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Chapitre 11

« C'était tout un match. Merci de votre hospitalité, M. Weasley, » dit Carlisle alors que nous approchions de notre tente.

« Ça nous a fait très plaisir de pouvoir aider un ami de Dumbledore. Et comment les moldus ont-ils aimé le spectacle ? » Il se tourna et regarda Esme et les enfants 'non magiques'.

« Oh, je pense que nous avons tous été très impressionnés, » répondit Carlisle. « Nous n'avons pas le Quidditch en Amérique du Nord. »

« Eh bien… » Cafouilla M. Weasley, essayant de trouver une raison de prolonger notre visite. « Nous sommes sur le point de déguster un bon chocolat chaud. Est-ce que votre famille aimerait se joindre à nous ? »

« C'est très généreux de votre part, M. Weasley… certains membres de ma famille sont fatigués à cause du décalage horaire et des activités de la journée, mais peut-être qu'au moins Esme et moi nous joindrons à vous. » Il regarda dans notre direction pour voir si nous étions réceptifs à l'invitation, ne voulant pas décider à notre place.

« Je pense qu'il me reste un brin d'énergie pour un bon chocolat chaud, » renchérit Alice. Jasper la dévisagea et hocha la tête à contrecœur. « Moi aussi ! »

Rosalie lança un regard enflammé à Emmett alors qu'il ouvrait la bouche pour parler. « Eh bien moi je suis crevée. Je crois que je vais aller me coucher, » annonça-t-elle en poussant rudement son époux.

« Ouais, » ajouta Emmett en faisant semblant de bâiller, « je suis épuisé. »

Bon, voilà qui réglait les choses… Je ne tenais pas à retourner dans la tente tout de suite, à présent. Je levai les yeux vers Bella pour voir comment elle allait. Sa sieste durant l'après-midi devait lui avoir été bénéfique car maintenant elle avait l'air parfaitement éveillé. « J'aimerais bien un chocolat chaud moi aussi ! » Dit-elle. Ron s'égaya de l'entendre accepter l'invitation.

« Et moi aussi ! » Lançai-je.

Nous nous entassâmes tous dans la plus grande des deux tentes des Weasley. Comme la nôtre, l'intérieur faisait plusieurs fois le volume présumé en se fiant uniquement à l'apparence extérieure. L'ameublement n'était pas aussi grandiose que celui de la tente que Dumbledore nous avait fournie, mais quand même, l'endroit n'était pas dépourvu de confort, loin de là.

Les bruits des festivités tapageuses retentissaient partout autour de nous – des foules de supporters Irlandais riaient et chantaient – célébrant leur victoire du championnat. À l'intérieur de la tente, Ron et Harry menaient une discussion animée sur les différents aspects du match avec les frères aînés du premier. C'était fascinant d'entendre l'analyse plus complexe de la part de ceux qui avaient réellement volé sur un balai pendant que dans ma tête les souvenirs du match repassaient avec la clarté du cristal. De toute évidence, nous allions voir plus de Quidditch puisque ce sport était pratiqué sur une base régulière à Poudlard. Poudlard – je me demandais quels autres mystères seraient dévoilés là-bas.

« BANG ! » Un grand vacarme et le bruit du chocolat se renversant sur la table attirèrent mon attention. Je jetai un coup d'œil rapide à Bella qui était tout aussi surprise, cependant elle tenait une tasse à moitié pleine dans sa main. Puis je vis la cause de la diversion. La plus jeune des Weasley, Ginny, s'était assoupie à la table.

Bella me retourna un regard accusateur. « Tu pensais que c'était moi, » siffla-t-elle.

« Jamais je n'ai émis un tel jugement, » mentis-je.

« Peut-être que nous devrions vous laisser à présent, bonnes gens. Nos enfants aussi sont fatigués. Je suis certain que nous pourrons continuer à bavarder avec vous demain matin. »

« Très bien, » approuva M. Weasley. « Oui, je pense que nous devrions envoyer tous nos enfants au lit. »

Nous retournâmes à notre tente, nous installant dans nos divers quartiers pour 'dormir.' Évidemment, seule Bella allait vraiment dormir pendant que les autres s'occuperaient jusqu'au matin.

« Je suis tellement contente que nous ayons décidé de venir, Edward, » dit Bella, s'approchant de moi pour poser sa tête sur ma poitrine.

« Et moi de même, » répondis-je de façon automatique, mon attention attirée ailleurs, par la façon dont la lumière de la lampe jouait contre sa peau et ses cheveux. Cet éclairage baignait tout d'une lueur des plus irrésistibles – que l'on ne pouvait expérimenter avec des lumières artificielles.

« Je me demande pourquoi ils n'ont pas l'électricité ou la technologie, » songea Bella à voix haute.

« Je l'ai remarqué aussi, » répondis-je tandis que mon doigt trouvait son chemin vers une mèche de ses cheveux, l'entortillant pour observer les mouchetures rouges dans la lumière.

« Ces Malefoys m'ont donné froid dans le dos, » dit-elle soudainement, un frisson traversant son corps.

« Mmhm, » approuvai-je totalement, mais la forme de ses lèvres était beaucoup plus captivante que des sorciers maléfiques et malveillants. Je me penchai et fis taire sa prochaine remarque avec mes lèvres.

« Mmm, » murmura-t-elle en réponse.

« Qu'est-ce que tu allais dire ? » La taquinai-je tandis que ma main effleurait son visage avant que mes doigts n'aillent vagabonder dans son cou.

Elle plongea ses grands yeux bruns brûlant de passion dans les miens, la plus curieuse expression traversant son visage. « Tu sais quoi ? Je n'en ai aucune idée. » Elle s'étira pour me rendre mon baiser.

« Levez-vous, Ron, Harry ! Allez, levez-vous, c'est urgent ! » Entendis-je la voix de M. Weasley crier de la tente à côté. Il ne me fallut qu'une fraction de seconde pour remettre Bella sur ses pieds et accourir dans l'aire commune de la tente où se trouvaient déjà Carlisle, Esme, Jasper et Alice. Emmett et Rosalie nous rejoignirent une demi seconde plus tard.

« Que se passe-t-il ? » S'enquit Emmett.

« Le feu ! » Nous exclamâmes Alice et moi en même temps alors que je voyais des sorciers encapuchonnés se promener sur le terrain de camping, utilisant leurs baguettes magiques pour soulever les gens en l'air et mettre le feu aux tentes.

« Sortez de la tente MAINTENANT ! » Ordonna Carlisle. Une fois à l'extérieur, nous vîmes la scène qui venait juste de jouer dans la vision d'Alice. Les gens couraient en tous sens, essayant d'éviter le danger imminent. Nous pouvions voir, au loin, un groupe de sorciers portant des capuches marcher dans notre direction tout en envoyant des individus en l'air au hasard avant de détruire leurs tentes.

« Le feu des Sorciers ! » La voix de Carlisle était à la fois calme et très alarmée. « Prends Bella et allons-nous en d'ici, » dit-il, se déplaçant rapidement vers la zone boisée la plus proche. Lorsque nous fûmes sous le couvert des bois, je jetai Bella dans mon dos et nous nous élançâmes dans une course endiablée.

« Carlisle, que va-t-il arriver à Harry ? » Demandai-je.

Non, il pourrait mourir… mais le garçon… hésita Carlisle. Je l'avais toujours connu certain de ses actions.

« Devrais-je retourner le chercher, Carlisle ? » Questionnai-je avec urgence. Nous étions en sécurité à présent, loin de la cohue.

Edward, ce feu te tuera presque instantanément. Il est beaucoup plus intense que le feu ordinaire. S'il est dirigé directement sur toi, il percera ta peau et enflammera le venin.

Je hochai la tête pour lui signifier que j'avais saisi le message avant de repartir en sens inverse. La dernière chose que j'entendis fut le cri affolé de Bella. « EDWARD ! »

J'arrivai au cœur du chaos qui régnait maintenant en périphérie du campement. C'était de la folie d'essayer de retrouver Harry parmi cette foule, mais il le fallait. Demeurant en bordure de la forêt, loin des sorciers à capuchons, j'utilisai tous mes sens pour chercher Harry. Je ne trouvai aucune trace de son odeur en périphérie du terrain de camping, et je n'entendis pas sa voix non plus. Je commençai à paniquer. Il doit toujours être ici, songeai-je, ne voulant pas envisager l'autre possibilité. Je décidai de reprendre mes recherches à partir de l'endroit où s'était trouvée notre tente. Je contournai la foule avec précaution, attendant que les sorciers aient dépassé l'endroit où nos tentes se dressaient encore quelques minutes auparavant pour retrouver sa piste.

Je la saisis instantanément, et je pus suivre son parcours grâce à son odeur. Il s'était sauvé avec Ron et Hermione dont les odeurs se mêlaient à la sienne. Il devait avoir paniqué car il avait constamment changé de direction. Je finis par trouver son esprit alors qu'il conversait avec ses amis.

« Ces pauvres moldus, » dit nerveusement Hermione. « Et s'ils ne peuvent pas les faire descendre ? » Je vis l'image de personnes qui flottaient dans l'air.

« Ils vont y parvenir, » la rassura Ron. « Ils vont trouver un moyen. »

Je restai dans l'ombre, les surveillant tandis qu'ils discutaient des événements de la soirée.

« Allô ? » Interpela soudainement Harry. Un grondement s'éleva dans ma gorge en sentant le danger. « Qui est là ? » Demanda-t-il.

Une silhouette obscure se tenait dans la clairière. Je pouvais la voir comme en plein jour, toutefois je savais que les trois jeunes sorciers ne le pouvaient pas.

« MORSMORDRE ! » Invoqua subitement l'homme, élevant sa baguette magique. Ma respiration demeura prise au fond de ma gorge en réalisant qu'il venait peut-être de lancer un sortilège pour tuer Harry et que je n'avais aucun avertissement en provenance de ses pensées. Une vaste brume verte et scintillante jaillit de la baguette et s'envola au-dessus de la cime des arbres, tout droit vers le ciel. Elle forma une tête de mort, composée de ce qui semblait être des étoiles d'émeraude, avec un serpent sortant de sa bouche comme une langue. Je poussai un soupir de soulagement alors que la forme sinistre montait de plus en plus haut dans le ciel. Il s'agissait seulement d'un autre artifice magique.

Mais à ce moment-là des cris éclatèrent dans les bois. Je regardai autour de moi, confus alors que le chaos reprenait de plus belle et que la peur se répandait à travers le campement une fois encore.

« Que se passe-t-il ? » Demanda Harry, faisant écho à ma confusion.

« C'est la Marque des Ténèbres, Harry ! » Gémit Hermione en le tirant dans la forêt.

« Voldemort, » l'entendis-je dire tandis que je les suivais discrètement. En un instant, vingt sorciers apparurent, sortis de nulle part, et les encerclèrent. Je soupesai mes options. Pouvais-je tuer les vingt sorciers avant que l'un d'entre eux ne réalise ce qui se passait ? C'était peu probable – et il suffirait d'un seul coup de baguette pour mettre fin à mes services ici. Peut-être que je pourrais courir assez vite pour attraper Harry avant qu'ils ne me voient. Cela m'apparaissait la meilleure option. Je me glissai plus près, me déplaçant autour pour trouver une ouverture.

Comme je préparais ma manœuvre, Harry cria.

« Baissez-vous ! » Lança-t-il à ses amis, et tous les trois se jetèrent au sol.

« STUPÉFIX ! » Crièrent plusieurs voix en chœur, et je vis des éclairs aveuglants alors qu'un niveau dangereux de magie circulait à travers le cercle de sorciers, manquant de peu les trois jeunes allongés par terre.

« Arrêtez ! ARRÊTEZ ! C'est mon fils ! » Avec soulagement j'entendis la voix de M. Weasley. Les vingt autres sorciers reculèrent, baissant leurs baguettes alors qu'il se précipitait vers eux. De ma place dans l'obscurité j'observai les sorciers discuter de l'origine de la marque. Un elfe de maison fut amené devant les autres et la discussion se poursuivit. Lorsqu'il m'apparut que Harry et ses amis étaient en sécurité, je commençai à reculer, trouvant un passage à travers les arbres jusqu'à un point où je pus me remettre à courir pour rejoindre ma famille.

Edward ! Entendis-je Alice implorer.

« Je suis ici ! » La rassurai-je.

Tu étais disparu ! Dit-elle avec alarme. Elle jeta un coup d'œil vers la clairière à peu de distance derrière les arbres et son regard tomba sur l'elfe de maison. « Oh. »

Je réalisai ce qui était arrivé. « Ça va aller. Ils sont avec M. Weasley à présent. »

« Tu ferais mieux de rejoindre les autres au plus vite. Bella est hystérique. J'ai essayé de m'éclipser discrètement, mais elle a dû voir mon visage quand je t'ai vu… » Elle ne termina pas sa phrase.

J'avais une assez bonne idée de ce que Bella avait dû penser. « Allons-y ! »

En quelques secondes nous fûmes à nouveau avec notre clan, et je retrouvai une Bella qui se débattait pour se défaire de la poigne de fer d'Emmett.

« Ça va, tu peux la laisser aller, » dis-je en m'approchant, et tout de suite Bella se jeta sur moi, embrassant mon visage, mon cou, mes bras, mes mains…

« Désolé, Edward. C'était le seul moyen pour l'empêcher de partir à ta recherche, » grimaça Emmett.

« Pas de problème. Merci de l'avoir gardée en sûreté. » Je ris, sachant combien elle pouvait être obstinée, même entourée de six vampires meurtriers.

« Tu… ne feras… plus jamais… ça… » Dit-elle entre ses baisers.

« Bella, » dis-je en la repoussant gentiment, « je ne ferais jamais quoi que ce soit qui puisse te faire mal, tu sais ça, n'est-ce pas ? »

« Oui, » répondit-elle.

« Et je sais que tu aurais mal si quelque chose m'arrivait. »

« Okay. »

« Alors s'il te plaît, fais-moi confiance quand je te dis que je ne laisserai rien m'arriver. »

« Mais Alice a vu… »

« Alice m'a vu disparaître…seulement parce que j'étais à proximité d'un elfe de maison. »

« Oh, » dit-elle en baissant les yeux.

« Bella, » dis-je en l'attirant à nouveau contre moi, « je t'aime plus que ma vie. »

« Il faut que tu m'aimes autant que ta vie, » murmura-t-elle.

Je déposai un baiser dans ses cheveux, essayant d'éloigner ses inquiétudes. « Oui, autant que ma vie, » approuvai-je.

Avec un bruit sonore de ballon qui éclate, nous vîmes soudainement Dumbledore apparaître devant nous.

« Ah ! » S'écria Jasper sous le coup de la surprise.

« Quelle est cette chose que vous faites ? » Demandai-je anxieusement, me rappelant les sorciers dans la clairière qui étaient apparus de la même façon.

« Et bonne soirée à vous aussi, » répondit aimablement Dumbledore.

« Je suis navré, mon vieil ami. Je te prierais d'excuser notre impolitesse. La soirée a été éprouvante, » expliqua Carlisle.

« J'en suis certain, » répondit gentiment le vieux sorcier, mais sur un ton très sérieux. Puis il se tourna vers moi. « Ça s'appelle le transplanage, c'est un moyen de nous déplacer d'un endroit à un autre. Tu l'as vu auparavant ? »

« Oui, dans la clairière… J'y suis retourné pour garder un œil sur Harry, m'assurer qu'il allait bien. Il y avait un homme, un sorcier qui a jeté un sortilège pour créer une illusion dans le ciel. Hermione l'a appelée la Marque des Ténèbres. Ensuite vingt sorciers ont transplané et ont attaqué Ron, Hermione et Harry avant que je ne puisse intervenir. » Je me sentais honteux d'avoir momentanément hésité. Je n'avais plus affaire à des humains. Tout était si nouveau, si inattendu, si rapide. Pour une fois depuis que j'étais devenu un vampire, je sentais que je n'étais pas à la hauteur de la tâche, que je n'avais pas les capacités requises, bref, que j'étais inadéquat.

« Mais Harry est les autres vont bien, » déclara Dumbledore. Ce n'était pas une question.

« Oui, » répondis-je quand même, me demandant comment il savait. « Ils se sont jetés par terre, et ensuite M. Weasley est arrivé et il a stoppé l'attaque. Je suis resté dans les parages pour observer la scène jusqu'à ce que je sois sûr que le danger était passé, puis je suis revenu ici, » conclus-je.

« Cet homme qui a invoqué la Marque des Ténèbres, est-ce que tu as été capable de bien le voir ? » Demanda-t-il.

« J'ai pu le voir assez bien, cependant il ne regardait pas dans ma direction. Je l'ai seulement vu de profil. »

« Tu as fait du bon travail, Edward. » Il me regarda avec une telle tendresse que je sentis une chaleur se répandre en moi. C'était presque comme lorsque Carlisle exprimait sa fierté à mon égard, même si je ne la méritais pas.

« J'ai eu de la chance. Je n'ai reçu aucun avertissement… Je ne suis pas habitué d'être dans une situation désavantageuse, » dis-je, les mots venant spontanément à mes lèvres.

« Désavantageuse ? » Questionna Dumbledore. Carlisle avait l'air soucieux.

« D'habitude je peux entendre ce que les gens ont l'intention de faire bien avant qu'ils ne passent à l'action… Ici, avec certains des sorciers, je n'entends rien, » dus-je admettre.

« Comme avec Bella ? » Interrogea Carlisle.

« Non, » dis-je en me tournant vers lui. « C'est différent. C'est comme si je pouvais entendre leurs pensées, mais ils sont en mesure de les cacher. Même en ce moment, avec vous. » Je reportai mon attention sur Dumbledore. « Je n'entends rien sauf lorsque vous parlez. Alors je peux entendre ce que vous êtes sur le point de dire avant que vous ne le disiez. Ou lorsque vous êtes surpris et que vous vous échappez – je vais entendre une fraction de pensée avant que vous ne retrouviez le contrôle. »

« Échappez ? » Répéta-t-il.

« Oui, quand vous m'avez vu à l'aéroport, vous avez pensé 'tu ressembles' mais vous n'avez jamais terminé votre réflexion. »

« Ah… oui. » Il regarda Carlisle. « Voilà qui est intéressant. Nous avons beaucoup à discuter, mais peut-être pas ici, » dit-il en regardant à la ronde. « Je pense que nous devrions d'abord vous installer dans votre nouvelle habitation, et ensuite nous pourrons discuter de tout. »

J'avais la nette impression que Dumbledore ne discutait jamais de tout, mais j'étais sûr qu'il allait partager ce que nous avions besoin de savoir.

« Bon, vous ne pouvez pas transplaner et, malheureusement, les portoloins sont très occupés pour l'instant… » Réfléchit-il.

« Puis-je faire une suggestion ? » Demanda Carlisle. Dumbledore hocha la tête. « Si tu n'es pas opposé à l'idée d'une balade, nous pouvons voyager extrêmement rapidement si tu nous indiques la bonne direction. »

Une étincelle brilla dans les yeux de Dumbledore. « Ce serait très intéressant et, il semblerait qu'il n'y ait pas beaucoup d'autres options. »

« Dans ce cas, monte sur mon dos, mon vieil ami, » dit Carlisle en saisissant le vieux sorcier. « Les autres, vous nous suivez. »

Et ce disant, il s'élança plein cap sur le nord, vers l'Écosse.

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