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Chapitre 2 - Farces pour sorciers facétieux

Les jours qui suivirent l'arrivée de Harry au Terrier furent un peu plus amusants que les précédents, car ils pouvaient désormais jouer au Quidditch dans le verger par équipe de deux et éviter la présence de Fleur à l'intérieur de la maison. Ginny jouait avec Ron contre Harry et Hermione. La brume glacée qui persistait depuis le début de l'été ne semblait toujours pas décidée à se lever, mais même sous ce ciel désespérément gris, Ginny profitait pleinement de ses vacances.

Seules les quelques malheureuses nouvelles rapportées par la Gazette et par son père et Bill lorsque ces derniers rentraient le soir pour dîner lui rappelaient qu'une guerre était en cours dans le monde extérieur. Lorsqu'ils fêtèrent l'anniversaire de Harry le 31 juillet, Remus Lupin leur annonça la mort d'Igor Karkaroff, un ancien Mangemort autrefois directeur de l'école Durmstrang qui avait pris la fuite lors du retour de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Bill mentionna également l'enlèvement de Florian Fortarôme, le vendeur de glaces du Chemin de Traverse, et son père la disparition d'Ollivander.

— Le fabricant de baguettes magiques ? s'étonna Ginny.

— Lui-même. Son magasin est vide. Aucune trace de lutte. Personne ne sait s'il est parti volontairement ou s'il a été enlevé.

— Et les baguettes ? Comment vont faire les gens, maintenant, pour avoir des baguettes ?

— Ils devront s'adresser à d'autres fabricants, répondit Lupin. Mais Ollivander était le meilleur, et si le camp d'en face l'a récupéré, ce n'est pas très bon pour nous.

Les listes de fournitures arrivèrent le lendemain, avec pour Harry une surprise de taille. Il avait été nommé capitaine de l'équipe de Quidditch de Gryffondor. Charlie, le deuxième frère de Ginny, avait été capitaine de l'équipe, lui aussi.

Molly leur annonça qu'ils iraient faire les achats sur le Chemin de Traverse le samedi suivant. Ginny ne put s'empêcher de s'en réjouir malgré les inquiétudes de sa mère, car elle allait enfin revoir Fred et George et découvrir leur boutique. Lorsque le jour J arriva, Ginny eut encore une autre occasion de se réjouir en apprenant que Fleur ne les accompagnerait pas et resterait plutôt avec Bill au Terrier. Au cours du petit déjeuner, son frère aîné donna une bourse pleine à Harry.

— Et moi ? demanda Ron.

— C'est son argent, idiot, répliqua Bill. Je l'ai pris dans ton coffre pour toi, Harry, parce que, ces temps-ci, il faut quatre heures de queue pour récupérer son or, tellement les gobelins ont renforcé leurs mesures de sécurité. Il y a deux jours, Arkie Philpott s'est fait enfoncer une Sonde de Sincérité dans le... Enfin, crois-moi, c'est plus facile comme ça.

Ginny esquissa un sourire amusé en enfournant une cuillerée de céréales tandis que Harry remerciait Bill.

— C'est fou ce qu'il pense aux autres, ronronna Fleur en caressant le nez de Bill avec adoration.

Le sourire de Ginny se changea très vite en grimace et, dans le dos de Fleur, elle fit semblant de vomir dans son bol. Harry avala ses corn flakes de travers en surprenant son geste. Ron lui tapa dans le dos et Ginny se remit à sourire.

Sécurité de Harry oblige, une voiture du ministère vint les chercher pour les emmener au Chemin de Traverse. Ginny s'installa sur la banquette arrière, aussi vaste qu'un banc public, en compagnie de Harry, Ron et Hermione tandis que ses parents montaient à l'avant avec le chauffeur.

Une fois sur place, Hagrid, le garde-chasse et professeur de soins aux créatures magiques de Poudlard, les accueillit à l'entrée du Chaudron Baveur. Le bar était aussi désert que le Chemin de Traverse lui-même. Quelques boutiques étaient condamnées par des planches tandis que des éventaires de fortune avaient surgit ici et là devant les vitrines couvertes d'affiches du ministère. Les photos des Mangemorts recherchés étaient placardées partout. L'endroit était beaucoup moins accueillant et animé que d'habitude.

Le sorcier miteux qui tenait l'éventaire le plus proche tendit à Molly une soi-disant amulette lorsqu'ils passèrent devant lui.

— Vous en voulez une pour votre petite fille, madame ? Pour protéger son joli petit cou ? dit-il en lorgnant Ginny.

Celle-ci eut une grimace répugnée et s'écarta du sorcier, par ailleurs passablement agacée de s'être fait qualifiée de « petite fille ». Son père lança un regard courroucé au sorcier.

— Si j'étais en service... dit-il.

Son travail consistait justement à réprimer ce genre d'activités illégales et parfois même dangereuses. On ne savait pas ce qui pouvait se cacher derrière ces amulettes. Ginny avait appris à se méfier de tout depuis qu'elle avait eu le malheur de faire confiance à un objet qui avait failli lui coûter la vie lorsqu'elle avait onze ans.

— Je sais, chéri, mais ce n'est pas le moment d'arrêter qui que ce soit, nous sommes pressés, répliqua sa mère. Je crois que nous devrions commencer par Mme Guipure, Hermione veut de nouvelles robes de soirée et les robes d'école de Ron sont devenues trop courtes, on voit ses chevilles. Toi aussi, il t'en faut d'autres, Harry, tu as tellement grandi... Allez, venez tous...

— Molly, c'est un peu idiot de se retrouver tous en même temps chez Madame Guipure, intervint Arthur. Ils n'ont qu'à y aller tous les trois avec Hagrid et pendant ce temps-là, nous irons chercher les livres chez Fleury et Bott, non ?

— Je ne sais pas... Hagrid, pensez-vous que...

— Ne vous inquiétez pas, ils seront très bien avec moi, assura aussitôt Hagrid.

Ginny se sépara ainsi de Hagrid, Harry, Ron et Hermione pour s'éloigner vers Fleury et Bott en compagnie de ses parents. Elle partait dans les rayons à la recherche d'un exemplaire d'occasion du Livre des sorts et enchantements (niveau 5) lorsqu'elle tomba sur un grand garçon aux cheveux bruns qui se trouvait deux rayons plus loin, accompagné d'un homme qui lui ressemblait beaucoup et que Ginny savait être son père pour l'avoir déjà vu en photo.

Génial. De tous les élèves de Poudlard, il fallait forcément qu'elle tombe sur son ex petit-ami.

Michael croisa son regard mais le détourna aussitôt. Mr Corner ne sembla pas du tout remarquer l'échange bref et silencieux qui avait eu lieu entre son fils et la petite rouquine qui traînait un peu plus loin dans la boutique. Ginny trouva son livre et alla retrouver ses parents, qui avaient accumulé dans leurs bras une pile de livres pour Harry, Ron et Hermione. Ginny délesta sa mère d'une partie des ouvrages pour les poser sur le comptoir de la librairie.

Son histoire avec Michael avait duré presque un an, mais elle ne s'était pas très bien terminée. Ils s'étaient rencontrés au Bal de Noël, auquel Ginny était allée en compagnie de Neville Londubat. Seuls les élèves de quatrième année ou plus avaient eu le droit d'assister au bal et Ginny, qui n'était qu'en troisième année à l'époque, s'était résolue à obtenir un cavalier plus âgé pour pouvoir célébrer cet évènement unique : le Bal de Noël du tournoi des Trois Sorciers. Il lui aurait été insupportable de rester cloîtrée dans son dortoir pendant que tous les autres s'amusaient, sans compter que son groupe préféré, les Bizzar' Sisters, devait animer la soirée. Elle avait décidé d'y aller coûte que coûte. Ainsi, lorsque Neville lui avait proposé de l'accompagner après avoir essuyé un refus de la part d'Hermione qui devait déjà y aller avec Viktor Krum, Ginny avait tout de suite accepté. Elle s'en était mordue les doigts lorsque, quelques jours plus tard, l'occasion de s'y rendre avec Harry s'était présentée à elle. Mais elle avait déjà dit oui à Neville, et elle avait respecté ses engagements.

Cela lui avait plutôt bien réussi.

Neville lui avait beaucoup marché sur les pieds pendant la soirée, mais lorsqu'ils s'étaient mêlés à d'autres élèves par la suite, Ginny avait rencontré Michael, un élève de Serdaigle qui avait un an de plus qu'elle. Ils avaient beaucoup parlé, ce soir-là. Et les jours suivants. Jusqu'à décider de sortir ensemble à la fin de l'année. Leurs quelques mois ensemble s'étaient bien passés. Ginny avait parlé à Michael et à ses deux meilleurs amis, Terry et Anthony, de l'AD et ils y avaient tous pris part. À la fin de sa quatrième année, lorsque Ginny s'était emparée du vif d'or sous le nez de Cho Chang durant le match de Quidditch contre Serdaigle, contribuant ainsi à faire remporter la Coupe à Gryffondor, Michael avait commencé à bouder à cause de la défaite de son équipe, qui était en partie due à sa petite-amie. Fatiguée d'avoir l'impression de sortir avec une version masculine de Mimi Geignarde, en moins pleurnichard et plus grincheux, Ginny avait décidé de le laisser tomber.

Les parents de Ginny réglèrent leurs achats et sortirent de la boutique. Ginny ne jeta aucun regard en arrière. Elle ne regrettait pas du tout d'avoir laissé tombé Michael. Ce dernier n'avait pas l'air de regretter grand-chose non plus, car aux dernières nouvelles, il sortait désormais avec Cho Chang. Grand bien lui fasse.

Leurs paquets de livres dans les bras, ils retrouvèrent les quatre autres et se rendirent ensemble chez l'apothicaire, puis chez Eeylops, au Royaume du Hibou avant de se diriger vers la boutique de Fred et George.

— Nous n'avons pas beaucoup de temps, prévint Molly. Alors, on jette juste un coup d'œil et on revient à la voiture. Ça ne doit plus être très loin, voilà le numéro 92... 94...

— Wooah ! s'exclama soudain Ron.

Ginny se figea en même temps que lui devant la vitrine de Weasley, Farces pour sorciers facétieux. Elle était à elle seule plus colorée que toutes les autres façades des autres boutiques du Chemin de Traverse. Un essaim d'objets bruyants et agités attiraient l'œil comme un aimant, ainsi qu'une grande affiche qui disait : « Vous avez peur de Vous-Savez-Qui ? Craignez plutôt POUSSE-RIKIKI, le constipateur magique qui vous prend aux tripes ! ». Ginny éclata de rire en même temps que Harry et Ron.

— Ils vont se faire tuer dans leur lit, marmonna sa mère.

— Mais non ! C'est très drôle ! lui assura Ron.

Ginny s'engouffra dans la boutique bondée à la suite d'Harry et Ron et chercha les jumeaux des yeux en flânant dans les rayons de la boutique. Quelques minutes plus tard, elle retrouva Hermione près d'un présentoir à côté du comptoir où s'alignait des boîtes sur lesquelles on pouvait lire « Rêve Éveillé, sortilège breveté ».

— Ton œil au beurre noir est parti ? remarqua-t-elle.

— Oui, répondit Hermione. Fred m'a donné un antidote. Tu as vu ça ?

Ginny regarda les boîtes de plus près.

— C'est bien pensé, avoua-t-elle, impressionnée. Je ne suis pas certaine que je choisirais de rêver de ça, ajouta-t-elle en montrant l'image représentée sur la boite, qui débordait de mièvrerie (une fille pâmée d'admiration devant un pirate séduisant, vraiment ?) Mais c'est très intelligent, comme sortilège. Ça va faire fureur dans les cours de Binns. Tu penses en acheter un, Hermione ?

Ginny lui adressa un sourire amusé. Elle savait très bien qu'Hermione ne raterait un cours pour rien au monde.

— Bien sûr que non, répondit celle-ci en lui rendant son sourire. Je trouve simplement ça très brillant.

— Dommage que les effets secondaires puissent entraîner une tendance à baver, c'est tout de suite moins glamour, fit remarquer Ginny.

Hermione eut un petit rire.

— C'est aussi interdit aux moins de seize ans. Désolée, Ginny, dit-elle.

Celle-ci fit mine d'être incroyablement déçue.

— Tant pis, je vais devoir m'en remettre à moi-même pour rêvasser en cours. Heureusement que je fais déjà ça très bien, plaisanta-t-elle.

— Dîtes-moi, les filles, est-ce que vous avez vu notre gamme Charme de Sorcière ? intervint Fred en apparaissant derrière elles en compagnie de Harry. Suivez-moi, mesdemoiselles...

Hermione et Ginny échangèrent un regard circonspect et le suivirent en direction de la vitrine, près d'un groupe de filles surexcitées qui s'agitait autour d'un tas de produits d'un rose criard qui lui rappela horriblement Ombrage. Tout comme Hermione, elle fit le choix de ne pas trop s'approcher.

— Et voilà, s'exclama Fred. Le meilleur choix de philtres d'amour que vous puissiez trouver.

— Et ça marche ? s'enquit Ginny en haussant un sourcil, hautement sceptique.

— Bien sûr ! Jusqu'à vingt-quatre heures d'affilée, selon le poids du garçon...

— ... et la beauté de la fille, compléta George en apparaissant à son tour. Mais nous n'en vendons pas à notre sœur, ajouta-t-il avec un brusque sérieux, surtout pas quand on sait qu'elle a déjà cinq petits amis, d'après ce que nous avons...

— Tout ce que raconte Ron n'est qu'un énorme mensonge, l'interrompit Ginny d'un ton tranquille.

Elle se pencha pour prendre un petit pot rose sur l'étagère.

— Qu'est-ce que c'est que ça ?

— Un Efface-Boutons dix secondes garanties, répondit Fred. Convient à tout, depuis les points noirs jusqu'aux furoncles mais n'essaye pas de changer de conversation. Est-ce que oui ou non tu sors ces temps-ci avec un garçon nommé Dean Thomas ?

— Oui. Et la dernière fois que je l'ai eu devant moi, je n'ai vu qu'un seul garçon, pas cinq, répliqua Ginny. C'est quoi, ça ?

Elle venait d'apercevoir des sortes de petites boules rondes et duveteuses dont la couleur variait du rose au violet et qui roulaient sur elles-mêmes au fond d'une cage en émettant des cris aigus.

— Des Boursouflets, répondit George. En fait, ce sont des Boursoufs miniatures. Nous avons eu du mal à en élever suffisamment pour répondre à la demande. Et Michael Corner ?

— Je l'ai laissé tomber, c'était un mauvais joueur. Ils sont adorables !

Elle avait passé un doigt entre les barreaux de la cage et les Boursouflets s'étaient précipités tout autour.

— C'est vrai, on a envie de les caresser, admit Fred. Mais tu ne crois pas que tu changes de petit ami un peu trop souvent ?

Cette fois, Ginny se tourna vers son frère, les mains sur les hanches et le regard furieux. Fred venait de franchir la limite.

— Ça ne te regarde pas, rétorqua-t-elle. Et toi, lança-t-elle à Ron qui venait d'apparaître, des boîtes plein les bras, je te serai très reconnaissante de ne pas raconter à ceux-là des histoires qui ne regardent que moi !

Avoir six frères plus âgés pouvait être un inconvénient majeur, mais elle avait appris à leur tenir tête dès qu'elle sentait qu'ils allaient un peu trop loin, peu importe que ce soit pour la taquiner, la protéger ou quoi que ce soit d'autre. Sinon, c'était la porte ouverte à tous les dérapages, et Ginny avait bien l'intention de défendre son territoire. Ses frères n'avaient nullement besoin de gérer sa vie sentimentale à sa place, à titre d'exemple.

— Ça te fera trois Gallions, neuf Mornilles et une Noise, annonça Fred à l'attention de Ron. Allonge la monnaie.

— Je suis ton frère !

— Et ce sont nos produits que tu essayes de piquer. Trois Gallions, neuf Mornilles, je te fais grâce de la Noise.

— Je n'ai pas Trois Gallions, neuf Mornilles !

— Alors tu remets tout ça où tu l'as pris et ne te trompes pas d'étagères.

Sous le coup de la colère, Ron laissa tomber plusieurs boîtes, lâcha un juron et adressa à Fred un geste grossier de la main qui ne passa pas inaperçu auprès de leur mère.

— Si je te vois encore faire ça, je te jette un sort qui te collera les doigts, lança-t-elle sèchement.

Ginny en profita pour sauter sur l'occasion. Il était beaucoup plus facile d'obtenir quelque chose de sa mère quand elle était en colère contre quelqu'un d'autre.

— Maman, je peux avoir un Boursouflet ?

— Un quoi ? demanda sa mère, méfiante.

— Ils sont tellement mignons...

Elle montra la cage remplie de boules duveteuses à sa mère, qui fit un pas de côté pour mieux les regarder pendant que Fred et George retournaient servir leurs clients. Molly sembla également très attendrie par les Boursouflets mais rappela bientôt Fred et lui posa plusieurs questions pour s'assurer qu'ils n'avaient rien de dangereux. Après que Fred lui eu affirmé que non, ils ne mordaient pas, n'explosaient pas et ne se métamorphosaient pas en dragon sauvage, il ajouta :

— Écoute maman, c'est très simple. Vous êtes venus avec Hagrid, c'est ça ?

— Oui. Il attend dehors. Quel rapport avec ça ? demanda leur mère.

— Eh bien, tu n'as qu'à lui montrer un Boursouflet, et si comme je m'y attends il estime inutile de le faire entrer dans son programme de cours à Poudlard, ça voudra forcément dire qu'il n'est pas assez dangereux pour ça.

Ginny éclata de rire. Elle adorait Hagrid, qui était son professeur de soins aux créatures magiques, mais elle devait admettre que certaines des créatures qu'il avait fait défiler devant leurs yeux auraient pu causer de gros dégâts. L'année avant que Ginny n'entre à Poudlard, Charlie avait dû emmener en cachette loin de l'école un bébé dragon que Hagrid comptait élever dans sa cabane en bois et qui aurait sans doute atteint la taille d'un éléphant adulte à l'âge d'un an, mettant sans doute le feu à la cabane avant ça, et peut-être même à la moitié de la forêt interdite.

— Ce sera mon cadeau d'anniversaire, maman. Tu disais bien qu'il fallait que j'y réfléchisse, non ? Eh bien voilà, j'ai réfléchi. Et puis ce n'est pas trop cher.

Sa mère consentit finalement à lui acheter un Boursouflet violet, que Ginny décida de baptiser Arnold. Lorsqu'elle se retourna vers Harry, Ron et Hermione, ceux-ci avaient disparu. Estimant qu'il était temps de repartir, sa mère se lança à leur recherche mais ne les trouva pas. Inquiète, elle alla prévenir Hagrid tandis que Ginny continuait de les chercher dans les rayons du magasin. Harry, Ron et Hermione refirent surface de longues minutes plus tard en affirmant qu'ils étaient restés tout ce temps dans l'arrière-boutique, ce qui parut très curieux aux yeux de Ginny : elle était certaine qu'il n'y avait personne, lorsqu'elle y avait jeté un coup d'œil.

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