La vieille et son jeune amant
*Les chroniques de Kévin*
0⃣2⃣
La vieille et son jeune amant
"Oh, ces jeunes,ils ont la fraîcheur de l'âge. Quand ils entrent en toi, c'est profond, c'est frais, c'est waoh! C'est un peu comme si je replongeais dans la fleur de l'âge."
Bon, je me présente, je m'appelle Viviane.je suis une chanteuse ayant eu son moment de gloire pendant les années 90,Oh ! Quand j'y pense, c'était beau les nuits interminables après concert, les harcèlements des fans. Puis peu à peu, de nouvelles tendances ont fait leur apparition et comme je ne m'étais pas préparée commbeaucoup d'autres, j'ai été vite classé dans les oubliettes.
Quand je vois tout ce que le monde a à offrir maintenant, je me dis si c'était en ce temps que j'avais eu mon moment de gloire ça allait être waouh !!
Il y a tellement de belles choses, et ce que je préfère le plus, mes amuses gueules, mes délices de vieille comme j'aime les appeler ce sont les mignons garçons.
Oh ! Ce sont des merveilles, ils sont à croquer
Et tenez vous bien, ce que je déteste le plus ce sont les jeunes filles, elles se la jouent toutes belles avec leur mini par ci par là.. Elles m'énervent !!!
Bref, je vais vous parler un peu de kris.Mon mignon Kris.
Si mon fils était encore en vie, il aurait le même âge que kris. Il est si mignon, si adorable,si doux, oh !!! Il me rend folle.
Je l'ai rencontré au cours d'une exposition et tout de suite, il m'a accroché et je l'ai dragué. Oui ! À mon âge, il ne faut plus se priver des bonnes choses pour les *qu'en dira t-on ? *
J'ai eu peur qu'il me rejette, mais non... Il faut avouer que je ne paraît pas aussi vieille que ça. Je sais m'entretenir !
Au départ on parlait d'art, puis nos conversations ont viré sur le *sex*,en fait le tableau devant lequel on était y avait contribué un peu.
Il a eu à me poser une question, qui m'a surprise
-Dites, quand vous faites l'amour, en tant que femme que ressentez vous ? Pouvez vous mettre cela a l'écrit ?
-wow ! Quelles questions ?
-Vous n'êtes pas obligées de répondre, mais je me demande toujours comment est ce que les femmes vivent le sexe ? Je voudrais savoir ce qu'elles ressentent, ce qui se passe en elles
-Ok
-OK, quoi ?
-bah pour ta question
-Vous êtes sérieuse ?
-seulement si toi même tu l'es mais à une seule condition
-laquelle
-je te dirai ce que moi je ressens que sur le feu de l'action
-eum, avec moi ?
Il faut dire que kris, est un jeune garçon hors du commun, vous l'auriez remarqué mais c'est un peu ça qui m'attire, je lui ai donc remis ma carte en espérant qu'il m'appelle mais il ne le fit.
Deux semaines plus tard, on se retrouva à une dédicace de livre, là, c'est lui qui m'aborda
-bonjour madame
-bonjour toi,
-Désolé si je ne vous ai pas rappelé
-j'ai compris que tu ne voulais pas avoir de réponses à tes questions
-Non loin de là, j'ai égaré votre carte par mégarde
-Ah ! Donc
- t'as Pas trouvé mieux comme excuse
-Non, puisque c'est la vérité ,au fait la dernière fois on s'est pas présenté.Kris
-viviane, vivi si tu veux ou V
-vivi, dans le vernaculaire ça fait *sucré*, êtes vous sucrée ?
-Il n'y a qu'un moyen de le savoir
-suivez moi
Ce jour, comme une adolescente de 16ans,je le suivi dans les toilettes des garçons. Rassurez vous, la dédicace se passait dans un hôtel, du coup les toilettes étaient assez propres.
Il verouilla la porte derrière nous et si tôt après se baissa pour prendre soin de ma vieille broussaille*. Oh ! Le pied, il sait s'y prendre le jeune homme. À un moment donné j'arrivais plus à me tenir, j'avais envie de crier et pour éviter cela, il enleva ma culotte et me l'a mis dans la bouche.
À un moment donné, ce fut comme s'il me donnait le coup de grâce, il jouait la partition à la fois avec sa bouche et ses mains. Je ne tardai pas à m'ecrouler. Dans ma chute, je pus lire un sourire de satisfaction sur son visage,moi j'étais aux anges.
Et comme si ce n'était pas bon, il me redressa et me porta jusqu'au lavabo et m'y déposa. Là, il écarta mes jambes et sans crier garde il entra en moi. Mine de rien, cela faisait un long moment que ma brouissaille n'avais plus reçu la visite d'un si doux et chaleureux invité. Il était juste comme il faut, avec un rythme régulier pas trop rapide et pas trop lent. C'est là, il me fixa et me demanda
-Alors que ressentez vous
-Je te sens en moi,je sens chacun de tes coups de reins, chaque frottements est sans pareil,c'est comme si on versait en moi un liquide chaud et froid en même.plus tu fais les vas et vient...
Et là... Il accélèra,je mouillais plutôt bien et ça glissait, on se serait cru sur une piste de ski
-Oui, continue,continue,t'arretes surtout pas
-t'inquiète, compte sur moi
C'est à ce moment, qu'on commença à frapper à la porte. Je pensais qu'il allait arrêter mais il n'en fit rien. Il continuait à me marteler comme si de rien n'était.les autres criaient de l'autre côté et menaçaient de défoncer la porte ou d'aller appeler la sécurité.
À dire vrai, cette situation rendit ma partie de jambes en l'air improvisée incroyable.
Je voulais vivre à fond ce moment, du coup j'enlevai ma culotte de la bouche et me mis à gémir comme jamais. Mes gémissements firent taire ceux qui étaient de l'autre côté de la porte. Il y en avait qui lançaient des encouragements à kris.
Je n'en croyais pas mes yeux, c'était moi vivi dans les toilettes pour homme d'un hôtel entrain de me faire défoncer par un jeune homme qui pourrait, non qui a l'âge de mon fils. Mieux je jouissait sous ses coups de reins...
Après le coup des toilettes, on se perdit de vue un long moment encore pour se revoir trois mois après à l'ouverture d'un bar jazz club.
-Bonjour vivi
-bonjour kris, ça fait longtemps,je vais finir par croire que tu ne veux pas ta réponse
-pas faux,pour cette fois je n'ai pas d'excuse
-Il y a trop de bruits, on peut aller dans un endroit beaucoup plus calme,je t'entends mal
-Comme la dernière fois ?
-rire, non ! Suis moi à ma voiture
Arrivée près de ma voiture, je demandai à mon chauffeur d'aller au loin.
On fait quoi maintenant ? Me demanda t-il ?
-A toi de voir !
-okay, rentre dans la voiture et déshabille toi
Je m'executai sans broncher. Une fois déshabillée,il rentra à son tour et verouilla les portières. Il mit un CD de jazz et monta le volume à fond.il baissa les deux sieges de devant puis me chuchota à l'oreille de faire tout ce que je veux avec sa bite, puis il s'allongea.
J'hésitai un long moment, puis je me lançai, j'attaquai sa ceinture, son bouton puis à la fermeture de son pantalon avant de découvrir son joujou*,il n'avait pas de culotte.
Je pris son joujou par la main gauche et par l'autre je saisis la bouteille de scotch qui trainait à l'arrière de la voiture, je pris un grand coup et lui tendit la bouteille qu'il refusa et j'engloutis sans état d'âme son joujou. En un laps de temps, il se raidit et devint tout chaud, je sentais le sang passer à toute vitesse et ça m'amusait. Par moment, il faisait de petits grimaces de gamin qui se faisait dépuceler.
Tres vite, je pris goût et ne voulait plus m'arrêter jusqu'à ce que machinalement,il se releva, me mit sur le dos,rentra en moi à une vitesse et commença à me marteler sans retenu. Ses coups de reins étaient violents et chauds,c'etait un peu comme s'il voulait vite en finir ce que moi je n'espèrait pas. Je voulais que ça continue éternellement.
C'était fort et violent juste comme il faut pour me rassasier,j'en avais besoin. Oui ,je lui criais. Continue je lui ordonnais.
Pour rendre la scène digne d'un film porno version *le jeune et la vieille*, il me tapait par moment les jambes ou mettait ses doigts dans ma bouche que je m'acharnai à sucer langoureusement.
Au moment de gicler, il sortit son joujou et pissa tout sur mon ventre puis de ses mains il prenait la substance pour la porter à ma bouche...
Quand il eut fini, il ferma sa braguette, remit sa ceinture puis regarda un moment dans le vide. Moi, je sortis une clope que j'allumai, à peine l'avais je porté à la bouche qu'il ouvrit la portière et me disa au revoir
-un instant, j'ai un petit cadeau pour toi.
Je sortis de mon sac, un chèque que je lui tendis
-c'est quoi ?
-prend le comme un cadeau d'une amie
Puis il me quitta
Le lendemain, mon chauffeur me rapporta le téléphone de kris, il l'avait fait tomber.
J'attendai qu'il appelle mais ne le fit pas jusqu'à ce que je rentre dans ces appels et messages
******
-Jo, cette fille je l'ai dans la peau
-Assa,je ne sais plus dans quelle langue je vais te le dire, cette meuf joue avec toi
-Awo ! Mais pourquoi ? Ne vois t-elle pas que je suis un bon mec ?
-Rire, toi un bon mec, dis plutôt que t'es un Monfo
-Fier de l'être, tsrumm
-ta meuf a besoin d'un gars comme moi ,je vais la foutou* bien
-vas la-ba
-Au fait t'as revu ta vieille ?
-non, mais ça ne saurait tarder
-Tu la mougou* comme il faut ? Elle ne demande que ça !
-je fais de mon mieux, avec elle c'est simple. Je n'ai pas à supplier, je n'ai pas à faire d'effort et puis elle mouille bien
-C'est une cougar
-lol, possible mais je l'aime bien, elle est comme son nom,Vivi
-Comment comptes tu la baiser la prochaine fois ?
-Ce n'est pas ton problème, pervers
-lol, c'est toi même le pervers. Tu te tapes ta mère
-Au moins elle autre connaît mes valeurs pas comme...
****
Quand je lu ce message je pleurai puis après je me mis à rire. Je me rendais compte de comment j'étais descendu si bas. Où était le crime de kris ? Il n'avait commis aucun crime mais moi oui et pour une raison ou pour une autre j'en étais fière. Cela faisait si longtemps que je ne m'étais pas sentie aussi vivante. Toutefois je me promis de ne plus rien avoir avec lui.
Je confiai à mon chauffeur le portable pour qu'il puisse le récupérer auprès de ce dernier.
Quand il vint en début d'après-midi récupérer son téléphone, je ne pus résister à la tentation. Du haut de mon balcon, je lui demandai de monter jusqu'à ma chambre.
Toc toc toc
-Entrez
-j'ai cru à un moment que vous ne vouliez pas me voir
-Ai je une raison de ne pas vouloir vous voir ?
-vous en aurez si vous avez poussé la curiosité de lire certains de mes messages
-rire... Tu sais cette fille pour qui tu craques tant, elle ne sait la chance qu'elle a.
-quelle est cette chance ?
-Tu baises bien !
Je me levai de mon bureau avec une feuille et un stylo, fis tomber ma robe de chambre puis me dirigeai vers mon lit
-Tu viens,je vais mettre à l'écrit la réponse à tes fameuses questions
Avant de venir vers moi, il laissa grandement ouverte la porte
-Pourquoi ne fermes tu pas la porte ?
-Ne soyons pas avares,laissons profiter vos employés
-rire, allez vient dans les bras de ta vieille...
"Quoi qu'on dise le péché est doux, sinon qui pécherait ? "
Fin
D'après Kévin Peter de Souza alias brindille
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