Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 30 - Enlèvement

Karkaroff n'avait pas parlé, mais les Aurors avaient leurs propres moyens d'obtenir leurs renseignements. Maugrey et Marlene avaient désormais une nouvelle cible : Evan Rosier. Ils lui tendirent un piège un soir de novembre.

Contrairement à Karkaroff, Rosier n'avait manifestement aucune envie de se rendre. Lorsqu'il lança un sort au visage de Maugrey qui fit jaillir une impressionnante gerbe de sang, Marlene se prépara à avoir recours au Sortilège de Mort. Elle n'en eut pas le temps. Maugrey la devança. Evan Rosier tomba raide mort et Maugrey s'en sortit avec un nez mutilé. Quelques jours plus tard, ils parvinrent à coincer Gordon Wilkes, qui résista lui aussi et fut à son tour tué par Maugrey.

La décision de la nouvelle Ministre était-elle en train de faire tourner la guerre à leur avantage, pour la première fois depuis des années ? Étaient-ils en train de... gagner ?

Peut-être Marlene avait-elle attiré le mauvais œil en laissant cette pensée lui traverser l'esprit car, quelques jours plus tard, elle apprit que Benjy Fenwick avait été attaqué par trois Mangemorts. Il s'en était sorti de justesse mais il était blessé. Comment les Mangemorts avaient su où le trouver ? L'Ordre n'en avait aucune idée.

Elle fut plus que soulagée de pouvoir prendre son après-midi pour rendre visite à Stella à Pré-au-Lard. La neige recouvrait le village comme du sucre glacé sur un gâteau géant. Les deux sœurs s'installèrent aux Trois Balais.

— Ça ne te dérange pas de passer ta sortie avec moi plutôt qu'avec tes copines ? demanda Marlene alors qu'elles sirotaient leur Bièraubeurre.

— Bah, certaines ne veulent même plus sortir au village. Ça a perdu de son intérêt à leurs yeux et de toute façon, elles sont tellement stressées par les ASPIC qu'elles préfèrent travailler. Qu'est-ce que ça va être quand on sera en juin ! Et puis, tes lettres m'ont donné l'impression que tu avais besoin de parler à quelqu'un...

— On peut dire ça comme ça, oui...

Marlene lui raconta tout, hormis le détail de ses missions chez les Aurors et pour l'Ordre. Elle raconta ce qu'il se tramait avec Sirius et Remus, ce qu'il s'était passé avec Dorcas et Emeline, et lui confia également ses peurs et ses doutes vis-à-vis de son travail.

— Ça fait du bien de pouvoir parler de tout ça avec toi, déclara-t-elle à la fin.

— Maintenant que je suis une adulte mature et responsable et plus une petite ado écervelée qui envoie des philtres d'amour à tort et à travers, tu veux dire ?

Marlene ne put s'empêcher d'éclater de rire.

— J'ai failli oublier cette histoire !

— Eh bien pas moi ! La honte, franchement, quand j'y repense... Il y a du bon dans le fait de grandir.

— Tu seras quand même toujours ma petite sœur, la taquina Marlene. Mais oui, c'est sympa d'avoir toutes les deux grandi et de pouvoir discuter comme on le fait maintenant.

Marlene regretta de devoir laisser Stella retourner à l'école quelques heures plus tard, mais elle rentra chez elle revigorée et avec une résolution en tête : parler à Dorcas et Emmeline pour arranger les choses avec elles. Elle contacta d'abord Emmeline pour l'inviter à prendre un verre et s'excusa pour son geste envers Dorcas, lui assurant qu'elle n'aurait rien fait de tout cela si elle avait su qu'elle avait des sentiments pour elle, comme Lily le lui avait fait comprendre.

— Tu ne pouvais pas savoir, répondit Emmeline. Je ne te cacherai pas que sur le coup, je t'en ai voulu, mais ça n'a pas duré longtemps... Dorcas, c'est une autre paire de manches... On s'est disputées après ton départ.

— À cause de moi ? s'affola Marlene.

— Non, ça n'a été que l'élément déclencheur... Mais je lui ai demandé de me laisser tranquille et d'arrêter de flirter avec moi si elle n'avait pas l'intention d'envisager quelque chose de sérieux. On ne s'est pas vraiment reparlées depuis en dehors des réunions de l'Ordre...

Marlene poussa un soupir mélancolique.

— J'ai l'impression que notre cercle tombe en morceaux petit à petit... J'aimerais que ça redevienne comme avant. Mais tout a une fin, j'imagine...

Emmeline posa une main rassurante sur la sienne.

— Non, pas tout. Pas l'amour. Pas toujours.

Marlene savait qu'elle voulait parler de Sirius.

— J'ai du mal à y croire...

— La vie est trop cruelle. Si on cesse de croire à l'amour... pourquoi voudrait-on vivre ?

Marlene esquissa un sourire malgré elle, touchée par l'optimisme d'Emmeline.

Lorsqu'elle rentra chez elle, ce soir-là, elle se sentit un peu mieux, comme après avoir vu Stella. Sortir de son isolement lui faisait plus de bien qu'elle ne voulait l'admettre. Quelques jours plus tard, elle donna rendez-vous à Dorcas et s'excusa pour son comportement. Dorcas ne lui en tint pas rigueur. Ils discutèrent un peu d'Emmeline, et Dorcas lui fit part de son intention de renouer avec elle afin de recommencer sur des bases purement platoniques, sans équivoque, pour ne pas la blesser comme elle avait pu le faire par le passé. Peut-être qu'elles pourraient recommencer à faire des sorties toutes les trois, comme ça...

Marlene aurait voulu profiter de sa lancée pour mettre les choses à plat avec Sirius et Remus, mais elle savait qu'elle n'était pas encore prête à le faire. James et Lily avaient l'intention d'organiser une petite soirée chez eux pour le Nouvel An. Peut-être pourrait-elle profiter de l'occasion pour le faire à ce moment-là...

Le jour des vacances de Noël, elle se rendit au travail le cœur léger à l'idée de retrouver Stella. Rien ne l'avait préparée à ce qui l'attendait en rentrant chez elle.

La Marque des Ténèbres flottait au-dessus de la maison de ses parents.

— Non... murmura-t-elle. Non...

Ses jambes faillirent se dérober sous elle. Le cœur battant, elle se précipita à l'intérieur de la maison. Ses parents étaient étendus le salon. Elle se jeta auprès d'eux pour vérifier leur pouls et pleura de soulagement en découvrant qu'il battait toujours. Elle pointa sa baguette sur eux, tâchant de maîtriser ses tremblements.

Enervatum !

Ses parents revinrent à eux.

— Qu'est-ce qu'il s'est passé ? demanda-t-elle aussitôt.

— Stella... murmura sa mère, encore sonnée. Ils ont pris Stella...

Elle serrait quelque chose dans son poing. Une boule de papier froissée. Marlene s'en empara et lut ce qui était écrit dessus.

Nous avons votre sœur. Elle sera libre si vous vous proposez en échange. Venez seule à ces coordonnées...

Marlene sentit les larmes dévaler ses joues. Les Mangemorts lui avaient pris sa sœur. Peut-être était-elle torturée en ce moment-même... Il fallait qu'elle aille la chercher. Maintenant. Il fallait qu'elle se rende en échange.

Ivre de peur, elle quitta la maison et transplana. Elle se précipita à l'intérieur de la maison de Sirius. Ce dernier dînait seul dans la cuisine. Il se leva d'emblée en constatant l'ampleur évidente de sa détresse, alarmé.

— Marlene ? Qu'est-ce qu'il se passe ?

— Ils ont pris Stella... Je dois aller la chercher, je dois... Ils veulent que je me rende en échange. Je suis venue prévenir quelqu'un, mais je dois...

Sirius attrapa la missive qu'elle tenait toujours entre ses doigts crispés, la lut puis saisit Marlene par les épaules en la regardant bien dans les yeux.

— Tu ne peux pas y aller. C'est un piège. Ils ne la laisseront pas partir, et ils te captureront par-dessus le marché. Il faut en parler à l'Ordre, établir un plan... On la sauvera, je te le jure... Mais tu ne peux pas partir toute seule maintenant...

— JE DOIS LE FAIRE ! Ils sont peut-être en train de lui faire du mal...

— Je sais... je sais...

Marlene s'effondra alors. Sirius la rattrapa de justesse et s'affaissa avec elle contre le mur, la serrant contre lui alors qu'elle pleurait toutes les larmes de son corps, lui murmurant des paroles lénifiantes dont il savait qu'elles n'auraient aucun effet. Il la berça jusqu'à ce qu'elle se calme, puis lui prépara du thé. Assise devant sa tasse fumante, ses yeux rougis perdus dans le vague, Marlene s'enferma dans un silence hébété. Sirius en profita pour mettre l'Ordre au courant. Dumbledore convoqua une réunion d'urgence dans la nuit. Sirius s'y rendit avec Marlene. James et Lily décidèrent exceptionnellement de faire le déplacement, laissant Harry chez eux sous la garde de Bathilda. On discuta longuement de plusieurs stratégies. Toutes exigeaient une préparation longue et minutieuse. Quand on opta finalement pour l'une d'entre elles, l'aube s'était levée. Sirius accompagna Marlene chez ses parents pour leur expliquer sans trop en révéler ce qu'ils comptaient faire pour secourir Stella. On renforça les protections de la maison et Fabian Prewett fut temporairement assigné comme garde du corps des McKinnon. Puis Marlene retourna chez Sirius, qui lui prépara une infusion avec une potion somnifère afin qu'elle puisse dormir un peu. Il la coucha dans son lit et retrouva Remus dans le salon, où ils discutèrent longuement en tête à tête avant d'aller dormir à leur tour. Remus retrouva la chambre d'amis, estimant qu'il valait mieux y dormir seul pour ne pas brusquer Marlene. Sirius laissa son lit à cette dernière et dormit dans le canapé.

L'Ordre passa les jours suivants à préparer leur plan avec minutie. James et Lily avaient décidé de participer à l'opération de sauvetage. Marlene n'intervenait guère pendant les préparatifs. Elle paraissait absente, abattue.

Ses nuits étaient plus agitées. Malgré les potions destinées à la calmer, elle se réveillait souvent en nage et en pleurs après un cauchemar où elle voyait sa sœur torturée ou morte. Sirius passait alors le reste de la nuit allongé près d'elle afin de pouvoir être là lors de ses réveils nocturnes.

Noël se déroula dans une atmosphère lugubre cette année-là. James et Lily avaient annulé leurs plans pour le Nouvel An.

Lorsque Remus revint chez Sirius après avoir passé le réveillon chez son père, il avait pris une décision.

— Je pars, déclara-t-il.

— Quoi ? s'exclama Sirius, pris de court.

— Mon père m'a trouvé un petit cottage où vivre. Je pense que ça vaut mieux. Ma présence ici, en ce moment... ce n'est pas une bonne idée.

— Et le reste ? demanda Sirius, le cœur lourd.

— Le reste... le reste aussi.

Cela déchirait le cœur de Remus de dire une chose pareille. Pour la première fois de sa vie, il s'était senti aimé. Et maintenant, il devait renoncer à tout cela.

— Ça fait souffrir Marlene et... elle souffre déjà assez comme ça. Elle a besoin de toi. Plus encore que moi. Fais le pour elle...

Sirius s'approcha de Remus et l'embrassa. Un baiser au goût d'adieu.

— J'aurais voulu que ça se passe autrement... souffla-t-il.

— Je sais... Mais c'est la meilleure chose à faire pour le moment.

***

Plongée dans ses pensées, Lily contemplait l'horrible vase que Pétunia lui avait envoyé pour Noël.

— On peut s'en débarrasser, tu sais, commenta James. Je suis sûr qu'Elvendork se ferait une joie de le renverser par inadvertance...

Il baissa les yeux vers le chat, qui essayait d'attraper le vieux vif d'or qu'il avait coutume de trimballer partout à l'école lorsqu'il avait quinze ans. Une éternité plus tôt...

Lily adressa un regard oblique à son mari.

— Ok, on ne se débarrasse pas du vase affreux, alors, dit-il en levant les mains en signe de reddition.

— C'est un bon rappel.

— Un rappel de quoi ?

— De la distance qu'il y a désormais entre nous. Je ne pense pas que ça s'arrangera un jour. Mais finalement, c'est peut-être ce qui va la sauver.

Arabella vivait désormais près des Dursley pour garder un œil sur eux au cas où les Mangemorts auraient l'idée de s'en prendre à Pétunia pour atteindre Lily comme ils l'avaient fait avec Stella et Marlene, mais Lily était à peu près certaine que les Mangemorts ne s'intéresseraient pas à elle. Elles étaient comme des étrangères.

Ils ignoraient que Lily aurait tout fait pour la sauver elle aussi.

***

Sirius s'était endormi dans son fauteuil, son livre toujours ouvert sur ses genoux, la tête renversée en arrière, la bouche légèrement entrouverte. Avec ses lunettes de lecture perchées au bout de son nez, il ressemblait presque à un vieil homme. Cette vision attendrit Marlene, qui se demanda si elle aurait un jour le privilège de le voir à un âge avancé.

Ou de le revoir tout court.

Elle s'approcha de lui et saisit le verre de whisky à moitié vide posé sur la table d'appoint à côté de lui, dans lequel elle avait versé un puissant somnifère.

Elle savait ce qu'elle avait à faire.

Elle laissa la lettre en évidence sur la table et posa le verre dessus en guise de presse-papier. Puis elle quitta la maison.

Elle transplana à l'endroit qu'indiquaient les coordonnées.

Ce n'était pas le plan. Mais le plan exigeait un temps que Stella ne possédait peut-être pas, et Marlene ne pouvait plus supporter les images qui lui venaient jour et nuit de sa sœur torturée. Elle devait agir. Maintenant. Seule.

Des silhouettes sombres émergèrent du couvert de la nuit tout autour d'elle et allumèrent leur baguette, baignant les lieux d'une lumière lunaire. Elle était cernée.

— Je veux voir ma sœur, déclara-t-elle d'une voix forte.

Une silhouette encapuchonnée qui en tenait une autre, ligotée et avec un sac en toilette sur la tête, s'avança vers elle. L'otage était étrangement silencieux. Marlene soupçonna un sortilège de Mutisme.

— Rien ne me prouve que c'est elle.

Le Mangemort retira le sac et redonna la parole à l'otage.

— Marlene !

Stella était terrifiée et échevelée, mais elle ne semblait pas blessée.

— À qui tu as envoyé des chocolats piégés au philtre d'amour en quatrième année ? demanda Marlene.

— Je... quoi ?

— Il faut que tu répondes à la question pour que je m'assure que c'est bien toi.

— Je... je les ai envoyés à Sirius ! Mais c'était juste pour rendre un autre garçon jaloux et c'est Peter qui les a reçus...

Marlene laissa échapper tout bas un soupir de soulagement.

— Relâchez-la, ordonna Marlene. Laissez-la partir. Je suis là en échange, comme convenu.

— NON ! hurla Stella. C'est un piège, Marlene ! Ils ne me laisseront pas partir !

Le Mangemort qui la retenait tenta de la forcer à nouveau au silence, mais Marlene fut plus rapide. Elle le stupéfixa et se précipita vers sa sœur. Comme elle s'y attendait, il était impossible de transplaner. Elle glissa un objet dans les mains liées de Stella et lui murmura :

— Ne le lâche pas. Tout ira bien. Je t'aime.

Elle eut tout juste le temps de déposer un baiser sur sa joue avant qu'on ne les sépare. Stella regarda Marlene avec incompréhension et se débattit comme un beau diable, puis soudain, ses yeux s'écarquillèrent. Elle avait compris.

Moins d'une seconde plus tard, Stella disparut.

— UN PORTOLOIN ! s'écria un Mangemort. ELLE DOIT EN AVOIR UN AUTRE SUR ELLE !

Marlene agrippa le deuxième porte-clés qu'elle avait transformé en Portoloin dans sa poche, mais elle reçut un sort qui envoya l'objet loin derrière elle. Trop loin. Elle leva sa baguette pour le récupérer avec un sort d'Attraction...

Puis elle reçut un sort dans le dos et s'écroula.

***

Lorsque Sirius s'extirpa tant bien que mal de son lourd sommeil, il eut l'impression d'avoir dormi mille ans. Toutefois, il se sentit soudain tout à fait éveillé en découvrant la lettre sous son verre vide.

Sirius,

Je suis désolée d'avoir piégé ton whisky. Mais c'était le seul moyen pour que tu me laisses partir. J'ai un plan. Je vais la sauver. Je ne peux pas attendre plus longtemps après l'Ordre. Avec un peu de chance, je reviendrai saine et sauve moi aussi. Si ce n'est pas le cas... sache que tu as été et que tu seras toujours la personne que j'ai le plus aimé en ce monde. Même si ce n'est plus ton cas.

Avec tout mon amour,

Marlene.

Sirius lâcha la lettre et se précipita dehors. Il transplana à l'endroit qu'avaient indiqué les coordonnées et le trouva désert.

— MERDE ! s'écria-t-il, paniqué.

Il transplana à nouveau, cette fois devant la maison des McKinnon. Il découvrit ces derniers devant la porte avec Fabian... et Stella.

— Qu'est-ce qu'il s'est passé ? demanda-t-il.

— Elle... elle m'a donné ça...

Stella ouvrit une main tremblante. À l'intérieur se trouvait un porte clé en forme de hibou.

— C'était un Portoloin... Il m'a ramenée ici mais elle... elle n'est pas revenue.

— Je t'avais prévenu, gronda Cyrus McKinnon à l'attention de Sirius. Je t'avais prévenu que tu allais lui causer des ennuis ! Mes deux filles sont en danger à cause de cet Ordre...

— Ce n'est pas de sa faute ! s'écria Stella. Marlene a choisi d'en faire partie de son plein gré, papa, il faut arrêter de t'en prendre à Sirius pour ça ! Elle est capable de prendre ses propres décisions, et moi aussi ! Il est temps que tu le comprennes ! Nous en prendre les uns aux autres ne la ramènera pas ! Mais l'Ordre en sera capable... Pas vrai ?

Elle lança un regard plein d'espoir à Sirius.

— Bien sûr. Je vais les avertir. On s'occupe de tout.

— Comme vous vous êtes occupés de Stella ?

— Je vais bien, papa, ils ne m'ont pas touchée...

— Pourquoi ils voulaient Marlene ? interrogea Sirius. Ils te l'ont dit ?

Stella hocha la tête en signe de dénégation.

— Ils m'ont seulement dit que c'était un piège, qu'ils m'avaient enlevée parce que j'étais une cible facile mais qu'ils n'avaient pas l'intention de me relâcher, qu'ils allaient se servir de moi pour la forcer à coopérer. Mais je ne sais pas ce qu'ils lui veulent...

Le visage de Sirius s'assombrit. L'Ordre s'était demandé si Marlene en particulier avait été visée ou si les Mangemorts cherchaient simplement à faire chanter n'importe quel membre de l'Ordre. Sirius, pour sa part, estimait qu'ils avaient plutôt cherché à capturer un proche des Potter pour tenter de lui soutirer des informations. Mais Marlene croyait que Dumbledore était le Gardien du Secret, comme tout le monde. Elle ignorait que c'était lui, le Gardien. Et elle ne pourrait rien révéler sur l'emplacement des Potter, car elle n'était pas le Gardien non plus.

Elle allait être torturée.

Pour rien.

https://youtu.be/Sr5st2Isz_0


Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro