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Chapitre 5 - Dîner chez les McKinnon

Sirius hésita un instant sur le seuil avant de frapper.

La rencontre officielle avec les parents. C'était une grande première, pour lui.

Il se décida enfin à frapper. À son grand soulagement, ce fut Marlene elle-même qui vint lui ouvrir.

— Bon anniversaire ! s'exclama Sirius.

Il lui tendit un petit paquet cadeau rectangulaire. Marlene s'en saisit, fit semblant de le tâter malgré sa forme révélatrice puis le secoua près de son oreille.

— J'espère que c'est une licorne ! s'exclama-t-elle avec un sourire rayonnant.

— Exactement, répliqua Sirius. Tu m'excuseras, elle est un peu aplatie, elle est malencontreusement passée sous les roues de ma moto.

— Tu n'aurais pas dû. Je t'avais pourtant bien dit que tu n'étais pas obligé de venir avec un cadeau.

— Attends de l'ouvrir avant de penser que j'ai fait des dépenses inconsidérées, sourit Sirius.

— Bon, d'accord. Prêt ?

— Que la fête commence !

Marlene le prit par la main et l'entraîna à l'intérieur de la maison. Les parents de Marlene ainsi que sa petite sœur étaient assis sur le canapé et dans les fauteuils du salon. Ils se levèrent à son apparition.

— Maman, papa... je vous présente Sirius.

— Quel beau garçon ! s'exclama Mrs McKinnon.

— Maman ! la réprimanda Marlene d'un ton gêné en posant le cadeau sur la table basse.

— Bonjour, fit Sirius en tendant la main à Mrs McKinnon, qui lui adressa un sourire radieux, puis à Mr McKinnon, qui la serra avec poigne, le visage fermé.

Sirius avait comme l'impression que son charme ne fonctionnait pas autant sur le père de Marlene que sur sa mère.

— Comment ça va, Stella ? s'enquit Sirius.

— Euh, très bien, merci, répondit la sœur de Marlene en rougissant.

Sirius était tenté de lui demander si elle n'avait pas envoyé d'autres philtres d'amour récemment, mais il décida de se montrer magnanime. La pauvre Stella se sentait manifestement encore embarrassée par les évènements de la dernière Saint Valentin...

— Qu'aimeriez-vous boire, Sirius ? s'enquit Mrs McKinnon.

— Je ne refuserais pas un Whisky pur Feu... Si vous en avez, ajouta-t-il précipitamment en se rappelant que les McKinnon étaient des Cracmols.

— Bien sûr, que nous en avons, répondit le père de Marlene. Une Bièraubeurre, Marlene, comme d'habitude ?

— Oui, merci.

— Moi aussi, j'en veux bien une, intervint Stella.

— Hors de question, jeune fille ! la tança sa mère en prenant un air sévère. Tu n'as que quinze ans !

— Oui, donc ça fait déjà deux ans que j'en bois quand je sors à Pré-au-Lard, marmonna Stella.

— Peut-être, mais ici, on n'est pas à Pré-au-Lard, et on ne boit pas d'alcool quand on est mineur !

— Ce n'est même pas vraiment de l'alcool, soupira Stella.

Sa mère continua à la fixer d'un air sévère.

— Bien essayé, souffla Marlene à sa petite sœur.

Le père de Marlene, qui avait disparu dans la cuisine entre temps, revint avec un plateau chargé d'une Bièraubeurre, de deux verres de limonade et de deux verres de whisky. Il posa le plateau sur la table basse et Mrs McKinnon se chargea de servir tout le monde alors que chacun s'asseyait.

— Alors, que faites-vous dans la vie, Sirius ? s'enquit Mrs McKinnon en lui tendant son verre.

— Oh, eh bien je... je ne travaille pas encore, à vrai dire.

— Sirius s'est engagé à plein temps dans l'Ordre, précisa Marlene.

— J'espère que tu ne comptes pas faire la même chose, répondit Mr McKinnon d'un air dédaigneux.

— Pour la millième fois, Papa, non, ce n'est pas dans mes projets. Certes, je fais partie de l'Ordre, mais je tiens à devenir Auror.

— Tu sais ce que je pense de ces deux projets. C'est trop dangereux. Tu es brillante, tu aurais pu faire n'importe quoi d'autre... Tu as toujours aimé étudier, je ne vois pas pourquoi tu tiens tant à risquer ta vie sur le terrain.

— Premièrement, je vais aussi devoir passer beaucoup de temps à étudier pour être Auror. Deuxièmement, je ne peux pas rester le nez plongé dans les livres. Pas maintenant, avec tout ce qu'il se passe...

— Nous n'allons pas avoir à nouveau cette conversation maintenant, enfin ! s'exclama Mrs McKinnon. Sirius, parlez-nous un peu de vous. Qu'est-ce que vous aimez ? Quels sont vos passe-temps ?

— Eh bien... J'aime beaucoup les motos. Je suis en train de réparer la mienne.

— Ah, excellent ! Cyrus aime également la mécanique, même s'il préfère les voitures !

Sa tentative pour déclencher de l'intérêt chez son mari tomba à l'eau.

— C'est étonnant, qu'un jeune homme tel que vous, qui vient d'une famille de sorciers, s'intéresse à la mécanique !

— J'avais un ami moldu, quand j'étais plus jeune. C'est lui qui m'a initié à tout ça...

— Ah, tout s'explique !

Un blanc s'installa. Sirius sirota son whisky. Mrs McKinnon cherchait manifestement un sujet de conversation. Marlene vint à son secours.

— Sirius suivait les cours d'Étude des Moldus à l'école. Il les a suivis jusqu'aux ASPIC et il a obtenu un O. Bon, il faut dire qu'il a obtenu un O dans toutes les matières...

— Je ne suis pas le seul, répondit Sirius. Toi aussi, tu as eu des O partout...

— Oh la la, arrêtez de parler d'examens, par pitié ! s'exclama Stella en se couvrant les oreilles. Je passe les BUSE, cette année, et j'ai déjà envie de vomir rien que d'y penser...

— Oh, c'était facile, les BUSE, je n'ai même pas vraiment révisé, commenta Sirius.

— Parle pour toi ! répliqua Marlene. Certains d'entre nous ont besoin de travailler pour obtenir de bons résultats...

— C'est parce que tu n'as pas assez confiance en toi. Et trop confiance en tes bouquins.

— Les bouquins sont une valeur sûre, répliqua Marlene.

— C'est si... Serdaigle de ta part, commenta Sirius.

Marlene leva les yeux au plafond mais ne put s'empêcher de sourire.

Un nouveau silence tomba sur le salon. Sirius estima que c'était à son tour d'essayer de faire la conversation.

— Je sais aussi jouer du piano, ajouta-t-il en indiquant du menton le piano à queue qui trônait dans un coin de la pièce. Mais je suis un peu rouillé, je n'y ai pas touché depuis un moment.

— Oh, vous jouez ? s'exclama Mrs McKinnon, ravie. Moi aussi. J'ai essayé de transmettre cette passion à mes filles. Marlene joue plutôt bien, mais Stella est désastreuse.

— Eh ! protesta l'intéressée.

— Quoi qu'il en soit, aucune de mes filles ne s'est vraiment prise de passion pour cet instrument. C'est dommage, mais elles ont d'autres talents...

— Et puis j'en ai eu assez de toutes ces leçons, lui rappela Marlene.

— Moi aussi, on m'a appris à jouer contre mon gré, révéla Sirius. Mes parents tenaient à ce qu'on soit cultivés dans tous les domaines, bien qu'eux-mêmes aient autant d'égard pour la musique qu'un dragon pour la poterie... Finalement, ils se sont débarrassés du piano quand j'ai commencé à jouer des cacophonies pour couvrir leurs moindres remontrances... Dommage, j'avais fini par apprécier.

Sirius croisa le regard de Mr McKinnon, qui n'avait pas particulièrement l'air d'apprécier la défiance de Sirius envers ses parents. Il décida de réorienter la conversation sur un autre sujet, espérant ainsi briser la glace.

— Marlene m'a dit que vous travaillez au Ministère ?

— Plus maintenant, répliqua Cyrus McKinnon.

Sirius se tourna vers Marlene en haussant les sourcils.

— J'ai oublié de te le dire, marmonna-t-elle. Papa travaille désormais comme avocat. Chez les Moldus.

— Avocat ? Un peu comme...

Sirius s'interrompit avant de prononcer le nom honni. Elias McKinnon, le grand-père paternel de Marlene, était un sorcier réputé du Magenmagot qui avait déshérité son fils Cracmol. Personne ne parlait de lui chez les McKinnon.

Le malaise était désormais palpable. Mrs McKinnon s'empressa de finir sa limonade d'une traite et se leva.

— Bon, je pense que nous allons pouvoir passer à table !

Tout le monde suivit le mouvement. Marlene retint Sirius alors que les trois autres passaient dans la salle à manger.

— Désolée, pour mon père... Il est un peu... inquiet pour moi.

— Ça peut se comprendre. Ne t'en fais pas, je ne lui en tiendrai pas rigueur...

— Désolée aussi d'avoir oublié de te dire qu'il ne travaillait plus au Ministère. Après l'agression à la Coupe du Monde de Quidditch... Il a décidé de renoncer à se faire accepter au sein de la communauté magique et il a repris des études dans le monde moldu. Il gagne beaucoup mieux sa vie comme avocat que comme agent d'entretien... Et il est beaucoup plus respecté.

— Ça a dû lui coûter, de renoncer après tout ce temps à militer pour l'intégration des Cracmols dans la société sorcière...

— Oui. Mais mes parents étaient fatigués de lutter. Cette agression a été la goutte de trop. D'une certaine manière, ces salauds ont gagné...

— Le sort finira peut-être par s'occuper d'eux, déclara Sirius avec plus d'optimisme qu'il n'en ressentait.

— Oui, peut-être, répondit Marlene d'un ton peu convaincu. Viens, allons manger.

Marlene ramassa son cadeau et vola un baiser à Sirius avant d'entrer dans la salle à manger.

Cyrus McKinnon resta silencieux pendant tout le repas, qui fut presque exclusivement animé par Marlene, Stella et leur mère. Cette dernière apporta ensuite un gâteau surmonté de dix-huit bougies pour le dessert et tous entonnèrent un « Joyeux Anniversaire », même Mr McKinnon. Marlene souffla ses bougies, puis ouvrit le cadeau de Sirius. Il s'agissait d'un livre dont la couverture était illustrée de manière enfantine. D'abord perplexe, Marlene finit par hocher légèrement la tête, un sourire aux lèvres.

Les Aventures Rocambolesques de Melchior l'Apprenti Auror, lut-elle.

— Un guide incontournable pour ta future carrière, répliqua Sirius. Je t'avais prévenue, au sujet de la dépense inconsidérée...

Marlene éclata de rire, puis entreprit de découper et servir le gâteau.

— Comment va Paul ? demanda soudain Mr McKinnon alors qu'ils mangeaient en silence.

— Euh... bien, j'imagine, répondit Marlene en fronçant les sourcils. On n'a plus de contact depuis notre sortie de Poudlard, tu le sais bien...

— Je l'aimais bien, moi. Il avait la tête sur les épaules. Il a décidé d'entrer dans la Brigade de police magique, c'est bien ça ? Peut-être que vous vous croiserez de temps en temps au Ministère...

Pour la première fois depuis le début de la soirée, la colère commença à s'emparer de Marlene.

— Je pensais que ce genre de métier était dangereux ?

— C'est différent, Marlene. Paul est...

— Un homme ? suggéra-t-elle.

— Seulement brigadier, corrigea Cyrus. Les Aurors prennent beaucoup plus de risques qu'eux... Et puis, cela ne l'empêchera pas de bien gagner sa vie. Il ferait un bon mari.

— Oh mon dieu ! s'exclama Marlene, outrée.

Elle lâcha sa cuillère, qui tinta bruyamment contre son assiette, et se leva.

— Si c'est pour faire ce genre de réflexions devant mon petit-ami, je n'ai aucune envie de les entendre. Viens, Sirius, on va dans ma chambre.

Elle prit la main de Sirius d'autorité. Sirius se laissa faire, n'ayant aucune envie d'intervenir dans ce conflit entre père et fille.

— Marlene ! s'exclama Mrs McKinnon.

Les parents de Marlene se levèrent à son tour. Marlene monta les premières marches des escaliers.

— Je maintiens que tu as fait une erreur en quittant ce garçon ! insista Cyrus McKinnon. Vous auriez pu avoir une vie tranquille, vous marier...

Marlene lâcha Sirius et fit volte-face.

— Je ne veux pas me marier ! Pas maintenant. Jamais. Et surtout pas avec Paul !

Elle reprit la main de Sirius et grimpa les marches quatre à quatre. Elle ne se retourna pas avant de refermer la porte de sa chambre derrière elle.

— Quel toupet ! Je n'arrive pas à croire qu'il ait osé dire des choses pareilles devant toi !

— Je crois qu'il préférait ton ex, commenta Sirius avec un sourire. Ne t'inquiète pas, ça finira bien par s'arranger...

— Tu ne connais pas mon père. Il est aussi têtu que...

— Que toi ?

— Je ne plaisante pas ! s'exclama Marlene.

Sirius la serra contre lui et posa le menton sur sa tête.

— Respire...

Marlene exhala longuement.

— Je suis désolée, je ne pensais pas que ça prendrait une tournure pareille.

— Ce n'est rien.

Sirius l'embrassa sur le front puis regarda autour de lui. Les murs de la chambre de Marlene étaient tapissés de dessins et de peintures. Un immense portrait de Stella était posé sur un chevalet.

— C'est toi qui as fait ça ? s'étonna-t-il.

— Oui.

— Je ne savais même pas que tu savais peindre ! Tu es vraiment douée...

— Merci. Je pourrais faire le tien, si tu veux.

— Ma mère a fait faire plusieurs portraits des membres de notre famille. J'avais horreur de ça... Mais poser pour toi, là, je veux bien.

— Tu es sûr ? Ça demande des heures de travail. Ça nous prendra au moins tout l'été. Des heures et des heures à rester immobile...

— Des heures et des heures passées avec toi.

Ils échangèrent un sourire et s'embrassèrent. Sirius entraîna Marlene sur le lit, où ils s'allongèrent. Marlene fit courir ses doigts sur le visage de Sirius, caressa la ligne dessinée par sa mâchoire... Les paupières closes, elle murmura :

— Je serais capable te dessiner les yeux fermés, maintenant.

Sirius éclata de rire.

— Je parie que tu l'es, oui. Tu sais tout faire.

— Ne rigole pas ! répondit Marlene en riant à son tour. À force de te voir dans tous les recoins obscurs de Poudlard... Pour faire ça...

Ils s'embrassèrent à nouveau. Lorsqu'ils rompirent leur étreinte, Sirius ajouta :

— En plus, si je meurs, je pourrais continuer à te parler à travers mon portrait, et ça, c'est plutôt cool !

— Ne dis pas des choses pareilles ! s'exclama Marlene.

— Quoi ? Je n'ai pas peur de mourir. C'est bien pire pour ceux qui restent...

— Oui, et dans l'histoire, celle qui reste, ce serait moi ! Donc tais-toi.

— D'accord.

Sirius caressa la cicatrice qu'elle portait désormais au bras. Alice avait dit qu'elle ne s'effacerait jamais totalement.

— Qu'est-ce que tu as ressenti, quand elle t'a mordue ? s'enquit-il. Je ne comprends pas comment le venin de vampire peut rendre quelqu'un accro, avec tout ce qu'il t'a causé comme souffrance...

— Sur le moment, à part la douleur de la morsure, je n'ai rien ressenti... Puis j'ai eu comme une poussée d'adrénaline qui n'avait rien à voir avec le danger dans lequel nous étions. C'était même plutôt agréable, électrisant... Mais ça n'a pas duré très longtemps. J'ai vite commencé à me sentir fiévreuse, j'avais l'impression que mon sang bouillait dans mes veines... C'était horrible...

— Je suis désolé de ne pas avoir pu empêcher ça... Te regarder souffrir pendant deux jours, c'était vraiment affreux...

— Ce n'était pas ta faute. Et j'ai passé pas mal de temps inconsciente... Mais je ne suis pas pressée de retenter l'expérience...

— James non plus, je pense. Il était malade d'inquiétude pour Lily, quand il s'est rendu compte qu'elle avait disparu...

— Oui, je comprends assez pourquoi il était en colère contre Dumbledore.

— Ah bon ?

— Eh bien... je veux dire, Dumbledore est quelqu'un d'assez... manipulateur, dans le fond.

— Qu'est-ce que tu racontes ?

— Je ne dis pas ça méchamment, c'est juste que... C'est un stratège, un calculateur. Il n'a pas hésité une seconde à utiliser ce qui est arrivé à Grace pour nous enrôler dans l'Ordre. Et je ne le regrette absolument pas, ce n'est pas la question... Je me serais peut-être même engagée sans cela... Mais il faudra sûrement s'attendre à d'autres évènements de ce genre...

— Oui, mais s'il nous envoie en mission, c'est qu'il sait qu'on peut s'en sortir.

— Bien sûr. Je ne dis pas que nous ne sommes que de la chair à canon.

Ils restèrent tous deux pensifs un instant, puis Sirius consulta sa montre.

— Je devrais y aller, soupira-t-il. Je ne veux pas risquer de réveiller quelqu'un en rentrant. Et si je reste trop longtemps ici, ton père va finir par défoncer la porte.

— Tu as trouvé un logement ?

— Pas encore, mais je suis sur le coup. J'ai hâte que tu puisses venir me rendre visite. Et passer la nuit avec moi. Pour faire « des choses », comme dirait James.

Marlene éclata de rire.

— Moi aussi, j'ai hâte. Mais tu as raison à propos de mon père, il vaut mieux qu'on descende. Je te raccompagne à la porte.

Lorsqu'ils descendirent au rez-de-chaussée, Mr McKinnon avait disparu. La mère et la sœur de Marlene dirent chaleureusement au revoir à Sirius, qui embrassa Marlene avant de partir. Sirius parcourut quelques rues du village moldu où vivait les McKinnon jusqu'à la ruelle discrète où il avait transplané quelques heures plus tôt.

Mais avant de disparaître, il entendit un bruissement et se figea, sa baguette prête à l'emploi. Il se détendit toutefois en voyant Cyrus McKinnon apparaître.

— Je veux que tu laisses ma fille tranquille, déclara-t-il sans ambages. C'est à cause de toi, si elle est dans l'Ordre.

— Vous connaissez mal votre fille, répliqua Sirius, qui commençait à en avoir assez du comportement de cet homme. Elle est entrée dans l'Ordre car sa meilleure amie a failli mourir à cause d'un apprenti Mangemort. Pas pour me suivre. À vrai dire, je trouve même que vous l'insultez en suggérant qu'elle est du genre à suivre aveuglément un homme.

— Ne me provoque pas, jeune homme. S'il lui arrive quoi que ce soit, sache que tu en seras entièrement responsable. Tu auras sa mort sur la conscience.

Et, sans plus de cérémonie, Cyrus McKinnon se détourna de Sirius pour regagner sa demeure.

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