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Chapitre 20 : Lot d'émotions

J'ouvre les yeux. Une douce lumière filtre à travers ma fenêtre. La matinée doit déjà bien être entamée.

Je repousse lentement ma couette en m'asseyant. Je regarde la vitre, jaune sous la clarté du soleil. Je tourne la tête vers mon réveil. Treize heures onze. Je pousse un long soupir. J'aurais dû me lever plus tôt.

Je me dirige vers la salle de bain. Je prends une longue douche chaude, l'esprit encore embrumé.

Je descends les escaliers après mettre habillée. Une tête brune surmonté d'un chignon lâche apparaît dans mon champs de vision.

Je souris en voyant ma mère faire sauter la poêle entre ses doigts fins. La pâte reste un moment suspendue dans l'air, avant d'entamer sa descente à côté du récipient. Ma mère tente vainement de la rattraper en tendant la poêle. Elle retombe dedans maladroitement. Ma mère pousse un cri de victoire. Elle sursaute lorsqu'elle m'entend prendre la parole.

- Tu n'as jamais su faire sauter les crêpes, maman.

- Tu m'as fais peur ! s'écrie-t-elle. Je ne t'ai pas entendue arriver, comment as-tu fait ?

Je la regarde, surprise, et fronce les sourcils. Elle poursuit sans s'apercevoir de mon étonnement.

- À chaque fois que tu descends les escaliers, tu fais un boucan incroyable. Tu es malade ? fait-elle semblant de s'inquiéter en me touchant le front.

Je la repousse gentiment, et hausse les sourcils en remarquant sa tenue.

- Et toi, tu vas bien ? dis-je en désignant cet accoutrement inhabituel.

Ma mère, toujours très stricte dans ses vêtements, porte habituellement des tailleurs, ou des chemises serrées. Cette fois-ci, son t-shirt gris fait ressortir la couleur de ses yeux. Son short rouge délavé lui donne un air décontracté que je ne lui connais pas. Ses pieds nus sur le parquet me choque. Ma mère a toujours des chaussures à la maison.

- J'en avais marre, des tenues de travail. C'est tellement plus confortable comme ça ! s'exclame-t-elle.

Elle se dépêche de retourner à ses crêpes. Je vais m'assoir sur une des chaises de la table de la cuisine.

Maman, que t'arrive-t-il ?

Je ne sais pas pourquoi, mais automatiquement je me dis que c'est grâce à une personne qu'elle est redevenue comme ça. Franck.

Et si je m'étais trompée sur son compte ? Et si c'était finalement une personne bien ? C'est vrai, je ne le connais pas, ça se trouve c'est un homme adorable.

Mes pensées sonnent faux dans ma tête. Je sais que ce n'est pas quelqu'un de gentil.

Franck, qui es-tu et qu'as-tu fait à ma mère ?

Mon instant de réflexion est interrompu lorsque ma mère dépose une crêpe devant moi.

- Je t'ai cassé un œuf dessus, dit ma mère en s'asseyant en face de moi.

- Merci, répondis-je en commençant à manger.

Le goût du jambon mélangé au fromage fondu envahit mes papilles. J'adore les crêpes salées. Et ma mère le sait.

- Pourquoi tu ne m'as pas réveillée plus tôt ? lui demandé-je en portant mon verre à mes lèvres.

Ma mère me répond en coupant sa crêpe en petits carrés égaux. Au moins une chose qui n'a pas changée chez elle.

- Tu dormais si paisiblement. Je ne voulais déranger tes songes. En plus, tu semblais tellement fatiguée hier.

J'avoue qu'elle n'a pas tort. C'est ma première bonne nuit de sommeil depuis quelques jours.

- Tu ne travailles pas aujourd'hui ? dis-je en engloutissant le reste de ma crêpe.

- Si, je vais pas tarder à reprendre, m'informe-t-elle avec une moue dégoutée. Je voulais passer un peu de temps avec toi.

Je relève la tête, surprise. Ma mère qui veut passer du temps avec moi ? C'est le monde à l'envers. Pendant trois ans, elle m'évitait presque comme la peste, et maintenant elle veut passer du temps avec moi ?

Elle a dû voir l'étonnement dans mes yeux, parce qu'elle déclare d'une voix enrouée :

- Je sais, tu es choquée. Je viens de m'apercevoir à quel point j'étais odieuse avec toi depuis quelque temps. Je suis désolée.

Une larme glisse silencieusement sur ma joue. Puis deux. La troisième fait exploser les sanglots.

Elle se jette dans mes bras, et me caresse les cheveux. Ce geste double mes pleurs. Elle m'avait tellement manqué. Ma maman m'a tellement manqué. Ces dernières années, ma mère était un fantôme dans mon âme. Elle était de temps en temps à la maison, mais ne parlait jamais, sauf pour me crier dessus. J'ai dû apprendre très vite à me débrouiller seule. Mais ce temps est révolu. J'ai retrouvé ma maman.

-Allez chérie, tu vas me faire pleurer aussi.

Elle s'écarte de moi, et je remarque que quelques larmes s'échappent de ses yeux gris. J'essuie les miennes en souriant.

- Il va falloir que j'y aille, bisous, dit-elle la voix émue.

Elle part en m'embrassant sur la joue. Je sais que si elle est partie précipitamment, c'est parce ce qu'elle n'aime pas dévoiler ses émotions aux autres. Ma mère est habituellement impassible. Même si elle a changé du jour au lendemain, ses habitudes vont mettre du temps à suivre le mouvement.

Maintenant que j'y pense, je n'ai pas été très gentille avec elle, non plus. Mais être aussi froide devenait un réflexe lorsque ma mère se trouvait  dans les parages. Ça devait être mon moyen de défense contre une mère non-aimante. Je lui en ai longtemps voulu de m'avoir abandonnée dans de telles circonstances. Elle m'annonce que mon père est mort et elle me laisse seule affronter cette affreuse vérité. Je ne pensais pas qu'elle allait un jour redevenir humaine. Et pourtant, c'est ce qui est en train de se passer. Je peux déjà sentir un lien fragile se tisser entre nous.

En entendant la porte claquer derrière son passage, je débarrasse la table de nos assiettes, et monte à toute vitesse les escaliers.

En fermant la porte derrière moi, je jette un œil à mon réveil. Treize heures quarante-cinq.

Je pars vers la salle de bain et finis de me brosser les dents en fredonnant une chanson. Je me sens tellement légère ! La réconciliation avec ma mère a enlevé un poids de mes épaules. J'ai la sensation de pouvoir tout accomplir aujourd'hui. Si une douleur dans ma tête ne gâchait pas tout. Qu'est-ce qu'une douleur dans mon crâne à avoir avec tout ça ?

Un long gémissement s'extirpe de mes lèvres. Je prends ma tête entre mes mains, et ferme les yeux, essayant d'évacuer la douleur. C'est comme si une perceuse en état de marche essayait de sortir de ma tête, forçant le passage et déchiquetant la peau.

Je me laisse tomber à terre, me cachant les yeux avec mes mains. J'inspire, et essaie de faire le vide. C'est impossible ! La douleur est trop forte !

J'expire, et me concentre sur le noir que me procure mes paupières fermées. Cela semble marcher. La douleur s'estompe. Difficilement au début, puis disparait d'un coup.

J'écarte doucement mes mains de mes yeux. La faible lumière de la salle de bain me parait beaucoup trop vive. En clignant des yeux, j'arrive à distinguer mon reflet dans le miroir.

Les cernes sous mes yeux n'ont pas disparues, mais paraissent moins bleues. Mon regard se porte automatiquement sur mon crâne, là où cette douleur s'est faite si forte. Mes oreilles ressortent fièrement de ma tête, leurs poils aussi blancs que la neige. Je porte les mains sur leurs fins duvets. Elles sont si douces ! Mais je dois les faire disparaitre. Maintenant. Il est hors de question que je reste avec ces choses sur la tête. Même si je sais que ça fait partie de moi, j'ai encore du mal à l'accepter.

Je me concentre et me rappelle les instructions d'Hakan. Il faut que j'imagine mes oreilles s'enfoncer dans mon crâne. J'attends quelques secondes, puis ouvre les yeux. Elles se tiennent encore sur ma tête. Je ne me décourage pas pour autant. Je recommence. Cette fois-ci, j'attends un peu plus longtemps. Mais rien n'y fait. Elles sont profondément ancrées sur mes cheveux.

Je me regarde quelques secondes dans le miroir. On pourrait me croire folle, avec la pupille de mes yeux anormalement dilatée, et ma peau plus pâle que d'habitude.

Mes yeux restent scotchés sur mes oreilles. Comme hypnotisée, je penche la tête légèrement sur le côté, et ne les quitte pas des yeux.

Je pousse un hurlement emplit de frayeur, lorsque d'un coup, une de mes oreilles se tournent soudainement vers l'arrière, comme le font les animaux.
Mais je me tais brusquement en entendant un grattement. Très léger, et pourtant bien distinct. Un humain ordinaire ne l'aurait sûrement pas perçu. Moi si. En même temps, je ne suis pas un humain ordinaire.

Je suis le bruit en fonction de l'orientation de mon oreille de loup. Elle se tourne automatiquement vers ma fenêtre. Évidemment, ma fenêtre ! Je regarde rapidement mon réveil. Quatorze heures deux. Les Frères Métamorphes ne sont pas en retard.

J'ouvre tout à coup ma fenêtre. Je lâche un cri de surprise en voyant d'épaisses boucles de cheveux noires à quelques centimètres de mon visage. Cette personne, aussi surprise que moi, lâche soudainement ses appuis, et tombe sur le sol, quatre mètres en dessous. En voyant Adriel, en train de se précipiter sur la masse humaine par terre, j'en déduis quelque chose.

- Hakan ! hurlé-je. Tu vas bien ?

Il se relève précipitamment, et lève un doigt accusateur vers moi.

- Et après on dit que c'est moi qui suis malade ! Non, mais je rêve !

Il essuie ses vêtements légèrement tachés de terre, et relève la tête vers moi.

- Tu vas bien ? répété-je.

- Évidemment que je vais bien !

Il grommelle quelques mots inintelligibles en regardant ses chaussures.

Oui, c'est sûr qu'il va bien, ce n'est pas comme s'il venait de faire une chute de quatre mètres ! je pense avec ironie.

Choquée, je m'adresse Adriel, laissant Hakan bouder dans son coin.

- Pourquoi tu n'es pas passé devant, pour lui montrer comment tu avais fait la dernière fois ?

- J'ai voulu le faire, mais il tenait à passer en premier, dit-il en levant les yeux au ciel. Hakan et son ego...

- Vous pouvez passer par la porte, ma mère n'est plus là.

- Non, je veux qu'Adriel me montre comment il a fait, dit Hakan d'une voix décidée.

Le concerné roule des yeux, puis reporte son attention sur moi.

- Kami, tu peux ouvrir la fenêtre en grand, et t'éloigner le plus possible, s'il te plait ?

Je suis ses instructions, et me plaque au mur faisant face à la fenêtre. Mes oreilles de loup fonctionnant à plein régime, je devine qu'Adriel est occupé à s'éloigner le plus possible de la fenêtre, pour prendre de l'élan, je suppose.

Adriel se retrouve précisément dans l'axe du cadre en bois de ma fenêtre ouverte. Je le vois donc s'élancer à toute vitesse, puis faire un bond vertigineux. Il atterrit souplement sur le bord de ma fenêtre, en équilibre précaire. Il me rejoint en faisant signe à Hakan de faire de même.

En voyant Adriel qui attend Hakan, je me surprends à détailler sa tenue. Vêtu d'un jean simple et d'un t-shirt vert turquoise faisant ressortir sa peau peu bronzée, on pourrait presque le prendre pour estivant.

- Tu portes un t-shirt à manche courte ! je m'exclame.

Adriel sursaute, et me répond, surpris :

- Bah oui, un t-shirt, quoi.

Je me frappe le front avec ma paume. Évidemment, si je le formule comme ça.

- Non, mais ce que j'essaie de te dire, c'est que tu ne portes que un t-shirt. Je tiens tout de même à te rappeler que nous sommes en hiver, et que dehors, il fait froid.

Même si il y a un beau soleil, le vent nordique fouette la peau à la moindre bourrasque.

Adriel, me sourit, et me répond d'un ton compatissant :

- Les métamorphes, -les loups du moins- craignent moins le froid que les humains.

Portant soudainement mon attention à un détail auquel j'avais fait abstraction tout à l'heure, je questionne Adriel.

- Lorsque tu es passé par ma fenêtre la première fois, tu t'y es pris comme ça ?

Il hoche la tête, et l'inquiétude apparaît sur les traits de son visage.

- Pourquoi cette question ?

Je passe la main dans mes cheveux, nerveuse.

- Tu veux dire que la fenêtre était ouverte ?

- Oui, grande ouverte, même. Comme maintenant. C'est impossible de rentrer sinon.

J'étouffe un hoquet de stupeur. Je n'avais pas ouvert la fenêtre ce soir-là. J'en suis quasiment sûre.

Un raclement sur le bois interrompt mes pensées. Je relève brusquement  la tête vers Hakan, qui vient de racler ses baskets noirs sur la bordure de la fenêtre.

Il saute avec une grâce féline sur mon parquet. Il nous rejoint tranquillement, entièrement habillé de noir, comme à son habitude. Une veste en cuir complète sa tenue, lui donnant un air rebelle.

- Tu m'expliques, ça ? dit-il en désignant mes oreilles de métamorphe.

- Oh, ça... Je n'ai pas réussi à les faire disparaître, j'ai essayé plusieurs fois, mais rien à faire, elles sont plus têtues que moi, ajouté-je avec un rire nerveux.

Un voile soucieux vient accaparer tout son visage.

- Ça va trop vite... murmure-t-il.

Je fais vite le rapprochement avec une phrase qu'il m'avait dit, il y a quelques jours, lorsque nous étions à la recherche de la plante. Quand il avait murmuré, perdu : "Ça a commencé".

Sur le moment, je n'avais pas compris, et j'étais vite passée à autre chose. Mais maintenant, c'est sûr. Il y a anguille sous roche.

- De quoi tu parles ? dis-je finalement, en sortant de ma léthargie.

Il coule un regard discret vers Adriel, mais que je remarque cependant. Adriel hoche imperceptiblement la tête.

- Bien, dit Hakan en s'affalant sur mon lit. Ce que tu dois savoir, c'est que chaque métamorphe à une partie animale en lui.

Logique, je pense en hochant la tête. Il poursuit, préoccupé.

- Ils se trouve que certains métamorphes ont une partie animale beaucoup plus présente que les autres.

En voyant mon regard emplit d'anxiété, il se dépêche de continuer.

- Mais ne t'inquiète pas, c'est normal, mais il faut stopper ça rapidement. Si la partie animale prend trop d'ampleur, cela peut vite virer au cauchemar et devenir dangereux.

- En quoi ça peut devenir grave ? Quels sont les cas les plus dangereux ?

Hakan hésite une seconde, puis se décide à me révéler une chose à laquelle je ne m'attendais pas.

- La plupart du temps, le métamorphe devient agressif, jusqu'à tourner le dos à tout le monde, et disparaît dans la nature. Ou bien, il se transforme définitivement en son animal prédestiné.

Je hoche la tête, et déclare d'une voix tremblante, incapable de parler correctement.

- Et que se passe-t-il à la fin ? Quelle est l'issue de ce problème ?

Hakan déclare d'une voix froide :

- Quand les cas sont trop avancés, on ne peut rien faire. Cela conduit forcément à une chose. La mort.

La peur s'accroît dans mon corps, et congèle mon cerveau.

- Donc je vais devenir agressive et mourir ? dis-je la voix tremblante.

- Pas si on l'arrête avant.

Adriel est étrangement silencieux depuis le début de la conversation.

- Et comment fait-on pour arrêter la progression de ma "partie animale" ? demandé-je, encouragée.

- On va t'apprendre à contrôler des sens, tes pouvoirs et tes transformations.

- Mes transformations ? je m'inquiète la voix tendue.

- Oui, tes transformations, affirme Hakan.

Je ne me vois pas me transformer en loup. Comme en un quelconque animal, d'ailleurs.

Est-ce que cela fait mal ? Met-on du temps à se transformer pour une novice comme moi ? Comment déclencher la métamorphose ?

Une dizaine de questions comme celles-ci parcourent mon cerveau. Je ne les pose pas. Je demanderai des réponses plus tard. Les Frères Métamorphes sont là pour une bonne raison.

- Bon, tu m'expliques cette histoire de métamorphe ?

Hakan s'allonge sur mon lit et pose ses mains sur ses yeux.

- Je ne sais même pas par où commencer.

- Par le début, c'est mieux, ricané-je.

- Non, sans blague, s'exaspère-t-il.

- En attendant que tu réfléchisses, je dois poser quelques questions à Adriel.

Ce dernier sursaute à la mention de son prénom dans notre conversation. On pourrait presque croire qu'il vient de se réveiller, avec ses yeux perdus dans le vague et ses paupières clignotantes.

- Oui Adriel, c'est à toi que je parle, dis-je en souriant.

Mais mon sourire disparaît aussitôt lorsque je me souviens de ce que j'ai à lui dire.

- Désolé, s'excuse-t-il en se passant une main sur le visage. Je suis un peu fatigué ces derniers jours.

Effectivement, je remarque que d'énormes poches violettes s'étendent sous ses paupières, faisant ressortir ses yeux orangés. Il me paraît soudain frêle. Ses épaules légèrement voûtées ne font qu'agrandir cette constatation.

- Assis-toi, dis-je en désignant mon fauteuil noir à quelques mètres de lui.

Il titube presque jusqu'au meuble, et s'affale dessus. Je ne comprends pas, il semblait aller bien tout à l'heure, il était même énergique. Maintenant, on dirait qu'il ne pense qu'à une chose : dormir.

- Tu vas bien ? m'inquiété-je en m'agenouillant devant lui.

Il est désormais livide, et à apparemment juste la force de hocher la tête.

Demande-lui comment il s'est fait cette traînée rouge sur la main.

Victor à un ton indéfinissable dans la voix. Du reproche, peut-être.

- C'est quoi ça ? lui demandé-je en désignant sa main droite.

Une ligne rouge s'étend de son index jusqu'à son avant-bras. Elle est épaisse de plusieurs centimètres, et elle est constellée de trentaine de petits points blancs. On dirait un mélange d'urticaire et de piqures d'orties.

Hakan, ayant constaté notre silence, se lève gracieusement du lit, et se penche par dessus mon épaule pour examiner la main d'Adriel. Il emmène avec lui une étrange odeur de forêt après la pluie, et une douce senteur de cèdre.

- Qu'est ce que c'est que ça ? demande Hakan d'une voix dure.

Je me relève soudainement et toise Adriel avec froideur. Je suis sûre que ça a un rapport avec... non, ce n'est pas possible !

Adriel lève des yeux suppliants vers moi, comme s'il avait précisément deviné ce à quoi je pensais.

- Je vais tout t'expliquer...







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Merci d'avoir lu ce nouveau chapitre ! Il ne se passe pas grand chose, mais bon... Je veux plein de commentaires !
La mère de Kami et elle arriveront-elles à avoir une relation normale ?
La partie animale de Kami qui se manifeste ?
La traînée rouge sur le bras d'Adriel ?
Si vous avez des conseils à me donner, dites-les ! J'ai besoin d'avis !
❤️❤️❤️

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