Chapitre 2
Madame Garnier, rentre chez elle, chérir un mari, accompagner ses 4 enfants adorés qui ont une vie plus facile que ses élèves. On peut dire qu'elle est heureuse. Pas comme ses élèves, les désintéressés, se détourne de ce qui peut les sauver, ceux qui manque de capacités, sont triste de travailler et que leur travail ne donne pas de fruit. Puis la minorité des bons éléments sont perdu, car ils sont trop éclairé. Son mari lui demande :
-Comment s'est passé ta journée ?
-Une élève s'est suicidée, mais c'est bizarre, c'est comme si la classe s'en foutait, à part les profs et sa meilleure amie. Pourtant sa meilleure amie à déjà trouvée une autre.
-C'est qu'elle est courageuse.
-Je ne sais pas si j'étais elle, si je pourrai tenir.
-Quels profil désintéressé ou manque de capacité ?
-Faut dire que c'est un profile qui ne devrait pas être ici, comme sa nouvelle meilleure amie. Une minorité d'élève éclairé perdu.
-Mais pourquoi ils ne sont pas aller en générale.
-Car l'éducation est mal faite dans notre pays.
-Tu leur offres un billet pour la Finlande.
-Le but, c'est qu'elles tiennent encore un an, puis on les conduis, où elle désire, la fac.
-Tu es consciente que 3% des élèves de pro, réussissent à fac.
-Oui, mais elles sont tellement excellente et passionnée, motivée, qu'elles vont s'en sortir. Après j'ai peur de voir leur comportement changer.
-Pourquoi elles changeront.
-Si tu veux la nouvelle, Marie est reconnu pour son insolence et ses conneries, alors que Solène c'est l'enfant sage.
-Marie elle a toujours raison ?
-Oui c'est ça le problème.
-Moi je suis sûr que dans la tête de Solène c'est pareil, sauf elle manque de confiance, donc elle se tait.
-Donc une amie qui lui redonne la confiance, c'est des cours qui vont disjonctés.
-J'en ai bien peur.
-Tu es une excellente professeur.
Après leur geste d'amour et de tendresse, un repas et au bureau. Corriger, préparer, le lourd travail d'une enseignante, mais avec passion, elle arrive à être patiente.
Le lendemain cours d'Histoire avec les terminales GA. L'enseignante explique à ses élèves :
-En 1918 Wilson joue un rôle d'arbitre à l'échelle mondiale.
Solène et Marie bavarde.
-Les filles écoutées.
-Çà sert à rien je connais tout par cœur. Répond Solène.
-Alors dis moi la suite.
-1920 les états unis se déplient de la gouvernance mondiale. Dit Solène.
-Madame ne cherchez pas, le programme en pro c'est de la merde. Commente Marie.
-Un argument ? Demande l'enseignante.
-Le travail manuel est un fardeau, il est destiné aux esclaves, car l'homme à la raison et la parole. Le bonheur c'est la connaissance. Ainsi il faut mieux réfléchir que d'appliquer des gestes. Selon Aristote;. Etant contre l'esclavage, je reconnais que le travail manuel est mauvais, mais jamais je laisserai un esclave le concevoir, ma conscience le dit que le réel bonheur c'est la connaissance. Actuellement notre société fonctionnent comme le temps d'Aristote. Il y un jeu théâtrale et des costumes. Mais ceux qui peux suivre les cours ils vont vers la voie du bonheur, dans un lycée général, alors que les déchets sont des esclaves. Condamné à vie. Raconte Solène.
-Tu viendras me voir à la fin de l'heure. Explique la professeur.
Enfin elle sort ce discours de sa bouche, ce discours qu'elle a tellement pensée. Mais le manque de confiance qu'elle avait en elle, lui a empêché d'élever ce discours. Cette fille retrouve la confiance grâce à son amie. Elle a accumulé beaucoup de souffrance qui donne naissance au manque de confiance, détruite par la vie, mais guérite aujourd'hui.
Elle perturbe le cours, ce qui dérange. A la fin du cours elle rappelle à Solène :
-Tu penses ce que tu veux, mais tu ne déranges pas mon cours.
-Car si je m'exprime je réveille des âmes non éclairées et cela semble dangereux pour nos camarades. Répond Solène.
-En fait vous êtes à fond dans le capitalisme. Vous aimez voir des ouvriers crevées, pendant que la haute société vivent très confortablement. Ce qui se passe en cours est un grand enjeux pour notre avenir. Crie Marie.
-Aristote disait quoi, demande la professeur.
-Viens Solène on part elle est folle la prof. Dit Marie
Solène est troublée, elle ne sais pas quoi faire, elle regarde sa professeur et tourne sa tête vers son amie, pendant que Marie sort brutalement. Perplexe elle dit à sa professeur :
-Excusa là, voilà les conséquences quand on est trop intelligent.
Puis elle file rejoindre son amie. Madame Garnier n'a jamais vu cela. 2 élèves éclairées, perdues. Pourtant elle ont des ambitions, mais si le comportement ne va pas elle n' obtiendront pas leurs volontés. Le pire dans l'histoire c'est que Marie dit la vérité. Solène comprend, mais elle est plus diplomate, disant les choses avec douceur, pendant que son amie déborde de colère. C'est quand les émotions sont trop grande qu'on fait des conneries, cette puissance a coûté la vie de Éléonore. L'enseignante s'interroge sur cette incident. En se demandant s'il faut mieux souffrir en silence, où de l'exprimer avec une colère d'un ton élevé. Elle croit au juste milieu. L'ennuie, élève décrocheur. Madame Garnier va à l'infirmerie, pour parler de Solène.
-Comment je peux aider Solène ?
-Encore tu as de la chance , elle n'a pas loupé un seul de tes cours. Dit Ariane.
-Car elle sèche les cours.
-Je viens de lire son dossier, elle en a fait des belles, pendant mon absence.
-Tu l'as connais bien.
-Quand quelqu'un ne va pas bien il va souvent à l'infirmerie.
-Son comportement a changé.
-Comment ça ?
-D'habitude elle n'est pas insolente.
-Avec le suicide de l'Éléonore, elle peut être impulsive.
-Tu pense qu'elle peut faire influencer.
-Non, elle est têtue. Tu es en train de me dire qu'elle prend enfin confiance en elle.
-Un peu trop. Depuis quand elle s'ennuie en cours ?
-Depuis toujours.
-Elle disait rien,
-Son silence veut dire beaucoup de chose. Elle cache beaucoup de chose. Elle a beaucoup souffert. Elle a de la chance d'être intelligente. Car c'est l'école qui l'a sauvé.
-L'école l'a rejeté.
-Après le collège, mais avant elle voulait la garder.
-Tu peux me raconter son histoire.
-Ta sors ton mouchoir.
Solène sa mère est morte à sa naissance, son père est devenu alcoolique, elle était douée à l'école. A 8 ans elle fut placée en famille d'accueil, où elle a été maltraitée pendant quatre ans. Pour mettre fin à ce drame, elle a du être hospitalisée 1 ans , pour un corps très abîmée. Ensuite elle s'est renfermée dans les études, sans relation sociale. Elle fut placée en foyer. Elle put enfin s'épanouir. Toujours avec des excellents résultats. Tous son collège. Elle est allée dans un lycée générale, elle n'a même pas eu le temps de finir le premier trimestre, elle a finit son année à l'hôpital psychiatrique.
Triste histoire, pauvre enfant. Mais son ambition l'élève. Enfin sociable et excellente élève. Bon elle n'est pas encore la plus populaire du lycée, mais avons nous avons besoin d'être la plus populaire, pour être la plus heureuse.
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