Attention, scène a caractère érotique dans ce chapitre

PDV Soan

Samedi 27 sept 2012

9h30

Tandis que j'ouvre les yeux, clignant des paupières pour m'habituer à la clarté de la pièce, je découvre mon petit prince, assis de son côté du lit, téléphone en main. Il pianote frénétiquement un sms.

- Tu écris à qui, avec un sourire pareil? Je dois être jaloux?

Il quitte son portable des yeux, se penche vers moi et dépose un baiser sur mes lèvres.

- Aucune raison, je parle avec Gabriel, depuis le temps que je veux te le présenter. J'ai vu avec lui, il est libre, on se voit cet aprèm si t'es ok?

- Oui, bien sur.

- Cool, je lui dit que c'est bon.

Il tape un dernier message puis se lève et attrape un plateau sur la table de nuit, avant de revenir à mes côtés.

- Un petit déj au lit?

- Oui et chut, j'ai envie de te chouchouter. Pas à cause de ce que tu m'as confié mais parce que tu fais beaucoup pour les autres et que tu devrais parfois laisser les autres prendre soin de toi.

- Ok. Par contre j'ai trouvé ce que j'ai gagné par rapport à notre course d'hier soir.

- Je t'écoute.

- C'est toi qui va me faire manger, et durant toute la journée, tu te plieras a toutes mes demandes.

- Mmm d'acc, mais fais gaffe, si tu me fais faire des trucs trop chiant, je me vengerais.

- J'essayerais d'être gentil. Pourrais-je avoir s'il te plait, cette appétissante tartine de brioche a la confiture de fraise?

- Mais tout de suite.

Il attrape la tranche et vient s'installer sur mon bassin puis par petites bouchées, il m'aide a déguster mon repas. Quand j'ai terminé, je lui dit.

- Je crois que j'ai de la confiture sur la lèvre, tu veux bien l'essuyer avant que ça dégouline.

Au lieu d'attraper la serviette sur le plateau, il vient lui-même, de sa bouche récupérer la fraise, puis s'éloigne après un bisou sucré.

- Attention, c'est dangereux ça...Il ne faudrait pas qu'on se retrouve comme hier dans ta salle de bain.

- Hum en effet mais j'adore risquer ce genre de danger avec toi. Jus de fruit ou chocolat au lait en premier?

- Jus mais attention, si tu renverse, tu devras aller remplir a nouveau le verre au niveau ou il été au tout début et recommencer.

- Je vais faire ça bien. Mais si tu le fais exprès, ton pouvoir s'envolera et je ne serais plus a tes petits soins.

- Entendu.

Lentement, avec une grande dextérité, il me fait boire, le demi verre de jus de fruit, puis le chocolat vient par la suite. Quand j'ai terminé, il se moque de moi, parce-que mon contour de lèvre est plein de chocolat.

- Au lieu de rire, essuie-moi.

- Promis mais je prends d'abord une photo.

- Non, pas de photo, Melvin...

Appareil en main, il commence à me cadrer avec son téléphone, mais je me jette sur lui pour l'empêcher de faire son cliché. Je m'en sors plutôt bien puisque l'objet en question tombe du lit. A quatre pattes au dessus de lui avant qu'il n'ait le temps de faire quoi que ce soit, je bloque ses poignets et vient glisser mes lippes pleines de chocolats dans son cou. Quand je me retire, je suis satisfait de la trace dans sa nuque alors je le relâche, un sourire fier au visage. Comme je suis un petit-ami tout gentil, a l'aide de la serviette en papier, je lui essuie le cou puis m'essuie moi-même par la suite. 

- Désolé mon chou, je déteste fortement les photos a mon réveil, je suis dégueulasse.

- C'est pas vrai. Et moi je déteste les surnoms ridicule, alors chou, sucre d'orge, canard etc...tu oublies.

- D'accord mon petit bonbon au miel.

- Soan!

- Oui mon petit caramel en sucre?

Je n'ai pas de réponse, mais je prends un oreiller en pleine face.

- Je redescend le plateau en bas, tu as des fringues posé sur la chaise, ça devrait t'aller, et tu sais ou est la salle de bain pour prendre une douche.

- Parfaitement, mon flocon de neige.

" Rrrr" fut sa dernière réponse avant de sortir de la pièce, signe que je l'agace et ça me fait marrer. Il est tellement facile a taquiner, j'adore. Prenant les vêtements qu'il m'a gentiment prêté, je me rends a la salle de bain.

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PDV Melvin( Média)

Je roule des yeux quand je quitte la chambre plateau en main, ce qu'il est lourd...mais je dois dire qu'au fond qu'il s'amuse à m'agacer comme ça, ça m'amuse. J'adore ça. Descendant les escaliers qui mènent au salon, je traverse celui-ci et finit par me trouver dans la cuisine ou se trouve mon père.

- Alors ça lui a fait plaisir ce petit déjeuner.

- Oui.

- Ça va beaucoup mieux entre-vous?

- Ouais, depuis qu'il m'a parlé, ça va super bien. Je l'aime trop.

- Alors c'est parfait. Je vais aller faire des courses, j'en ai pour pas mal de temps a mon avis, mais je reviendrais avant midi.

- Ok pas de souci. Nous normalement on bouge pas d'ici, le temps qu'on prenne chacun la douche il sera onze heure par-là donc, on va pas sortir , par contre cette après-midi, on va voir Gaby et puis je dors chez Soan.

- J'ai pas oublié, juste, y'a plus de quoi se sécher à la salle d'eau, prends les serviettes dans le sèche-linge, y'en a quatre, ça fera. Les autres sont à la machine.

- Ça marche.

- Bon j'y vais, si y'a quoi que ce soit, tu m'appelle

- C'est promis.

- Alors a tout à l'heure mon chéri.

- A toute 'Pa

 Il me fait un bisou sur le front puis les clés en main et le chien en laisse, il quitte la maison. De mon côté, je pose le plateau dans l'évier et ouvre le sèche-linge qui se trouve dans une très petite pièce a côté de le cuisine et attrape les serviettes. Elles sont toutes chaudes. C'est trop agréable.

Je remonte vite fait avec et toque a la salle de bain après m'être aperçu que mon copain n'était plus dans la chambre.

- C'est moi, je t'apporte de quoi te sécher, je peux entrer?

- Oui vas-y c'est ouvert, j'ai pas réussi a fermer le verrou me dit-il de l'intérieur.

J'ouvre et entre alors que je le trouve comme hier en caleçon devant moi. Je pique un fard puis finis par dire.

- Euh voila les serviettes, et c'est normal pour le verrou il est cassé, a chaque fois on dit qu'on va le réparer mais on n'y pense pas, alors depuis on a pris l'habitude de toquer pour voir si c'est libre ou pour demander a entrer.

- Ah ok, et bien heureusement que ton père n'a pas essayé d'entrer hier soir, ça aurait été embarrassant.

- C'est clair mais t'inquiète, la il est parti faire des courses et il en a pour quelques temps. Bon et bien je vais te laisser prendre ta douche. J'irais après.

- Oui juste tu peux me montrer comment fonctionne ta douche, elle a l'air super sophistiqué, y'a des boutons partout.

- Ah oui, c'est parce-qu'elle a des fonctions massantes. Je vais t'expliquer dis-je ouvrant la cabine et y pénétrant après avoir viré mes chaussettes. Viens voir.

Il entre alors a son tour et vu l'étroitesse de la cabine se retrouve tout contre moi.

- T'as les deux premiers boutons, c'est simple, c'est la température, celui de droite le froid, celui de gauche,

- Le chaud, entendais-je tout proche de mon oreille.

- Oui voila, jusqu'ici c'est pas compliqué dis-je tout en me disant qu'il faut vite que je sorte car cette proximité est bien trop dangereuse. 

- Jusque là je te suis

- Donc après c'est simple, pour l'enclencher t'appuie sur l"un ou sur l'autre et ensuite, tu appuies le nombre de fois que tu souhaites sur chacun pour monter ou descendre la température. Et enfin pour éteindre, tu restes appuyé sur l'un des deux et l'eau se coupera. Les quatre autre boutons, c'est pour choisir les différentes pressions pour le massage.

- C'est simplissime en fait, je devrais m'en sortir.

- Tout a fait, dis-je quelque peu troublé par son corps contre le mien, qui me semble plutôt très réveillé contre mon fessier.

- Ok donc j'appuie ici pour l'allumer.

Je n'ai pas le temps de réagir qu'il enclenche le bouton d'eau froide faisant jaillir le jet m'arrosant généreusement. Fermant les yeux pour éviter l'eau, je cherche a taton le bouton pour rester appuyé dessus et l'éteindre.

- Pardon, je suis désolé, je pensais pas que ce serait si puissant. me dit-il alors que je me tourne face a lui.

- C'est moi, j'aurais du préciser qu'il était aussi fort.

Ne pouvant retenir mon regard, je descend le long de son corps pour vérifier si ce que j'ai senti a l'instant était bien ce que je croyais. Vu l'étroitesse que semble avoir son boxer maintenant, il n'y a aucun doute.

- Oh...euh...pour ça aussi, je suis déso...

Je ne le laisse pas finir et dépose mes lèvres contre les siennes.

- Tu n'as pas t'excuser de ça, ça ne me gêne aucunement bien au contraire. Mon père est parti, peut-être qu'on pourrait en profiter? 

- Ou...oui, pourrait...

- Qu'est-ce que t'es mignon quand t'es timide...Par contre on ferait mieux de se déshabiller, la douche ça se prend pas habillé.

En disant ses mots, je retire mon t-shirt, puis mon bas de pyjama bien mouillé et les balance a l'extérieur de la cabine. Soan lui dans la même tenue que moi, a présent n'a pas bougé d'un pouce. Voyant qu'il est un peu mal a l'aise a l'idée de se déshabiller intégralement, j'attrape ses mains et les posent contre mes hanches. A l'aide de ses propres doigts et des miens, je baisse mon sous-vêtement et celui-ci finit vite par tomber sur mes pieds. Je le ramasse et le jette, pour qu'il retrouve le reste de mes fringues. Mon copain rougit à la vue de ma nudité, et je trouve ça adorable. Mes mains se posent à présent autour de sa taille et d'un regard je lui demande la permission. Il me l'accorde et lentement, je le dénude. A son tour, il se débarrasse de son caleçon et maintenant tous deux dans le plus simple appareil, je ferme la cabine.

J'attire mon chéri au centre de celle-ci puis déclenche l'eau, et règle rapidement la température.

- Ça te va, l'eau est pas trop chaude?

- Non c'est parfait.

Glissant mes bras autour de son cou, je le rapproche le collant à moi. Lui pose timidement ses mains dans mon dos. J'unis nos lèvres et on échanges de doux bisous tous sage. Puis très vite les chaste baisers s'enflamment, devenant sensuel. Nos corps se pressent et l'eau bouillante nous arrosant ne fait qu'accentuer la chaleur entre nous  . Elle est a l'image de notre désir, brûlante. Nos bas-ventres continuent a se dresser, serré l'un contre l'autre, tandis que nos langues se lient dans un énième baiser fougueux. La respiration haletante, nos bouches se détachent, mais nous restons relativement proche. Après avoir éteint l'eau, d'une main je saisi du gel douche et en laisse couler dans l'autre. Je fais de même en donnant aussi à Soan et repose le flacon. Je m'attaque a nouveau a ses lippes, l'embrassant, tandis que je viens savonner sont torse musclé. De son côté, il m'enduit le dos, ses paumes et ses doigts voyageant timidement le long de mon échine. 

L'un et l'autre, on se savonne le haut du corps, faisant mousser le gel sur notre peau, tandis qu' on s'embrasse langoureusement ne s'arrêtant que pour prendre un peu d'air. Les mains de mon chéri se détendent et il ose de plus en plus les caresses. Mon ventre, ma poitrine, mes clavicules, mon cou, tout mon buste passe sous ses doigts. Je fais de même sur lui, insistant sur ses pointes rousses faisant accélérer sa respiration. La main gauche dans son dos, et la droite se balandant sur ses pectoraux,je pince un de ses tétons. Il gémit contre mes lèvres arrêtant notre échange et j'en profite plongeant dans sa nuque. J'y dépose de petits baisers tandis que mon pouce et mon index continuent a taquiner ses mamelons. A l'inverse de moi sa main gauche est posée juste au dessus de mes fesses et la droite caresse mon ventre, incendiant mon membre plus qu'en forme.

Je délaisse ses boutons de chair et tout comme lui atteint la zone du nombril. Seulement, je ne m'y arrête pas et ma main descend à la rencontre de son organe érigé. Je l'effleure d'abord sur sa longueur faisant soupirer mon petit-ami, puis j'enroule ma main autour, débutant un mouvement lent de bas-en haut.

- Ce massage est bien plus agréable que tous ceux qu'aurait pu t'offrir cette douche dernier cri lui soufflais-je a l'oreille.

- J'en...doute...pas...

- Tu aimes? demandais-je tout en mordillant tendrement sa nuque.

- J'adore...

Cessant tout mouvement, je lâche sa virilité et attrape sa main qui repose sur mon ventre et la guide jusqu'a mon propre organe. Timidement alors qu'il me regarde de son regard de braise, sa main s'ouvre et vient s'emparer de "moi". Il réitère les gestes que j'ai fait peu avant sur lui et je ne peux retenir un gémissement.

- Je t'ai fait mal? s'inquiète-t-il.

Je lui souris l'embrasse et susurre contre ses lippes, le souffle saccadé " Du tout, c'est parfait, continue chéri". Rassuré il recommence son mouvement tandis que ma main retrouve sa place autour de " lui". Nos bouches se retrouvent elles aussi et les échanges s'intensifient devenant diablement passionnés au fur et a mesure que nos mains accélère la cadence. Nos soupirs s'éteignent dans nos baisers et se renouvelle toutes les cinq secondes. Emporté par le plaisir qui grimpe en nous crescendo, nos poignets s'activent en conséquence et le volume de nos vocalise aussi. Totalement essoufflé,  on se contente de petits smacks de temps à autre, ou bien comme maintenant, nos regards ardent s'observent intensément, lisant dans l'autre le désir. Le contact visuel se rompt alors qu'il ferme les yeux, laissant partir sa tête en arrière, et après quelques soubressauts et gémissements rauque, il se libère, atteignant l'orgasme. Il finit par reposer ses yeux sur moi et satisfait, je lui souris tandis qu'il reprend ses esprits collant son front au mien.

- C'était tellement bon...faut que je te  rende la pareille maintenant...

- Oh oui, tu peux pas me laisser dans cet état...

- J'en ai pas l'intention, dit-il alors que sa main reprend le rythme petit à petit.

Il n'a pas besoin d'attendre trés longtemps pour que je sois à bout, à mon tour. Quelques coups de poignets et je me laisse aller entre nous deux, poussant un long soupir d'extase. 

- C'était bien?

- Ça...se...voit...pas dis-je encore a bout de souffle

- Si mais je voulais être sur.

- C'était trop bon, j'ai adoré, j'adore sentir tes mains parcourir ma peau et si t'en as envie, on peut se rincer et filer dans ma chambre... pour poursuivre l'expérimentation de nos corps.

- J'en ai très envie...tu me guidera, je veux pas faire mal les choses...

- Bien sur, de toute façon tu seras parfait comme à l'instant. dis-je rallumant l'eau et l'embrassant.

On à a peine finit de se rincer correctement que la sonnette de la maison retentit. Tous nos espoirs de séances torrides dans mon lit s'évanouissent, au même moment.

- Désolé, visiblement notre première fois ça sera pas encore pour maintenant.

- C'est pas grave, je préfère qu'on soit sur d'être tranquille tous les deux et la ton père aurait pu débarquer d'une minute a l'autre ou des visiteurs comme maintenant.

- Tu as raison, on fera l'amour au bon moment, c'était déja bien ce petit moment sous la douche

- Oh oui...

- Bon je vais ouvrir, dis-je enfilant rapidement mon peignoir bleu que je noue a ma taille. Et habille-toi.

- Oui petit schtroumpf 

Je souris face a ce nouveau surnom auquel je n'ai pas pu échapper au vue de ma tenue bleu, et descend vite au niveau inférieur pour aller ouvrir. Quand j'ouvre, je me sent carrément pas présentable dans mon peignoir, surtout face a cette femme si bien vêtue.

- Bonjour Madame.

- Bonjour tu dois être Melvin? Je suis Iris, une amie de ton père.

- Oh oui, il m'a beaucoup parlé de vous, pour le moment il est sorti mais venez entrez, vous pouvez l'attendre à l'intérieur.

- C'est gentil merci.

Je la conduis au salon et la fait s'installer dans le canapé.

- Vous m'excuser, je vous laisse cinq minutes le temps d'aller enfiler quelque chose de plus présentable.

- Désolé, j'aurais du prévenir avant de venir a l'improviste.

- Oh mais non, c'est pas grave, y'a pas de souci, à dans cinq minutes.

Je lui souris et grimpe vite à l'étage. Je manque de percuter mon chéri qui sort habillé de la salle de bain et celui-ci m'attrape par la taille, m'embrassant dans la nuque au passage et me déposant sur le seuil de ma chambre.

- C'est qui? me demande-t-il alors que je m'habille en express

- C'est la meilleure amie de mon père, celle pour qui il a craqué il y a des années mais a qui il ne l'a jamais dit, premièrement parce-qu'i l'avait pas compris et secondo parce qu'il aimait ma mère. Du coup comme elle pensait ressentir un amour a sens unique, elle est partie étudier loin de lui et mon père s'est rendu compte qu'il l'aimait. ils ont fait leur vie chacun de leur côté et se sont retrouver tout récemment. Mon père n'a jamais cesser d'être amoureux d'elle. Seulement en la revoyant il a vu qu'elle était mariée a son alliance du coup, il compte rester juste ami avec elle. Il savait même pas s'ils allaient se revoir mais apparemment elle est là donc oui.

- Ok d'accord. 

- Et du coup c'est pour ça qu'il s'est inscrit sur un site de rencontre.

- Peut-être qu'il n'est pas trop tard pour que ton père lui avoue ce qu'il ressent.

- Il a pas envie de risquer de troubler le bien-être de son couple.

- Je comprends. 

- Mais moi je pense comme toi il devrait lui dire.

- Au fait j'ai trouvé une nouvelle demande a te faire, faire.

- Quoi? 

- A partir de maintenant que ce soit avec moi, ton père, Gabriel ou Mia, tu vas devoir parler en langage Schtroumpf. Pour L'amie de ton père, je te laisse tranquille. Je sens que je vais bien me marrer.

- Schtroumpf-toi de moi! 

- J'adore. Hilarant!

- Arrête de schtroumpfer et suis-moi, j'ai une invitée, je veux pas la faire schtroumpfer plus longtemps.