je suis presque triste de ne pas avoir affaire à un Brumeur ou autres créatures mystiques. Presque.

- Je ne veux que t'aider, répète-t-il.

J'entends maintenant sa démarche. Douce et lente. Si je n'avais pas tendu l'oreille, je ne l'aurais jamais perçue.

Il traverse le rayon jaune. Je hoquète de stupeur. Cet homme. C'est un enfant. Ses cheveux châtain clair sont baignés de lumière, laissant apparaître de jolis reflets blonds. Ses grands yeux sont d'un vert éclatant. Ils sont à la fois vert émeraude, mais tirent vers le bleu turquoise. Je connais cet enfant.

Un métamorphe...

Un éclat attire mon regard. Ses vêtements... Une blouse blanche d'hôpital. Ses pieds bronzés sont nus, eux-aussi.

Il s'approche brusquement de moi. En tendant sa main vers moi, je recule.

Allons, ce n'est pas d'un garçon de dix ans que tu dois avoir peur.

Mon esprit de contradiction revient à la charge :

Peut-être, mais ça reste un métamorphe. Je ne suis pas une experte sur toutes leurs capacités en général.

Je n'ai pas eu le temps d'approfondir cet instant de réflexion. Le garçon pose sa main froide sur ma joue.

Mais que fait-il ? La panique me fait perdre mes moyens.

À peine sa main est entrée en contact ma peau, que ma vision change. Je vois correctement, maintenant.

La galerie fait au moins cents mètres, et est de forme inégalement arrondie. De longues et fines brèches s'ouvrent un peu partout. D'un coup d'œil, je dirais qu'il y en a environ quinze.

Mon attention se pose sur l'enfant devant moi. Ses grands yeux bleu-vert balaient la pièce avec une attention qui m'échappe. Lorsque son regard croise le mien, un souvenir repasse en trombe dans mon cerveau.

- Léo ? je m'exclame.

Le garçon enlève brusquement sa main, et je replonge dans les ténèbres. J'écoute attentivement les bruits qui m'entourent. Je l'entends qui s'éloigne.

- Attends ! je m'écrie. Où vas-tu ?

Il revient sur ses pas, et me prend doucement la main. Ma vision nocturne refait surface. Je le vois écarquiller les yeux de surprise et de joie. Un sourire se dessine timidement sur son visage lisse.

- Viens avec moi, dit-il de sa voix douce.

Je le suis, donc. Il passe par l'une des brèches à notre gauche. Je me plie en deux pour pouvoir passer.

Dans quoi je m'embarque, encore ?

Son allure est désormais plus habile et pleine d'adresse, comparée à tout à l'heure.

Le trajet se passe en silence. Cela ne perturbe aucun de nous deux. Bien au contraire. Ce petit garçon a l'air constamment plongé dans son monde. Un endroit sans danger et sans crainte. Pourtant, il se déplace comme s'il était poursuivi. Il ne fait pas le moindre bruit. Il marche vite, malgré le fait qu'il soit pieds nus.

- Où m'emmènes-tu ? je m'inquiète soudainement. Tu vas me faire sortir d'ici ?

Tant que je sors de là, tout me va. Il me faut de l'air.

- Chut, murmure-t-il.

Outrée, je commence à lâcher sa main. Il la serre sans ménagement, et se penche vers le sol. Son autre main touche le sable blanc. Sa paume aplatit, son regard fixé par terre, les sourcils froncés, il fait, d'un coup, beaucoup plus vieux.

Il relève brusquement la tête, et part en courant, m'entrainant avec lui. Sa main serrant la mienne, il passe par un dédale de couloirs, tous plus serrés et étroits que le précèdent.

Sans prévenir, il s'arrête. J'ai presque failli lui rentrer dedans, mais je me suis retenue au mur de pierre. Ma main gauche s'est elle-même posée sur une roche qui sort de la paroi. Sa matière est particulièrement coupante par rapport au reste du mur.

Je tourne la tête vers cet imprévu, et remarque que du sang goutte de ma main. Je saigne. Ce n'est pas très profond, mais c'est suffisant pour déclencher ma surprise. Portant ma paume à ma bouche pour nettoyer la plaie, je réfléchis attentivement.

Mes yeux ébahis fixent la pierre d'un œil nouveau. Elle est extrêmement affûtée...

Lorsque je veux retirer ma paume, la pierre vient avec, et tombe à mes pieds. Je la rattrape, chancelante sous la surprise.

D'un noir profond comme le charbon, les bords coupants comme des lames de rasoirs.

Cette pierre me rappelle étrangement quelque chose...

En la tenant dans ma main, je me souviens que mon autre paume est prise par le garçon qui a recommencé son manège, à toucher le sol.

Je glisse discrètement la pierre dans ma poche de sweat-shirt. On ne sait jamais, si j'ai besoin de me défendre. Je ne fais pas totalement confiance à ce garçon. Je me penche à mon tour, et touche le sol. Au début, je ne ressens rien. Puis, d'énormes vibrations parcourent le sol blanc, le faisant trembler.

- Un tremblement de terre ? je demande, ahurie.

- Il faut rentrer.

Il court à une vitesse spectaculaire. Les secousses, désormais fortes, remontent jusqu'à mes chevilles et nous fait tressauter tandis que nous courons. Heureusement que le trajet est déjà presque fini, parce moi, je n'en peux plus. Il s'arrête devant une embouchure dans le mur. De la lumière jaillit de la brèche.

Hésitante et stressée, je demande d'une petite voix :

- Où sommes-nous ?

Le garçon me renvoie l'ébauche d'un sourire, et se faufile à l'intérieur. Tirant sur ma main gauche, je me propulse à l'intérieur de la fine ouverture.

La vive lumière blanche me pique les yeux. Un bourdonnement incessant me donne des vertiges. Ma vue se stabilise petit à petit, bien que je doive plisser les yeux pour me protéger de l'éclat aveuglant.

J'entrevois d'abord un carrelage blanc. Puis, des ampoules suspendues par de longs câbles au plafond.

La surprise me fait écarquiller les yeux. C'est donc de là que vient toute cette lumière...

La pièce est un arrondi parfait. De grands lits blancs sont disposés minutieusement. Leurs têtes touchent chaque paroi, cette dernière blanche, également.

Le tout baignant dans une blancheur immaculée et une clarté... Il n'y a pas une seule zone d'ombres. Bien que quelques meubles comme des commodes ou autres mobiliers à tiroirs gris viennent casser tout ce blanc. Une grande porte ronde et rouge apporte la seule touche de couleur à cette pièce angoissante.

Tout de blanc me donne envie de vomir...

Je me retourne vers le gamin, qui rebouche la brèche par laquelle nous venons d'entrer en poussant une table à roulettes garnie de médicaments et autres. Une énorme nappe qui me rappelle une voile de marin se trouve sur la table, et s'étend jusqu'au sol. Le garçon se détourne de la table et plante ses yeux verts dans les miens.

Je m'extasie devant tant de beauté. Quelle magnifique couleur...

En voyant le silence se prolonger et le regard du petit garçon devenir plus insistant, je commence à comprendre.

Je dois actuellement me trouver dans l'infirmerie du Rocher, chose qui me parait logique vu la blouse d'hôpital du garçon. Ce garçon, justement, me rappelle fortement l'enfant que nous avions sauvé du Brumeur, Hakan et moi, à la Veillée.

- Léo... je murmure. Tu t'appelles Léo, n'est-ce pas ? je demande, l'espoir perçant dans ma voix.

Un éclat fait scintiller ses yeux, mais avant qu'il n'ait pu me répondre, quelqu'un se met à tambouriner à la porte.

- Ouvre-nous ! s'exclame une voix masculine angoissée.

L'enfant me lance un regard paniqué. De la peur perce dans sa voix enchanteresse lorsqu'il prend la parole :

- Tu dois te cacher, vite !

Je parcoure rapidement des yeux les alentours. Il n'y a aucun endroit où se cacher.

Tout mon affolement et ma terreur doivent se lire dans mes yeux, car le garçon m'entraine à l'autre bout de la porte, juste à côté de la table cachant la brèche.

- Laisse tomber, j'ai les clés. Léo ne nous aurait pas ouvert, de toute façon. Tu sais comment il est, dit une voix féminine qui m'est familière.

Léo attrape brusquement ma main. Une étrange sensation parcourt ma main droite. Un picotement suivi d'un froid glacial entrant dans mes veines. Un regard à Léo suffit à laisser transparaître toute mon angoisse.

Ce petit est tout à fait étrange...

Il m'adresse son seul vrai sourire depuis notre rencontre. Ses deux dents de devant partent toutes les deux vers l'une vers l'autre, ce qui ne fait qu'augmenter sa mignonnerie. Un sourire franc et rassurant.

Étrange, mais adorable.

Un déclic clair et sonore envahit la pièce. Un grand homme aux cheveux blond foncé et d'environ mon âge entre. Une tignasse rousse et bouclée le suit.

Sarah !

J'ai soudainement le réflexe d'essayer de me cacher, comme l'a dit Léo, mais en voyant que ce dernier ne fait rien, je ne bouge pas d'un poil.

D'un coup, un sentiment de révolte s'empare moi.

Je ne vois pas pourquoi il faudrait que je me cache... D'un côté, si, je sais pourquoi. Je suis un peu entrée dans le Rocher sans Hakan, par conséquence, personne ne sait que je suis ici. Et vu leur comportement complètement à cheval sur les règles...

Je reporte mon attention sur les deux nouveaux arrivants. Entre le garçon et Sarah, une masse se fait porter. Un corps. Je ne le distingue bien que lorsque les deux métamorphes le déposent sur un lit à proximité. Sa blancheur et ses cheveux bruns en brosse me font soudainement culpabiliser.

Adriel...

Je ne peux m'empêcher de penser que je suis responsable. Tout est ma faute. Si je l'avais appelé ce jour-là, il n'aurait pas eu besoin de soutirer ces informations à la louve. Si je l'avais prévenu...

Tout est ma faute...

Je ne cesse de répéter cette phrase dans ma tête, en totale inquiétude pour mon collègue qui n'est pas vraiment mon ami. Je ne le connais pas bien, mais j'ai peur pour lui. Que vont-ils lui faire ?

- Tu penses pouvoir le rendormir ? s'inquiète Sarah.

L'homme se penche vers Adriel, tandis que ce dernier grogne de douleur.

- Je ne sais pas, je n'ai plus de chloroforme, Hakan m'a volé mon dernier flacon, ironise-t-il.

Il examine la blessure d'Adriel en lui enlevant le bandage vert fait par Hakan, maintenant taché de rouge.

- S'il n'avait pas perdu son Apprentie dans les tunnels, il ne serait pas parti chercher cette abrutie...

Je retiens un hoquet de surprise. Je n'arrive pas à me retenir de déferler ma colère sur cet inconnu.

C'est de moi qu'il parle là ? Non, mais je rêve ! Il ne me connaît même pas ! Moi aussi, je peux dire que c'est un gros débile... Ce n'est pas de ma faute si on m'a abandonnée dans les tunnels.

- N'importe quoi ! s'exclame Sarah. Elle est super sympa, contrairement aux autres nouveaux !

Le compliment de Sarah me réchauffe le cœur. Au moins une qui me trouve gentille.

- C'est ce que tu dis, râle-t-il. C'est à cause d'elle que je perds mon temps.

- C'est bon Romain, tu n'as pas un emploi du temps très chargé, non plus ! répond Sarah avec cynisme.

- Qu'est-ce que tu en sais ? grommèle-t-il. Je suis le seul médecin encore en service. Tout ça à cause des...

- Tais-toi, intervient Sarah d'une voix dure. Léo n'est pas seul.

Sarah se tourne brusquement vers nous, mais son regard est étrange. Comme si elle ne nous ne voyait pas vraiment, comme si ses yeux glissaient sur nos corps.

J'interroge Léo d'un froncement de sourcil. Il m'intime de garder le silence en mettant un doigt sur sa bouche.

Réellement, dans quoi me suis-je embarquée ?

- Comment ça, il n'est pas seul ? rétorque Romain. C'est impossible, la porte était fermée.

- Il n'est pas seul, répète Sarah avec conviction.

Elle s'approche doucement de nous, les sourcils froncés sous la concentration. Elle réduit la distance nous séparant, et tend les bras en avant. J'esquive sa main tendue vers moi d'un mouvement sur le côté, embarquant Léo avec moi. Je pousse une table à roulettes et renverse d'un coup involontaire une seringue qui s'écrase sur le sol.

Sarah pose sa main sur son menton, et se plonge dans une réflexion intense.

- Léo n'a aucune raison de nous éviter. Tous les métamorphes comme lui sont à l'entrainement. Ce qui veut dire que Léo aide une personne à se cacher de nous. Léo, où es-tu ? ajoute-t-elle désespérément en retentant de nous toucher.

Ses doigts commencent à frôler la blouse de Léo.

Non... Je me pince les lèvres pour retenir un cri.

La porte rouge s'ouvre et claque si violemment sur la paroi que des traces rouges de peinture se déposent sur le mur blanc.

Hakan entre, essoufflé et affolé. Ses mèches noires sont collées à cause de la sueur sur son front. Deux grandes billes rouge rubis lui servent à présent d'œil. Il secoue la tête en fermant les paupières et ils reprennent leur aspect bordeaux.

- Alors ? demande Sarah.

- Je ne l'ai pas trouvée, dit-il avec un énorme désespoir.

Il se prend le visage entre les mains et se frotte les yeux d'un geste rageur. Il reprend d'une voix colérique :

- J'ai cherché partout. Impossible de la retrouver. Je lui avais dit de ne pas s'aventurer seule dans les couloirs, finit-il en donnant un coup de pieds dans un caisson à roulettes, qu'il envoie à l'autre bout de la pièce.

Il fait quelques pas et redonne un coup de pied à une poubelle. Elle s'envole brutalement dans les airs, avant de retomber à l'envers.

J'inspire un bol d'air. Sans m'en rendre compte, j'avais retenu ma respiration. Il m'a cherchée. J'aurais mieux fait de rester où j'étais et ne pas suivre Léo...

Je me tourne vers lui. Il me sourit et désigne d'un coup de menton la sortie. Je hoche la tête.

Je me sens coupable de les laisser là, à s'inquiéter pour moi. Mais en même temps, je ne vais pas réapparaitre d'un coup avec Léo.

Je me laisse guider par le petit métamorphe, essayant d'être la plus discrète possible lorsque je marche. Ce dernier se faufile derrière Hakan, dépasse la porte et commence à tourner à gauche.

Je dégage les cheveux de mon visage d'un coup de tête. J'en profite pour regarder à l'intérieur de l'infirmerie.

Le prénommé Romain est penché sur Adriel et lui administre un liquide bleu dans le bras. Sarah parle à voix basse à Hakan, celui-ci lui rétorquant doucement des mots que je n'entends pas. Il se passe une main dans les cheveux, anxieux.

Je quitte la pièce sur cette image. Je regarde droit devant moi, impassible, comme si j'étais à l'extérieur de mon corps, comme si ce n'était pas à moi que tout ceci arrivait. Je remarque cependant que je me retrouve dans l'Antre, le centre du Rocher. En réalité, l'infirmerie se trouve juste en face de l'embouchure du tunnel.

Je m'étonne de ne pas l'avoir remarqué avant...

Léo me traine derrière lui. Il se précipite vers une plaque de rocher longue d'un mètre ou deux, posée verticalement près du tunnel. Je me retrouve à moitié cachée derrière la roche brune, Léo me faisant face en s'appuyant devant la grande paroi de roche.

En me tournant vers lui, je remarque que ses yeux bleu-vert sont désormais injectés de sang.

Avant que j'ai pu lui demander quoi que ce soit, il m'agrippe les avant-bras de ses petites mains dorées. Ses doigts fins serrent les pans de mon sweat-shirt.

Il murmure d'une petite voix :

- Tu vas réapparaître dans peu de temps.

Il porte son regard derrière mon épaule et fixe quelque chose. Il me regarde dans les yeux.

- Nos chemins se séparent ici. Bon courage, ajoute-t-il en lançant une œillade derrière moi.

Brusquement, il me lâche. C'est avec stupéfaction que je vois qu'il a disparu. Volatilisé. Comme s'il n'avait jamais été là.

Incroyable... Ce petit est incroyable...

On m'agrippe violemment l'épaule gauche. Je sursaute et fais volte-face.
Deux yeux étincelants et furieux me dissuade de rétorquer mon flot d'insultes. Deux yeux rouge rubis. Hakan.

Oh, oh...

C'est ce qui s'appelle être dans la panade, ricane Victor.







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Je vais finir par m'excuser à chaque fois de poster en retard... XD :/
Enfin bref. Ce chapitre est un peu plus court que d'habitude, mais j'essaierai de poster plus souvent ! (Je dis ça pour toutes les nouvelles parties XD Désolée, mais je vais faire des efforts pour écrire :/)
Qu'avez-vous pensé de ce chapitre ? Deux nouveaux personnages mis en scène ! (Enfin, Léo était déjà apparu, mais il ne parlait pas :P) Léo vous parait-il gentil ? Romain aussi ? Adriel va enfin se faire guérir ? Hakan est très en colère contre Kami. Comment va-t-elle s'expliquer ? Vous saurez ça au prochain chapitre ! ;)
Une dernière chose... Je mets au défi tous mes lecteurs fantômes de se manifester. Un vote, un commentaire, ou les deux ! Je manque un peu de courage pour écrire en ce moment... Donc si je découvre mes lecteurs fantômes, ça me ferait super plaisir et me motiverait à continuer ce livre ! Je compte sur vous ! ;)
❤️❤️❤️

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