Racines {**}
Dalila.
Fière rouge et soumise, je t'attends longtemps,
Rebelle lutécienne m'assassines, ou rit
Du visible désespoir, j'en perds mon latin.
Tu réveilles, chante ta douce ritournelle.
Assise, tu contemples le printemps, bien content
D'y trouver ton doux cœur, beau sapin qui s'ouvrit
Avec le tapin, charmant tel un vieux pantin.
Ô déesse funeste, ton chant clair nous révèle.
Pour te donner la bise elle prend tout son temps,
Si tu lui touches sa fesse, celle-ci sourit,
Rougit, mais à son tour, court, te pose un lapin,
Laisse sans nouvelles, s'échappe à tire-d'aile.
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