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Chapitre 7 - Le club de duel


Le lundi matin, la nouvelle de ce qui était arrivé à Colin s'était répandue dans toute l'école. Comme Miss Teigne, il avait été retrouvé pétrifié.

Ginny n'avait aucun souvenir de ce qu'elle avait fait au moment de l'agression. Elle se rappelait avoir écrit à Tom pour lui raconter ce qu'il était arrivé à Harry pendant le match, puis plus rien. Elle s'était réveillée sous ses couvertures, en pyjama, alors qu'elle était certaine de ne pas s'être déshabillée la veille.

Bouleversée à l'idée d'avoir attaqué Colin pendant une nouvelle crise de somnambulisme, elle passait ses soirées à pleurer en silence dans son lit, terrifiée à l'idée de dormir. Au moins, Harry était complètement remis. Personne ne semblait savoir pourquoi ce Cognard avait agi de la sorte. Ginny doutait tellement de tout qu'elle craignait même d'être à l'origine de ce phénomène.

Fred et George avaient pris l'habitude de se déguiser en monstres en se couvrant de peaux de bêtes et de se cacher derrière des statues pour lui sauter dessus par surprise afin de lui « redonner le sourire », mais cela n'arrangeait rien, au contraire. Une fois, elle fondit en larmes et Percy leur hurla dessus en les menaçant d'écrire à leur mère s'ils recommençaient à lui faire peur. Les jumeaux cessèrent alors leurs pitreries.

Les élèves de première année se déplaçaient désormais en groupe. Ginny s'était tacitement jointe à celui de Sally, Lucy et Neil mais restait silencieuse, se sentant trop coupable pour essayer d'en profiter pour s'en faire des amis. Un trafic de talismans avait désormais cours dans le château.

Les parents de Ginny avaient prévu depuis longtemps de rendre visite à Bill en Égypte pour Noël. Molly, à qui Percy avait raconté tout ce qu'il se passait à l'école, s'inquiétait néanmoins pour ses enfants. Elle leur avait proposé de venir les accompagner en Égypte, mais Ginny et ses frères savaient quel coût supplémentaire cela engendrerait pour eux, et ils s'étaient mis d'accord tous les quatre pour rester au château avec Harry. Ginny aurait aimé rentrer au Terrier quelque temps, se couper de tout ce qu'il se passait à l'école, mais elle était terrifiée à l'idée que ses parents décèlent sa culpabilité. Et puis, en raison des évènements, beaucoup d'élèves semblaient décidés à rentrer chez eux, surtout les Nés-Moldus. Ce qui signifiait que les risques d'attaque étaient moindres.

Le dernier dimanche avant les vacances, l'annonce de l'ouverture d'un club de duel apparut sur le tableau d'affichage du hall d'entrée, provoquant une vague d'enthousiasme chez les élèves. Ginny s'y rendit le soir même en compagnie de Sally, Lucy et Neil. La Grande Salle avait été aménagée pour l'occasion : les longues tables avaient cédé la place à une estrade dorée. Toute l'école semblait s'être donnée rendez-vous. Les élèves attendaient, surexcités. Même Ginny fut gagnée par l'enthousiasme ambiant.

Lorsque Lockhart fit son apparition sur l'estrade, son enthousiasme en prit un coup. Sally poussa un long râle désabusé.

— Approchez-vous, approchez-vous ! clama Lockhart. Tout le monde me voit ? Tout le monde m'entend ? Parfait ! Le professeur Dumbledore m'a donné l'autorisation d'ouvrir ce petit club de duel pour vous enseigner des méthodes de défense au cas où vous auriez besoin de faire face à une agression quelconque, comme cela m'est arrivé d'innombrables fois.

— Vous voulez dire qu'il va se servir de sa baguette correctement, pour une fois ? marmonna Sally.

Neil ricana. Lucy, qui avait toujours un faible pour Lockhart, se mit à rougir.

— Pour de plus amples détails, je vous renvoie à la collection complète de mes livres. Je vais maintenant vous présenter mon assistant, le professeur Rogue. Il m'a dit qu'il avait lui-même quelques notions en matière de duel et il a très sportivement accepté de me servir de partenaire pour vous faire une petite démonstration en guise de préambule. Mais ne vous inquiétez pas, votre maître des potions sera toujours en état de vous faire cours quand j'en aurai fini avec lui. Aucun danger !

— Aucun danger pour Rogue, rectifia Sally avec un sourire carnassier. J'ai hâte de voir Lockhart se ridiculiser devant tout le monde.

Rogue, que Ginny n'avait pas vu apparaître, s'avança sur l'estrade. Les deux professeurs se placèrent face à face et s'inclinèrent. Lockhart fit des moulinets ridicules tandis que Rogue se contentait d'un geste raide. Puis ils levèrent leurs baguettes. Sally en sautillait presque d'impatience.

— Comme vous le voyez, commenta Lockhart, nous tenons nos baguettes dans la position de combat réglementaire. Lorsque nous aurons compté trois, nous jetterons le premier sort. Bien entendu, ni l'un ni l'autre ne cherchera à tuer l'adversaire. Un... Deux... Trois...

— Expelliarmus ! s'écria Rogue.

Un éclair rouge frappa Lockhart de plein fouet, le projetant à bas de l'estrade. Des applaudissements s'élevèrent du côté des Serpentard. Sally mourait manifestement d'envie de se joindre à eux, arrêtée seulement par son mépris envers ces derniers. Lockhart se releva.

— Et voilà, excellente démonstration ! déclara-t-il en remontant sur l'estrade d'un pas chancelant.

— Tu vois, il l'a fait exprès ! le défendit Lucy.

— Tu parles ! railla Sally. Il rattrape le coup comme il peut, ouais...

— Il s'agit là d'un sortilège de Désarmement, poursuivit Lockhart. Comme vous le voyez, j'ai perdu ma baguette.

— Et ta dignité, compléta Sally.

Neil était au bord du fou rire, désormais. Il se cachait la bouche d'une main pour étouffer son hilarité, des larmes perlant au coin de ses yeux.

Une fille de Gryffondor dans la classe de Harry s'était précipitée pour ramasser la baguette de Lockhart. Elle la lui rendit avec un grand sourire.

— Ah, merci beaucoup, Miss Brown.

La fille retourna vers son amie et toutes deux gloussèrent.

— C'était une excellente idée de leur montrer, ça, professeur Rogue, mais sans vouloir vous offenser, j'avais tout de suite deviné ce que vous aviez en tête, c'était évident. Et si j'avais voulu vous en empêcher, je n'aurais eu aucun mal à le faire. Mais j'ai pensé que cette démonstration serait très instructive.

— Quel menteur ! commenta Sally.

Rogue gratifia Lockhart d'un regard assassin, et ce dernier ajouta aussitôt :

— Le spectacle est terminé ! À vous de jouer, maintenant ! Je vais passer parmi vous pour vous mettre deux par deux... Professeur Rogue, si vous voulez bien m'aider...

Sally soupira, déçue. Lockhart et Rogue mirent les élèves par équipe de deux. Ginny se retrouva face à Neil, tandis que Sally et Lucy formaient une autre paire.

— Mettez-vous face à face ! s'exclama Lockhart depuis l'estrade. Et n'oubliez pas de saluer ! Attention, levez vos baguettes ! A trois, jetez un sort pour désarmer votre adversaire, je dis bien pour désarmer. Nous ne voulons pas d'accident. Un... Deux... Trois...

Ginny avait salué Neil d'un geste mécanique, mais en levant sa baguette, elle se figea, glacée de terreur. Et si elle se révélait devant tout le monde ? Et si elle pétrifiait Neil sans le vouloir ? Une image lui vint subitement à l'esprit : des mains, ses mains, ramassant la forme pétrifiée d'un chat pour l'accrocher à une torchère par la queue...

Autour d'elle, les élèves prononcèrent la formule dans une terrible cacophonie. Mais Ginny lâcha sa baguette comme si elle allait la brûler. Neil la regarda, éberlué : il devait se demander comment il avait réussi son coup avant même de prononcer la formule.

Le cœur battant à tout rompre, le souffle court, Ginny mit quelques secondes à retrouver la maîtrise d'elle-même. Elle constata alors les dégâts qui l'entouraient.

— Hou, là, là ! s'exclama Lockhart. Levez-vous, Macmillan... Attention, Miss Faucett... Appuyez bien fort, Boots, ça va cesser de saigner dans un instant... Je crois que je ferais mieux de vous apprendre à neutraliser les mauvais sorts.

— Ouah, quelle bonne idée, dommage qu'il ne soit pas prof de défense contre les forces du mal ! railla Sally en se relevant, touchée par le sort de Lucy.

— Prenons deux volontaires, suggéra Lockhart. Londubat et Finch-Fletchley, par exemple...

— Très mauvaise idée, professeur Lockhart, coupa Rogue. Londubat sème la désolation chaque fois qu'il essaye de jeter le moindre sort. Il ne restera plus grand-chose de Finch-Fletchley après ça ! Pourquoi pas Malefoy et Potter ?

— Excellente idée ! approuva Lockhart. Venez là, tous les deux. Harry, quand Drago pointera sa baguette sur toi, tu feras ça.

Il exécuta des moulinets compliqués et laissa échapper sa baguette. Sally étouffa un rire.

— Holà ! Ma baguette est un peu énervée, ce soir !

Rogue s'approcha de Malefoy et lui murmura quelque chose à l'oreille. Ginny eut un mauvais pressentiment en les voyant sourire tous les deux.

— Professeur, pourriez-vous me montrer encore une fois comment bloquer un mauvais sort ? demanda Harry, inquiet.

Malefoy lui souffla quelque chose d'un air malveillant, et Harry lui murmura une réponse inaudible.

— Fais comme je t'ai dit, Harry, répondit simplement Lockhart avec une tape amicale sur l'épaule.

— Il faut que je laisse tomber ma baguette ?

Cette fois, même Ginny, pourtant encore secouée par sa vision, eut envie de rire. Lockhart ne prêta pas attention à la réplique d'Harry et lança le compte à rebours.

— Trois... Deux... Un... Allez-y !

— Serpensortia !

Un serpent jaillit alors de la baguette de Malefoy. Il atterrit sur le sol et se dressa, prêt à attaquer. La foule d'élèves recula en poussant des cris d'effroi. Sally et Neil ne riaient plus du tout, désormais.

— Ne bougez pas, Potter, dit tranquillement Rogue, visiblement ravi de voir Harry tétanisé devant le serpent. Je vais vous en débarrasser...

— Je m'en occupe, intervint Lockhart.

Il jeta un sort au serpent, mais ne parvint qu'à le projeter dans les airs. Le serpent retomba quelques mètres plus loin, sifflant d'un air furieux. Il se dressa devant Justin Finch-Fletchley.

C'est alors qu'il se produisit quelque chose d'inattendu. Harry s'avança vers le serpent et lui cria quelque chose dans une langue étrangère, sifflante comme celle d'un serpent. Une langue que Ginny n'avait jamais entendue, mais dont elle connaissait le nom.

Fourchelang. La langue des serpents.

L'animal se tourna alors Harry, docile. Prêt à lui obéir.

Harry adressa un sourire à Justin. Ce dernier prit peur et s'écria :

— À quoi tu joues ?

Puis il s'enfuit de la salle à toutes jambes.

Rogue fit disparaître le serpent dans une volute de fumée noire. Des murmures s'élevèrent alors de la foule.

— Potter est un Fourchelang ? murmura Owen Griffith.

— Je vous l'avais dit, répliqua Harper. Seuls les mages noirs parlent Fourchelang. Vous pensez encore qu'il ne peut pas être l'héritier de Serpentard ?

Ron entraîna Harry hors de la salle, suivi d'Hermione.

Peu après, les élèves quittèrent la Grande Salle à leur tour. Sonnée, Ginny prêta à peine attention aux rumeurs qui enflaient autour d'elle. Elle avait du mal à croire que Harry puisse être l'héritier de Serpentard. Elle savait que ce n'était pas elle non plus – c'était impossible – mais quelqu'un qui se servait peut-être d'elle. Ça ne pouvait pas être Harry... Il ne ferait jamais ça...

À moins... à moins qu'il n'en soit pas conscient, comme elle ?

De retour dans son dortoir, elle raconta à Tom tout ce qu'il s'était passé. Il se montra particulièrement intéressé par le fait que Harry parle Fourchelang. Elle mentionna également Justin, sa réaction, et les rumeurs qui mettaient toute l'école en émoi.

Plus tard, elle se réveilla au milieu de la nuit. Du moins pensait-elle que c'était la nuit : il faisait sombre, et elle se tenait debout au milieu de son dortoir.

— Eh oh, tu m'entends ? Ginny ? Incendio...

Sally enflamma une bougie. Elles étaient seules, et de l'agitation résonnait encore depuis la salle commune. Il ne devait pas être si tard...

— Tu es sortie dans le parc ? À cette heure ? Tu es couverte de neige ! Mon dieu, tu dois être frigorifiée !

Et, en effet, Ginny se rendit compte qu'elle claquait des dents. Ses cheveux et sa robe étaient trempés de neige à moitié fondue.

— Oh, tu es allée à la volière ?

Ginny cessa aussitôt de claquer des dents. Elle scruta sa robe et trouva ce que Sally avait vu sans l'identifier correctement.

Une plume de coq.

***

Le lendemain, la neige s'était transformée en blizzard si épais que les cours qui devaient avoir lieu à l'extérieur furent annulés. Ginny aurait voulu se rendre chez Hagrid pour jeter un œil au poulailler, mais elle renonça malgré son inquiétude grandissante. Que faisait-elle aux coqs de l'école ? Et pourquoi ? Elle avait tellement peur de la réponse qu'elle était presque soulagée que le blizzard lui donne une excuse pour ne pas en avoir le cœur net.

En passant devant la table des Poufsouffle pour aller petit-déjeuner, elle surprit une conversation entre Justin Finch-Fletchley et Ernie Macmillan.

— Potter pourrait profiter de l'annulation du cours de botanique pour s'en prendre à toi, disait Ernie à voix basse. Tu devrais aller te cacher dans le dortoir maintenant, avant qu'il descende du sien. N'en sors pas avant le prochain cours.

Justin acquiesça et, d'un air inquiet, quitta la Grande Salle.

Le moment d'après, Ginny entendit une porte s'ouvrir à la volée.

— Ginny ? Qu'est-ce que tu fais là ?

Ginny cligna des yeux et appréhenda son environnement. Elle se trouvait assise sur son lit. Sally et Lucy venaient de faire irruption dans le dortoir.

Comment était-elle arrivée là ? Elle venait juste d'entrer dans la Grande Salle...

— On s'est demandées où tu étais passée ce matin ! reprit Sally.

— Quoi ?

— Les cours de sortilèges et de défense contre les forces du mal... répondit Lucy. Tu n'étais pas là.

Elle avait manqué des cours. Sans même s'en rendre compte. Ginny fit de son mieux pour cacher le tremblement de ses mains.

— Je... je ne me sentais pas bien.

— En tout cas, tu as tout raté !

— Raté... raté quoi ?

Son estomac menaçait de se retourner. Elle savait ce que Sally allait lui annoncer.

— Vers la fin du cours de sortilèges, on a entendu Peeves hurler dans le couloir. On est tous sortis, et là : Justin Finch-Fletchley, par terre, pétrifié ! Et pas seulement : Nick-Quasi-Sans-Tête aussi ! Quelqu'un a pétrifié un fantôme ! Je ne savais même pas que c'était possible ! Et devine qui on a trouvé dans le couloir à côté d'eux ? Harry Potter !

Ginny se leva comme un ressort. Elle ne pouvait plus rester là. Elle avait envie de s'enfuir le plus loin possible.

— Je... Je ne me sens vraiment pas bien. Je crois que j'ai pris froid hier. Il faut que j'aille à l'infirmerie.

Elle courut presque jusqu'à la porte.

L'infirmerie n'était qu'une excuse, mais ses pas la guidèrent tout de même dans cette direction. En chemin, elle croisa Percy, qui fronça les sourcils en l'apercevant.

— Ginny ? Ça ne va pas ? Tu es toute pâle...

— Je vais bien, répondit-elle mécaniquement sans s'arrêter.

— Ginny... Attends. Tu es sûre que ça va ? Je ne te reconnais plus, depuis la rentrée. On dirait que tu es tout le temps malade.

— Je suis juste... fatiguée. Je ne dors pas très bien, avec tout ce qui se passe.

— Tu veux que je t'accompagne à l'infirmerie ? Mme Pomfresh pourra peut-être te donner quelque chose pour t'aider à dormir... Un Philtre Calmant ou quelque chose...

— Je... non.

Elle venait de se souvenir d'un détail crucial : toutes les victimes pétrifiées se trouvaient justement à l'infirmerie. Elle ne pouvait pas mettre les pieds là-bas.

— J'y suis déjà allée, mentit-elle. Elle m'a donné une potion, ça devrait aller mieux.

Percy la regarda d'un air vaguement suspicieux. Ginny avait toujours été bonne menteuse, mais elle craignait de ne pas pouvoir le berner, cette fois.

— Bon, d'accord. Mais si ça ne va vraiment pas...

Ginny se força à sourire.

— Ça ira.

Elle poursuivit son chemin et attendit d'avoir tourné à l'angle d'un couloir pour laisser libre cours son angoisse. Percy commençait à se douter de quelque chose. Ce n'était pas bon du tout. Elle regagna son dortoir, vide à cette heure du déjeuner, et s'empressa d'écrire à Tom.

Cher Tom,

Percy n'arrête pas de me dire que je suis toute pâle et qu'il ne me reconnaît plus. Il y a eu une autre agression aujourd'hui et je ne sais pas du tout où j'étais. Tom, qu'est-ce que je vais faire ? Je me demande si je ne suis pas en train de devenir folle... Tom, j'ai l'impression que c'est moi qui attaque tout le monde ! Je perds la mémoire à chaque fois qu'il y a une agression ! Ça ne peut pas être une coïncidence ! Je me suis encore retrouvée avec des plumes de coq sur moi... Qu'est-ce que je leur ai fait ? Et je ne te l'ai pas encore dit, mais hier, pendant le club de duel, j'ai eu une sorte de flash... je me suis souvenue avoir ramassé Miss Teigne pour l'accrocher au mur. Je n'ai pas fait que peindre le message sur le mur ! C'est moi qui agresse tout le monde ! Ça ne peut être que moi ! Et toute l'école accuse Harry par ma faute... Je ne comprends pas, Tom. Je ne peux pas être l'héritière de Serpentard ! C'est impossible ! Est-ce que le véritable héritier se sert de moi à mon insu ? Aide-moi !

La réponse mit un peu plus de temps que d'ordinaire à apparaître.

Je te l'ai déjà dit, c'est impossible que ce soit toi. Peut-être que tu te convaincs toi-même que tu es coupable pour une raison ou pour une autre, et que c'est ce qui entraîne tes pertes de mémoire. Il est même possible que ton subconscient ait inventé ce souvenir.

Ginny se retint de hurler. La théorie de Tom était beaucoup moins logique que la sienne.

Alors pourquoi refusait-il de la croire ?

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