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Chapitre 18 - Nouveaux départs

Étendue sur la chaise longue, Lily poussa un soupir d'aise. À cette heure-ci, la chaleur n'était plus aussi écrasante. C'était le moment préféré de Lily : lorsque le soleil se couchait sur l'Océan Pacifique. Les rayons du soleil et la brise sur sa peau, les couleurs magnifiques du ciel et de l'eau, le bruit des vagues, le sable tiède, l'odeur du sel...

Une ombre s'étira au-dessus d'elle. James posa les mains sur ses épaules nues et l'embrassa sur le front.

— Il est bientôt l'heure, dit-il.

— Est-ce qu'on doit vraiment partir ? gémit-elle.

— Tu reprends le travail demain, tu te souviens ?

— Ce n'est pas le meilleur argument pour me motiver.

— On va revoir tout le monde.

Lily se redressa. Cet argument-là faisait un peu plus mouche. Il y avait une personne en particulier qu'elle voulait voir par-dessus tout : sa mère. James et elle étaient partis pour leur lune de miel depuis un mois. Au début, Lily avait eu du mal à se résoudre à la laisser si longtemps, mais elle savait que ce voyage serait sûrement le dernier avant un bon moment, et sa mère lui avait ordonné de profiter et d'arrêter de s'inquiéter. Il avait fallu une bonne semaine pour que Lily parvienne à suivre cet ordre. Puis leurs multiples excursions et activités à travers le Mexique avait fini par distraire Lily une bonne fois pour toutes. Elle regrettait tout de même de ne pas posséder le don d'ubiquité pour se trouver à plusieurs endroits à la fois.

Lily se leva avec un soupir et embrassa le panorama du regard. L'océan, la plage déserte, la cabaña qui était devenue leur foyer pendant quatre magnifiques semaines...

— Cet endroit va me manquer. Notre petit coin de paradis... Pas de guerre, pas de Mangemorts...

James l'entoura de ses bras et nicha ses lèvres dans son cou.

— Ça va me manquer aussi. Mais on rentre à la maison, non ? C'est bien aussi...

— Tu as raison...

Elle se retourna pour l'embrasser une dernière fois sur cette plage paradisiaque.

— Je vais me changer. Puis on rentre à la maison.

***

Hola mis amigos! s'exclama James en entrant dans le salon des Potter, coiffé d'un sombrero.

Leurs amis leur avaient préparé un petit comité d'accueil. En plus des parents de James, Sirius, Remus, Peter et Marlene étaient également présents. Ils se levèrent en acclamant leur retour. Sirius se précipita dans les bras de James, renversant son sombrero au passage. Marlene se glissa près de Lily.

— Un mois sans se voir, dit-elle. Ça ne leur était pas arrivé depuis longtemps. Sirius avait l'air d'un petit chiot abandonné. On se demande qui de vous deux est marié à James.

Lily éclata de rire.

— Alors, comment c'était, le Mexique ? demanda Fleamont.

— Des images valent mille mots ! On a pris un tas de photos !

Ils s'installèrent autour de la table basse et firent passer les clichés, qui avaient déjà été trempés dans la potion de mobilité, en les commentant : Lily et James dans la jungle, Lily et James à la plage, Lily et James à la montagne, Lily et James devant une cité maya... Peu avare de descriptions, James leur racontait leurs aventures par le détail et dans le désordre, avec force digressions. Ce ne fut que lorsqu'Euphemia étouffa un bâillement qu'il estima qu'il était l'heure de se coucher. Lily monta ses bagages dans sa chambre, aidée par Remus. Elle s'arrêta sur le palier en découvrant les valises entassées devant la porte de la chambre de son ami.

— J'avais oublié... dit-elle. Tu n'es pas obligé de partir, tu sais...

— On en a déjà discuté, lui rappela Remus avec un sourire. Vous êtes mariés, maintenant. Vous avez besoin de votre espace.

— On vit toujours ici avec les parents de James... Une personne de plus ou de moins dans cette maison immense... Et puis, James et moi avons l'attention d'acheter notre propre logement dès que possible.

— Je ne compte pas rester seul avec les parents de James. Eux aussi méritent leur havre de paix après toutes ces années à nous supporter...

Lily éclata de rire.

— Sirius m'a proposé de venir vivre chez lui, ajouta Remus. Je pense que c'est la meilleure chose à faire pour le moment.

— D'accord. Mais sache que la porte te sera toujours ouverte.

Remus lui rendit son sourire.

Après avoir laissé ses bagages dans sa chambre, Lily redescendit dans le salon en compagnie de Remus. Sirius, Marlene et Peter s'apprêtaient à prendre congé. Lily alla également chercher sa cape. Malgré l'heure tardive, elle avait promis à sa mère de lui rendre visite dès son retour. Elle embrassa James pour lui dire en revoir et transplana à Cokeworth. Elle y passerait la nuit et se rendrait directement à Ste Mangouste le lendemain matin pour reprendre le travail.

Sa mère l'accueillit avec le sourire, mais Lily constata qu'elle s'était considérablement affaiblie. Il lui fut difficile de retenir ses larmes lorsqu'elle se retrouva seule dans sa chambre d'enfant.

Le temps filait bien trop vite.

***

Le Wyvern Blanc était bondé. Assis dans un coin du pub, Severus patientait en remuant son whisky d'un air absent.

— Tu pourrais au moins me parler, lui fit remarquer la fille assise face à lui.

Severus leva un regard agacé vers Gertie Bullstrode.

Il avait fini par la recontacter, au cours de l'été, afin d'accepter son offre. Il avait besoin de quelqu'un comme elle. D'une diversion. D'une couverture. Depuis, il s'efforçait de se montrer en public avec elle. Ce qui ne voulait pas dire qu'il passait d'agréables moments.

— Notre accord consistait à ce que je passe du temps en ta compagnie. Rien ne nous oblige à discuter.

— Rien, à part ta crédibilité. Si tu ne me parles même pas, tu pourras difficilement faire croire que je suis ta petite-amie.

Severus se retint de grimacer à ce mot.

— Et de quels sujets absolument fascinants pourrions-nous parler ? ironisa-t-il.

— On pourrait commencer par ce que nous avons en commun. Le fait que nos parents nous détestent, par exemple.

Severus arqua un sourcil, surpris.

— Nos parents doivent forcément nous détester pour nous avoir affublés de ces prénoms ridicules, insista Gertie.

— C'est ma mère qui a choisi mon prénom, objecta Severus. Il n'est pas ridicule...

— Eh bien le mien l'est. Mon père tenait absolument à me donner le nom de ma grand-mère. Qui appelle son enfant Gertrude ? Même mon diminutif ne suffit pas à rattraper les dégâts...

— Mais que vois-je ? les interrompit soudain une voix familière.

Bellatrix Lestrange se trouvait en compagnie de son mari Rodolphus et du frère de ce dernier, Rabastan. Elle arbora un sourire carnassier.

— Ce cher Severus avec... une fille ?

Bellatrix jeta un regard critique à Gertie.

— Eh bien, je suppose que tu aurais pu faire pire, commenta-t-elle.

— Comment vas-tu, Bella ? demanda Severus d'un ton doucereux sans se laisser démonter. Des nouvelles de ton cher cousin ?

Bellatrix plissa les yeux. Severus savait très bien qu'elle n'avait fait aucun progrès. Regulus Black avait disparu de la surface de la Terre. D'après des informations transmises par un informateur secret du Lord, il avait pris peur et avait décidé de prendre la fuite, ce qui avait mis le Lord très, très en colère. Et puisque c'était Bellatrix qui avait fait entrer Regulus chez les Mangemorts, c'était à elle ainsi qu'aux frères Lestrange que le Seigneur des Ténèbres avait confié la mission de retrouver sa trace. Pendant ce temps, le Lord avait confié aux autres Mangemorts des missions bien plus intéressantes. La nouvelle mission de Severus, par exemple, prouvait que le Lord lui accordait déjà une grande confiance malgré son jeune âge et son arrivée relativement récente au sein de ses partisans. Et Severus savait que Bellatrix était jalouse.

— Je vais vous laisser discuter, déclara Gertie.

Elle eut alors un geste qui surprit Severus au point de manquer le faire bondir de sa chaise : elle posa sa main sur la sienne. Ce fut un geste fugace qui dura à peine deux secondes, mais qui suffit à faire frissonner Severus. Il n'aimait pas être touché. Pas par cette fille, en tout cas. Il se retint de lui jeter un regard noir alors qu'elle se levait et se dirigeait vers le bar.

— Ne devrais-tu pas coller au train d'une certaine personne au lieu de jouer les amoureux transis ? persifla Bellatrix dès qu'elle fut hors d'écoute.

— Pas aujourd'hui, répliqua Severus à voix basse. Comme tu le sais, il est de retour à Poudlard, et il quitte rarement le château en-dehors des week-ends.

— Oh, alors comme ça, tu as le temps de flâner. Comme cela doit être agréable.

— Je ne doute pas que chercher un jeune sorcier de dix-huit ans soit terriblement difficile et te prenne tout ton temps, Bella. Je ne fais qu'espionner un des plus grands sorciers de tous les temps, après tout.

Bellatrix émit un claquement de langue méprisant.

— Dumbledore est un des plus grands sorciers de tous les temps, il serait de mauvaise foi de le nier, affirma Severus. Quoi qu'il en soit, le Lord m'a accordé sa confiance. J'ai suivi Dumbledore lors de tous ses déplacements significatifs cet été. Il recherche actuellement deux nouveaux professeurs pour Poudlard. Le professeur Vlabatsky prend sa retraite à la fin de l'année scolaire. Il hésite encore à la remplacer ou à abandonner complètement l'enseignement de la divination. Et bien entendu, il cherche déjà le prochain professeur de défense contre les forces du mal, qui comme d'habitude, ne restera pas plus d'un an à ce poste. Le Seigneur des Ténèbres est particulièrement intéressé par le choix de ce dernier.

— Oui, j'étais présente lors de la réunion, merci bien, répliqua vertement Bellatrix. Je n'ai pas besoin d'un briefing.

Gertie refit son apparition à ce moment-là. Bellatrix la toisa avec mépris.

— N'oubliez pas de m'envoyer une invitation au mariage, ironisa-t-elle avant de s'éloigner en compagnie de son mari et de son beau-frère.

Dès qu'ils franchirent la porte du pub, Severus se tourna vers Gertie :

— À quoi tu joues ? demanda-t-il, furieux.

— Tu veux parler du fait de t'avoir touché ? Par Merlin, mon pauvre, il va falloir te détendre ! Je ne faisais que jouer mon rôle. Apparemment, elle y a cru. C'est ce que tu voulais, non ? Que l'un de tes petits camarades nous voit ensemble. Je suis prête à parier qu'avec elle, la nouvelle circulera très vite...

Severus se leva.

— Eh bien, assez joué pour aujourd'hui.

Et il quitta le pub à son tour.

***

— Alors, bien installé ?

Sirius venait de passer la tête dans l'encadrement de la porte. Remus, qui testait le matelas de son nouveau lit, lui adressa un sourire.

— C'est parfait, merci...

— Le dîner est prêt.

— Il faudra que tu me laisses cuisiner de temps en temps, l'avertit Remus en se levant. Je compte bien faire ma part.

— Reste en dehors de ma cuisine, Lupin ! fit Sirius en pointant un doigt menaçant vers lui. Je plaisante, bien sûr, tu es ici chez toi.

— Ce ne sera pas pour longtemps...

— Arrête un peu. Tu sais bien que tu es le bienvenu. Il y a largement assez de place pour trois. Et puis, même si elle a officiellement emménagé ici, entre son travail et l'Ordre, Marlene est souvent absente. Alors cesse de discuter et viens manger. Mon ragoût de mouton est à tomber.

Remus le suivit dans la cuisine, au sous-sol. Marlene finissait de mettre la table.

— Ta chambre te plait ? demanda-t-elle.

— Oui. Encore merci pour...

— Si tu me remercies encore, je t'assomme avec une casserole, le prévint Marlene.

Remus leva les mains en signe de reddition.

— J'arrête, alors.

Ils s'installèrent à table. Sirius servit le ragoût.

— Comment s'est passé la reprise ? demanda Remus à Marlene.

— Douloureusement, répondit-elle. Maugrey m'a annoncé dès le premier jour que j'allais commencer les leçons d'Occlumancie avec Robards. Les Aurors n'enseignent l'Occlumancie aux aspirants que lors de leur deuxième année de formation. Beaucoup abandonnent pendant la première année, donc ils jugent inutile de perdre du temps avec ça avant la deuxième année. Les leçons d'Occlumancie peuvent être... brutales. Rien de tel qu'un Auror qui essaie d'avoir accès à tes pensées les plus intimes pour te motiver à apprendre... et vite.

— Et ta sœur ? Comment va-t-elle ?

— Bien. Je n'arrive pas à croire qu'elle a déjà seize ans... Elle a eu de très bonnes notes aux BUSE mais elle se met déjà la pression pour les ASPIC et pour son orientation...

— Son choix de carrière plait beaucoup à leur père, ricana Sirius en piochant un petit pain rond dans la corbeille.

— Elle veut aussi être Auror ?

— Non... soupira Marlene.

— Travailler au Département de la Justice Magique comme ton grand-père ? tenta à nouveau Remus.

— Non plus... Elle veut être éleveuse de dragons.

— Une profession parfaitement sans danger, comme Cyrus McKinnon les aime, s'esclaffa Sirius.

— S'il ne meurt pas d'une crise cardiaque avant ses cinquante ans, ce sera un miracle, confirma Marlene. Et toi, comment ça se passe, chez Greyback, en ce moment ?

— Je suis toujours au bas de l'échelle.

— Tant mieux, répondit Sirius. Au moins, Greyback te fiche la paix et tu peux continuer à les espionner tranquillement.

Remus se retint de répliquer.

Ce n'était pas pour lui-même qu'il s'inquiétait.

***

Remus étouffa un bâillement. Il faisait le guet depuis deux heures à côté de la porte, à l'intérieur de l'entrepôt abandonné où les loups de Greyback s'étaient installés pour organiser leurs missions. Nina était attablée parmi un groupe de loups-garous penchés sur une carte qui planifiaient leur prochain larcin.

Lorsque Greyback passa près de leur table pour mesurer leurs progrès, il posa une main à plat sur la table et se pencha si près de Nina que Remus retint son souffle. La façon dont il la regardait – la reniflait presque – ne laissait aucun doute quant à ses intentions envers elle. D'ailleurs, les autres savaient qu'elle était chasse gardée, ce qui expliquait pourquoi ils ne tentaient rien et la laissaient tranquille. Il y avait très peu de femmes au sein du clan de Greyback, et Nina était de loin la plus jeune et la plus belle. Remus recommença à respirer normalement lorsque Greyback s'éloigna.

Plus tard, lorsque la réunion prit fin, Nina le frôla en sortant de l'entrepôt et le dépassa d'un pas vif. Il fronça les sourcils et glissa sa main dans la poche de sa veste. Il y trouva un morceau de papier roulé en boule.

Retrouve-moi dans la forêt à minuit.

Il savait de quelle forêt elle voulait parler. Celle où ils s'étaient affrontés. L'espace d'une seconde, il envisagea que cela puisse être une sorte de piège. Puis il repoussa cette idée et, à minuit, transplana à l'endroit désigné. Nina se trouvait déjà là, lui tournant le dos, le nez levé vers la lune gibbeuse. Remus la sentait, lui aussi. La pleine lune était proche.

— Tu voulais me parler ? demanda-t-il.

Elle se tourna vers lui. Elle gardait toujours ses distances.

— Est-ce que tu me détestes ? demanda-t-elle.

— Non, répondit Remus, étonné.

— Je t'ai laissé tomber, ces derniers mois... Je suis désolée... Je savais que Greyback voulait briser notre lien, et je l'ai laissé faire... J'avais peur qu'il fasse pire. À moi, ou à toi. Tu n'aurais jamais dû prendre cette mission à ma place. Il a compris qui tu étais ce jour-là.

— Qui je suis ?

— Une personne loyale. Juste. Prête à se sacrifier pour la bonne cause. C'est-à-dire, pas sa cause à lui. Il pense que tu as fais exprès de rater la mission. C'était un test. Tu ne l'as pas réussi. C'est pour ça qu'il te garde à l'écart.

— Je m'en doutais.

— Promets-moi que peu importe les missions qu'il continuera à me donner, tu ne feras rien pour m'en protéger.

— Les missions qu'il continuera à te donner ?

Remus fit un pas vers elle. Nina évita son regard.

— Il m'a demandé de tuer. Plusieurs fois. Je n'ai pas eu le choix.

Remus ferma un instant les yeux.

Je compte bien faire de toi une tueuse.

Ainsi, il avait bel et bien confié des missions à Nina. Et Remus n'en avait jamais rien su.

— Je pense que bientôt, il te fera passer un nouveau test, reprit Nina. Il annoncera que je devrai tuer en face de toi, comme si c'était la première fois qu'il me demandait une chose pareille. Tu dois promettre de ne pas réagir. J'ai déjà tué, Remus. Je peux le refaire. Mais si tu réagis, si tu essaies de me défendre, ce ne sera pas bon pour toi. Pas bon du tout.

— Est-ce qu'il... est-ce qu'il t'a forcé à faire... autre chose ? J'ai vu comment il te regarde... Je déteste ça... Je crois que je pourrais lui sauter à la gorge et lui arracher la jugulaire quand il pose les yeux sur toi de cette façon, comme si tu lui appartenais...

— Je ne suis pas la putain de Greyback ! cracha Nina avec une violence soudaine.

Elle se radoucit aussitôt et ajouta :

— Et tu n'as aucune responsabilité envers moi. Je ne t'appartiens pas non plus.

— Je le sais bien, se défendit Remus. Ce n'est pas ce que je...

— Je n'aurais jamais dû croire que Greyback était la clé de notre salut. J'ai été stupide et naïve. Mais maintenant, c'est trop tard. Il ne me laissera jamais partir. Mais ne joue pas les chevaliers servants, Remus. Tu as un complexe du sauveur. C'est tout à ton honneur, mais c'est trop dangereux. N'essaie pas de me sauver. Je suis une cause perdue, de toute façon.

Avant que Remus puisse répondre, elle transplana.

***

La Bibliothèque Noire était vide et silencieuse.

Trop vide.

Trop silencieuse.

Regulus était parti. Il n'avait pas seulement quitté Poudlard, mais il l'avait quitté, lui, Barty. Sans un mot. Il s'était enfui. Comme si rien de ce qu'il s'était passé entre eux n'avait compté.

Alors Barty se mit à hurler. D'un coup de baguette, il fit voler les livres, les enflamma, cassa tout ce qu'il se trouvait dans la pièce, en particulier le lit où ils avaient passé tant de nuits ensemble.

Regulus l'avait trahi.

Et Barty était à nouveau seul.


Bienvenue dans la 2ème partie de cette fanfic, sous-titrée "Un combat qui en vaut la peine", qui couvrira la période allant de septembre 1979 à août 1980 ! On reprend doucement avec un petit chapitre d'introduction... Bonne lecture !

https://youtu.be/XYoI0vRKOTs

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