Chapitre 68 - Bonus Arnaud/Félix
PDV Félix.
Dimanche 13 Avril 2013
18h00
Avec Arnaud, on est resté au café, un peu plus longtemps que les garçons. Une petite heure de plus à siroter des boissons rafraîchissante sous le soleil généreux de ce mois d'Avril. Puis nous avons décidé de rentrer au studio quand le vent s'est fait plus frais. Mon bras autour de ses épaules, nous avons marché, jusqu'a chez nous dans la rue adjacente. Nous voilà donc, maintenant en train de grimper les escaliers de notre immeuble, jusqu'au quatrième palier. Avec mes grandes jambes, j'avale les marches par trois et mon Pooky lui court limite pour me suivre. Non loin d'être essoufflé bien qu'il ne soit pas sportif, il suit la cadence. Il a entendu que ça faisait travailler le fessier alors il n'hésite pas parfois à se faire deux fois la montée, bien que je lui dise, qu'il a un petit cul parfait. Tant qu'il ne fait pas ça par complexe, mais juste pour avoir de jolies fesses ( qu'il à déja) , y'a aucun souci, je le laisse faire. Cependant aujourd'hui, il se contente d'une seule ascension et pour cause:
- Vite, dépêche d'ouvrir, j'ai envie de pisser!
- Arrête de sautiller comme ça, tu me bouscule et j'ai du mal a la mettre dans le trou.
- Pourtant d'habitude, t'es un pro pour ça.
Je souris à sa remarque et fini par réussir à ouvrir la porte. Il s'engouffre aussitôt dans notre chez nous, et je lui claque les fesses au passage.
- T'as beau être très pressé, tu trouves quand même le temps de me balancer une phrase tout en sans entendu
- Je suis d'humeur coquine ce soir, dit-il en entrant en trombe dans les wc.
Il en ressort quelque secondes plus tard et viens me dire alors que je regarde les chaînes sportives, allongé dans notre canapé.
- Je vais prendre une douche, tu veux venir?
- J'irais après toi, je le regarde le basket là.
- Ok, je te laisse tranquille, mais ne devient pas un de ces mecs qui boit bière sur bière devant les matchs et qui prend sa moitié pour une boniche.
- Je deviendrais jamais un de ces crétins t'inquiète pas.
- T'as intérêt. Bon, j'y vais.
**********************
Il avait dit cinq minutes mais comme d'habitude, il à passé près d'une demie-heure dans la salle de bain, j'ai eu le temps de finir le match que j'avais pris en cours, et de me mettre à choisir quoi manger ce soir.
- Alors c'était bien ton match.
- Mon équipe à gagné, plus que trois matchs et on verra s'ils gagnent le championnat.
- C'est cool. Je te le souhaite. Tu fais quoi?
- Le repas de ce soir. Un bon steak avec des frites.
- Mais ils sont énorme ces steak! Je mangerais pas tout ça moi!
- T'en fait pas si tu en as de trop, je finirais. En sportif, j'ai besoin de calorie.
- Oui, il ne faudrait pas que tu fondes, ton corps est parfait. D'ailleurs je vais en avoir besoin.
- Je te ferais passer une nuit des plus chaudes mais d'abord, on mange, j'ai trop faim.
- En fait je parlais pas de ça.
- Ah bon? Dis-je posant les assiettes sur la table basse.
- A la fin de l'année, pour mon école de stylisme, je dois créer une tenue. Celle-ci sera présenté lors d'un défilé devant toute l'école et il me faut un mannequin et comme tu es beau, sexy, et que tu as une belle démarche, je me suis dit que tu pourrais jouer ce rôle.
- Tu déconne, j'ai aucune grâce, sérieux tu ferais mieux de choisir quelqu'un d'autre si tu veux que ton travail soit bien représenté.
- Mais tu sera parfait, j'en suis certain, en plus je pourrais gagner mon ticket d'entrée pour la Fashion week, si je finis dans les deux premiers.
- Je suis conscient que ce serait génial pour toi mais je pense plus te desservir. Tu pourrais demander à Soan?
- Oui mais bon, ils viennent à peine de se retrouver avec Melvin, ils ont besoin d'être ensemble et moi je risque d'avoir souvent besoin de mon mannequin. Alors c'est mieux avec toi vu qu'on vit ensemble...Allez s'il te plait chéri et je te jure que je t'appelle plus minou. Allez dis-moi oui...Sinon je vais être obligé de choisir un des mec de mon école et y'en a pas des masses...Il y a bien cet Olivier, celui qui gère le côté bar-snack à la cafèt.
- Bien voilà.
- Grand, musclé, sourire parfait, sexy...c'est vrai qu'a la limite il pourrait faire l'affaire. Je lui en parlerais dès demain. Par contre je risque d'être gêné. C'est toujours agréable de voir un mec bien gaulé à moitié à poil...
- Comment ça?! A moitié à poil!
- Bien quand t'habille quelqu'un en faisant du sur-mesure, bah tu prends ses mesures, poitrine, taille, hanches ect...et la personne est en sous-vêtements, puis pour les mesure t'es assez proche. Je pourrais limite loucher sur la marque de son boxer.
- Oublie cet Olivier, je serais ton mannequin. Et arrête de parler de lui comme ça, ça m'énerve. dis-je fronçant les sourcils.
- Monsieur est jaloux?
- A ton avis. Sans aucune gêne tu me balance que dans ton école, y'a un mec carrément bien foutu que tu serais ravi de pouvoir mater en prenant ses mesures quand il sera quasi nu. En général quand ton mec te dit, qu'il pourrait être troublé par un autre, ça fait pas du tout plaisir.
- T'es fâché?
- Contrarié. dis-je posant mon assiette à moitié terminé sur la table et croisant les bras sur ma poitrine.
- Pour que tu arrête de manger, c'est vraiment que t'es furieux. Mais fait pas cette tête. Il existe même pas ce gars enfin si mais pas avec ce physique là.
- Tu t'es foutu de moi ?
- J'ai dit ça parce que je connais l'homme viril que tu es et je savais que si je te parlais d'un autre mec, que j'allais pouvoir mater avec délectation, t'aurais vu rouge. Même si tu te sais, hyper bien foutu, t'es comme la plupart des mecs, jaloux. Je me suis servi de ça pour t'amener à accepter ma demande, parce-que je te voulais. Je veux mettre toutes mes chances de mon côté et quoi de mieux que d'avoir mon boyfriend sexy et magnifique, pour m'apporter la victoire?
- C'est bon, j'accepte Pooky.
- Merci, t'es le meilleur.
- Ça mérite bien un bisou ça?
Il me sourit, pose son assiette a côté de la mienne sur la table basse, et vient s'installer à califourchon sur mes cuisses.
- Moi je trouve que ça mérite bien plus que ça...et il se trouve que j'ai très très envie de faire l'amour.
- Ah oui...ça tombe bien moi aussi...
Ses bras s'entourent autour de mon cou et il nous unis dans un baiser tandis que je le fais basculer, l'allongeant sur le canapé. Mes mains se posent de chaque côté de son visage sur l'assise du sofa et je viens le surplomber de mon corps, tandis que ses jambes viennent m'enserrer la taille. Nos lèvres ne se quittent pas une seconde et glissant ma langue entre les siennes, je viens intensifier le baiser. Ses mains se faufilent sous mon marcel blanc me faisant frissonner et je me redresse pour qu'il puisse me le retirer. Il me regarde d'un air gourmand, se mordant la lèvre inférieure et murmure me caressant le torse:
- Hum ces muscles...je m'en lasserais jamais...
- J'espère bien, j'ai envie de te garder.
- T'as pas à t'en faire, je prendrais jamais le risque de te perdre...j'en reviens toujours pas d'avoir un mec aussi parfait.
- Me dit pas que tu continue à douter de mon amour et de mon attirance pour toi?
- Plus du tout. Surtout quand je sens ce truc énorme contre moi...
- Tss...vu comment tu en parle, on croirait que je cache un anaconda dans mon caleçon.
Il rit et rétorque:
- Bien la première fois que je l'ai vu, j'ai cru que ça passerait jamais. Heureusement que j'étais pas vierge, j'aurais souffert un max sinon.
- C'est vrai que je suis bien équipé, mais avec une bonne préparation, ça rentre très bien.
- Va falloir que tu me montre, je me souviens plus. me dit-il avec un sourire des plus coquins.
Je lui souris à mon tour et plonge vers ses fines lèvres que je recouvre des miennes. Sans plus attendre, tout en l'embrassant, je lui remonte son t-shirt et vient taquiner ses mamelons de mes doigts, tandis que ma bouche, suit le chemin de sa mâchoire jusqu'a son cou. De son côté en bon coquin qu'il est, il ouvre mon bouton et ma braguette avant de venir me masser à travers la fine couche de boxer. Une main caresse mon érection proéminente et l'autre mes fesses musclés. Je ne peux m'empêcher de gémir, quand il s'arrête pour pénétrer ses deux mains, à l'intérieur de mon dessous. De son pouce, il me caresse mon bout rosé humide et son autre main empoigne mes fesses. Je ne sais pas pourquoi mais il se trouve que mon fessier, fait partie d'une de mes zones les plus érogènes et il le sait. Je crois que je pourrais jouir rien qu'en me faisant masser les fesses. Ma langue descend de son lobe gauche, jusqu'à son cou, et choisissant une partie bien charnu de celui-ci, je suce sa peau en vu de lui laisser une jolie trace de mon passage. Ceci-fait, je m'abaisse vers ses tétons, et les lèche avidement tandis qu'il continue de me caresser, étalant le liquide qui s'échappe de ma virilité, sur celle-ci. Cependant il est forcé de me lâcher quand je m'éloigne de lui, dégringolant en baiser humides sur son ventre. Mes dix doigts se referment de part et d'autre de son sous-vêtement bordeaux, et je le lui descend à hauteur des cuisses, son sexe bien tendu, s'offrant à mon regard. Il dit de moi mais pour un si petit mec, il est plutôt gâté par la nature. Je m'apprête a venir poser ma bouche sur sa longueur quand il me signe de venir à lui et me susurre d'une voix tendre:
- Approche...
J'embrasse tout de même son organe avant de remonter lentement sur son torse imberbe en de nombreux bisous et m'arrête a hauteur de son visage:
- Qu'est-ce qu'il y a bébé?
- Je peux te dire un truc à l'oreille? me souffle-t-il alors qu'il se met à rougir d'un coup.
- Dis-moi tout, lui dis-je me penchant tout ouïe.
Il me marmonne alors timidement une phrase à l'oreille, et son souffle contre ma peau en plus de ses mots, m'électrisent. Je frissonne incontrôlablement de la tête aux pieds. Lentement je me redresse plongeant mon regard dans le sien et lui répond, dans un baiser.
- On sera mieux dans notre lit.
Il hoche la tête en signe d'acceptation et l'un après l'autre, on se lève du sofa. Il se sépare de son boxer qu'il lui entrave les jambes et je lui tend la main qu'il prend. Je l'entraîne, jusqu'à notre chambre, la troisième pièce de notre petit studio. Arrivé dans celle-ci, tandis qu'il quitte son t'shirt, je fais de même, me séparant de mon côté de mon jean et de mon sous-vêtement. Je viens m'étendre sur le lit, et Arnaud me suit timidement. Autant c'est quelqu'un d'exubérant en société, autant dans l'intimité, il peut être très timide. Sexuellement, il n'a eu qu'un seul partenaire avant moi et comme j'en ai eu plusieurs, au début il était très stressé d'être nul comparé aux autres. Aujourd'hui ça va beaucoup mieux, il ne se compare a plus à eux et ose davantage exprimer ses envies. Comme maintenant, ou il vient de me proposer une position différente à d'habitude pour les préliminaires. Une des plus connue d'ailleurs.
- Sois pas timide, viens mon coeur.
Il me sourit un peu gêné et viens m'enjamber, son entre-jambe au niveau de mon visage, ses fesse juste au dessus de moi. Courbant le dos, il se penche en avant pour atteindre mon bas-ventre et se lance aussitôt. Ses lèvres retracent mon V, en petits bisous, qui envoient de délicieux frisson le long de ma verge, qui repose sur mon ventre. Sa main droite s'en saisi et de sa langue, il la parcourt de tout son long. Je soupire de bien-être me régalant de ce contact chaud et mouillé, et décide d'à mon tour m'occuper de lui. Tandis que ma main gauche, le caresse du pli du genoux jusqu'aux fesses , la droite s'empare de son membre, pendant juste au dessus de ma tête. Tout comme lui, je commence par le taquiner de ma langue, lapant le sommet de son organe, glissant lentement sur sa tige, et effleurant ses bourses. Tout ceci, en tentant de gérer mes gémissements, mon sexe à présent aux prises de sa bouche qui sensuellement monte et descend sur moi. Alors qu'il multiplie les vas et viens langoureux sur mon sexe, je m'empare de ses bourses, une à une, les saisissant entre ma bouche. Les gémissements de mon petit-ami s'étouffent sur ma virilité et lorsque je délaisse ses parties ronde et charnues, pour englober son phallus, celui-ci geint de plus en plus fort. On se donne mutuellement du plaisir, nos lèvres et nos langues coulissant sur nos membres gonflés par le désir.
Après de long vas et vient, sentant mon copain monter en pression, je le relâche lentement et mordille son bout au passage ce qui ne manque pas de le faire réagir. Taquin, il me renvoi la pareille, et m'arrache un grognement sonore. Il me reprend entre ses lippes mais se mouve beaucoup plus lentement. Il sait que si mes soupirs deviennent grognement, c'est que je n'en ai plus que pour quelques minutes. Soupirant d'aise, je finis par me reprendre. Ayant précédemment humidifier mes doigts de salive, je dirige ma main gauche, qui lui caresse depuis le début les cuisses, sur ses fesses rebondies, dont le petit trou me fait de l'œil.
Mon Pooky est hyper sensible à cet endroit là, et ça se confirme une nouvelle fois. A peine, l'ais-je effleuré de mon pouce que je le sens tressaillir. Ma phalange presse contre son ouverture puis fini par s'y engouffrer, lui déclenchant un petit couinement. J'entre mon pouce en lui et mon autre main libre, vient masser sa verge à faible allure. Alors qu'il s'ouvre à moi peu à peu, je me retire et entre à nouveau en lui, cette fois-ci avec mon majeur. Aussitôt il me relâche pour gémir longuement et j'ajoute peu après mon index. Instantanément mon petit-ami se redresse et gémis plus bruyamment, quand il s'abaisse inévitablement sur mes doigts. Je les recule lentement puis les insèrent à nouveau en lui, débutant un mouvement d'avant en arrière. J'accorde le rythme de ma main sur son membre à la vitesse de mes doigts et poussant des soupirs délicieusement sexy, se contrôlant difficilement, il peine à me caresser, effectuant des mouvements saccadé sur ma virilité, la serrant parfois rudement sous les sensations que je lui offre.
- Doucement bébé, tu vas broyer mon anaconda...
- Désolé chéri...c'est trop bon...
Il s'éloigne de moi, mes doigts quittant son antre, et sensuellement, a quatre pattes, il avance jusqu'à mon bassin. Sa main droite se saisie de ma longueur et il la dispose à son entrée. Tout doucement, il s'assoit sur moi, se laissant descendre sur mon organe imposant. Aussi lentement qu'il a été pour s'installer sur moi, il commence à bouger pour se faire à ma présence. Habituellement on utilise du lubrifiant, ce qui facilite les choses, mais nous avons terminé notre flacon. Une fois qu'il se sent bien adapté, il accélère la cadence. Je me mords la lèvre inférieure me régalant des assauts sur mon engin et de la vue magnifique que j'ai sous les yeux. Les petites fesses de mon mec, rebondissant sur mon bas-ventre, son dos creusé, ses plaintes de plus en plus fortes et sa main que je devine en train de s'agiter sur son organe. Rien de plus bandant que de voir ça.
Désirant encore plus de contact, je me relève et enlace mes bras autour de sa taille, avant de l'entraîner avec moi, le faisant allonger, dos contre mon torse. Toujours enlisé en lui, je prends à mon tour le contrôle, butant contre lui. Au bout de seulement quelque secondes, je l'entends me quémander entre deux halètement, d'aller plus vite. J'augmente alors ma vitesse, heurtant toujours pus durement son point sensible, et l'amène au plaisir, en deux temps trois mouvements, mes coups de reins le martelant avec frénésie. Je le sens se resserrer sur mon sexe, alors qu'il jouit en plusieurs jets sur son ventre, et je ne tarde pas à me déverser, dans son gouffre, rugissant mon plaisir au creux de son oreille.
Incroyablement détendu, ne bougeant pas d'un pouce, on se remet de notre orgasme. Mes bras musclés s'enroulent autour de lui et tournant légèrement la tête, il se dépose contre mes lèvres.
- C'était chaud, me murmure-t-il.
- J'aime quand tu te laisse aller comme ça...quand tu ose, quand tu te lâches. Ça a toujours été l'extase quand on fait l'amour tous les deux, mais je te sentais toujours comment dire...en retenue.
- Dans la vie, je suis enjouée, excentrique, mais au niveau intimité, paradoxalement, je suis très pudique...me montrer nu devant un mec, ça n'a jamais été simple pour moi. J'ai essayé de grossir, de prendre du muscle, mais je perds toujours après avoir pris. J'ai jamais vraiment aimé mon corps, mais toi tu m'a démontré que tu l'aimais, qu'il te plaisait alors j'ai fini par me rendre compte que je pouvais vraiment plaire à quelqu'un comme toi. Une fois mon corps accepté, je me suis senti beaucoup plus à l'aise sous tes mains. Aujourd'hui, quand je t'ai menti sur Olivier, je t'ai vu jaloux et ça, c'était pour moi, une énième preuve d'amour. Pour un mec du genre à l'eau de rose comme moi, bah ça a fait palpiter mon petit coeur et j'ai soudainement eu très envie de partager un moment des plus torrides et amoureux avec toi.
- Je suis heureux de t'avoir aidé a te décomplexer, parce que t'es très bien comme ça. Et crois-moi, t'as le petit cul le plus sexy que j'ai jamais vu. T'as pas idée comme il me rend fou.
- Merci mon chéri. Et si on allait prendre une douche ensemble, histoire de se nettoyer et de te permettre de reluquer mes petites fesses qui te plaisent tant?
- J'approuve totalement cette idée.
******************
Quelques minutes plus tard, les mains pleines de gel douche, on se savonne l'un et l'autre et je ne manque pas de m'appliquer particulièrement sur ses jolies fesses. Si on traîne comme ça sous la douche, il se pourrait bien que nos corps réclament, un deuxième round.
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