
Chapitre 50 - Douce nuit
PDV Melvin
Samedi 17 oct 2012
19h30
Ça y est on est samedi, j'avais hâte. La fin de semaine m'a semblé interminable. Enfin c'est surtout parce que j'étais pressé. Soan a accepté de venir à la maison ce weekend, je suis tellement soulagé qu'il m'ait pardonné, j'avais vraiment peur d'avoir tout gâché. Mais au final, j'ai réussi à réparer mes erreurs avec Arnaud et a regagner l'estime de mon chéri. Maintenant je vas arrêter mes conneries de jalousie, j'ai été trop con de douter, mon copain est un gars en or, il ne me tromperait pas. Quand à son meilleur ami, qu'est-ce que j'ai pu me faire des idées à croire qu'il voulait me piquer mon mec, d'un c'est un mec génial qui ferait jamais une crasse pareil, et de deux, il avait déjà quelqu'un dans le coeur. D'ailleurs depuis que ce quelqu'un est revenu et s'est expliqué, tous les deux ne se lâchent plus. Félix tout comme moi a su se faire pardonner. Même auprès de Soan. Quand je lui ai expliqué les raison du comportement du musclé, et comment il a su se faire excuser, il s'est radouci. Cependant quand on s'est retrouvé avec eux, lorsque Arnaud nous à invité pour nous présenter son copain, mon chéri, lui a bien précisé, que s'il lui faisait du mal, il aurait affaire à lui. Mais bon, il a cessé d'être aussi mordant avec lui et il est content pour son meilleur ami, au final. Donc tout va pour le mieux.
Actuellement, je suis chez moi, en cuisine. J'ai eu envie de préparer moi-même le repas, même si je suis pas très doué pour ça, je veux accueillir mon petit-ami comme il se doit. D'ailleurs la sonnette de l'entrée, tinte, ça doit être lui. Il m'avait dit qu'il viendrait en fin de journée parce qu'il devait d'abord s'organiser pour que Mattheo et Lilou puissent rester seul.
Je laisse ce que j'étais en train de faire et file vers la porte que j'ouvre sans plus tarder. Il m'apparaît derrière et un sourire se dessine instantanément sur mon visage. Je le fais vite entrer parce qu'il fait un peu frais dehors et l'entraine avec moi, jusqu'au salon. J'y ai préparer de quoi boire sur la table basse blanche. On s'installe tous deux cote à cote sur un des deux canapé beige et je nous sers deux verres de coca. On échange un petit bisou avant d'avaler notre première gorgée de soda.
- Alors t'as pris une baby-sitter pour Matt et Lily? Demandais-je
- Oui, ils vont dormir chez ma voisine de palier. On va pouvoir profiter de nos moments à deux sans être dérangé. Il est temps qu'on se retrouve un peu en amoureux.
- Je suis content que tu ai accepté de venir. J'avais vraiment peut que tu dise non.
- T'avais fait tes excuse à Arnaud, tu lui avait redonné l'envie d'être lui même, et puis avec ta bouille trop mignonne, je pouvais pas dire non à ta proposition. Surtout que j'en avais très envie.
Je lui souris et porte mon verre à mes lèvres, buvant le liquide pétillant quand il me dit:
- C'est moi, ou ça sent un peu le cramé?
Alors qu'il se fait cette réflexion à voix haute, j'avale de travers et me met à tousser avant de lâcher entre deux bruit de gorge.
- Putain, ma pizza!
Je me lève d'un bon et file vite dans ma cuisine, suivit de Soan.
- Merde,merde, merde commentais-je en la sortant du four.
- Ça va, elle est qu'en partie brûlé, on enleve un centimètre en plus avec la croûte et ça sera bon. On pourra la manger.
- Non, je vais téléphoner pour en commander.
- Mais non. Ta pizza à l'air super bonne si on retire les parties noircies, je suis sur qu'on va se régaler.
- T'es sur que tu veux prendre le risque....
- Absolument.
Il à l'air tellement décidé, que j'accepte sans broncher. Je découpe la partie cramé, et l'instant d'après, il m'aide à préparer la table. Nous nous y installons ensuite en face à face pour déguster,
- Tu vois, j'avais raison, elle est très bonne.
- C'est vrai, c'est pas dégueulasse, on a échappé au pire.
- En plus c'est un peu de ma faute, je t'ai déconcentré vu que j'ai sonné et qu'on à discuté.
- J'adore être déconcentré par toi.
Il se penche au dessus de la table pour m'embrasser et nous continuons à manger le contenu de notre assiette. Finalement c'était pas si mauvais que ça.
- Bon pour le dessert, y'a aucun risque que ce soit mauvais, j'ai pris des pâtisseries à la boulangerie. C'est des petites charlottes aux chocolats.
- Hum, j'adore le chocolat.
- J'ai hésité avec celles aux fraises.
- De toute façon, je suis un gourmand, j'aurais tout manger, quoi que tu aurais pris.
- Tant mieux. J'ai pensé qu'on pourrait se faire un DVD ce soir, j'en ai choisi plusieurs pour que tu choisisse celui qui te plait le plus.
- Ok, ça marche.
On termine de dîner puis je rempli le lave vaisselle avec son aide. Je voulais qu'il aille se poser tranquillement au salon mais il insiste pour me filer un coup de main. Du coup nous rangeons ensemble puis une fois que tout est en ordre, on part s'avachir dans le canapé. Lui allongé et moi dans ses bras. Il dépose de temps à autres, de tendres baisers dans mes cheveux, et moi je glisse mes doigts dans les siens, alors que ses mains m'entourent la taille. Je suis juste trop bien contre lui. Si bien que je m'y endors et que je me réveille que sur le générique.
- Oh, je me suis endormi, j'ai même pas vu la moitié du film. On est tellement bien dans tes bras.
- Oui j'ai vu ça. On ferait mieux de monter dans ta chambre.
- Ouais c'est une bonne idée.
22h30
On monte tout deux, faisant un petit arrêt à la salle de bain puis une fois nos haleines rafraichit, on retrouve ma chambre.
- Oh comme c'est mignon...
- J'ai gâché la surprise que tu m'avais préparé avec Arnaud alors je me suis que je pourrais peut-être essayer de reproduire moi aussi une atmosphère romantique pour rattraper les dégâts...je m'en veux d'avoir fait raté ta surprise.
- C'est pas grave, c'est pas seulement toi qui l'a fait raté en plus, j'ai eu beaucoup de colère contre toi mais dans le fond, je suis en grande partie responsable de ce qui est arrivé. Je m'y suis très mal pris pour te faire cette surprise, j'ai été hyper maladroit, vraiment pas discret, je t'ai pas assez rassuré sur mes sentiments envers Arnaud et sur les siens envers moi. Je te demande pardon aussi mon chéri. Même si tes mots on été particulièrement excessifs, c'est beaucoup de ma faute tout ça. J'ai agi comme un con avec toi, un très gros con...je pète un câble pour une banale étreinte, je te fais direct la gueule et quelques temps plus tard, je fais 1000 fois pire avec Arnaud...et je m'étonne que t'ait pas confiance? Je suis vraiment un abruti...je me mettrais des claques jte jure.
- Ça sera pas nécessaire. T'es pardonné aussi. Tu aimes quand même la déco que j'ai faite?
- Mon petit prince, c'est vraiment beau. Me dit-il m'embrassant.
J'ai sorti les guirlandes lumineuse de Noël, celle qui s'illuminent d'une teinte blanchâtre dorée, et je les ai accrochés au plafond, puis j'ai fait en sorte qu'elle retombent tout autour de mon lit, comme une pyramide.
- Puis t'en fais pas, je suis sur que les bougies, qu'on avaient prévu, on servi maintenant que Félix et Arnaud se sont retrouvé.
- Oui mais bon, tu y avais mis tout ton coeur et moi...
- Chut...
Son index se pose sur mes lèvres me faisant taire et il m'attire sur le lit me prenant la main. On se faufile entre-deux guirlandes et on grimpe sur le matelas. Il se retrouve en tailleur dos aux oreillers, et moi en même position juste en face de lui. Il prend mes mains dans les siennes et colle nos fronts.
- Et si on oubliait ce qui s'est passé et qu'on profitait juste de nos moment en amoureux.
- Oui tu as raison...
- En plus, on est super bien là. Je sais que tu es désolé et que tu t'en veux, mais Arnaud et moi on t'a tout les deux pardonner. Tu n'a plus à t'inquièter. C'est oublié.
Je lui souris et regagne ses lèvres. J'en suis certain maintenant, on est réconcilié.
Il vient aggriper ses mains dans ma nuque et mon timide bisou devient baiser. Sa langue se glisse entre mes lippes se frayant un passage, et rencontre la mienne. Elles se frôlent, se taquinent, et la sensualité, remplace peu à peu la douceur de notre échange. On finit par s'éloigner ayant besoin de respirer et il me souffle :
- J'ai pas arrêté de penser à la fois où on recommencerait... même quand j'étais fâché. Hmm...je savais pas si t'en avais alors...j'ai acheté...du lubrifiant...et des préservatifs...J'y connais pas grand chose...j'espère que j'aurais bien choisi...
- T'en fais pas, j'avais tout ça, mais je suis sur que tu auras bien choisi.
- Y'a tellement de gel différent...j'étais un peu paumé. Oh mon dieu, je me sens ridicule là...à parler de ce genre de choses,
- Mais non arrête, t'es juste trop mignon et un peu stressé...
- C'est que la deuxième fois qu'on s'apprête à faire l'amour et ma première fois en passif...
- Ça va très bien se passer.
- Oui.
- Et après c'est moi qui suit trop mignon, dis-je alors qu'en douceur, je le pousse pour l'allonger sur le lit.
Il s'étend dos contre le lit, sa chevelure brune s'étalant entre les oreillers et je viens le surplomber de mon corps. Ses bras viennent s'entourer autour de ma taille, tandis que je caresse ses cheveux de la main droite et que la gauche je tiens son menton, alors qu'on s'embrasse langoureusement. J'aime tellement ses lèvres. Elle sont sucrées. Là en plus, elles ont un petit goût mentholé, du au dentifrice, c'est pas désagréable.
- J'aime tellement tes lèvres...
- J'aime les tiennes aussi...
Un à un, tout en l'embrassant, je défait les boutons de sa chemise, tandis que de son côté, il glisse ses mains sous mon t-shirt, me caressant le dos. J'en frissonne, et lui fait de même alors que je termine de mettre son torse à nu et que je passe mes mains sur lui. Sa poitrine, ses abdos, ses flancs, déclenchant la chair de poule sur sa peau frémissante. Ma bouche descend dans son cou, l'embrassant tendrement, tandis que mes doigts s'appliquent à faire durcir ses bout de chair orangées.
Je m'interrompt quelques secondes alors qu'il attrappe mon t-shirt pour le passer au dessus de ma tête. Celui-ci trouvant sa place au sol, je reprend la ou j'en étais. Mes lippes quittent sa nuque et lentement trouvent le chemin vers ses mammellons. Ma langue vient les humidifier, et ils se dressent encore plus contre elle, tandis que mon petit ami soupire de bien-être. Je les délaisse, dégringolant sur son ventre et arrive à hauteur de son pantalon. Je ne tarde pas à en défaire le bouton et dezippe la braguette. Je recule dans le lit pour lui retirer son Jean et le jette par terre. Quand je reviens vers lui, ses mains s'emparent de ma ceinture et peu après, je me retrouve comme lui, seulement vêtu d'un caleçon.
Remontant une bonne fois pour toute sur le lit, je glisse mes mains sous ses cuisses, me tenant à celles-ci alors que ma bouche, les couvre, l'une et l'autre de chaleureux baiser. A mesure que je m'approche de son boxer, mon petit-ami monte en décibel, gémissant sensuellement. Je ne résiste pas plus longtemps à la vue de son bas-ventre étirant son sous-vêtement, et vient déposer un baiser sur les deux sphères précédent sa longueur dont la pointe s'est fait la malle, dépassant de l'élastique. Mes bisous grimpe le long de sa bosse et je dit lorgnant sur le bout de celle-ci.
- Le petit oiseau à envie de sortir...
- Je crois que je suis un peu à l'étroit.
- Je vais arranger ça.
*************
PDV Soan
Lentement il me retire mon dessous et celui atterrit je ne sais où dans la pièce après qu'il l'ai lancé. Il revient ensuite vers moi, et colle ses lèvres aux miennes. On est presque totalement peau contre peau, seul son boxer fait encore barrage, entre nos intimités. Les frottements du tissu m'arrache de petits gémissements, mais ce n'est rien comparé à l'effet que me fait sa main, qui vient s'enrouler autour de mon membre. Tout en m'embrassant langoureusement, il effectue des massages de haut en bas, m'extirpant un grands nombres de soupirs qui s'éteignent dans sa bouche.
Je suis bien décidé à lui rendre la pareille. Je le pousse légèrement de façon à se qu'on se retrouve, couché sur le côté, en face l'un de l'autre, et ma main droite vient se faufiler sous la dernière étoffe qu'il porte. Tandis que je lui mordille la lèvre, je me referme sur son organe, puis reproduit les même caressent qu'il m'inflige. Il ne tarde pas à laisser échapper des plaintes, aimant visiblement ce que je lui fais, mais ne me laisse pas m'en délecter très longtemps. Il s'éloigne de moi, me tenant toujours en main, et bientôt sa langue vient mouillé l'extrémité de ma virilité. A cet instant là, je ne peux me retenir de gémir, et de resserrer mes doigts entre les draps. Il en rajoute encore plus. parcourant toutes mes parties intimes, de son muscle buccal avant de finir par me saisir entre ses lèvres. Il m'asséne de nombreuses, allées-venues et alors que j'expire de plus en plus bruyamment, il décide de calmer le jeu. Il remonte sur mon ventre en petit baiser, et alors qu'il atteint ma bouche, j'en profite pour prendre le dessus, le plaquant au lit.
Dans la seconde, je lui retire son dernier vêtement libérant son anatomie vigoureuse qui se redresse vivement face à moi. Je suis beaucoup moins hésitant que la dernière fois. À hauteur de son bassin, les yeux ancrés dans les siens, entre mes lippes, je l'attrape. Je descend sur lui aussi loin que je peux et remonte à une vitesse très frustrante. Je recommence une nouvelle fois, ne ratant rien des expression de mon petit-ami qui gémit délicieusement. Décidant d'arrêter de le faire languir, je réitère mes gestes avec plus de rapidité. Et l'effet s'en ressent immédiatement. Mon pti prince accroche ses doigts dans mes cheveux, halète de plus belle, pousse des petits couinements adorable et plus j'en entends, plus j'insiste. Je me sens de plus en plus à l'aise pour lui faire ça, voir qu'il aime me rend très confiant et satisfait. Mordillant son sommet, je remonte à mon tour jusqu'à ses lèvres.
Ma main gauche attrape son visage et nous nous emportons dans un langoureux baiser. Ma jambe gauche s'étant glissé entre les siennes, je fais pression sur sa virilité, et il soupire contre ma bouche. Manquant de souffle, notre échange cesse, et je lui murmure la voix quelque peu rauque,
- Je suis prêt, fais moi l'amour...mon pti prince.
Il m'offre un de ses plus beau sourire et j'en suis presque ému, c'est un de ces sourires qui en dise long sur l'amour porté a l'être aimé. Quand à son regard, c'est sans aucun doute, le désir et l'amour qui l'animent. Il me fait signe de tête vers la table de nuit et je comprends, tendant le bras pour attraper, le lubrifiant et la pochette.
Son sourire s'agrandit alors que je lui passe le tout et il me lance:
- T'es tout gêné, c'est trop mignon.
Autant dire que la, je dois avoir les joues d'un rouge vif, mais alors que je baisse les yeux, voulant me cacher, il me relève le menton, m'embrassant par la suite.
Il attrape ma jambe gauche plus tôt entre les siennes, et la soulève pour qu'elle vienne reposer sur lui, mon genou au niveau de son ventre.
- Je vais te toucher, ça va être froid au début.
J!hoche la tête lui souriant et le regarde enduire ses doigts de gel parfum passion. Son bras disparaît de ma vue et je comprends très vite, ou il est passer quand je le sens prêt de mes fesses. Un de ses doigts humides, s'immisce entre celles-ci et la fraîcheur se fais ressentir sur mon petit trou. C'est assez surprenant mais pas vraiment désagréable. C'est froid, déroutant, étrange, mais surtout excitant. Sentir son doigt appuyé sur mon ouverture, ça me plait, je crois. En tous cas, ça enflamme mon bas-ventre. Alors qu'on partage de doux baiser, je sens qu'il l'introduit peu à peu en moi. Une fois que celui-ci commence à bouger en mon intérieur Melvin me demande entre deux bisous.
- C'est comment?
- Spécial, mais je déteste pas.
- C'est normal, c'est la première fois. Pour le moment tu ne ressens que le côté bizarre. Mais tu verra que la prochaine fois ça ne le sera plus, tu te focalisera sur le plaisir.
- J'en doute pas, répondais-je dans un baiser avant de me tendre, sentant un autre doigt me pénétrer.
Mon copain le remarque tout de suite, certainement grâce à ma grimace, et se retire. Il remet du produit sur ses doigts et tous deux, l'un après l'autre reviennent en moi. Le deuxième passe plus difficilement mais une fois qu'il y est, je m'y habitue. J'y trouve même du plaisir. Enfin, jusqu'à qu'un troisième s'engouffre légèrement dans mon entrée. Là c'est plus douloureux, je serre les dents.
- Tu le veux toujours Soan, parce que maintenant que je t'ai bien préparé, je vais venir en toi et ça risque d'être douloureux.
- Je le sais, mais t'en fais pas, même si ça fait mal, ça va bien se passer. Je le veux.
Il enlève ses doigts, repousse ma jambe qui encombrait son corps et m'allonge dos au matelas. Je le regarde enfiler le préservatif, puis il se place entre mes jambes. Ses mains se saisissent de mes chevilles et il les place sur mes épaules. Tendrement, il les embrasse l'une apres l'autre jusqu'a mes genoux puis finit par se pencher sur moi, pour me donner un baiser. Il se redresse, s'enduit de gel, en passe sur mon entrée et vient y coller son membre. Melvin fige son regard au mien, et pousse commençant à s'insérer en moi. Une seconde suffit pour que je me mette à fermer fort les yeux et à grimacer, la douleur ne passant pas inaperçue.
- Ça va? Interroge-t-il s'arrêtant instantanément
Je prend une profonde inspiration, pour me donner le courage de faire face à la douleur et rassure mon petit-ami.
- Ça va aller..,t'en fais pas.
Il s'enfonce un peu plus loin, et je serre violemment les poing m'aggripant à la couette, alors que la souffrance me foudroie et je lâche entre deux sourires crispé:
- Hummm...putain...ça fait mal...
Mon copain s'interrompt à nouveau et me dit:
- On peut toujours arrêter là si c'est trop insupportable pour toi, on réessayera...c'est pas grave....
- Non, ça va aller, il faut bien que je passe par-là, et je veux que ce soit ce soir...la douleur passera, je le sais. Je vais serrer les dents un petit moment, ça ira.
- Tu es sûr ?
Je ne lui répond pas et l'attire à moi, mes mains s'accrochant à sa nuque. Je l'embrasse et sussurre contre ses lèvres :
- Viens...
Il m'embrasse à son tour et je le sens s'enliser en moi. Je gémis de douleur contre ses lèvres, puis il me murmure dans un bisou
- Ça y est, on ne fait plus qu'un, le plus dur est passé.
- Oui c'est fait...tu peux y aller...
Tandis qu'il regagne mes lippes, sa main droite, s'empare de mon organe tendu à souhait et il réitère le mouvement de massage qu'il avait effectué plutôt. Il accompagne rapidement ses caresses, de doux vas et viens dans mon antre et peu à peu, les sensations désagréable, se dissipent. La souffrance disparaît et je ne ressens plus que sa main sur ma virilité et son membre en moi, auquel je m'adapte a présent. Sa bouche vient me manger le cou, me dévorant littéralement et j'aime de plus en plus sa présence en moi. Plus il vient en moi, plus j'aime le sentir. A chaque coups de reins, je découvre des sensations inconnues mais tellement agréables...ce n'est plus bizarre, c'est juste...
- Hummm, ne puis-je m'empêcher de gémir alors qu'il se déhanche une nouvelle fois contre moi.
- Ça c'était un soupir de plaisir, je me trompe?. Me souffle-t-il à l'oreille
- Non, J'adore...
Il continue alors ses mouvements, satisfait et plus il accélère, plus je pousse des plaintes bruyante. C'est trop bon, tellement bon. Ses lèvres dans ma nuque, sa main sur ma longueur me massant, son organe au creux de moi...je peux plus...lors d'une énième poussé, je craque, accompagnant mon extase d'un long râle rauque. Je ne suis même pas encore remis, qu'apres deux trois coup de rein, mon pti prince, cède à son tour, se libérant, dans un dernier petit cri particulièrement profond et sensuel.
Éreinté, il trouve tout de même le courage de sa lever pour jeter la capote, et pour m'essuyer le torse. Un fois ça fait de fait, il revient s'étendre sur le lit. On se faufile sous la couette et il vient tout contre moi, se blottir contre mon corps alors qu'on est l'un et l'autre couché sur le côté. L'embrassant pour la je ne sais pas combien de fois, je lui murmure :
- Merci Melvin
- De quoi?
- De ce moment qu'on vient de partager.
- C'était un plaisir, répond-il déposant un baiser sur mon nez, j'aime te faire l'amour. Tu as aimé au moins?
- Bien sur que j'ai aimé, j'ai adoré même. Cette première fois fut géniale. Ça y est je ne suis plus du tout puceau et j'ai perdu définitivement ma virginité avec le gars que j'aime, qui a été super doux. Ça ne peut pas être plus parfait. Et Mel, tu dors? demandais-je alors que je vois ses paupières se fermer.
- Hum désolé, j'arrive plus à garder les yeux ouverts...mais j'ai entendu ce que tu as dit.
- Dors mon pti prince, c'est pas grave, je suis fatigué aussi. .
Toujours les paupières closes, il me fait basculer sur le dos, et grimpe sur mon corps avant de poser sa tête contre mon épaule.
- Je veux faire dodo comme ça, dit-il d'une voix endormie.
Je glisse mes bras autour de sa taille le serrant contre moi et rétorque embrassant ses cheveux,
- Bonne nuit, je t'aime.
- Je t'aime aussi, très très fort. Bon....uit
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